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M.viridis, et début de saison des pluies
askook a répondu à un(e) sujet de P. R dans Vos P'tits Virus
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Trois nouvelles espèces de grenouilles découvertes en Papouasie Décrites dans la revue ZooKeys, trois nouvelles espèces de minuscules grenouilles du genre Oreophryne ont été découvertes en Papouasie-Nouvelle Guinée, par un chercheur américain. Oreophryne cameroni Oreophryne parkopanorum Oreophryne gagneorum Deux centimètres de longueur totale, pas plus. Ces trois nouvelles espèces de grenouilles ont été identifiées et décrites par le Docteur Fred Kraus, de l'Université du Michigan. Comme toutes celles de la sous-famille à laquelle elles appartiennent, ces trois espèces vivent en Nouvelle-Guinée. Le genre auquel elles sont rattachées, Oreophryne, est, lui, l'un des plus importants dans la région. Deux espèces dans le même habitat La première espèce, Oreophryne cameroni, habite des chaînes de montagnes isolées le long de la côte nord de la Papouasie-Nouvelle Guinée. Son nom spécifique a été inspiré par celui du Docteur H. Don Cameron, professeur à l'Université du Michigan et collègue du Dr Kraus, à qui ce dernier a voulu rendre hommage. Partageant l’habitat de la première grenouille, la seconde espèce, Oreophryne parkopanorum, doit son nom au village local de Parkop, dont les habitants ont accueilli et aidé le découvreur durant son expédition dans les monts Torricelli. La troisième et dernière espèce, Oreophryne gagneorum, vit sur l'île Rossel, à l’extrême sud-est du pays. O. gagneorum a été nommée en l'honneur de Betsy et Wayne Gagné, des écologistes spécialisés dans les écosystèmes insulaires du Pacifique. Ils font notamment partie des rares chercheurs occidentaux à avoir visité le Mont Rossel, sur l’île du même nom. D'autres espèces à découvrir "La description de ces nouvelles grenouilles porte désormais à sept le nombre d’espèces d’Oreophryne de la région nord des côtes de Nouvelle-Guinée. Mais, la présence, dans ces zones, de spécimens à l'identité incertaine suggère que d'autres espèces attendent probablement d’être décrites. Il y a au moins une douzaine d'autres nouvelles espèces d’Oreophryne à découvrir dans cette région", conclut le Dr Kraus. Source:www.maxisciences.com Article complet en accès libre: http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/5795/5795-G-3-layout.pdf
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Lézards, serpents, iguanes... en France, les reptiles ont leurs fans Les Français, champions d'Europe de la possession animale - un sur deux a un chien ou un chat -, se passionnent aussi pour les reptiles: ils sont 1,3% à vivre avec des serpents, lézards, tortues, caméléons mais certains s'échappent et trouvent refuge à la Ferme Tropicale à Paris. "Je récupère toutes les semaines des serpents échappés que les pompiers m’amènent", raconte à l’AFP Karim Daoues, fondateur de l'animalerie exotique en 1993. "On me confie les animaux pour 10 jours légalement le temps de trouver les maîtres mais je les garde un mois", dit-il Une couleuvre serpent des blés digère une souris dans son vivarium . "Elle a été trouvée par les pompiers à Paris le 19 août et m'a été confiée dans l'attente de la restituer à son propriétaire", raconte M. Daoues . "On récupère surtout des serpents échappés. L'animal ayant une valeur marchande, il n'est quasiment jamais abandonné", témoigne le professionnel animalier. Selon lui, il y aurait quelque 200.000 serpents chez les particuliers. "Les gens prennent un serpent par fascination, l'animal provoque de l'attraction ou de la répulsion". Mais dans son magasin de 700 m2, des milliers d'animaux exotiques, autre que les serpents, sont proposés à la vente: lézards, tortues, iguanes et grenouilles. "Le lézard est considéré d'avantage comme un animal de compagnie, le rapport avec la tortue est liée à l'enfance et pour la grenouille l'approche est écologique", juge-t-il. François Bertholly, 17 ans, observe les iguanes dans leur terrarium qui marchent au ralenti. "Je suis passionné de reptiles depuis tout petit. J'ai une tortue apprivoisée qui vient me voir quand j'arrive", dit le jeune garçon qui fait des études de vétérinaire. "Elle reconnait ma voix!", affirme-t-il. Emmanuel Rivaux s'est découvert, lui, une passion pour les caméléons. "Au début, j'en ai acheté un pour mon fils. J'ai été séduit par cet animal qui demande peu d'entretien et peu de responsabilité émotionnelle mais offre un spectacle au quotidien", commente le pharmacien parisien. Pas de caresses, ni liberté Selon M. Daoues, "les possesseurs de reptiles sont monsieur et madame tout le monde". "C'est une passion qui est urbaine car on est coupé de la nature en ville, la clientèle est masculine. Les reptiles ne doivent jamais vagabonder dans la maison. "Ils ne doivent pas vivre en liberté mais dans un environnent recomposé artificiellement". Ils ne doivent pas non plus être trop manipulés ou caressés, "ce ne sont pas des chiens ni des chats et ça les stresse". Pour dissuader les candidats à l'adoption de reptiles qui peuvent devenir très encombrants, un iguane vert mesurant 1,60 mètre trône à l'entrée du magasin. "C'est un particulier qui nous l'a apporté car il était devenu trop grand. Il est là pour éduquer les gens et leur montrer la place qu'il occupe", explique-t-il. Il faut compter environ 50 euros pour l'achat d'un agame barbu, un des lézards les plus vendus, et 59 euros pour un python royal. Toutefois, il existe de grandes variations, comme pour de nombreuses espèces, l'homme générant des sélections. Un python blanc aux yeux bleus coûte un millier d'euros. Enfin, si on croise un reptile en ville," il faut appeler les pompiers et ne pas essayer de l'attraper", recommande Karim Daoues qui rappelle que "relâcher un reptile dans la nature est une bêtise pour l'animal et l'environnement ". "Il peut occuper une niche écologique prise par une autre espèce. Un poisson relâché dans la Seine, comme le Pacu, n'aurait pas passé l'hiver, il serait mort", affirme-t-il. En 2004, le ministère de l’Écologie a édité une liste d'espèces qui ne peuvent pas être mises en vente libre car considérées comme dangereuses ou invasives, comme le crocodile, le singe ou la mygale. Source: http://www.lanouvellerepublique.fr/
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Deux minuscules tortues, d'une taille aussi grande qu'une pièce de 50 centimes d'euros, ont vu le jour au Sea Life Centre de Birmingham, en Angleterre. Une surprise pour toute l'équipe car elle ne s'attendait pas du tout à voir apparaître du jour au lendemain deux nouvelles arrivantes... La surprise a été grande lorsque les équipes du Sea Life Centre de Birmingham, au centre de l'Angleterre, se sont aperçues de la naissance de deux minuscules tortues - aussi petites qu'une pièce de cinquante centimes -. Et, cette surprise s'est décuplée quand ils ont fait circuler la nouvelle car ces deux tortues sont issues d'une espèce très rare. Les équipes de ce grand aquarium britannique ne s'attendaient pas du tout à cette nouvelle présence car elles n'avaient remarqué aucune présence d'œufs. "La première fois que nous nous en sommes aperçus, c'était un matin lorsque nous avons remarqué que deux nouvelles arrivantes étaient en train de nager dans leur aquarium" a expliqué Graham Burrows, soigneur au Sea Life Centre de Birmingham, relayé par Metro UK. Effectivement, la mère tortue aurait décidé de ne pas dévoiler ses œufs aux soigneurs. Graham Burrows pense alors que celle-ci les aurait cachés dans le sable à l'extrémité de l'aquarium avant qu'ils n'éclosent. Une espèce menacée Ces tortues sont de l'espèce des Chelodina mccordi également connues sous le nom de "Snake Necked Turtles", comprenez les "Tortues au cou de serpent". Comme ce dernier nom l'indique, ces reptiles marins (la Chelodina mccordi est une espèce de tortue d'eau) présentent un cou très long ressemblant alors à un serpent. Elle fait partie des espèces les plus rares au monde. La naissance de ces deux tortues au Sea Life Centre de Birmingham augmente sa population captive qui atteint désormais les 250 individus à travers le monde. "C'est beaucoup plus que la population sauvage" a souligné Graham Burrows. Des tortues victimes du marché domestique Effectivement, ces tortues vivent aux alentours de l'île de Rote (ou Roti) appartenant à l'archipel indonésien. "Ces espèces sont confinées à une zone très restreinte, l'île de Rote en Indonésie, et elles sont réputées pour être chassées de leur environnement naturel pour, ensuite, être vendues au marché domestique" a précisé le soigneur. Toutefois, ce dernier a tenu a indiqué que depuis 2011, une loi les protège afin d'espérer une repopulation d'ici quelques années. Une hypothèse concernant les deux nouvelles circule actuellement. Il est, en effet, question de savoir si elles seront introduites dans leur environnement naturel "afin de donner une nouvelle espérance de vie à cette espèce" a conclu Graham Burrows. Source: http://www.gentside.com
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Une organisation non gouvernementale, basée à Madagascar, a annoncé la création d’un centre d’élevage des amphibiens en captivité, afin de préserver les espèces menacées comme les grenouilles rouges dites Mantella. Face au danger qui guette les amphibiens dans leur habitat naturel, l’association environnementale Mitsinjo a tissé d’étroites relations de collaboration avec des chercheurs scientifiques malgaches et étrangers afin de créer un centre d’élevage des amphibiens en captivité à Andasibe sur la Grande île. « Il s’agit d’un premier laboratoire de sauvegarde national des amphibiens surtout le Mantella aurantiaca ou grenouille rouge critiquement en danger. C’est une conservation totale à la différence des parcs (zoologiques) de Tsimabazaza et de Mandraka qui sont destinés à l’écotourisme », explique Jean Noël Ndriamiary, le président de l’ONG Mitsinjo, qui est affiliée à l’Alliance Voahary Gasy, selon Midi Madagasikara. Les grenouilles, qui forment exclusivement la famille des amphibiens existants à Madagascar, sont menacées suite à la destruction de leur milieu naturel, souvent en proie aux feux de brousse ou cultures sur brulis et des déversements de toutes sortes de déchets par les humains, précise le quotidien malgache. Autre menace, l’existence d’une maladie appelée ‘chytrid’, découverte en 2007, et qui affecte la population des amphibiens, dont les grenouilles en Afrique. Avec la création de ce centre d’élevage, huit espèces de grenouilles, dont l’une est très menacée, à savoir le Mantella, pourront vivre en lieux sûrs, à l’abri de toute invasion extérieure. « De nombreux partenariats avec des chercheurs scientifiques dans le monde se sont multipliés après la découverte de la maladie ‘chytrid’ en Afrique. Nous travaillons maintenant avec ASG (Amphibiens Specialists Group) pour la collecte des données scientifiques et le renforcement des études sur les amphibiens », poursuit Jean Noël Ndriamiary dans les colonnes de Midi Madagasikara. Parallèlement, l’association Mitsinjo « œuvre pour la restauration forestière » afin de reconstituer l’habitat de ce type de faune. Au cœur du nouveau centre d’élevage mis en place à Andasibe, « on y trouve actuellement 158 grenouilles avec une génération de 380 petites grenouilles en l’espace d’un an », détaille Rakotoarisoa Justin Claude, un technicien du laboratoire. Avant l’introduction des grenouilles, « nous avons tout d’abord effectué la reproduction des insectes comme les drosophiles, les criquets et les fourmis de générations en générations pour leur servir d’alimentation, suite au partenariat avec des chercheurs internationaux », enchaîne le scientifique. L’organisation non gouvernementale concentre ses efforts dans la vulgarisation de l’éducation environnementale auprès de la population, car selon elle, « le rôle joué par les grenouilles dans l’équilibre de l’écosystème reste encore méconnu » par le grand public. « A la différence des autres animaux, les grenouilles respirent par leur peau qui est perméable. Elles ont en plus deux modes de vie, puisqu’elles vivent sous l’eau pendant la période de reproduction. Leur présence dans un quelconque endroit permet ainsi de réduire le paludisme et le choléra », conclut Rakotoarisoa Justin Claude, qui met en avant l’importance de la conservation de la biodiversité à travers la gestion durable des ressources naturelles. Source: http://www.linfo.re
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Y a-t-il un crocodile dans les égouts de Paris ? Légende ou fait divers ? Un crocodile se baladerait dans les égouts de la ville. France 2 a enquêté. C'est une des légendes les plus connues dans la capitale. Un crocodile se baladerait tranquillement dans les égouts de Paris. France 2 est parti, mercredi 7 août, à la recherche de cet animal plus ou moins fabuleux, en plongeant sous la ville. La caméra des journalistes filme quelques spécimens inquiétants, comme des araignées aux longues pattes, mais point de crocodiles... Les égoutiers ont quand même fait de drôles de rencontres, six pieds sous les pavés. "J'ai entendu parler d'un essieu de train qui aurait été trouvé dans le nord de Paris. On trouve de tout, sinon : chiens, chats, bijoux". Un commerçant met les équipes de France 2 sur une nouvelle piste : la légende du crocodile remonterait à 1984. Changement de cap et direction les archives. Le secret du crocodile y est-il dévoilé ? Réponse dans cette vidéo. Vidéo: http://www.francetvinfo.fr/decouverte/bizarre/video-y-a-t-il-un-crocodile-dans-les-egouts-de-paris_385997.html
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Les tortues de mer avalent de plus en plus de déchets
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Les tortues vertes, une espèce en danger, sont de plus en plus nombreuses à ingérer en mer des déchets rejetés par l'homme, voire des sacs plastiques avec lesquels elles peuvent s'étouffer, indique une étude australienne. Selon cette étude, publiée dans la revue scientifique Conservation Biology, six des sept espèces de tortues marines ingèrent des débris rejetés par l'homme et toutes les six sont classées comme vulnérables ou en danger. "Pour la tortue verte, la probabilité qu'elle ingère des déchets a quasiment doublé en 25 ans", a déclaré à l'AFP Qamar Schuyler, qui a piloté la recherche à l'université du Queensland. "Les tortues vertes en particulier en ingèrent beaucoup plus qu'auparavant", puisque la probabilité est passé de 30% en 1985 à près de 50% en 2012. Pour parvenir à ces statistiques, l'équipe de recherche s'est appuyée sur 37 études publiées de 1985 à 2012 et qui détaillent des données collectées depuis 1900 sur le contenu des estomacs de tortues. Adultes, les tortues vertes mesurent plus d'un mètre et certains specimens atteignent 1,50 m. Leur espérance de vie est de 80 ans. Les débris en plastique avalés par erreur par les tortues et autres animaux marins peuvent les tuer, en bloquant leur estomac ou en perçant leurs intestins. Ces déchets peuvent aussi libérer des toxines dans le corps de l'animal et affecter par exemple son cycle reproductif, selon Qamar Schuyler. Source:http://www.tele-animaux.com Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/cobi.12126/pdf -
Pituophis catenifer sayi "kingsville" et "flame"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Pituophis catenifer sayi "kingsville" et "flame"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Les crocodiles et les alligators aiment aussi les fruits
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Manger des fruits est bon pour la santé, chez l’Homme… comme chez les crocodiles et les alligators ! En effet, plus de la moitié des espèces de crocodiliens en consommerait régulièrement, participant ainsi à la dissémination des graines de certaines espèces végétales. Les crocodiles, les alligators et les gavials appartiennent à l’ordre des crocodiliens, un groupe apparu au Trias supérieur, voici 230 millions d’années. Pour le commun des mortels, ces animaux sont perçus comme de redoutables prédateurs aquatiques carnivores, de bons nageurs et, pour certains, de performants apnéistes (jusqu’à une heure sans respirer). Mais derrière ces termes accrocheurs pourrait bien se cacher une autre réalité. Une nouvelle étude parue dans le Journal of Zoology a révélé une part mystérieuse de ces vertébrés. Le document coécrit par Steven Platt, de la Wildlife Conservation Society (WCS), fait le point sur le régime alimentaire des 23 espèces de crocodiliens en vie de nos jours. Cependant, ce n’est pas l’aspect « carnivore » qui a fait l’objet des attentions, mais bien leur penchant « frugivore ». Oui, les crocodiles et les alligators aiment la viande, mais ils consomment aussi des fruits ! Les chercheurs ont compilé des données en parcourant la littérature scientifique, mais pas uniquement. Ils ont aussi tenu compte d’observations et d’analyses réalisées sur des alligators d’Amérique (Alligator mississippiensis) qui vivent dans le parc national des Everglades (Floride, États-Unis). Résultat : plus de la moitié des espèces (52,1 % des cas) ingère régulièrement des fruits, pour la plupart charnus. Les crocodiles disséminent des graines Des fruits ont déjà été trouvés, souvent en quantité, dans les estomacs de crocodiliens appartenant à 13 espèces différentes. Mais, pour être honnête, les chercheurs n’ont obtenu les informations requises que pour 18 d’entre elles (sur les 23 connues). Dans ce cas, le pourcentage d’espèces partiellement frugivores monte à 72,2 %. C’est à ce moment que commence le débat : ces reptiles mangent-ils les fruits volontairement ou non ? En effet, les organes végétaux pourraient avoir été ingérés par une proie, qui s’est ensuite fait attraper par un reptile. Les crocodiliens sont des animaux secrets principalement actifs au crépuscule ou la nuit, ce qui explique partiellement le peu d’informations dont on dispose sur leurs habitudes. Nous manquons d’observations. Cependant, la revue New Scientist rapporte qu’un chercheur du sud-est asiatique aurait vu un crocodile de Siam (Crocodylus siamensis) se nourrir d’une pastèque en 2012. Cette étude souligne également un point mis de côté par la communauté scientifique : la saurochorie. En d’autres mots, il s’agit du transport et de la dissémination de graines par des reptiles. En mangeant des fruits, les crocodiles et les alligators accumulent des semences qu’ils vont transporter avec eux, puis déposer à distance. Ils pourraient ainsi participer à la propagation de certaines espèces végétales, et ce processus serait loin d’être négligeable. Notons tout de même qu’aucune plante ne voit sa survie dépendre des crocodiliens, ce qui explique peut-être le manque d’intérêt que la saurochorie suscite. Visiblement, la règle des cinq fruits et légumes par jour ne s’applique pas qu’à l’Homme ! Source: http://www.futura-sciences.com -
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
La Madeleine : un serpent retrouvé dans une salle de bains Un serpent vient d’être retrouvé, ce samedi, dans la salle de bains d’un appartement de La Madeleine, rue de Flandre. Il s’agit d’un serpent des blés, heureusement inoffensif. Niché au septième étage de l’immeuble, le petit reptile est aperçu par Chantal, la locataire qui partait faire sa toilette. « J’ai hurlé, je suis sorti de la pièce et j’ai tout de suite appelé le 18 », raconte-t-elle, tremblant encore de tous ses membres. À son arrivée, le lieutenant Serrure tente de faire entrer l’animal dans une bouteille en plastique, mais sans succès. « Il a essayé de se sauver, alors je l’ai attrapé par la tête », décrit-il calmement. Le serpent aux teintes marron et orange est ensuite placé dans une boîte par le chef de centre des pompiers de La Madeleine. Quelques petits trous pour qu’il puisse respirer, et le lieutenant emmène la bête dans un centre vétérinaire dédié aux nouveaux animaux de compagnies de la métropole lilloise, à proximité du centre hospitalier. Le serpent est pris en charge par le Docteur Frédéric Vlaemynck. Verdict ? « C’est un petit élaphe. Il n’est pas venimeux. » Ce serpent des blés, aussi appelé couleuvre des blés, mesure 75 cm. Un petit « examen clinique » indique qu’il est en bonne santé. « Il vit la plupart du temps aux États-Unis, précise le vétérinaire. Là-bas, on l’appelle le corn snake. C’est un serpent de faune captive, qu’on achète dans les commerces spécialisés. C’est le serpent le plus détenu en France. » Comment s’est-il retrouvé chez une habitante de La Madeleine ? « Il s’est très certainement échappé de son vivarium, présume le docteur. Ces serpents portent rarement des puces, donc il sera difficile de retrouver son propriétaire. Si ce dernier se manifeste, nous vérifierons qu’il lui appartient et nous lui redonnerons. » Si personne ne vient le réclamer, il faudra alors lui trouver un nouveau maître. Mais cette fois-ci, être plus précautionneux. À terme, le serpent des blés peut atteindre entre 1 m 20 et 1 m 80 de longueur. Et après l’énorme frayeur subie par Chantal, cette Madeleinoise ne veut certainement jamais recroiser le chemin du reptile. Une chose est sûre, ce ne sera pas elle, la future propriétaire. Source: http://www.lavoixdunord.fr -
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Publications scientifiques 2013 (Ophidiens)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Articles scientifiques
Proteomic comparison of Hypnale hypnale (Hump-Nosed Pit-Viper) and Calloselasma rhodostoma (Malayan Pit-Viper) venoms Journal of proteomic A. Ali, Kate Baumann, Timothy N.W. Jackson, Kelly Wood, SteveMason, Eivind A.B. Undheim, Amanda Nouwens, Ivan Koludarov, IwanHendrikx, Alun Jones & Bryan Grieg Fry http://www.academia.edu/4161037/Proteomic_comparison_of_Hypnale_hypnale_Hump-Nosed_Pit-Viper_and_Calloselasma_rhodostoma_Malayan_Pit-Viper_venoms -
Python regius - Atlas of colour mophs keeping and breeding Stephan Broghammer est le plus grand expert allemand en matière d’élevage de pythons royaux. Depuis de nombreuses années, il importe directement d’Afrique de nouvelles formes potentielles et uniques destinées à la sélection. Il est également connu pour ses observations des serpents en milieu naturel. Il est considéré comme un pionnier dans la création de phases. Avec cet atlas, Stephan Broghammer, ne présente pas seulement en détail les conditions préalables au maintient et à la reproduction des pythons royaux mais dresse aussi un portrait exhaustif de toutes les phases disponibles à ce jour. La qualité iconographique (1135 photos), fait de cet atlas unique et exceptionnel une acquisition indispensable pour les amateurs curieux de beaux animaux. Format 27,5 X 22 cm - 355 pages - 1135 photos couleurs - Ouvrage en anglais