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Tout ce qui a été posté par askook
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Pour vendre, en France, un animal classé en Annexe I, né chez soi, il faut transmettre à la DIREN (Direction régionale de l’environnement) les Cites des parents et un certificat de naissance effectué par un vétérinaire praticien, en plus de la copie de son certificat de capacité et des fiches de marquage délivrées par le vétérinaire (elles contiennent le numéro du transpondeur). Le commerce d'un reptile ou d'un amphibien, s’il est né en captivité fait l’objet d’un contrôle. En Europe, on a le droit d’acheter légalement un animal d’Annexe I né en captivité pourvu qu’avec la facture ou le certificat de cession soit remis le document Cites : c’est un papier délivré par l’autorité régulatrice du pays de naissance, au nom de l’éleveur chez qui il est né, possédant son numéro Cites ainsi qu’un code qui correspond à un transpondeur. Ce dernier est remis par l’autorité régulatrice du pays. En France, l’éleveur s’adressera à la DIREN. On lui demandera de justifier l’origine des animaux concernés ainsi qu’une copie de son certificat de capacité. Le Document Cites doit être au nom du dernier propriétaire. Source:http://www.capa-france.com/annexe-i-cites.php
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Pituophis catenifer sayi "kingsville" et "flame"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Création d'un décor de fond pour futur Pogona "Help"
askook a répondu à un(e) sujet de gabetmichael dans Bricolage
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Du venin d'abeille pour lutter contre le sida Une équipe de chercheurs américains a mis au point des nanoparticules chargées d'une toxine provenant du venin d'abeille capable de percer l'enveloppe protectrice de plusieurs virus dont le VIH. Cette technique permettrait encore d'améliorer la prévention contre les infections. Le miel est bon pour la santé, mais les abeilles sont peut-être capables de faire encore mieux. Une équipe de chercheurs américains de la Washington University School of Medicine de St. Louis a utilisé une toxine provenant du venin de l'insecte pour fabriquer des nanoparticules capables de détruire le virus du sida. Cette substance produite par l'abeille et appelée mélitine est un poison capable de percer l'enveloppe protectrice de plusieurs virus dont le VIH. "Nous espérons que dans les zones où le taux de prévalence du VIH est important, les gens pourront utiliser ce gel comme un moyen de prévention pour empêcher l'infection initiale," explique le scientifique Joshua L. Hood. Un gel vaginal serait à l'étude et pourrait limiter le risque de contamination par le VIH. Des "pare-chocs" pour nanoparticules Le principal auteur de cette étude avait déjà démontré que le venin de l'abeille était capable de tuer des cellules infectées par le VIH lorsqu'elle était additionnée aux traitements anti-viraux que nous connaissons aujourd'hui. Il restait cependant un problème : la toxine attaquait également les cellules saines. Joshua Hood a trouvé un moyen de permettre à la mélitine de ne s'attaquer qu'aux nucléoles infectées en équipant les nanoparticules de "pare-chocs" moléculaires. Elles peuvent désormais rebondir sur les cellules normales, qui sont bien plus grandes. Contre l'hépatite B et C ? "La particule que nous utilisons a été développée il y a plusieurs années en tant que sang artificiel" explique Hood, "Elle n'était pas particulièrement efficace pour apporter de l'oxygène dans l'organisme, en revanche elle y circule sans danger et constitue une bonne base pour travailler contre différentes infections." Ces nanoparticules pourraient aussi être utilisées pour lutter contre les hépatites B et C dont les enveloppes protectrices sont elles aussi vulnérables à la mélitine. Alors que ces nanoparticules n'ont pour l'instant été mises à l'épreuve qu'en laboratoire, les chercheurs estiment qu'il serait facile de les produire en grandes quantités. Source: http://lci.tf1.fr/science/sante/du-venin-d-abeille-pour-lutter-contre-le-sida-7875391.html
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Pituophis catenifer sayi "kingsville" et "flame"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Aldabra, atoll paradisiaque et laboratoire naturel Surveillance satellite des tortues Aldabra est également, entre décembre et mars, un lieu de reproduction et de ponte privilégié, dans l'océan Indien, de la Tortue verte (Chelonia mydas), espèce marine menacée. «En février, c'est le pic de la saison de reproduction, tous les jours on enregistre de 30 à 40 traces de tortues vertes qui montent pondre leurs oeufs (...) sur l'île de Picard», une des quatre îles de l'atoll, montre Janske Van de Crommercker, coordinatrice scientifique à la SIF. «La population de tortues de mer est en augmentation, tous les ans on enregistre plus de traces de femelles», notamment grâce à l'arrêt de la pêche du reptile, en vigueur jusque dans les années 1960, explique-t-elle. Un programme de surveillance satellite en temps réel grâce à un émetteur implanté sur six Tortues vertes a permis de constater qu'après avoir pondu, ces tortues repartaient un peu partout dans l'océan Indien. Certaines «partent vers le continent africain, au Kenya, une autre est passée aux Comores et se trouve actuellement à Madagascar et une autre se trouve du côté d'Arros», autre île de l'archipel seychellois, poursuit la scientifique. L'atoll abrite aussi d'importantes colonies d'oiseaux, dont certains viennent s'y reposer au cours de leur migration. Cet écosystème rare, d'une beauté exceptionnelle, a bien failli disparaître dans les années 1970 pour laisser la place à une base militaire américaine, alors que l'atoll était encore l'un des Territoires britanniques de l'océan Indien. L'idée sera finalement abandonnée face aux protestations des défenseurs de la nature et des scientifiques et la base construite sur l'atoll de Diego-Garcia, sur l'archipel des Chagos, 3 000 km plus à l'est. Seule une quinzaine de personnes vivent en permanence sur l'atoll: quatre scientifiques, quatre gardes, du personnel administratif, un cuisinier, etc. L'eau de pluie est récupérée et le soleil fournit l'électricité. L'absence de lignes maritimes ou aériennes limite l'accès des touristes, dont environ un millier se rendent chaque année à Aldabra, dans des conditions très strictes. Seuls de petits groupes de 30 personnes maximum sont acceptés, encadrés par des gardes sur des itinéraires strictement délimités. Il est interdit d'y passer la nuit. Le droit d'entrée, 100 euros par personne, permet de financer la gestion de l'île, mais depuis des attaques de pirates, les touristes se font plus rares, déplore Maurice Lousteau-Lalanne, président de la SIF. Source: http://fr.canoe.ca
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Poecilotheria rajaei
askook a répondu à un(e) sujet de Valko03 dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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C'est parti d'une discussion sur un groupe facebook où un terrario dit qu'il a lu sur des forums que les poils mouillés des rongeurs dégagent un gaz nocif pour les serpents. C'est la première fois que je lisais ça. Cela m'étonne, aussi, beaucoup car je décongèle mes proies à l'eau chaude. Même si je les essuies un peu, elles sont encore, souvent, humides quand je les propose. Maintenant, je suis ouvert à tout et je préfère poser la question au cas où...
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Sur la piste des reptiles et des amphibiens Serpents, grenouilles, lézards..., sachez les reconnaître Françoise Serre-Collet Collection: L'amateur de nature , Dunod/Muséum national d'Histoire naturelle Avril 2013 - 192 pages - 135x210 mm EAN13 : 9782100593842 Pour appréhender la Nature et sa biodiversité, il faut pouvoir reconnaître les espèces qui nous environnent. Les ouvrages de cette collection "les guides de l'amateur" de nature donnent les outils nécessaires aux naturalistes "en herbe" pour initier une collection ou tout simplement mettre un nom sur une découverte. Les serpents aiment-ils vraiment la chaleur? Peut-on voir voler des grenouilles? ces guides de nouvelle génération, publiés en partenariat avec le Muséum national d'histoire naturelle, ouvrent les portes de la nature à ceux qui veulent mieux la connaître. Les ouvrages s'articulent en deux parties. La première donne toutes les clés pour découvrir les caractéristiques anatomiques et comportementales des reptiles et des amphibiens, ainsi que des conseils pour les observer en toute sécurité. La seconde est consacrée à l'identification proprement dite : 80 espèces courantes sont présentées sous forme de fiches. En annexe, un carnet pratique donne les coordonnées d'associations, de parcs naturels, de sites web scientifiques grand public ainsi qu'une bibliographie. Sommaire Avant de partir. Reconnaître les reptiles et les amphibiens. Un reptile c'est quoi ? Un amphibien c'est quoi ? Clé d'identification. 80 espèces sous forme de fiches. Carnet pratique. Glossaire. Index.
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Sept à Huit : Rencontre avec des collectionneurs de serpents dangereux ...
askook a répondu à un(e) sujet de Filoue11 dans Serpents Venimeux
Un journaliste de TF1 poursuivi après un reportage sur des serpents Le mamba noir a voyagé de l’Allemagne à la France dans une boîte en plastique. Quant à l’autre serpent, la vipère du Gabon, il a succombé à une maladie après avoir été enlevé au Pierrelattin. Capture d’écran Le DL/F. Antérion Le reportage, diffusé dans l’émission “Sept à huit” sur TF1, le 29 janvier 2012, avait créé la psychose à Pierrelatte (Drôme). On y voyait un homme - accompagné d’une équipe filmant en caméra cachée - se rendre dans une bourse aux reptiles en Allemagne. Pour acquérir un mamba noir et une vipère du Gabon, deux serpents parmi les plus venimeux au monde. Deux serpents que l’on retrouvait ensuite dans un vivarium au beau milieu de son salon. Le reportage visait surtout à démontrer la facilité avec laquelle la frontière avait été franchie par l’amateur de ces spécimens mortels. Hier, devant le tribunal de Valence, le Pierrelatin de 44 ans, devait répondre de la possession et de l’acheminement d’espèces dangereuses et protégées, Mais il n’était pas le seul impliqué. Le journaliste , auteur du reportage, était poursuivi pour complicité. Si le premier est toujours aussi passionné par les dangereux reptiles, il explique avoir acquis mamba noir et vipère du Gabon uniquement grâce à l’aide du journaliste : “Je n’aurais jamais pu me payer le voyage jusqu’en Allemagne.“ 7 000 € requis contre le journaliste Il “charge” le journaliste qui l’aurait contacté, via une petite annonce passée sur un site web, lui proposant de financer son déplacement pour se rendre à la bourse aux reptiles. Son avocate surenchérit : “la méthode est contestable, on a cherché à faire le buzz en manipulant mon client.” Ce n’est pas du tout la version du journaliste : “J’avais prévu de toute façon de me rendre avec mon équipe en caméra cachée sur le salon. Je lui ai prêté l’une des chambres d’hôtel réservées par la société de production uniquement parce qu’il m’a appelé tard dans la soirée et qu’il prévoyait de dormir dans sa voiture. Pour l’avocate de TF1, “les accusations de sensationnalisme n’ont pas de sens : c’est du journalisme d’investigation !” Pour le ministère public, l’implication du journaliste fait peu de doute, même s’il parle carrément “d’inconscience” pour le Pierrelattin. Il va d’ailleurs requérir 2 mois de prison avec sursis et 1000 € d’amende contre le collectionneur de serpents, et 7000 € d’amende à l’encontre du journaliste. Le jugement sera rendu le 5 avril. Source: http://www.ledauphine.com