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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    De nouveaux terrariums

    Beaucoup de chose ont changé, depuis ces premiers HP. J'ai récupéré 6 terrariums, conçus par Melkia, pour du serpent venimeux. Ils possèdent un tiroir qui se ferme, ce qui permettait de nettoyer le terra, en toute sécurité. Ces terrariums étant maintenant occupés par des Pituophis, les tiroirs servent de cachettes souterraines. Elles sont particulièrement bien appréciées!!!!
  2. askook

    Pituophis vertebralis

    Il n'y a, effectivement, pas beaucoup de "vertebralis" en France. Charlotte Hubbler en possède. Par contre, je ne sais pas si elle les reproduit http://www.westeuropeandrymarchon.com/?lang=fr Pour ma part, j'ai récupéré, en décembre, un couple reproducteur. Même si la femelle est un peu maigre, j'espère avoir une ponte cette année...
  3. Ces deux jeunes femelles arriveront courant mars. Elles changeront de couleur, avec le temps...
  4. askook

    Pituophis vertebralis

    Ils ont quelque âge?
  5. askook

    Pituophis vertebralis

    La saison des accouplements est longue chez les Pituophis... Rien n'est encore perdu!!!!!
  6. askook

    Pituophis vertebralis

    On te fera une commande groupée, Doom, car j'en veux aussi de tes "lodingi"
  7. askook

    Pituophis vertebralis

    J'ai été surpris par la taille des adultes. Je ne voyais pas cette espèce aussi grande...
  8. askook

    Pituophis vertebralis

    Voici le père!!!! Photo de Coyote104
  9. askook

    Quelques photos en vrac

    Jolis projets, Doom!!!
  10. Snake velvet black: Hierarchical micro- and nanostructure enhances dark colouration in Bitis rhinoceros Scientific Reports 3, Article number:1846, doi:10.1038/srep01846 Marlene Spinner, Alexander Kovalev, Stanislav N. Gorb & Guido Westhoff http://www.nature.com/srep/2013/130516/srep01846/full/srep01846.html
  11. Diagnosis of snake envenomation using a simple phospholipase A2 assay Scientific Reports 4, Article number:4827, doi:10.1038/srep04827 Kalana Maduwage, Margaret A. O'Leary & Geoffrey K. Isbister http://www.nature.com/srep/2014/140428/srep04827/full/srep04827.html
  12. Heart rates increase after hatching in two species of natricine snakes Scientific Reports 3 Article number: 3384 doi:10.1038/srep03384 Fabien Aubret http://www.nature.com/srep/2013/131129/srep03384/full/srep03384.html
  13. Il s'appelle Jonathan et il aura 183 ans samedi. Il serait la plus vieille créature terrestre toujours en vie, selon la BBC. Jonathan vit sur une petite île britannique du nom de Saint-Hélène, dans l'Atlantique Sud, au même endroit où est décédé Napoléon 1er. Ils se sont manqués de 11 ans. Cette tortue géante de l'espèce des testudinidae cryptodira a la peau ridée et éprouve des difficultés à avaler, compte tenu de son très grand âge. Lien: http://www.bbc.com/news/magazine-26543021
  14. askook

    Quelques photos en vrac

    Belles espèces et beau spécimen!!!! De la repro, en 2015?
  15. Quand des mouches se mettent à décapiter les fourmis Une nouvelle étude menée sur des mouches du genre Dohrniphora met en évidence un comportement de décapitation de fourmis jamais observé jusqu’à présent. Si un palmarès était dressé pour tous les insectes morts dans d’affreuses circonstances, la fourmi figurerait surement en tête. Cette grande famille d’insectes semble en effet être l’hôte idéale de nombreux parasites. Ces dernières années, les chercheurs se sont beaucoup penchés sur le cas de champignons capables de les transformer en zombies. Plus récemment, une étude menée par des chercheurs du Musée d'histoire naturelle du comté de Los Angeles a mis sur le devant de la scène un bourreau tout aussi redoutable : la mouche experte de la décapitation. De quoi donner la chair de poule. En vérité, ce comportement parasitaire est connu depuis bien longtemps des chercheurs. Il est pratiqué par une famille de diptères répertoriés sous le nom de mouches phorides. A première vue, ces spécimens de moins de 3 millimètres de long semblent inoffensifs. Il n’en restent pas moins particulièrement dangereux pour les fourmis qui croisent leur chemin. Les mouches ont en effet besoin de ces pouponnières vivantes pour incuber leurs œufs et assurer leur descendance. Des pratiques différentes de décapitation 

 La ponte à l’intérieur de la fourmi se fait au moyen d’un appendice en aiguille. Après l’éclosion, les larves migrent jusqu’à la tête de leur hôte. Elles y restent quelques semaines, le temps de se développer en se nourrissant du cerveau et autres tissus jusqu’à ce que la fourmi finisse par succomber. Des enzymes libérées par les mouches finissent par dissoudre la cuticule et faire tomber la tête de l’insecte. 

Toutes les mouches phorides ne procèdent pourtant pas de cette façon. La nouvelle étude, publiée dans le Biodiversity Data Journal, met en effet en évidence l’existence d’une espèce de l’ordre Dohrniphora décapitant ses proies d’une toute autre manière. Dans ce nouveau cas, les fourmis ne sont plus victimes d’un comportement parasitaire mais de prédation. Des "chasseuses de têtes" Les prédatrices en question sont endémiques du centre et du sud de l’Amérique. Les chercheurs les qualifient de "chasseuses de têtes", un surnom qui en dit long sur leurs mœurs redoutables. Leurs cibles sont les fourmis Odontomachus, reconnaissables par leurs énormes mandibules ouvertes leur valant le surnom anglophone de trap-jaw ants, (littéralement "fourmis piège à mâchoire"). La femelle mouche traque ses victimes et sélectionne avec soin les blessées, plus vulnérables. Une fois sa proie repérée, elle s’y accroche et la décapite en coupant le lien reliant la tête au corps à l’aide de ses pièces buccales en pointe. Une fois terminé, la prédatrice emporte avec elle la tête de la fourmi et la dépose dans un endroit isolé pour s’en nourrir et y pondre ses œufs à proximité. Les chercheurs qui ont été stupéfaits par ce comportement ont réussi à l'immortaliser en vidéo. Ils notent toutefois dans leur étude, que la famille des phorides étant extrêmement diversifiée, le mode de vie de nombreuses espèces reste assez méconnue, ce qui n'exclut pas que d'autres mouches soient aussi redoutables avec les fourmis. Source: http://www.maxisciences.com/ Article: http://biodiversitydatajournal.com/articles.php?id=4299
  16. Deux populations de Tupinambis merianaese sont établies dans l'État de Floride, États-Unis. Les impacts sur les espèces indigènes ne sont pas encore très bien connus. Pendant l'été 2013, des caméras ont été placées près d'un nid d'Alligator mississippiensis, de Crocodylus acutus, et de tortues (Pseudemys nelsoni), contenant des oeufs, dans les zones où se trouvent les populations de Tupinambis merianae. L'activité des Tupinambis merianae a été observée, ainsi que la prédation sur les oeufs des crocodiles et des tortues. L'un des deux nids de crocodiliens a été pillés par les lézards. Cela suggère que ces deux populations devraient être encore évaluées, et considérées comme une menace, pour les nids de reptiles en Floride. Source: http://novataxa.blogspot.fr Article: http://link.springer.com/article/10.1007%2Fs10530-014-0730-1 Lien: http://www.sciencedaily.com/releases/2014/06/140605140001.htm
  17. James Ray Dixon est un herpétologiste américain né en 1928 à Houston, au Texas. Dixon a fait ses études à l'université de Brownwood (Texas), avant d'obtenir un doctorat à l'université A&M du Texas. Dixon travaille comme conservateur des reptiles à l'institution des reptiles Ross Allen de 1954 à 1955, puis comme professeur associé à l'école de médecine vétérinaire de l'université A&M de 1959 à 1961. De 1961 à 1965, il est professeur associé du département de la faune sauvage de l'université d'État du Nouveau-Mexique et est consultant auprès du département de la chasse et de la pêche auprès de l'État. De 1965 à 1967, il est conservateur de l'herpétologie à la division des sciences de la vie du Muséum du Comté de Los Angeles en Californie. En 1971, il revient au Texas où il devient professeur de l'université A&M, enseignant les sciences relatives à la chasse et de la faune sauvage. Il publie le premier guide de terre du Texas, intitulé Amphibians and Reptiles of Texas en 1987. Il est professeur émérite à la Texas A&M University, où il travaille principalement sur l'histoire naturelle des amphibiens et reptiles du Texas. Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/James_Ray_Dixon
  18. C'est une première : une étude scientifique vient de prouver qu'un reptile peut apprendre en imitant le comportement d'un congénère. IMITATION. Le dragon barbu (Pogona Vitticeps) , star des terrariums, est au centre d'une étude essentielle pour la connaissance des reptiles. Jusqu'à peu, on ne savait pas si ceux-ci étaient capables d'apprendre par imitation. Cela fut longtemps considéré comme une caractéristique propre à l'espèce humaine, à d'autres mammifères, ainsi qu'à certains oiseaux. Mais rien concernant les reptiles. Le dragon barbu, un fin imitateur Un groupe de chercheurs anglais et hongrois ont réussit à prouver que le dragon barbu était capable d'apprendre en imitant grâce à une simple expérience. Pour cela, ils ont utilisé deux groupes de lézards. Le premier groupe, dit expérimental, rassemblait des reptiles qui se sont montrés capables d'ouvrir une porte après avoir vu un congénère faire de même. Ce dernier avait tout de même été entraîné auparavant par les scientifiques. Les sujets du deuxième groupe, de contrôle, ont eux été incapables d'ouvrir la porte. Et ce, alors qu'ils avaient toutefois vu la porte bouger, mais sans intervention d'un autre lézard. Cognition. Mieux, les chercheurs insistent sur le fait qu'il y a bien imitation et non émulation. Car quand il imite, le dragon barbu ne se contente pas de reproduire le comportement dont il a été témoin. Il comprend le but de ce qu'il imite. À l'inverse, dans le cas de l'émulation, le sujet copie un comportement sans en comprendre le sens. Cette expérience prouve donc que ces reptiles ont des capacités cognitives comparables aux mammifères et aux oiseaux. Une étude novatrice, qui ouvre la voie, on l'espère, à de nouvelles recherches sur les comportements sociaux des reptiles. Source:http://www.sciencesetavenir.fr/ Article: http://kisanna.web.elte.hu/doc/tdk/KisHuberWilkinson2014.pdf
  19. Hiding in plain sight: a new species of bent-toed gecko (Squamata: Gekkonidae: Cyrtodactylus) from West Timor, collected by Malcolm Smith in 1924 Kathriner, A., A. M. Bauer, M. O’Shea, C. Sanchez & H. Kaiser Zootaxa3900 (4): 555–568 http://www.markoshea.info/downloads/kathriner_et_al_2014_cyrtodactylus_celatus.pdf
  20. Pour retourner pondre là où elles sont nées, les tortues utilisent les lignes du champ magnétique terrestre pour se repérer PONTE. "Si ça a marché pour moi, ça devrait le faire pour ma descendance", c'est sans doute ce que se dit la tortue, imagine J. Roger Brothers, de l'université de Caroline du Nord. "La seule façon pour une tortue femelle d'être sûre qu'elle a fait son nid dans un endroit favorable pour le développement de ses œufs est de nidifier sur la plage où elle est née" ajoute-t-il. Mais comment fait la tortue pour la retrouver ? Un peu comme le papillon, elle se sert du champ magnétique terrestre. Les variations du champ les désorientent Des indices indiquaient déjà que les tortues de mer utilisent le champ magnétique terrestre pour s'orienter en plein océan, cependant rien n'était certain concernant leur méthode pour retourner immanquablement sur la plage de leur naissance et y pondre. Une des hypothèses est que les tortues créent une sorte de carte magnétique du lieu, dès leur éclosion, et qu'elle utilise ensuite cette information pour y retourner. Mais difficile de vérifier cette idée dans l'eau. Dans la revue Current Biology, les chercheurs ont testé une méthode ingénieuse pour valider l'hypothèse de la carte magnétique. "Nous avons pensé que si les tortues utilisent le champ magnétique pour retrouver leurs plages natales, les changements qui se produisent naturellement dans le champ terrestre pourraient influencer leurs zones de nidification" explique Roger Brothers. LIGNES. Pour le constater, ils ont analysé une base de données regroupant les lieux de nidifications des tortues le long de la côte Est de Californie, sur 19 années. Ils ont trouvé une forte association entre la distribution spatiale des nids de tortues et les changements subtils du champ magnétique de la Terre. Dans les zones où les lignes du champ magnétique se sont rapprochées, il ont remarqué une concentration de sites de nidification. Et là où elles divergeaient, les nids étaient plus espacés. "Nos résultats prouvent que les tortues utilisent bien une carte magnétique pour retourner là où elles ont éclos", résume Roger Brothers. De quelle façon ? Cela reste encore mystérieux, le chercheur suppose qu'elles possèdent des particules sensibles aux champs magnétiques dans leur cerveau mais aucune preuve n'existe. Source:http://www.sciencesetavenir.fr/animaux/20150115.OBS0057/guidage-magnetique-pour-les-tortues.html Article: http://www.cell.com/cur.../pdf/S0960-9822%2814%2901638-8.pdf
  21. askook

    Paléontologie ophidienne

    Le plus ancien serpent découvert grâce à des recherches de l'Université de l'Alberta Un chercheur de l'Université de l'Alberta, Michael Caldwell, et des collègues de différents pays ont découvert des ancêtres de serpents actuels qui vivaient il y a au moins 140 millions d'années, soit 70 millions d'années de plus que le plus vieux fossile de serpent connu. Le professeur au département de sciences biologiques à l'Université de l'Alberta et ses collègues ont examiné quatre fossiles de cette période. Les quatre anciens fossiles ne sont pas le fruit de nouvelles découvertes sur le terrain. Ils se trouvaient déjà dans les collections de musées où ils avaient été identifiés comme appartenant à des lézards. Ce n'est pas l'absence de pattes qui distingue les serpents des lézards puisque certains serpents ont toujours de petites pattes et certains lézards n'en ont pas. Les scientifiques savaient aussi déjà que les ancêtres des serpents modernes avaient des pattes. Dans cette étude, publiée mardi dans la revue britannique Nature Communications, les chercheurs ont plutôt analysé la mâchoire des fossiles. Ils ont découvert qu'elles avaient certaines caractéristiques particulières associées aux serpents, par exemple les dents et la façon dont la mâchoire est liée au crâne. Contrairement aux lézards qui ont une mâchoire peu mobile, celle des serpents peut s'agrandir et se déformer un peu afin de laisser passer des proies beaucoup plus grosses que la tête de l'animal. Les quatre fossiles étudiés avaient été découverts en Grande-Bretagne, au Portugal et aux États-Unis. Michael Caldwell a expliqué que l'erreur d'identification est compréhensible. Les fossiles n'étaient pas complets et souvent il n'y avait que des fragments de crâne, de côtes ou d'os des hanches. Ils n'étaient pas assez grands pour connaître la longueur ou la forme du corps des animaux. « Je suis presque certain qu'ils [les serpents] avaient 4 pattes. Si c'est bien le cas, ils auraient énormément ressemblé à des lézards. » — Michael Caldwell, professeur au département de sciences biologiques à l'Université de l'Alberta Le chercheur de l'Université de l'Alberta compte aller plus loin dans ses recherches. Michael Caldwell veut trouver des fossiles encore plus anciens qui pourraient permettre de comprendre comment sont apparus les serpents sur Terre. Source: http://ici.radio-canada.ca/regions/alberta/2015/01/27/005-serpent-fossile-alberta.shtml Article: http://www.nature.com/ncomms/2015/150127/ncomms6996/full/ncomms6996.html Lien: http://novataxa.blogspot.fr/2015/01/ancient-snakes.html
  22. http://www.clinvet-auteuil.com/IMG/pdf/determinisme_sexe.pdf
  23. Déshydratation et réhydratation chez les reptiles par L.Schilliger http://www.clinvet-auteuil.com/IMG/pdf/deshydratation_reptiles.pdf
  24. Le squelette et sa pathologie chez les reptiles par C.Depas http://oatao.univ-toulouse.fr/6265/1/depas_6265.pdf
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