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Actu-Environnement http://www.actu-environnement.com/idx_ae.php4

Pas de chance ou gros mensonge... En Floride, en promenant son chien, un homme se serait mordre, au même instant, à la jambe droite, par deux serpents venimeux (serpent-corail et crotale pygmée). Article: Man walking dog is bitten by 2 snakes at same time TAMPA - John Agan was doubly unlucky Tuesday - he was bitten by not one but two snakes. Doctors think one was a coral snake and the other was a pygmy rattler. The bites happened when Agan was out with his dog about 1:45 p.m. outside the Masters Inn at U.S. 92 and State Road 579. His dog was near the hotel trash bin. Agan, who was wearing sandals, was standing near some boards when he got bit by two snakes at the same time. A coral snake bit his right shin and a pygmy rattlesnake bit the top of his right foot, Agan said. "At first when I felt the initial pinch I thought maybe it was the boards that came together because they're stacked on top of each other," Agan said. "But you know, I looked down. Shoot! I knocked it off. And I noticed the other snake down on my foot and I'm going crazy, I mean, this is really wild to have two snakes like that." Hillsborough County Fire Rescue emergency crews responded to the scene and took Agan to the hospital. The crew searched for the snakes but didn't find them, said Ray Yeakley, a fire rescue spokesman. "That doesn't mean they weren't there," Yeakley said. "It just means they weren't there when we were there." Agan said he isn't feeling, well, snake-bit about his double snakebites. "What can I say? It's Florida," Agin said. "I was born and raised here. And I'll die here. Hopefully not by a snake bite." Source: http://www2.tbo.com/content/2009/oct/28/na-man-walking-dog-is-bitten-by-2-snakes-at-same-t/

Voici trois liens concernant les "grands travaux" et en particulier la famille des Dipsadidae. The phylogeny and classification of caenophidian snakes inferred from seven mnuclear prtein-coding genes /classification-f53/la-phylogenie-et-la-classification-des-caenophidia-inferee-a-partir-de-7-genes-mucleaires-codants-t13859.htm Molecular phylogeny of advanced snakes (Serpentes, Caenophidia) with an emphasis on South Americain Xenodontines: A revised classification and descriptions of the new taxa /classification-f53/une-version-revisee-de-la-classification-et-une-description-de-nouveaux-taxons-t13854.htm Molecular phylogeny, classification, and biogeography of West Indian racer snakes of the tribe Alsophiini (Squamata, Dipsadidae, Xenodontinae) /classification-f53/classification-des-serpents-de-la-tribu-des-alsophiini-t13882.htm

Un crocodile dans son salon, un truc de ouf! Serpent, passe encore. Mais un crocrodile d’eau douce, il ne faut pas craindre un coup de dents pour adopter un de ces reptiles. Cela fait treize ans que Vicki Lowing rejoue Crocrodile Dundee dans son salon. Elle a trouvé Johnny en 1996 devant sa porte et l’a élevé avec son fils qui, à l’époque, avait 18 mois. “Petits, ils se chamaillaient comme deux frères, explique-t-elle. Un jour, Andrew m’a appelé parce que Johnny lui avait chipé un de ses jouets. Effectivement, je l’ai trouvé dans son grand bassin d’eau avec le jouet dans la bouche. Quand il rentre de l’école, mon fils va quelquefois prendre une douche. Hé bien, alors qu’il a sa propre piscine chauffée dans une pièce, Johnny est déjà installé et ne veut pas lui laisser la place. Ils dorment ensemble.” Le soir, Vicky regarde la télé avec son crocodile sur les genoux. C’est le chouchou de la maison! Il y a quatre ans, son mari, excédé par l’animal, lui a demandé de choisir entre lui et Johnny. Madame n’a pas hésité une seule seconde. Elle a divorcé pour garder son Johnny. “Les maris peuvent prendre soin d’eux tout seul mais mon crocodile, lui, a besoin de moi pour se nourrir”, a-t-elle avancé. Johnny est très gourmand. Dès qu’il entend ouvrir la porte du réfrigérateur, il déboule dans la cuisine. Il adore les ailes de poulet, les filets de merlan et la viande rouge. Les chambres sont équipées de lampes UV pour le bien-être de son compagnon. Lorsqu’il a atteint sa taille adulte, Vicky s’est aperçue que Johnny était une femelle. “J’ai dû dire à Andrew que son frère était en fait sa soeur. Secrétement, je suis ravie car j’ai toujours voulu avoir une fille.” Ooops! Drôle de transfert. Cette foldingue australienne d’animaux a recueilli dans sa propriété,à Rockband, près de Melbourne, des pythons, des lézards à langue bleue, des chats, des chevaux, des tortues. Et deux autres crocodiles : Fovian et Jilifia qui vivent dans sa piscine chauffée. Seul bémol à sa passion : les factures très lourdes de chauffage et d’alimentation. Source:http://www.doggybuzz.fr/2009/10/27/un-crocodile-dans-son-salon-un-truc-de-ouf/

Voici de quoi comprendre la sous-famille des Dipsadiane et des Xenodontinae avant les travaux. Informations issues de "Actualisation des connaissances sur la systématique et la phylogénie des serpents" par Valli. V (/classification-f53/actualisation-des-connaissances-sur-la-systematique-et-la-phylogenie-des-serpents-t14458-175.htm).

Depuis les grands travaux sur la classification des reptiles, qui ont commencé en 2007, il est vrai que l'on si perd un peu... Comment différencier une famille, d'une sous-famille? Il suffit de regarder la terminaison... "dae": famille. Ex. Dipsadidae "nae": sous-famille. Ex. Dipsadinae Avant 2007 (Vidal, N & al. The phylogeny and classification of caenophidian snakes inferred from seven nuclear protein-coding genes. Comptes Rendus Biologies 330: 182-187), la famille des Dipsadidae était une des nombreuses sous-familles des Colubridae... Avec les travaux (Zaher, H & al. 2009 : Molecular phylogeny of advanced snakes (Serpentes, Caenophidia) with an emphasis on South American Xenodontines: a revised classification and descriptions of new taxa Papéis Avulsos de Zoologia (São Paulo) 49-11), la sous-famille des Dipsadinae est devenue une famille qui comprend maintenant trois sous-familles. Famille des Dipsadidae Sous-famille des Dipsadiane Sous-famille des Carphophinae (Nouvelle sous-famille) Sous-famille des Xenodontinae Suite à ces grands travaux, plus celui-ci (Hedges, Couloux & Vidal, 2009 : Molecular phylogeny, classification, and biogeography of West Indian racer snakes of the Tribe Alsophiini (Squamata, Dipsadidae, Xenodontinae) Zootaxa 2067 pp 1–28) plein de nouveaux genres, on vu le jour. C'est pour cala qu'il y en a plein que tu ne cannais pas... Je te mets à la suite de ce petit résumé de quoi lire...

Toujours à la recherche de documentation sur cette espèce, car je ne désespère pas d'en élever un jour. J'ai trouvé un éleveur suédois qui a fait l'acquisition de spécimens nés en Russie... Voici les photos... La langue est extrêmement longue et fine Photos pour illustration. Source: Ronny Levin.

La taxonomie de Lampropeltis pyromelana est toujours en discussion et est ouverte à plein de changements, qui ne sont pas toujours validé par tous les systématiciens. Voici ce que cela donne: Lampropeltis pyromelana a été décrit par Cope en 1866 sous le nom d'Ophibolus pyromelanus. Cela ne bougera pas jusqu'en 1940 où Taylor décrit la première sous-espèce Lampropeltis pyromelana knoblochi. Vient ensuite en 1953 avec Tanner deux autres sous-espèces: Lampropeltis pyromelana infralabialis et lampropeltis pyromelana woodini. Ces quatre sous-espèces (Lampropeltis pyromelana pyromelana, Lampropeltis pyromelana infralabialis, Lampropeltis pyromelana knoblochi, Lampropeltis pyromelana woodoni) vont rester valident jusqu'en 1991 et 1992. C'est à partir de ce moment que tout ce complique... En 1991, Collins, Joseph T. ( Viewpoint: A new taxonomic arrangement for some North American amphibians and reptiles. Herpetological Review. 22(2): pp. 42-43) faisait de Lampropeltis pyromelana infralabialis une espèce distincte. En 1992, Van Devender et al. (Herpetological Review 23: 10-13) donnent Lampropeltis pyromelana infralabialis et Lampropeltis pyromelana woodini comme des synonymes de Lampropeltis pyromelana pyromelana. Pendant dix ans, rien de bouge et l'on rencontre souvent dans la littérature concernant cette espèce, les 4 sous-espèces comme dans kingsnakes and milk snakes de R G. Markel (1990). En 2002, Collins & Taggart soumettent la proposition de Van Devender et al.(1992) à un groupe composé de systématiciens (Frank T. Burbrink, Jeff Camper, Harry W. Greene, L. Lee Grismer, Robin Lawson, James R. McCranie, Andrew H. Price, Javier Rodriguez-Robles, and Samuel S. Sweet), qui acceptera. A partir de ce moment, il ne reste plus que deux sous-espèces: Lampropeltis pyromelana pyromelana et Lampropeltis pyromelana knoblochi. Mais cela serait trop facile... Certains auteurs n'acceptent pas cette décision surtout pour Lampropeltis pyromelana infralabialis. En ce qui concerne Lampropeltis pyromelana woodini, il est acquis par pratiquement tout le monde que cette sous-espèce n'est plus valide et est bien un synonyme de Lampropeltis pyromelana pyromelana. En 2003 (Lemos-Espinal, Julio A., David Chiszar, and Hobart M. Smith. Knobloch’s king snake (Lampropeltis pyromelana knoblochi) of Mexico a species. Bulletin of the Maryland Herpetological Society. 39(3):53-58. font de Lampropeltis pyromelana knoblochi une espèce valide. Cela ne sera pas validé en 2009 par Collins & Taggart qui ont soumis cette proposition à un groupe de systématiciens (Frank T. Burbrink, Jeff Camper, Michael Douglas, Harry W. Greene, Toby Hibbitts, Robin Lawson, James R. McCranie, Brice P. Noonan, Christopher L. Parkinson , Theodora Pinou, R. Alexander Pyron, Javier A. Rodriguez-Robles, et Van Wallach).

Morsure d'Ortriophis taeniurus Photos pour illustration. Source: google

Contrôler des insectes à distance pourrait sembler être de la science fiction et pourtant, des chercheurs de Berkeley y seraient parvenus. En 2006, le DARPA (Agence pour les projets avancés de défense) avait lancé le Hybrid Insect Micro-Electro-Mechanical Systems program (HI-MEMS) dont l’objectif final est de convertir des insectes en véhicules aériens autonomes. En février dernier, des chercheurs avaient alors dans le cadre de ce programme, présenté le contrôle d’un papillon de nuit à l’aide de fils électriques reliés à son corps. Un système de stimulation neuronale Cette fois-ci, ils ont démontré qu’il était possible de commander à distance des insectes (un coléoptère dans ce cas précis) en vol libre, grâce à des radios miniatures implantées dans le système de stimulation neuronale. Le système est constitué de stimulateurs neuronaux, de stimulateurs musculaires, d’un microcontrôleur et d’une micro batterie. Des implants posés au stade larvaire Une fois l’insecte doté de cet équipement, il est possible de l’obliger à décoller, à s’arrêter, et de contrôler son élévation. Les stimulateurs électroniques placés dans le cerveau et au niveau des muscles sont placés dés la naissance lorsque l’insecte est encore à l’état de larve. Après sa mutation à l’âge adulte, ces stimulateurs sont toujours implantés dans le corps. Il est alors possible de lancer des stimuli aux muscles et au cerveau pour inciter un décollage ou un changement de direction de vol. Tourner peut ainsi être provoqué par une stimulation asymétrique des muscles à la base des ailes ; un changement d’altitude par une variation de la fréquence du battement des ailes, suite à des stimuli électriques. Obstacle : l’autonomie des batteries Une fois établi, le vol continue même en absence de stimulation supplémentaire. L’insecte alimente son propre vol et se dirige de façon normale; ainsi les stimulateurs neuronaux et musculaires ne sont utilisés que ponctuellement. Cependant, il persiste un défi de taille majeure pour les chercheurs : la durée de vie des batteries. Elle reste encore très faible et la période pendant laquelle l’insecte peut être sous contrôle reste très limitée. Vers une nouvelle classe d’insectes hybrides ? En finançant le programme HI-MEMS, le DARPA souhaite approfondir de façon significative les connaissances en cybernétique sur les insectes, et développer une nouvelle classe d’insectes hybrides mi-biologiques mi-électroniques, dotés de composants contrôlables à distance. Le département de la Défense est largement intéressé par ces nouveaux prototypes car certaines applications pourraient être la transmission de données en provenance de caméras vidéo ou d’écouteurs, ou encore de détecteurs de gaz. La majeure partie des recherches se porte sur la croissance de larves vivantes autour de MEMS électroniques. Elle est partagée en 3 axes principaux : - l’élevage d’insectes dotés de MEMS, - le développement de systèmes de pilotage des insectes, - les sources d’énergie pour l’alimentation des composants. Les chercheurs y sont déjà parvenus partiellement au regard des tests réalisés sur les papillons de nuit et les coléoptères cependant l’espérance de vie du système reste limitée et doit être nettement améliorée. Source: http://www.science.gouv.fr/fr/actualites/bdd/res/3385/t/4/l-insecte-cyborg-mi-coleoptere-mi-machine/ Lien: http://www.frontiersin.org/integrativeneuroscience/paper/10.3389/neuro.07/024.2009/html/

Broghammerus reticulatus (Python reticulatus) Photo pour illustration. Source: google

Crois-tu vraiment qu'à l'état sauvage, ces "siamois" auraient vécu longtemps? Je pense plutôt, qu'avec leur handicap, ils seraient vite devenus des proies faciles pour d'autres animaux...

18 bébés en 8 oeufs... 2 fois des triplés et 6 fois des jumeaux...

Voici une vidéo montrant une naissance de jumeaux chez une espèce de serpent ovovivipare (Boa constrictor). Ce qui est plus rare que j'ai les espèces ovipares...

Le scinque à queue préhensile des îles Salomon http://dot.free.fr/pages/0.html

Qu'ils soient originaires de Madagascar ou d'Australie, de nombreux geckos sont passés maîtres dans l'art du camouflage. Imitant des feuilles ou des branches, ces lézards réussissent à passer totalement inaperçus dans leur milieu naturel. Perchés sur un arbre, ces geckos se fondent dans le décor. L'espèce Uroplatus phantasticus originaire de Madagascar ne se distingue ainsi presque pas des branches. Sa queue ressemble à s'y méprendre à une feuille. L'espèce est d'ailleurs surnommée "satanic leaf-tailed gecko" par les Anglo-Saxons ("gecko satanique à queue en feuille"). Le plus souvent de couleur marron ou grise, tous les geckos ayant recours au mimétisme imitent facilement une feuille morte ou un morceau d'écorce, s’enroulant parfois comme un tire-bouchon autour de la végétation pour accentuer l'effet de camouflage. Certains peuvent également adapter leur couleur à ce qui les entoure en devenant rose, jaune, vert ou orange à la manière des caméléons. Essentiellement nocturnes, les geckos entament à la nuit tombée une chasse à l’insecte : leurs grands yeux les aident à apercevoir leurs proies, tandis que leur grande bouche leur permet de s’attaquer aux gros insectes. Source: http://www.maxisciences.com/d%e9couverte/les-geckos-des-lezards-passes-ma-tres-dans-l-039-art-du-camouflage-decouvrez-les-images_art4061.html Photos: Photos pour illustration. Source:http://www.maxisciences.com/d%e9couverte/les-geckos-des-lezards-passes-ma-tres-dans-l-039-art-du-camouflage-decouvrez-les-images_art4061.html

France - On ne présente plus Rémi Gaillard, le trublion du net qui sévit un peu partout en France. A l'occasion d'Halloween il a endossé le costume d'une chauve-souris pour le plus grand bonheur des internautes. Cette fois-ci, c'est dans la peau d'une chauve-souris que s'est glissé Rémi Gaillard. Accroché la tête en bas à un arrêt de bus, dans un ascenseur, un tramway ou dans un parking, il piège les passants. Certains tout de même, comme cet homme qui retire de l'argent à un distributeur ou ce gendarme qui relève les excès de vitesse, ne semblent pas apprécier l'humour du jeune Montpelliérain. Source: http://fr.news.yahoo.com/55/20091026/tod-france-rmi-gaillard-pige-les-passant-17baed7.html

Australie : il passe 12 heures dans un arbre pour échapper aux crocodiles Sydney, Australie – Un homme a passé douze heures accroché à une branche d'arbre alors qu'en dessous de lui le sol était infesté de crocodiles. Il s'est retrouvé coincé là après que son bateau s'est échoué. Stan Martell s’est endormi dans son bateau alors qu’il naviguait sur la Lynne River au nord de l'état d'Australie-Occidentale. Lorsqu’il s’est réveillé il s’est aperçu que son embarcation s'était échouée sur la rive. Coincée sous un arbre, elle était remplie d’eau. La Lynne River étant infestée de crocodiles, il a préféré grimper dans l'arbre et a passé la nuit agrippé à une branche. Monsieur Martell a déclaré avoir passé 12 heures accroché "tel un koala", en attendant la venue des secours. Durant ce long moment il a pu observer deux gros crocodiles, dont le plus petit mesurait trois mètres. Le lendemain matin, il a activé son téléphone par satellite ainsi que sa radiobalise d'urgence et les secours ont pu venir le délivrer. Les autorités ont affirmé que même si M. Martell n'avait pu apercevoir que deux reptiles, les eaux en étaient infestées. Source: http://www.zigonet.com/crocodile/australie-il-passe-12-heures-dans-un-arbre-pour-echapper-aux-crocodiles_art8518.h

Candoia aspera

Feeding ecology of the Great Basin Rattlesnake (Crotalus lutosus, Viperidae) Can. J. Zool 86: 723-734 (2008) Xavier Glaudas, Tereza Jezkova & Javier A. Rodriguez-Robles http://faculty.unlv.edu/jrodriguez/38.pdf