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Corallus ruschenbergerii (Cope, 1876) Synonymes Xiphosoma ruschenbergerii Cope, 1876 Xiphosoma ruschenbergii Boulenger, 1893 Corallus cookei var. ruschenbergi Boettger, 1898 Boa ruschenbergii Stejneger, 1902 Boa salmonidia Briceno Rossi, 1934 Corallus ruschenbergerii Henderson, 1997 Répartition géographique Amérique Centrale Costa Rica (Sud/Ouest), Panama, Archipel des perles (îles del Rey, Contadora, Cébaco et Suscantupu), Trinité et Tobago. Amérique du Sud Colombie, Vénézuela, île Margarita. Portrait Photo pour illustration. Source: google
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Corallus hortulanus (Linné, 1758) Sous-espèces - Corallus hortulanus hortulanus (Linné, 1758) - Corallus hortulanus enydris (Linné, 1758) Synonymes Boa hortulana Linné, 1758 Boa Enydris Linné, 1758 Vipera bitis Laurenti, 1768 Vipera madarensis Laurenti, 1768 Coluber madarensis Gmelin, 1788 Coluber bitis Gmelin, 1788 Boa Ambleocephala Donndorff, 1798 Boa merremi Schneidrer, 1801 Boa obtusiceps Bechstein, 1802 Boa elegans Daudin, 1803 Corallus obtusirostris Daudin, 18 Xiphosoma ornatum Wagler, 1824 Xiphosoma dorsuale Wagler, 1824 Xiphosoma hortulana Fitzinger, 1826 [Xiphosoma] merremii Wagler, 1830 Boa modesta Reuss, 1834 Boa hortulana Schlegel, 1837 Corallus maculatus Gray, 1842 Corallus hortulanus Gray, 1842 Xiphosoma hortulanum Duméril & Bibron, 1844 Corallus hortulanus melanea Gray, 1849 Xiphosoma ruschenbergerii Cope, 1875 Boa ruschenbergii Stejneger, 1901 Boa cooki Ihering, 1911 Boa grenadensis Barbour, 1914 Boa salmonidia Briceno Rossi, 1934 Boa enydris enydris Stull, 1935 Corallus enydris Forcart, 1951 Corallus enydris enydris Forcart, 1951 Corallus enhydris enhydris Duellman, 1978 Corallus grenadensis Henderson, 2004 Répartition géographique Amérique Centrale Costa Rica, île de grenade, Trinité-et-Tobago, Amérique du Sud Brésil, Bolivie, Colombie, Equateur, Guyana, Guyane française, Pérou, Suriname, Vénézuela Portrait Photo pour illustration. Source: google
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Article original: Bell frog thought to be on last legs spotted alive and kicking Not dead ... a yellow-spotted bell frog. Photo: Taronga Zoo/Michael McFadden In the world of amphibians, it is the equivalent of finding the Tasmanian tiger. A species of frog presumed extinct for nearly 30 years has turned up in the Southern Tablelands. The yellow-spotted bell frog was once ubiquitous in the northern and southern tablelands of NSW, but was almost wiped out after the chytrid fungus arrived from Africa in the early 1970s. It was found alive and well in 2008 by government researcher Luke Pearce, who was searching for a native fish, the southern pygmy perch. Instead, he spotted the bell frog, which has distinctive markings on its groin and thighs. But Mr Pearce had to wait until last October before he could return with David Hunter, the threatened species officer of the Department of Environment, Climate Change and Water, to confirm the finding. ''We heard this bell frog call,'' Mr Pearce said. ''[We] went down looking for it and actually nearly stepped on it. It was quite amazing. This frog was just waiting there to be found.'' In one stretch of stream on a farm in an unspecified part of the Southern Tablelands, an estimated 100 yellow-spotted bell frogs have been found. Six tadpoles have been taken to Taronga Zoo to establish a breeding program. ''If it has a predisposition to being resistant to this fungus, as opposed to having site attributes resulting in resistance, that will afford it much greater protection when we start putting it elsewhere,'' Dr Hunter said. Michael McFadden, an amphibian keeper at Taronga Zoo, said the fungus had caused the loss of seven frog species in Australia. It was thought to have wiped out two species that have been found in the past few years. In all, almost a quarter of the state's frog species have been affected by the fungus, including 15 threatened varieties such as the green and golden bell frog, the corroboree frog and the spotted tree frog. ''Highland species of frogs crashed really hard,'' he said. Two years ago, the armoured mist frog of northern Queensland was found after not being seen since the early 1990s. ''This is the equivalent of discovering the Tasmanian tiger, in terms of amphibians, in terms of frogs,'' the NSW Environment Minister, Frank Sartor, said of the latest find. Source:http://www.smh.com.au/environment/conservation/bell-frog-thought-to-be-on-last-legs-spotted-alive-and-kicking-20100304-plsc.html Traduction google: Dans le monde des amphibiens, il est l'équivalent de trouver le tigre de Tasmanie. Une espèce de grenouille présumée éteinte depuis près de 30 ans a tourné dans les plateaux du Sud. La grenouille jaune-Bell a aperçus autrefois omniprésentes sur les plateaux nord et sud du NSW, mais ont été presque éliminés après le champignon chytride arrivés de l'Afrique dans les années 1970. Il a été retrouvé vivant et bien en 2008 par le chercheur du gérer Luc Pearce, qui était à la recherche d'un poisson indigène, la perche du pygmée du sud. Au lieu de cela, il a repéré la grenouille de Bell, qui a des marques distinctives sur son aine et les cuisses. Mais M. Pearce a dû attendre jusqu'au mois de Octobre avant d'avoir pu revenir avec David Hunter, le directeur des espèces menacées du Ministère de l'Environnement, changements climatiques et l'eau, afin de confirmer la constatation. ''Nous avons entendu cette cloche grenouille appel,''a déclaré M. Pearce. ''[Nous] avons descendu la chercher et en fait presque marché dessus. C'était assez étonnant. Cette grenouille attendait juste là pour être trouvé.'' Dans une portion de fleuve sur une ferme dans une partie indéterminée des plateaux du Sud, on estime que 100 Yellow-spotted grenouilles Bell ont été trouvés. Six têtards ont été prises pour Taronga Zoo d'établir un programme d'élevage. ''Si elle a une prédisposition à une résistance à ce champignon, par opposition au site ayant des attributs résultant dans la résistance, qui va le permettre beaucoup plus grande protection lorsque nous commençons à le mettre ailleurs,''a déclaré le Dr Hunter. Michael McFadden, un détenteur d'amphibiens au zoo Taronga, a déclaré le champignon avait causé la perte de sept espèces de grenouilles en Australie. On pensait avoir effacé deux espèces qui ont été trouvés dans les dernières années. En tout, près d'un quart des espèces de grenouilles de l'État ont été touchées par le champignon, dont 15 variétés menacées, comme la grenouille verte et dorée de la cloche, la grenouille Corroboree et la rainette tachetée. Highland''espèces de grenouilles s'est écrasé vraiment dur,''at-il dit. Il ya deux ans, la brume blindés grenouille du nord de Queensland a été trouvé après ne pas être vu depuis le début des années 1990. ''C'est l'équivalent de découvrir le tigre de Tasmanie, en termes d'amphibiens, en termes de grenouilles,''le ministre de l'Environnement NSW, Frank Sartor, dit de la dernière trouvaille.
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Une grenouille d'Australie (Litoria castanea), que l'on croyait disparue depuis près de 40 ans et dont l'espèce était considérée comme éteinte, a été redécouverte dans une rivière reculée du pays, à la surprise des experts, a indiqué jeudi un scientifique. Un agent des services de l'environnement du gérer de l'Etat de la Nouvelle-Galles-du-Sud a aperçu une espèce inhabituelle lors d'un déplacement à Tablelands (sud). Il s'est ensuite rendu sur les lieux avec un spécialiste, qui a confirmé qu'il s'agissait d'une grenouille Bell à taches jaunes, que l'on n'avait pas observée depuis 1973. "C'était vraiment le plus grand moment de ma carrière et je pense que ça ne m'arrivera plus", a déclaré jeudi le Dr David Hunter, qui a découvert un groupe de grenouilles en pleine santé. Le ministre de l'Environnement de Nouvelle-Galles-du-Sud, Frank Sartor, a pour sa part indiqué que la réapparition de cette grenouille témoignait de l'importance à protéger les habitats naturels des animaux. Le lieu de la découverte des batraciens est tenu secret pour les protéger, tandis que des discussions sont en cours avec le zoo Taronga de Sydney pour élaborer un programme d'élevage en captivité. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/1075415/2010/03/04/Une-espece-de-grenouille-disparue-refait-surface-en-Australie.dhtml
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La mante religieuse est un redoutable insecte prédateur. Si sauterelles, criquets et autres papillons sont généralement à son menu, il arrive qu'elle agrémente ce dernier de proies plus... conséquentes. La mante religieuse, de son nom scientifique Mantis religiosa, est un insecte diurne vivant dans les Tropiques ainsi que dans les zones méditerranéennes. Elle tient son nom de ses pattes avant, qu’elle replie dans l’attente d’une proie, donnant l’impression qu’elle est en train de prier. La femelle mesure au maximum 8 cm, le mâle 2 à 3 cm de moins. Elle est connue pour ses talents de prédateur : en effet, peu nombreux sont les mâles qui sortent indemnes d’un accouplement, les femelles les dévorant la plupart du temps après la copulation, voire même pendant. Elle est également redoutable pour de nombreuses autres espèces grâce à sa rapidité, et surtout, à sa patience. La mante est ainsi capable d’attendre sa proie 24 heures, cette dernière étant parfois bien plus grosse qu’elle. La mante se poste sur un distributeur de nourriture pour colibri La mante a attrapé une proie Gros plan sur la prédatrice et sa proie Source:http://www.maxisciences.com/mante-religieuse/en-images-quand-les-mantes-religieuses-s-attaquent-a-des-oiseaux_art5935.html
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Feu dans l'animalerie : les reptiles sous surveillance Poitiers. Il faudra attendre plusieurs jours pour savoir si les reptiles de l'animalerie S & N Exotic ont été affectés par les fumées de l'incendie. Deux filles arrivent en courant. « J'espère qu'il n'y aura pas de python dans la rue ! » Il est 13 h 15 ce mardi, la rue Pasteur est bloquée depuis un quart d'heure par la police pour permettre aux pompiers d'éteindre un feu survenu dans une animalerie spécialisée dans les reptiles. « Nous habitons à l'étage, au-dessus de la boutique, on a commencé à sentir des fumées. On a appelé les pompiers, après nous sommes partis », commentent les voisins de la boutique S & N Exotic, fermée ce mardi. Ils attendent dehors tandis que les pompiers s'activent. Des fumées continuent à s'échapper de la boutique. “ Je rouvre on va s'organiser ” Les pompiers défoncent alors le rideau métallique pour investir les lieux et attaquer le feu. La fumée répand une odeur tenace et acre de plastique brûlé. Le feu est vite maîtrisé. Les secours vérifient qu'il ne subsiste pas des points chauds et que le feu ne couve pas dans des parties dissimulées à la vue. Le sinistre semble s'est déclenché à hauteur du compteur électrique, dans l'accueil de la boutique où sont entreposés aussi des vivariums. Cette pièce est très chaude et noircie par les fumées. La pièce attenante, remplie de vivariums accueillant des serpents est moins atteinte. Les reptiles continuent à bouger quand les pompiers parcourent la pièce. La deuxième crainte, celle d'une fuite d'animaux est aussi écartée. Les quelques voisins inquiets d'une échappée de serpents en sont quittes pour une fausse crainte. Le propriétaire des lieux finit par arriver sur place pour dresser le bilan des dégâts. « Il n'y a pas d'animal de mort, note Nicolas Deltete. Mais ça ne veut rien dire. Il faut attendre plusieurs jours. Il y avait un petit python et des petits lézards qui semblent assez fatigués. Ils étaient juste à côté du feu du compteur. Les lézards ont pu se mettre dans l'eau. On va bien voir. » L'animalerie héberge environ deux cents animaux dans ses trois salles. Hier après-midi, Nicolas Deltete nettoyait. « J'ouvre ce mercredi (1). On va s'organiser, même si ça doit se faire sur le trottoir ! Les gens pourront venir et récupérer ce dont ils ont besoin. » La priorité était surtout au rétablissement du courant avec des radiateurs prêtés. Les reptiles craignent le froid polaire encore plus que la chaleur infernale. (1) Le contact peut être maintenu avec Nicolas Deltete par deux moyens : le mail (sn.exotic@ free.fr) et le téléphone portable (06.68.30.94.02). Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=86&num=1573519#
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Geochelone (Centrochelys) sulcata
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Je pense que l'article parle bien de "sulcata", mais qu'il y a des erreurs "journalistiques". Voici ce que j'ai relevé sur le lien que tu as mis sur les "sulcata". "La tortue sillonnée, également appelée tortue de savane (Geochelone sulcata), est la plus grosse tortue terrestre après la tortue géante des Galápagos et la tortue géante des Seychelles. La tortue sillonnée peut atteindre un poids de 100 kg." Si le journaliste est tombé sur ce lien, il n'a pas dû aller chercher plus loin... -
La mare aux crocodiles sacrés de Sabou (Burkina Faso)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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La mare aux crocodiles sacrés de Sabou (Burkina Faso)
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
La mare aux crocodiles sacrés de Sabou est un site touristique du Burkina Faso qui est visité assez fréquemment par les touristes en visite au Burkina Faso. C’est un endroit charmant où se cotoient l’homme et l’animal, dans une harmonie paradoxale, où chacun en ressort gagnant. La mare aux crocodiles sacrés est située dans le village de Sabou à quelques 80 Kilomètres de Ouagadougou sur la Route dite de Bobo, elle est située dans la Provinces du Boulkiemdé, près de la ville de Koudougou. La Mare aux crocodiles sacrés de Sabou ou Mare aux caïmans Sacrés de Sabou est peuplée par des crocodiles normalement dangereux mais qui dans cette mare sacrée ce révèlent inoffensifs. Les touristes qui vont à la mare aux crocodiles sacrés de Sabou peuvent pour un cout d’environ 2000 FCFA, les voir de très près sur la berge ou ils sont attirés grâce à un poulet. On peut y prendre des photos avec les animaux et on peut même les chevaucher si on le souhaite…. Assez impressionnant! La Mare aux Crocodiles Sacrés de Sabou est un site sacré depuis longtemps pour les habitants de la province du Boulkiemdé au Burkina Faso. En effet, selon les histoires rapportées par les Anciens, il y a très longtemps de cela, l’ancêtre des habitants de Sabou, qui était un chasseur, était perdu en brousse sans aucune source d’approvisionnement en eau. Assoiffé et affamé, au bord de la mort, un crocodile venu lui donner quelques gouttes d’eau provenant sa longue queue restée humide. Ainsi sauvé, le chasseur transporta le crocodile jusqu’à la mare sacrée de ce qui allait devenir Sabou et de gratitude lui jura protection. Depuis ce temps, les crocodiles sont sacrés à Sabou et ils vivent en harmonie avec la population. Source:http://www.burkina-faso.ca/mare-au-caimans-sacres-de-sabou-sites-touristiques-du-burkina-faso/ Vidéo: -
Pas de bulleur, ni de brumisateur dans un terrarium contenant des serpents... Cela risque plus de t'apporter des soucis de maintenance (trop d'humidité, sol toujours humide, etc.) et qui vont finir par déboucher sur les maladies qu'a énuméré Baaz Si les pulvérisations ne suffisent pas au moment de la mue, tu peux faire des bains à ton "regius"...
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Pour faire simple et d'une façon généraliste... - Hibernation - Sortie d'hibernation - Plusieurs repas - Mue - Ovulation (gonflement au niveau du ventre) - Mise en présence du couple (déplacement de la femelle dans le terrarium du mâle) - Si la femelle est réceptive: le mâle va faire des soubresauts et la femelle va faire des tremblements et lever la queue.
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Geochelone (Centrochelys) sulcata
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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Geochelone (Centrochelys) sulcata
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Geochelone (Centrochelys) sulcata
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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Une invasion de gènes sauteurs serait à l'origine de la diversité des reptiles L'équipe du professeur Denis Duboule de l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) révèle comment les gènes architectes ont évolué pour former lézards et serpents, en respectant le plan de construction. Parmi les reptiles, ce sont les squamates, soit les serpents et les lézards, qui remportent la palme d’or de la diversité, avec un éventail de morphologies étonnamment variées. Saisir comment le «plan de construction» de ces animaux a évolué pour aboutir à la formation d’organismes aussi différents est un défi que vient de relever une équipe pilotée par Denis Duboule, directeur du Pôle de recherche national Frontiers in Genetics. Dans la revue Nature du 4 mars 2010, les chercheurs révèlent diverses astuces mises au point (Graphie) au cours de l’évolution dans plusieurs groupes de gènes architectes, les gènes Hox. Ceux-ci président à l’organisation des structures du corps durant le développement embryonnaire. Les réarrangements et mutations découverts dans ces gènes permettent désormais de visualiser la transition entre les lézards et les serpents. Les généticiens démontrent également qu’une invasion de transposons, ces gènes capables de se déplacer à l’intérieur du génome, est peut-être à l’origine de la grande souplesse observée dans le plan de construction des squamates. Les quelque 7 000 espèces que regroupent les squamates constituent un groupe d’une immense diversité. On y trouve aussi bien le gecko nain, un lézard lilliputien mesurant seize millimètres de long, que l’anaconda vert, célèbre serpent de neuf mètres. Il en va de même pour le nombre (Un nombre est un concept caractérisant une unité, une collection d'unités ou une fraction d'unité.) de leurs vertèbres, qui peut frôler 400 chez ce dernier. Comment des lignes morphologiques si variées et audacieuses ont-elles pu être esquissées au cours de l’évolution, à partir d’un patron initial commun? La contrainte "espace-temps" Des éléments-clés pour répondre à cette question se trouvent justement dans les derniers travaux d’une équipe pilotée par Denis Duboule, généticien à l’Université de Genève (UNIGE) et à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. Les scientifiques ont notamment démontré comment des modifications de structure et de fonction des «gènes architectes», les gènes Hox, se sont soldées par un remaniement complet du squelette des serpents. Ces gènes orchestrent l’apparition des structures pendant la vie embryonnaire, telles que les vertèbres au sein de la colonne, en assignant à chacune d’entre elles une forme et une localisation précises. La synchronisation des opérations de construction se fait au prix d’une contrainte spatiale et temporelle: les gènes architectes sont en effet placés sur les chromosomes suivant l’ordre dans lequel ils vont s’exprimer. Les premiers seront ainsi actifs plus précocement au cours du développement embryonnaire et s’exprimeront dans les structures les plus antérieures de l’organisme. Un certain relâchement des gènes architectes «Etant donné leurs fonctions à la fois complexes et essentielles, les gènes Hox sont soumis à des règles très strictes. Ce qui, en principe, ne laisse que peu de latitude (La latitude est une valeur angulaire, expression du positionnement nord-sud d'un point sur Terre (ou sur une autre...) pour introduire des modifications drastiques», relève Nicolas Di-Poï, du Pôle de recherche national Frontiers in Genetics. Or, les biologistes ont constaté avec surprise que les segments de génome abritant les gènes Hox étaient bien plus longs chez les squamates que chez les autres reptiles. Ceci provient d’une invasion, massive (Le mot massif peut être employé comme et inattendue, de ces segments par des éléments d’ADN mobiles appelés transposons. Formés de séquences d’ADN capables de se déplacer de manière autonome dans le génome, présents chez tous les organismes vivants, ces «gènes sauteurs» sont considérés comme de véritables moteurs (Un moteur est un dispositif transformant une énergie non-mécanique (éolienne, chimique, électrique, thermique par...) de l’évolution, leur mobilité étant source de mutations. «Cette accumulation de transposons a vraisemblablement facilité les adaptations qui ont accompagné la transition morphologique entre le modèle ressemblant au lézard et celui du serpent, qui s’est fortement allongé», explique Denis Duboule. Une fenêtre d’opportunité s’est présentée au cours de l’évolution du plan de construction des squamates. Il en a résulté un relâchement dans la fonction et la régulation (« Régulation » redirige ici. Pour les autres significations, voir Régulation (homonymie) ) des gènes architectes et un remodelage intégral de la structure des serpents. Comment les serpents ont perdu leur bassin Ces changements se sont accompagnés d’une forte augmentation du nombre de vertèbres chez les serpents et de la disparition de la région lombaire. En effet, chez ces reptiles, toutes les vertèbres portent des côtes, à l’exception de celles du cou et de la queue. «Chez les serpents, les gènes architectes qui interviennent pour bloquer la formation des côtes ont muté. Leur perte d’activité a abouti à une expansion sans précédent de la région thoracique, par manque d’un signal ( Termes généraux Un signal est un message simplifié et généralement codé. Il existe sous forme...) d’arrêt», ajoute Denis Duboule. L’élongation de la région caudale serait due elle aussi à une altération dans les gènes Hox responsables de stopper la croissance de la queue. La surprenante diversité morphologique des reptiles se reflète dans la façon audacieuse avec laquelle ces gènes se sont réorganisés, tout en respectant la contrainte spatiale et temporelle. Il serait intéressant de savoir si la sélection naturelle a exploité une flexibilité similaire dans les mécanismes de développement d’autres groupes de vertébrés. Source:http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=7585
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Soigner par le venin ...
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
Du venin de cobra pour soigner le cerveau Le venin du cobra royal pourrait servir à traiter les maladies neurodégénératives, comme la maladie d'Alzheimer, et la dépendance au tabac, annonce The Straits Times. Des chercheurs du département de sciences biologiques de l'Université nationale de Singapour ont réussi à isoler une des 100 toxines présentes dans le venin du serpent. Baptisée “haditoxine”, cette substance bloque les récepteurs (molécule de réception du message nerveux) nicotiniques de l'acétylcholine (nAChRs). Cela permet de protéger les neurones de la dégénérescence et d'empêcher la fixation de la nicotine. Les propriétés thérapeutiques de la toxine n'ont été expérimentées que sur des rongeurs, et il faudra attendre plusieurs années avant qu'un traitement soit mis sur le marché. Source: http://www.courrierinternational.com/breve/2010/03/08/du-venin-de-cobra-pour-soigner-le-cerveau Article en anglais: King Cobra venom has potential to delay dementia Toxin found in venom can protect nerve cells from degeneration THE bite of the King Cobra, which can bring down an elephant, has been found by Singapore scientists to yield a toxin that could delay the onset of dementia and possibly help against nicotine addiction. The unique toxin was isolated from the more than 100 other toxins that make up the venom of the world's longest poisonous snake. Named Haditoxin by researchers from the Department of Biological Sciences at the National University of Singapore (NUS), the chemical targets specific messages sent by the nerves to the brain. It comes from a toxin family found in almost all venomous snakes around the world, and it blocks specific subtypes of neuroreceptors - the message-receiving chemicals in the brain - protecting nerve cells from degeneration, the main cause of Alzheimer's disease. Snake toxin expert Manjunatha Kini said it is much like how botulinum toxin, popularly known as botox, acts to relax the contraction of muscles by blocking nerve impulses. 'This is where the similarity ends. While there is a need to get another jab of botox after six to eight months, our research has shown that the effects of Haditoxin are irreversible when it comes to binding to the nicotinic acetylcholine receptor (nAChR) in mammals,' he said. This receptor is key in neuron communication. So far, however, the effects of the drugs can be seen only in mice and rats. Professor Kini hopes the protein can be used as long-term therapeutic treatment for dementia in humans. The 10-member NUS team, led by Prof Kini, spent three years intensively researching the compound. They worked closely with counterparts from the School of Medical Science at the Griffith University in Australia, and the University of Geneva in Switzerland on the study. The findings will be published in a peer journal, Journal of Biological Chemistry on Friday. Research is still ongoing and it will be several years before an actual drug is developed for treatment and made available on the market. King Cobras live mainly in the rain forests and plains of India, southern China, and South-east Asia. They can grow to more than 5m and when confronted, raise up to a third of their bodies straight off the ground and still move forward to attack. Their venom is not the most potent, but the amount of neurotoxins they can deliver in a single bite is enough to kill an elephant or 20 people. Haditoxin is the third new compound with therapeutic properties that the team has discovered from the venom of the King Cobra. The other two are Ohanin that could help treat anxiety and �-Cardiotoxin for the treatment of hypertension (high blood pressure). These two compounds are currently being studied to be developed into drugs to treat the two conditions. Prof Kini said the nACh receptors also binds nicotine, making it addictive and the ability of Haditoxins to block these receptors could be an answer to treating the problem of smoking. 'But as the mechanism of action by the toxin is not yet clear, understanding these processes is interesting in terms of research as well as therapeutics,' he added. Source:http://meltwaternews.com/prerobot/sph.asp?pub=ST&sphurl=www.straitstimes.com//PrimeNews/Story/STIStory_499296.html Lien: http://www.jbc.org/content/285/11/e99921.full -
Sénégal : protection des tortues géantes en voie de disparition "Djim" traîne majestueusement ses 100 kg dans les enclos du "Village des tortues de Noflaye", sis à 40 km au nord-est de Dakar. Elle impressionne par sa taille parmi ses 200 congénères dans cet eldorado des chéloniens entretenus par un groupe de jeunes naturalistes sénégalais et des volontaires venus de loin. "La tortue géante sillonnée (du nom scientifique : Geochelone sulcata) est la plus grosse tortue continentale du monde. Commune au début du siècle dernier, elle se fait rare aujourd’hui. Nous sommes là pour la sauver, la protéger et la perpétuer", affirme à Xinhua Benoit Diatta, chef du village, véritable centre de repeuplement de cette espèce animale. En effet, ce type de chélonien ne craint presque rien dans la nature grâce à sa corpulence et surtout à la solidité de sa caparace. Mêmes les animaux féroces comme le tigre et le léopard ne sont pas une menace pour lui. "Le véritable prédateur, c’est l’homme, parce qu’on capture et tue la tortue gérante pour sa caparace, excellente matière pour fabriquer des objets d’art, et aussi pour sa chair dont le prix flambe", déplore M. Diatta. Ce biologiste de 35 ans s’acharne à protéger cette race aminale menacée de disparition, dans la Réserve botanique de Noflaye savamment aménagée pour accueillir de nombreuses tortues adultes rapatriées d’Europe ou redonnées par des particuliers. Les chéloniers se la coulent douce dans ce petit paradis et perpétuent leur lignée. Lorsque leurs rejetons ont l’âge de 13 à 15 ans pour un poids de 10 kg environ, ils rejoindront la grande nature, dans les réserves nationales du nord du Sénégal. Les zones de reproduction, de couveuses, de "nurseries", de soins sanitaires et d’alimentation sont soigneusement entretenues, offrant tout le confort nécessaire à la vie des tortues. Les visiteurs peuvent ainsi assister aux accouplements, au nourrissage et même à l’éclosion de tortues bébés. Par les explications du guide et les panneaux de présentation, ils acquièrent des connaissances sur les différentes étapes de la vie des chéloniens. Pour ne citer que quelques exemples, la tortue mâle a un plastron facilitant l’accouplement qui risque de la faire tomber sur le dos, position de la mort pour ce mastodonte qui, ne pouvant pas se retourner sans aide, s’étouffe sous la pression de ses propres organes sur les poumons situés près de la colonne vertébrale. La femelle, au contraire, a un "ventre" tout à fait plat. Les oeufs de tortue, enfouies dans du sable, éclosent au bout de 110 jours. Mais la température ambiante détermine le sexe des petites. Si la température dépasse les 28 degrés dans les couveuses, les nouveaux-nés sont des mâles et en-dessous, on ne trouvera que des femelles. Créé en 2001 avec le soutien du gérer, le village des tortues de Noflaye collabore également avec certaines organisations internationales dont le Village des Tortues de Gonfaron, en France. Nicola Pigaux et Roselene Pierrefixe, un couple de jeunes volontaires français, arrivés à Noflaye depuis 4 jours, confient au micro de Xinhua que leur séjour d’un mois dans ce centre de protection des tortues leur permettra d’apprendre les connaissances théoriques et pratiques liées à leurs études sur l’environnement et de prendre contact avec la réalité en s’occupant des "locataires" de ce village exotique. Source: http://www.afriscoop.net/journal/spip.php?article1233
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Corallus cropanii (Hoge, 1953) Commentaire L'un des Boidae les plus rares. Seuls trois spécimens ont été collectés. Certains auteurs le considère même comme disparu. Synonymes Xenoboa cropanii Hoge, 1953 Corallus cropanii Kluge, 1991 Répartition géographique Amérique du Sud Brésil (Etat de São Paulo).