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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. mer... 18 oeufs!!! Pour une première ponte? Pas possible, c'est l'air marin de par chez toi, qui les rend aussi prolifiques...
  2. Mme a intégré la boite de ponte...
  3. Des cobras tuent au moins 60 Irakiens Des cobras, espèce de serpent très venimeuse, ont tué au moins 60 personnes dans la ville de Sid Nahil, en Irak. Ces derniers jours, des cobras ont littéralement envahi la ville de Sid Nahil, dans le sud de l’Irak. Ce sont les fortes chaleurs qui ont fait sortir les reptiles de leur trou, rapporte Guysen News. Cette dramatique attaque a déjà fait au moins une soixantaine de morts. Les serpents se sont introduits dans les maisons et établissements de la ville, s’attaquant à tout ce qui bouge et faisant énormément de dégâts. Selon Al-Arabiya, les médicaments et répulsifs nécessaires pour contrer ces attaques n’ont toujours pas été fournis par le gouvernement. Les reptiles font partie des espèces animales les plus dangereuses pour l’homme. Le cobra royal asiatique, dont le venin est mortel, se trouve parmi les plus dangereux. Source: http://www.directmatin.fr
  4. askook

    Bogertophis subocularis

    Je n'arrive pas à comprendre pourquoi cette espèce est si peu présente dans les élevages français. Elle a tout pour plaire...
  5. Tinkerbella nana, une nouvelle espèce d’insecte découverte au Costa Rica Des chercheurs canadiens et britanniques ont publié dans le Journal of Hymenoptera Research la description d’un minuscule insecte hyménoptère d’une nouvelle espèce et d’un nouveau genre, qu’ils ont découvert dans la jungle costaricienne. "Pouvez-vous imaginer trouver quelque chose de moins de 0,2 mm dans une ‘soupe’ de 250 ml qui comporte beaucoup de débris végétaux et d’autres insectes mesurant jusqu'à 8 mm de long ? C’est à peu près équivalent à trouver une seule aiguille dans 200 meules de foin !... Ce qui m'a le plus surpris, c'est que j'ai trouvé beaucoup d'entre eux", commence le Dr John Noyes, entomologiste au Muséum d'histoire naturelle de Londres. Lui et son confrère le Dr John Huber, de la Collection nationale canadienne d'insectes, ont pris dans leurs mini-pièges, au Costa-Rica, des spécimens d’un minuscule insecte jusqu’alors inconnu de la Science. Il s’agit d’un hyménoptère (le groupe zoologique rassemblant entre autres fourmis, guêpes et abeilles) de la famille des Mymaridae, mais d’un genre et d’une espèce entièrement nouveaux, que les chercheurs ont baptisé Tinkerbella nana. Un insecte 2,5 fois plus large qu'un cheveu Signe particulier : sa taille, qui n’excède pas 250 micromètres, soit 2,5 fois la largeur d'un cheveu humain. L’animal est cependant plus grand que son cousin kikiki Huna, de la même famille - le plus petit insecte ailé, avec 158 micromètres de long. "Cette découverte montre vraiment comment la vie des insectes est diversifiée sur cette planète et combien il y a à découvrir, en particulier sous les tropiques", conclut le Dr Noyes. Source:www.maxisciences.com Article: http://www.pensoft.net/journals/jhr/article/4663/a-new-genus-and-species-of-fairyfly-tinkerbella-nana-hymenoptera-mymaridae-with-comments-on-its-sister-genus-kikiki-and-
  6. askook

    Gekko

    Volume.3, Issue.2 http://www.yale.edu/eeb/ugrad/eeb171pdfs/gekko_3_2_Greg.pdf
  7. askook

    Gekko

    Volume.3, Issue.1 http://www.srilankanreptiles.com/downloads/endemic_geckos_of_sl.pdf
  8. askook

    Gekko

    Volume.2, Issue.2 http://www.livefoods.com.au/image/data/PDFs/gekko_4,_i-8.pdf
  9. askook

    Gekko

    Gekko The journal of the global gecko association http://www.gekkota.com/
  10. Nouvelle espèce de Bothriechis, originaire du Nord de l'Honduras. Article (en accès libre): http://www.pensoft.net/J_FILES/1/articles/4834/4834-G-3-layout.pdf
  11. Des chercheurs de l'Université de Californie du Sud cherchent actuellement à comprendre le processus permettant à certains animaux de renouveler leurs dents, en étudiant plus en détail la dentition des alligators. Ces travaux pourraient servir dans de nombreux traitements dentaires chez l'homme... Voici une découverte qui pourrait mettre les dentistes sur la paille. Au cours d'une étude récemment publiée, des chercheurs de l'Université de Californie du Sud ont réussi à percer quelques uns des secrets du processus qui permet aux alligators de renouveler leurs dents. Une trouvaille qui pourrait servir dans les traitements dentaires humains, afin de remplacer des dents tombées ou encore en surnombre. L'alligator a été choisi pour son impressionnante capacité à renouveler sa denture. En effet, le reptile collectionne 2.000 à 3.000 dents tout au long de sa vie, pouvant les renouveler une cinquantaine de fois chacune. Mais il n'est pas le seul : plusieurs autres reptiles et mammifères peuvent également faire de même lorsque l'Homme lui, ne renouvelle ses dents qu'une fois. Mieux comprendre le mécanisme de renouvellement Durant leurs travaux, les chercheurs ont utilisé un scanner et réalisé plusieurs analyses moléculaires la mâchoire et la dentition des alligators. Ceci leur a permis de mettre en évidence le tissu où se trouve la lame dentaire, cruciale au développement de la dent chez l'alligator. Puis en étudiant la mitose aux différentes étapes ainsi que la formation répétitive des dents, les Américains ont commencé à mieux comprendre le mécanisme de renouvellement. Au premier stade de développement, la dentine, matériau qui constitue en majorité la dent, forme une sorte de gonflement à l'extrémité. D'après les chercheurs, ceci serait en fait des cellules souches dormantes. Puis lorsque l'alligator perd une dent, certaines protéines seraient libérées pour activer ces cellules. Entrant rapidement en action, ces dernières déclencheraient alors le développement d'une nouvelle dent. Un processus que les chercheurs ont pu observer et qui s'est produit même quand la dent était volontairement enlevée. Or, la dentition de l'animal présente la même organisation que celle des mammifères à savoir un double palais et des os dentaires creux. Les scientifiques suggèrent donc qu'un tel processus pourrait peut-être avoir lieu chez l'homme, à condition d'avoir les acteurs nécessaires pour qu'il se déclenche. Un processus possible chez l'homme ? Au vu de notre étude, "il est peut-être possible d'identifier le réseau régulateur du cycles des dents", autrement dit, les protéines et les cellules qui interviennent dans le renouvellement des dents, expliquent le professeur Cheng-Ming Chuong et ses collègues dont l'étude est publiée dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences. Ce savoir pourrait alors permettre "de réveiller les cellules souches latentes dans les restes de lame dentaire humaine afin de redémarrer un processus normal de renouvellement chez les adultes qui ont perdu une dent de stopper le développement incontrôlé de dent chez les patients possédant des dents surnuméraires", ajoutent-il encore cités par News.discovery. D'ailleurs, des essais sur l'humain seraient déjà en cours après que des expériences de repousse de dents ont fonctionné chez la souris et le singe. Mais au risque de décevoir, bien que cette découverte constitue une remarquable avancée dans le domaine, il faudra encore de nombreuses années de recherche avant de pouvoir un jour, envisager de remplacer le dentiste. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://www.pnas.org/content/early/2013/05/08/1213202110.abstract?sid=722535d8-2df5-40a2-8cff-0eb30708f31a
  12. askook

    Camouflage

    Pour se camoufler, une vipère du Gabon (Bitis rhinoceros) utilise les nanotechnologies La vipère du Gabon de l'Ouest utilise sans le savoir les propriétés des nanotechnologies pour mieux se camoufler sur le sol recouvert de végétation de son milieu naturel, ont révélé jeudi des chercheurs. Selon eux, les nanostructures qui recouvrent les écailles d'un noir profond formant les taches typiques de la vipère "Bitis rhinoceros" pourraient même contribuer à fabriquer un matériau miracle pour absorber la lumière. Ces taches d'un noir velouté, qui s'entremêlent avec des écailles blanches et brunes sur le dos de la vipère, ne reflètent qu'une infime partie de la lumière qui leur parvient, créant un contraste qui permet à l'animal de se fondre parfaitement dans son décor végétal. Une équipe des universités allemandes de Kiel et Bonn a découvert le secret de cet "ultra-noir": des microstructures en formes de feuilles très serrées en recouvrent les écailles, et sont elles-mêmes hérissées d'arêtes nanométriques (un nanomètre est équivalent à un milliardième de mètre). Et c'est cette combinaison de structures minuscules pointant selon des angles différents qui éparpillerait et piégerait aussi bien la lumière, estime l'étude publiée dans la revue britannique Nature Scientific Reports. "La structure produisant cet effet de noir velouté pourrait aussi être appliquée à d'autres matériaux", écrivent les chercheurs. Ils pourraient par exemple s'avérer très utiles pour des systèmes optiques ou capturer la chaleur du soleil. Certes, il existe déjà des surfaces artificielles "ultra-noires" plus sombres que les taches de la vipère, mais elles pourraient encore être améliorées si on leur adjoignait la nanotechnologie dont la Nature a doté le serpent, estime Marlene Spinner, zoologue à l'Université de Bonn, interrogée par l'AFP. Source: http://www.leparisien.fr Article (en accès libre): http://www.nature.com/srep/2013/130516/srep01846/full/srep01846.html
  13. askook

    Ammener mon elaphe en guyane !

    Voici déjà un lien concernant les douanes. http://www.douane.gouv.fr/page.asp?id=50
  14. askook

    Ammener mon elaphe en guyane !

    Hello, comment se porte ta "gutt"? As-tu quelques photos à mettre sur Reptil-Virus? Pour ta question, je vais faire des recherches...
  15. askook

    1 an ou 2 ans ?????

    Et pour compléter les infos au niveau de la taxonomie: - les noms scientifiques ne prennent jamais d'accent - le genre commence toujours avec une majuscule - l'espèce commence toujours avec une minuscule - et tout cela en italique Cela donne, Pantherophis guttatus...
  16. Les Etapes du Développement d'un Amphibien : Le xenope (Xenopus laevis) Chez les vertébrés, les études sur le développement embryonnaire commencées à la fin du 19 ème siècle se sont rapidement appliquées à de nombreuses espèces. C'est ainsi que chez les Amphibiens, des tables de développement ont été élaborées pour différentes espèces d'anoures et urodèles. Aujourd'hui, l'accumulation des connaissances tant morphologiques que cellulaires et moléculaires ont fait émerger une espèce d'amphibien devenue privilégiée. Il s'agit du crapaud sud-africain Xenopus laevis ou xénope appelé par les anglo-saxons clawed toad (le crapaud à griffes) et utilisé par tous les laboratoires de recherche fondamentale travaillant sur le développement des amphibiens. Le genre Xenopus comprend de nombreuses espèces et sous-espèces réparties en Afrique du sud et de l'est. L'espèce communément utilisée en laboratoire (Xenopus laevis) est originaire d'Afrique du sud. Une espèce naine (Xenopus tropicalis) existe également en Afrique équatoriale de l'ouest. D'une manière générale, le xénope s'élève facilement en laboratoire et se reproduit abondamment. Pour la commodité de l'analyse, le développement du xénope est subdivisé en stades qui se caractérisent par des événements morphologiques, cellulaires et moléculaires. En réalité, le développement embryonnaire est un continuum où l'ensemble de ces événements se déroule dans un ordre précis. Cet ordonnancement résulte de l'expression de gènes selon un programme génétique du développement. Dans ses grandes lignes, le développement embryonnaire du xénope est similaire à celui des autres espèces d'amphibiens étudiées (voir "Le Cycle du Xénope"). Cependant, quelques particularités le distinguent du développement d'autres amphibiens. Celles-ci seront signalées le moment venu. Dans ce site nous vous présentons ces différentes étapes illustrées par des images prises in vivo. Des séquences animées viennent renforcer l'explication de certains événements embryonnaires. Pour certains aspects cellulaires, des exemples sont pris chez d'autres espèces d'amphibien sachant qu'ils sont transposables chez le xénope. Enfin, des coupes histologiques ainsi que des schémas explicatifs étayent notre propos. certaines animations sur Flash 4 ont été réalisées par Hélène Hubert au laboratoire, l'histologie par Nicole Perret au service d'enseignement de Biologie du Développement. Certaines images et animations ont été prises par l'auteur, dans le cadre d'un tournage cinématographique sur le développement du xénope, au Service du Film de la Recherche Scientifique ( L'OEUF DE BATRACIEN - SFRS - UPMC - CNRS I/M - 2003). Source: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/index.htm Les gamètes: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/xenope1.html La fécondation (de l'ovocyte à l'oeuf): http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/xenope2.htm Le clivage (de l'oeuf à l'embryon): http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/xenope3.html La Gastrulation: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/gastrulation/Gastrula.html La neurulation: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/Neurulation/Neuru.htm L'organogenèse: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/organogenese/Organogenese.htm Du bourgeon caudal au têtard: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/le%20tetard/tetard1.htm Le têtard de xénope (phase larvaire): http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/le%20tetard/tetard2.htm La métamorphose du têtard: http://www.snv.jussieu.fr/bmedia/xenope1/M%8EtamorphXenope/Metamxen.html
  17. La police saisit 53 cobras royaux dans une voiture La police du Vietnam a dit avoir saisi 53 cobras royaux dans une voiture à Hanoï et arrêté le conducteur. L'officier Dang Van Hanh a indiqué lundi que les serpents vivants ont été amenés dans un centre de sauvetage près de la capitale, où ils ont été soignés avant d'être relâchés dans la nature. Les cobras royaux sont les serpents venimeux les plus longs au monde, et peuvent atteindre 18 pieds. La viande de l'animal est considérée comme un délice par plusieurs au Vietnam, où la chasse et le commerce du cobra royal sont interdits. Les serpents, qui se trouvaient dans de grands sacs, ont été saisis vendredi. Dang Van Hanh a indiqué que le chauffeur avait affirmé aux policiers avoir été payé pour transporter ces cobras royaux. Des médias locaux ont laissé entendre qu'il avait reçu moins de 50 $ pour ses services. Source: http://www.radio-canada.ca
  18. À la maison, les fourmis sont de grandes paresseuses «Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de fourmis inactives dans la fourmilière.» Danielle Mersch, entomologiste à l'université de Lausanne, a été étonnée de découvrir la paresse au foyer de cet insecte pourtant réputé pour être un travailleur infatigable. «Il faudrait peut-être réécrire la fable de La Fontaine», s'amuse la chercheuse qui publie vendredi dans Science un article passionnant sur la «sociologie» des fourmilières. La jeune femme de 32 ans y expose notamment la technique minutieuse mise au point depuis 2006 à Lausanne pour éclairer l'organisation d'une espèce commune au Proche-Orient, Camponotus fellah, qui présente l'avantage de faire de petites colonies, de ne pas hiberner et d'avoir des reines faciles à capturer. Chaque individu a été marqué avec un petit code-barres 2D (QR code) imprimé sur du papier. «Nous avons placé les fourmis sur de la pâte à modeler dans une chambre froide pour les maintenir le plus immobile possible et pouvoir leur coller ces petites matrices d'identification sur le dos», explique la chercheuse. «Nous avons aussi établi un code couleur pour représenter l'âge, en semaines, de chaque fourmi.» Trois groupes de fourmis Six colonies composées d'une centaine de fourmis chacune ont ainsi été «baguées» puis étudiées pendant 41 jours non-stop. La fourmilière était représentée par une boîte de 26 cm sur 16 cm plongée dans le noir et reliée par un tunnel à une autre boîte de même dimension. «Nous avons reproduit une alternance de jours et de nuits dans ce deuxième caisson où nous placions de la nourriture afin de simuler l'environnement extérieur», raconte Danielle Mersch. Des caméras traditionnelles et infrarouges ont filmé sans interruption ce qui se passait dans chacune des boîtes. Un logiciel d'analyse d'image relevait deux fois par seconde la position de chacun des codes, pendant 41 jours. À chaque fois que la caméra détecte un nouveau code, elle prend aussi une image HD afin de mesurer la taille de la fourmi et de ses antennes. «Chaque fois qu'une fourmi fait à peu près face à une de ses congénères pendant plus d'une demi-seconde à une distance où leurs antennes sont susceptibles de se toucher, on estime qu'elles sont entrées en communication», explique Allessandro Crespi, chercheur à l'École polytechnique fédérale de Lausanne et responsable du développement électronique et informatique sur le projet. http://bcove.me/yepe1bc7 (Sur cette vue de la fourmilière - des cocons en blanc -, on observe beaucoup d'individus inactifs. Les couleurs des trajectoires n'ont aucune signification, elles permettent simplement de différencier plus facilement les déplacements de chacune des fourmis.) Outre l'inactivité remarquable de quelques spécimens, les chercheurs ont aussi réussi à distinguer trois groupes. Les nourrices, plus jeunes, qui restent dans la fourmilière et s'occupent des œufs et des larves, les nettoyeuses multitâches qui gèrent notamment les déchets de la cité, et les fourrageuses, plus vieilles, qui vont chercher la nourriture à l'extérieur. Ces catégories avaient déjà été identifiées auparavant, mais jamais de façon aussi rigoureuse. «Nous avons par exemple constaté qu'il n'y avait pas un âge absolu auquel une fourmi change de tâche», note Laurent Keller, directeur de thèse de Danielle Mersch et cosignataire de l'article. En somme, si les nourrices sont statistiquement plus jeunes, une vieille fourmi peut aussi occuper cette fonction. Et dans une jeune fourmilière, l'âge moyen des fourrageuses pourra être inférieur à celui des nettoyeuses d'une colonie plus âgée. « Les fourmis s'organisent selon les besoins collectifs » Alain Lenoir, professeur émérite de l'Institut de la biologie des insectes de Tours. «Les fourmis s'organisent selon les besoins collectifs», décrypte Alain Lenoir, professeur émérite de l'université de Tours, enthousiasmé par ces travaux novateurs. «Les réticences de certaines fourmis à effectuer certaines tâches sont plus ou moins importantes en fonction de leur âge, mais elles ne sont pas définitives.» Ce passionné des fourmis s'émerveille d'un autre aspect de la publication: «Leur système permet d'établir le temps qu'il faut à une information pour faire le tour de la colonie, soit une heure environ.» Autre observation étonnante: les interactions entre les fourmis sont totalement aléatoires. «Mais comme les groupes occupent des espaces bien identifiés, les fourmis d'un même groupe ont plus d'interactions entre elles», note Danielle Mersch. «Comme les nourrices sont essentiellement à l'intérieur et les fourrageuses à l'extérieur, elles ont peu de contacts directs», ajoute Laurent Keller. «Les nettoyeuses servent d'intermédiaires entre ces groupes. Cela permet peut-être de limiter l'intrusion de maladies dans la fourmilière.» L'équipe suisse va poursuivre ses investigations pour mieux comprendre les mécanismes à l'origine de la répartition des tâches. Ils vont notamment tenter d'enlever subitement un groupe pour voir comment les fourmis se réorganisent. «Est-ce l'âge ou la position géographique qui sera déterminante?», s'interroge Laurent Keller. Sûrement une combinaison des deux. Mais cela reste à démontrer. Source: www.lefigaro.fr
  19. askook

    Scoop.it!

    Biodiversité, Herpétologie, Ichtyologie, Entomologie... Fil d'actualités concernant la préservation ou la découverte de la biodiversité et plus passionnément des animaux à écailles. http://www.scoop.it/t/ecologie-biodiversite-herpetologie-terrariophilie-ichtyologie
  20. askook

    Lézards mélaniques

    Les premiers lézards noirs aperçus en Belgique Des lézards mélaniques (noirs) ont été aperçus pour la première fois en Belgique, le long des voies ferrées en Flandre orientale. Le mélanisme est l'inverse de l'albinisme et apparaît en raison d'une accumulation de pigments noirs dans la peau, principalement de la mélanine, indique vendredi l'association environnementale Natuurpunt sur son site internet. "On peut trouver son origine dans un processus révolutionnaire par lequel la couleur noire offre des avantages, notamment pour ces animaux qui accumulent mieux la chaleur du soleil et peuvent survivre plus facilement dans un milieu plus froid, et qui se traduit par une micro-évolution", expliquent Robert Jooris et Dominique Verbelen, de Hyla, le groupe de travail sur les amphibiens et reptiles de Natuurpunt. Le rare phénomène de lézard mélanique avait déjà été constaté chez des lézards vivipares notamment. En Flandre et en Région bruxelloise, on recense dix-huit espèces de lézards allochtones qui se reproduisent et qui sont normalement colorés et marqués. "Deux espèces ont été volontairement expulsées des jardins privés. Les autres populations se sont développées grâce à des introductions uniques ou répétées." Signalez-les Etant donné qu'il y a probablement davantage d'espèces de reptiles dans les environnements caillouteux comme ceux que l'on retrouve le long des lignes de chemin de fer, Natuurpunt demande de communiquer toute observation sur waarnemingen.be. La frontière septentrionale du territoire naturel d'expansion des lézards en Belgique se trouve plus ou moins au sud du sillon Sambre et Meuse. Source: http://www.rtl.be
  21. Corsica Nature Forum dédié à la faune Corse http://corsica-nature.discutfree.com/
  22. Reptil'Var Reptil’Var est une association loi 1901 à but non lucratif, créée en 1999. http://reptilvar.free.fr/index.htm
  23. Serpents de France http://www.serpentsdefrance.fr/
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