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  1. Un serpent des blés endormi au sous-sol Drôle de surprise pour cet habitant de Meusnes (41) : samedi matin, alors qu'il vaquait dans le sous-sol de sa maison, il est tombé sur un serpent endormi qui ne ressemblait ni à la vipère ni à la couleuvre à collier, reptiles plus familiers de nos régions. Il a préféré appeler les pompiers pour qu'ils viennent le capturer. Le reptile, sans doute saisi par le froid, a été capturé sans difficulté et placé dans un carton, puis ramené à la caserne. La douce chaleur des locaux des pompiers l'a progressivement réveillé. Le serpent exotique a pu être identifié : d'une longueur d'environ 50 cm, il s'agissait d'un élaphe-gutatta, une couleuvre également connue sous le nom de serpent des blés (cornsnake). Ce reptile non venimeux se trouve communément dans l'est des États-Unis et se nourrit de rongeurs et d'oiseaux. Réputé docile, il a été adopté par beaucoup d'amateurs qui se procurent ces couleuvres dans des animaleries ou sur Internet. Une fois adulte, l'élaphe-gutatta peut atteindre 1,30 m en moyenne. Celui capturé samedi s'est vraisemblablement échappé de chez un particulier des environs avant de se réfugier dans cette maison pour passer l'hiver. Après avoir informé l'ex-direction des services vétérinaires, les pompiers ont confié le serpent des blés au zooparc de Beauval. Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=41&num=1546686
  2. askook

    Le cerveau des reptiles

    Le cerveau des reptiles Le cerveau des reptiles est petit part rapport à celui des mammifères, souvent pas beaucoup plus gros et parfois plus petit que le cerveau d’un amphibien de volume comparable. Quand on considère les tailles comparées des cerveaux, on doit toutefois se rappeler que cet organe est relativement plus petit, par rapport au corps, chez les grands animaux que chez les petites espèces. Il est important de tenir compte de cette tendance lorsqu’on compare la taille de cerveau chez des membres de différentes classes de vertébrés. Les mesures réelles de la taille du cerveau (et non du poids) sont rarement données. Le cerveau d’un (Lacerta viridis) d’environ 30 cm de long mesure approximativement 13 mm du bulbe olfactif jusqu’à l’extrémité postérieure de la masse cervicale. Chez un crocodile de 100 cm, la longueur du cerveau est voisine de 5 cm, et sa plus grande largeur, au niveau des hémisphères cérébraux, de 2 cm. Cerveau d'un Crocodylus porosus vu du dessus. La voute crânienne ayant été enlevée. cer: cerebellum; ch: hémisphère cérébral; mb: cerveau moyen; me: medulla; ob: lobe olfactif. Le cerveau de la plupart des reptiles ne remplit pas entièrement la boite crânienne, dont il est séparé par la dure-mère ou pachyméninge (membrane dure et rigide qui protège le cerveau et la moelle épinière). Le cerveau des reptiles, comme celui des vertébrés en général, est divisé en trois parties principales, antérieure, médiane (moyen) et postérieure. A chacune d’elles est rattachée une, ou plus, des douze (ou parfois seulement onze) paires de nerfs crâniens. Cerveaux de reptiles. A: cerveau de Sphenodon punctatus vu de gauche avec des portions de l'oeil pinéal, l'hypophyse et les nerfs crâniens. B: coupe transversale d'un hémisphère cérébral de Lacerta viridis C: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Lacerta viridis vu de gauche D: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Anguis fragilis vu de gauche E: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Testudo gracea vu de gauche F: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de LNatrix natrix vu de gauche G: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Anolis garmani vu de dessus H: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Natrix natrix vu de dessus I: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Leptotyphlops humilis vu de dessus J: silhouette schématique montrant les caractéristiques externes du cerveau de Leptotyphlops humilis vu de gauche Boa: bulbe olfactif accessoire; Cd: cortex cérébral dorsal; Cm: cerveau moyen (lobes optiques); Col: cortex olfactif latéral (pyriforme); Op: oeil pariétal (pinéal); To: tige olfactive (pédoncule). Nerfs crâniens: I, II: optiques; III: oculomoteur; IV: pathétique; V: trijumeau; VI: abducteur; VII: facial; VIII: auditif et vestibulaire; IX: glossopharygien; X: vague; XI: accessoire; XII: hypoglosse. Le cerveau antérieur Une grande partie du cerveau antérieur est formée par deux masses renflées symétriques: les hémisphères cérébraux. Ceux-ci sont creux, leurs cavités étant appelées les ventricules latéraux. La surface des hémisphères est lisse, bien qu’il puisse y avoir une ou deux rides faiblement marquées. La partie rostrale de chaque hémisphère se rétrécit en une courte tige qui se renfle ensuite pour former le bulbe olfactif. Ces deux bulbes sont situés juste en arrière du nez, et les fibres des nerfs olfactifs passent dans les fosses nasales. Chez beaucoup de reptiles, il existe un autre petit renflement, le bulbe olfactif accessoire, situé derrière l’organe principal, qui reçoit les fibres du nerf voméro-nasal, provenant de l’organe de Jacobson. L’aspect de la partie antérieure du cerveau diffère beaucoup parmi les reptiles. Chez les lézards, tels qu’Agama et Lacerta, ainsi que chez le sphénodon et les crocodiles, les bulbes olfactifs sont longs et minces. Chez les lézards arboricoles comme Anolis et Chamaeleo, dont l’odorat est peu développé, les bulbes sont très petits et leurs tiges extrêmement minces, au point qu’elles peuvent être confondues avec les nerfs olfactifs. Chez les orvets, ainsi que chez les serpents et la plupart des tortues, qui ont un bon odorat, les bulbes olfactifs sont grands, leurs tiges épaisses et relativement courtes, surtout chez les tortues. Ces différences de proportions du cerveau dépendent probablement des tailles relatives du nez et des yeux, elles-mêmes liées à la structure du crâne. Chez les mammifères, la plus grande partie des hémisphères cérébraux est formée d’une couche de matière grise, le cortex. Beaucoup de fibres sensorielles, provenant des autres zones du cerveau, pénètrent dans cette région, et de nombreuses fibres motrices en sortent et vont directement innerver les muscles du corps et des membres. Le cortex est aussi un centre de coordination de grande importance et il joue un rôle prépondérant dans ce qu’il est convenu d’appeler les facultés supérieures, comme la mémoire et l’acquisition des connaissances. Toutefois, chez les reptiles, les hémisphères cérébraux sont principalement liés à l’odorat. Une petite zone, à la surface supérieure de chaque hémisphère, est souvent considérée comme une amorce du cortex , mais il s’agit là d’une simple hypothèse. L’ablation expérimentale de cette zone chez des lézards ne produit que peu d’effet sur le comportement des animaux et ne semble pas supprimer les réflexes conditionnés antérieurement appris . Toutefois, si les deux hémisphères cérébraux sont très sérieusement endommagé, les animaux deviennent paresseux et ne font que rarement des mouvement spontanés, bien qu’ils soient toujours capables de se déplacer. Ils ne peuvent non plus coordonner les séquence des gestes nécessaires à la capture et à la déglutition d’une proie. Ces effets sont dus à la destruction d’une grande partie de la matière grise connue sous le nom de corpus striatum, qui est bien développée chez les reptiles et forme une masse principale des parois externes et inférieures de chaque hémisphère s’élargissant dans le ventricule latéral. Les corps striés jouent sans doute un rôle important dans les coordinations de comportements instinctifs complexes, tels qu’en manifestent les reptiles quand ils attaquent ou se défendent, ou lors des parades territoriales. Une autre partie du cerveau antérieur, le diencépahle, s’enfonce profondément entre les zones postérieures des hémisphères cérébraux et entoure la cavité du troisième ventricule. L’œil pinéal et l’épiphyse sortent du plafond de cette région, tandis que l’hypophyse ou glande pituitaire fait saillie sur le plancher. Toutefois, seule une portion de cette glande se développe à partir du cerveau de l’embryon. Le lobe antérieur, ou distal, qui intervient dans la régulation de la croissance et de la reproduction, provient d’une invagination de la paroi du pharynx. La zone du cerveau située au-dessus de la tige pituitaire s’appelle l’hypothalamus et joue un rôle dans l’activité sexuelle et le contrôle thermique. Plus haut encore se trouve le thalamus. Le thalamus, de petite taille, est une importante station de relais pour les nerfs sensitifs dans leur trajet des différentes parties du corps jusqu’au cortex cérébral. Les fibres qui en sortent passent pour la plupart par le cerveau moyen et gagnent les corps striés. Le cerveau médian ou cerveau moyen Derrière les hémisphères cérébraux, une autre paire de renflements apparaît sur la partie supérieure du cerveau. Ce sont les lobes optiques du cerveau médian où aboutissent la plupart des nerfs optiques. Ces lobes optiques sont extrêmement développés chez les reptiles tels que les caméléons, dont la vision est particulièrement bonne. Ils sont, au contraire, de petite taille chez les serpents fouisseurs. Le cerveau médian, outre sa liaison avec le système visuel, est aussi un centre général de coordination très important, rôle aussi tenu par les corps striés. Le cerveau postérieur Le cerveau postérieur se compose du cervelet et de la medulla oblongata, qui se continue par la moelle épinière. Le cervelet est petit et ses lobes latéraux sont peu développés. Il est probable que la taille du cervelet des reptiles est liée au fait que leur locomotion n’implique généralement pas un contrôle musculaire soutenu ou une équilibration délicate. Son développement peut, aussi, varier en fonction du mode de vie de l'espèce. La medulla oblongata joue un rôle déterminant dans la régulation et le contrôle des activités internes du corps, par l’intermédiaire du nerf vague qui y est attaché. Ce nerf aux activités multiples innerve le cœur et les poumons, et contient à la fois des fibres motrices et sensorielles. La medulla intervient aussi dans l’audition et dans l’équilibre, puisqu’elle reçoit des fibres en provenance des organes auditifs et vestibulaires de l’oreille interne. La moelle épinière des reptiles se prolonge pratiquement jusqu’au bout de la queue. Elle présente des élargissements cervico-dorsal et lombo-sacrée dans les régions correspondant aux membres antérieurs et postérieurs d’où proviennent les plexus nerveux, Chez les lézards apodes et les serpents, ces élargissements de la moelle épinière n’existent pas, du fait e l’absence ou de l’extrême réduction des plexus des membres. Chez les tortues, la région dorsale de la moelle, située entre les élargissement correspondant aux plexus des membres, est étroite, ce qui semble lié à la réduction des muscles du tronc et peut être aussi à la réduction des fibres nerveuses sensorielles, consécutives au remplacement de la peau par la carapace, bien que celle-ci ne soit pas insensible. Bibliographie Les serpents de R.Bauchot ( Oeuvre collective). Edt Bordas. 1994 Les maladies des reptiles de J.Brogard. Edt du Point Vétérinaire. 1992 Les reptiles de Angus Bellairs. Edt Rencontre. 1971
  3. Des abeilles physionomistes Des abeilles domestiques conditionnées à des tâches simples sont capables de reconnaître l'image d'un visage humain parmi d'autres dessins. On a récemment parlé d'abeilles en liaison avec le « syndrome d'effondrement des colonies », phénomène qui touche plus particulièrement les abeilles domestiques et qui conduit parfois à la disparition massive et brutale d'une colonie toute entière. Les nouvelles fraîchement parues sur ces insectes sociaux sont un peu plus réjouissantes puisqu'elles concernent leurs facultés de perception de l'environnement et soulignent au passage leurs aptitudes cognitives exceptionnelles. Martin Giurfa et ses collègues, du Centre de recherche sur la cognition animale de l'Université de Toulouse, viennent en effet de démontrer que l'on peut apprendre à des abeilles domestiques à reconnaître un visage humain, et plus étonnamment des traits de visages spécifiques. Des expériences préliminaires ont été réalisées en 2005 par Adrian Dyer, de l'Université Monash en Australie. Ce dernier a réussi à ce que les abeilles associent la photographie d'un visage humain à une récompense, en les appâtant avec une goutte d'eau sucrée. Il en a déduit que les abeilles devaient y voir une bien étrange fleur, mais n'a pas poussé l'expérience plus loin. Ces insectes sont-ils capables de discriminer deux photographies qui ne se ressemblent pas du tout ? C'est la question qu'ont soulevée les chercheurs français dans une récente étude. Dans un premier temps, ils ont présenté aux abeilles deux sortes d'images : une émoticône (un smiley) et un ensemble désordonné de traits. Et le conditionnement a commencé : chaque fois qu'une abeille s'approchait de l'émoticône, elle était invitée à goûter un peu de sucre. L'expérience ayant été répétée plusieurs fois, les chercheurs ont ensuite laissé les abeilles évoluer librement autour des deux images. Les abeilles se dirigeaient plus spontanément vers l'image aux traits bien agencés. Ce résultat signifie que ces insectes sont capables de distinguer des modifications fines dans leur champ visuel. Mais sont-elles capables de catégoriser des images qu'elles n'ont jamais vues auparavant ? Dans un second temps, les chercheurs ont mis les abeilles en présence de paires d'images différentes, une photographie d'un visage et un dessin quelconque. Elles étaient récompensées par du sucre si elles choisissaient la bonne image. Après plusieurs essais réussis, les abeilles ont été placées devant une paire d'images jamais vues auparavant. De façon remarquable, elles se sont dirigées vers la bonne, c'est-à-dire la photographie de visage. Au-delà de l'étonnement que suscite ce résultat, on peut se demander comment un si petit insecte, avec un cerveau de la taille d'une tête d'épingle, a de telles capacités cognitives, quand on sait que plusieurs zones cérébrales sont sollicitées chez l'homme pour la reconnaissance faciale. Source: http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-des-abeilles-physionomistes-24272.php Lien pour l'article original: A. Avargues-Weber et al., Configural processing enables discrimination and categorization of face-like stimuli in honeybees, Journal of Experimental Biology, vol. 213, pp. 593-601, 2010. http://jeb.biologists.org/cgi/content/short/213/4/593?rss=1
  4. askook

    La ferme aux crocodiles

    Quelques photos... Photos pour illustration. Source: google Pour plus de photos: http://www.flickr.com/photos/alligatorsalbinosfermeauxcrocodilespierrelatte/ Lien avec une vidéo: http://www.lafermeauxcrocodiles.com/Actualites/Les-Alligators-Albinos-nouveaux-ambassadeurs-de-la-Ferme-aux-Crocodiles-!
  5. Grande-Bretagne : 24 crocodiles vivent dans son jardin Oxford, Grande-Bretagne – Un homme partage sa maison en ville avec sa compagne, ses trois enfants, mais également 24 crocodiles ou alligators. Cet amoureux des reptiles souhaite pouvoir ouvrir un jour un zoo. Shaun Foggett, 30 ans, a toujours été fasciné par les crocodiles. Ce Britannique vit ainsi avec 24 crocodiles et alligators, installés dans un enclos spécial dans son jardin. "Je possède la plus grande collection de crocodiles du Royaume-Uni" dit-il. Parmi ces animaux de compagnie un peu particuliers, on retrouve le caïman noir, le crocodile de Cuba ou l'alligator de Chine. Il espère pouvoir ouvrir prochainement un sanctuaire pour reptiles. Pour cela, il a déjà rassemblé 71.000 euros en deux ans et cherche maintenant le lieu idéal. En attendant de voir son rêve devenir réalité, M. Foggett partage sa maison avec les reptiles, mais également sa compagne et ses trois enfants âgés de six ans, quatre ans et dix-huit mois. Shaun Fogget explique que ses enfants ont toujours été habitués à la présence des reptiles et ne les craignent pas, ajoutant qu’ils vont les observer mais ne s’en approchent tout de même pas. M. Foggett, qui possède une licence pour animaux dangereux, dépense chaque année plus de 9.000 euros pour nourrir ses reptiles. Source: http://www.zigonet.com/crocodile/grande-bretagne-24-reptiles-vivent-dans-son-jardin_art10175.html
  6. askook

    Terrarium en Kit?

    Lorsque j'ai refait ma pièce d'élevage, j'ai voulu investir dans toute une série de terrarium Komat. Mais en voyant ces terrariums chez Melkia et Niji, j'ai été très déçu et j'ai vite laissé tomber. Je ne suis pas sûr non plus, que ces terrariums soient faits pour être démontés et remontés plusieurs fois... Pourquoi veux-tu démonter à chaque déménagement ton terrarium. Un terrarium de 100 x 50 x 50 cm reste d'une taille facilement manipulable à deux et passe largement par une porte, quelque soit l'appartement.
  7. askook

    La ferme aux crocodiles

    Des Albinos à la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte Depuis ce matin, 4 février 2010, la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte présente à ses visiteurs deux alligators albinos. Nés dans la ferme de Gérald Savoie, en Louisiane, ces animaux de 80 centimètres sont d'un joli blanc ivoire avec les yeux légèrement rosés. On recense moins de 20 alligators albinos dans le monde. Aussi, rien d'étonnant à ce qu'ils soient les premiers présentés en Europe. A Pierrelatte, la Ferme aux crocodiles leur a préparé un espace qui rappelle leur Louisiane natale. Ils y retrouvent le bayou avec les fameux cyprès chauves et les cheveux d'ange, ou barbe espagnole (Tillansia usneoides de la famille des Broméliacées), qui les couvrent.
  8. S’inspirant des gouttes de rosée sur les toiles d’araignées, des chercheurs ont créé un fil synthétique capable de retenir une grande quantité d’eau. Le magnifique spectacle des perles de rosée formant des colliers sur les toiles des araignées ont inspiré des chercheurs chinois, intéressés par l’étonnante capacité de ces fils de soie à collecter l’eau. Lei Jiang, du Laboratoire national pour les sciences moléculaires de Pékin, et ses collègues ont percé les secrets de ces fibres et reproduit leurs qualités avec un fil synthétique, expliquent-ils dans la revue Nature publiée ce jeudi. Grâce à la microscopie électronique, les chercheurs de Pékin ont découvert que la soie de l’araignée tisserande Uloborus walckenaerius ressemble à un collier de perles plates serrées sur un fil. Les ‘perles’ sont faites de nanofibres enchevêtrées de façon anarchique. Lorsque la vapeur d’eau commence à se condenser sur ces pelotes, elles rétrécissent, deviennent plus denses et s’aplatissent, prenant la forme d’un fuseau. Les parties situées entre ces pelotes sont différentes : les fibrilles y sont alignées, offrant une surface plus lisse et facilitant le transport de l’eau vers les fuseaux. La forme de ces derniers permet de concentrer de grosses gouttes d’eau, soulignent les chercheurs. L’intérêt de cette collecte d’eau pour l’araignée n’est pas évident. En revanche pour l’Homme un matériau de ce type permettrait, s’il peut être produit et fonctionner à grande échelle, d’améliorer la récupération de l’eau présente dans l’air. Cette technique est utilisée en altitude dans des régions arides, comme dans les Andes chiliennes. Lei Jiang et ses collègues ont franchi un premier pas en mettant au point une fibre artificielle, à base de polyméthylméthacrylate, reproduisant le comportement de la soie de l’araignée. L’une des principales difficultés était de parvenir à produire des fibres assez fines dans des conditions compatibles avec un processus industriel. Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/fondamental/20100204.OBS5900/la_toile_daraignee__une_perle_pour_retenir_leau.html
  9. askook

    Oreocryptophis

    Oreocryptophis Utiger, Schätti & Helfenberger, 2005 Oreocryptophis porphyracea (Cantor, 1839) Sous-espèces Oreocryptophis porphyraceus porphyracea (Cantor, 1839) Oreocryptophis porphyraceus coxi (Schulz & Helfenberger, 1998) Oreocryptophis porphyraceus hainana (Mell, 1931) Oreocryptophis porphyraceus kawakamii (Oshima, 1911) Oreocryptophis porphyraceus laticincta (Schulz & Helfenberger, 1998) Oreocryptophis porphyraceus nigrofasciata (Cantor, 1839) Oreocryptophis porphyraceus pulchra (Schmidt, 1925) Oreocryptophis porphyraceus vaillanti (Sauvage, 1876) Synonymes Coluber porphyraceus Cantor, 1839 Coronella callicephalus Gray, 1853 (fide Boulenger, 1894) Elaphe porphyracea Van Denburgh, 1909 Ablabes porphyraceus Boulenge, 1890 Oreophis porphyraceus Utiger et al. 2002 Oreocryptophis prophyraceus Utiger et al. 2005 Répartition géographique Asie Cambodge, Inde (Etat d'Arunachal Pradesh, Assam, Bengale-Occidental, Sikkim,, Indonésie (Sumatra), Laos, Malaisie (Etat de Pahang et île de Pulau Tioman), Myanmar, Népal, République Populaire de Chine (Sud) [Provinces du Gansu, Hainan, Henan (Nord), Sichuan, Yunnan; Région de Hong Kong, Tibet], Singapour, Taïwan, Thaïlande, Viêt Nam (Nord). Portraits Oreocryptophis porphyracea porphyracea Oreocryptophis porphyracea coxi Oreocryptophis porphyracea kawakamii. Spécimen juvénile Oreocryptophis porphyracea laticincta Oreocryptophis porphyracea pulchra Oreocryptophis porphyracea vaillanti Photos pour illustration. Source: google sauf O. p coxi
  10. Superconda http://www.superconda.com/ Photo pour illustration issue du site
  11. Vidéo d'une ponte d'Achatina reticulata La ponte qui a duré 2 heures, comprend 160 oeufs mesurant de 9 à 11 mm.
  12. Achatina reticulata albinos Photo pour illustration.Source: google
  13. askook

    Xenopeltis unicolor

    Des nouvelles des petits vers de terre...
  14. askook

    Xenopeltis unicolor

    C'est vrai qu'avec le temps, je prends de plus en plus de plaisir à posséder des espèces plus rares en captivité et à leur consacrer plus de temps à affiner leurs conditions de maintenance que d'avoir plein de spécimens qui s'élèvent et se reproduisent trop facilement. En moins de deux ans, nous sommes passés d'un élevage de 150 spécimens à moins d'une cinquantaine. Et cela va encore se réduire...
  15. askook

    Petit monstre

    Cela fait plaisir de voir ton petit monstre...
  16. askook

    Un beau terrarium

    Je trouve ce terrarium bien réalisé et très esthétique... Photos pour illustration. Source: google
  17. Un lien: http://www.petsnails.co.uk/
  18. Pet Snails.co.uk Snail & Slug: Care, Species, Health and much more... http://www.petsnails.co.uk/
  19. Deux beaux spécimens d'Achatina fulica
  20. askook

    Avez-vous déjà vu?

    Un serpent avec des bras.
  21. askook

    Trafic

    En 2001, 2004, 2008 et 2009. En 2008, il est venu avec un éleveur suisse... Source: http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/australiaandthepacific/newzealand/7080799/Reptile-collector-who-smuggled-geckos-in-his-underwear-jailed-in-New-Zealand.html
  22. askook

    Trafic

    On trouve en Nouvelle-Zélande deux genres de geckos (Hoplodactylus et Naultinus) et pour les scinques, le genre est Oligosoma. Mais je ne sais pas quelles espèces de ces genres peuvent atteindre ce prix là, sur le marché de la terrariophilie.
  23. askook

    Taille des proies

    Ton père m'en a parlé hier. Effectivement, tu vas pouvoir passer à la taille supérieure. Je te fais parvenir ce qu'il faut...
  24. askook

    Trafic

    Suite... L'Allemand Hans Kurt Kubus, 58 ans, passera 14 semaines derrière les barreaux et devra avoir payé son amende de 5.000 dollars néo-zélandais (3.200 euros) avant d'être renvoyé dans son pays, a décidé mardi le juge du tribunal d'instance Colin Doherty. Selon l'accusation, il s'agissait du plus grave cas d'atteinte aux espèces protégées recensé dans le pays depuis une décennie ou plus. L'homme n'avait pas choisi n'importe quel lézard, parmi les plus de 3.000 existants. Son choix s'était porté sur deux espèces protégées de geckos et de scinques, d'une valeur de 2.000 euros chacun, sur le marché européen. Il les avait dissimulés dans une poche en tissu cousue à la main. Le trafiquant a admis exploiter certaines espèces sans permis. Il s'était déjà rendu à quatre reprises depuis 2001 en Nouvelle-Zélande. AP
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