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  1. askook

    Naja haje

    Phylogeography and systematic revision of the Egyptian cobra (Serpentes: Elapidae: Naja haje) species complex, with the description of a new species from West Africa
  2. Comment les papillons apprirent à voler. ( Légende amérindienne ) Quand la Terre était jeune, aucun papillon ne volait ça et là dans les airs et n'illuminait les jours de printemps et d'été de leurs ailes portant les couleurs de l'arc-en-ciel. Il y avait des reptiles, qui furent les ancêtres des papillons, mais ils ne savaient pas voler ; ils ne savaient que ramper par terre. Ces reptiles étaient magnifiques, mais le plus souvent les humains, lorsqu'ils se déplaçaient, ne baissaient pas les yeux vers la terre, aussi ne voyaient-ils pas leur beauté. En ces temps-là, vivait une jeune femme qui s'appelait Fleur de Printemps et qui était une joie pour tous ceux qui la connaissaient. Elle avait toujours le sourire et un mot gentil à la bouche, et ses mains étaient semblables au printemps le plus frais pour ceux qui étaient atteints de fièvre ou de brûlures. Elle posait ses mains sur eux et la fièvre aussitôt quittait leur corps. Quand elle atteignit l'âge adulte, son pouvoir devint encore plus fort et, grâce à la vision qu'elle avait reçue, elle devint capable de guérir les gens de la plupart des maladies qui existaient alors. Dans sa vision, d'étranges et belles créatures volantes étaient venues à elle et lui avaient donné le pouvoir de l'arc-en-ciel qu'ils portaient avec eux. Chaque couleur de l'arc-en-ciel avait un pouvoir particulier de guérison que ces êtres volants lui révélèrent. Ils lui dirent que pendant sa vie elle serait capable de guérir et qu'au moment de sa mort elle libérerait dans les airs des pouvoirs de guérison qui resteraient pour toujours avec les hommes. Dans sa vision, il lui fut donné un nom : Celle-qui-tisse-dans-l'air-des-arcs-en-ciel. Tandis qu'elle avançait en âge, Celle-qui-tisse-dans-l'air-des-arcs-en-ciel continuait son travail de guérisseuse et dispensait sa gentillesse à tous ceux qu'elle rencontrait. Elle rencontra aussi un homme, un voyant, et elle le prit pour mari. Ils eurent ensemble deux enfants et les élevèrent pour qu'ils soient forts, sains et heureux. Les deux enfants avaient aussi certains pouvoirs de leurs parents et eux-mêmes devinrent plus tard des guérisseurs et des voyants. Tandis qu'elle vieillissait, le pouvoir de Celle-qui-tisse-dans-l'air-des-arcs-en-ciel grandit encore et tous ceux qui vivaient dans les environs de la région où elle habitait vinrent à elle avec leurs malades, lui demandant d'essayer de les guérir. Elle aidait ceux qu'elle pouvait aider. Mais l'effort de laisser passer en elle tout le pouvoir finit par l'épuiser et un jour elle sut que le moment de remplir la seconde partie de sa vision approchait. Tout au long de sa vie, elle avait remarqué que des reptiles magnifiquement colorés venaient toujours près d'elle quand elle s'asseyait par terre. Ils venaient contre sa main et essayaient de se frotter contre elle. Parfois l'un deux rampait le long de son bras et se mettait près de son oreille. Un jour qu'elle se reposait, un de ces reptiles vint jusqu'à son oreille. Elle lui parla, lui demandant si elle pourrait faire quelque chose pour lui, car elle avait remarqué que lui et ses frères et soeurs lui avaient toujours rendu service. "Ma soeur, dit Celui qui rampait, mon peuple a toujours été là pendant que tu guérissais, t'assistant grâce aux couleurs de l'arc-en-ciel que nous portons sur le corps. A présent que tu vas passer au monde de l'esprit, nous ne savons comment continuer à apporter aux hommes la guérison de ces couleurs. Nous sommes liés à la terre et les gens regardent trop rarement par terre pour pouvoir nous voir. Il nous semble que si nous pouvions voler, les hommes nous remarqueraient et souriraient des belles couleurs qu'ils verraient. Nous pourrions voler autour de ceux qui auraient besoin d'être guéris et laisserions les pouvoirs de nos couleurs leur donner la guérison qu'ils peuvent accepter. Peux-tu nous aider à voler ?" Celle-qui-tisse-dans-l'air-des-arcs-en-ciel promit d'essayer. Elle parla de cette conversation à son mari et lui demanda si des messages pourraient lui venir dans ses rêves. Le matin suivant il se réveilla, excité par le rêve qu'il avait fait. Quand il toucha doucement Celle-qui-tisse-dans-l'air-des-arcs-en-ciel pour le lui raconter, elle ne répondit pas. Il s'assit pour la regarder de plus près et il vit que sa femme était passée au monde des esprits pendant la nuit. Pendant qu'il priait pour son âme et faisait des préparatifs pour son enterrement, le rêve qu'il avait eu lui revint en mémoire et cela le réconforta. Quand le moment fut venu de porter Celle-qui-tisse-dans-l'air-des-arcs-en-ciel à la tombe où elle serait enterrée, il regarda sur sa couche et, l'attendant, se trouvait le reptile qu'il pensait y trouver. Il le ramassa avec précaution et l'emporta. Tandis que l'on mettait le corps de sa femme en terre et qu'on s'apprêtait à le recouvrir, il entendit le reptile qui disait : "Mets-moi sur son épaule à présent. Quand la terre sera sur nous, mon corps aussi mourra, mais mon esprit se mêlera à l'esprit de celle qui fut ta femme, et ensemble nous sortirons de terre en volant. Alors nous retournerons vers ceux de mon peuple et leur apprendrons à voler de façon à ce que se poursuive le travail de ton épouse. Elle m'attend. Pose-moi à présent." L'homme fit ce que le reptile lui avait dit et l'enterrement se poursuivit. Quand tous les autres furent partis, l'homme resta en arrière quelques instants. Il regarda la tombe, se souvenant de l'amour qu'il avait vécu. Soudain, de la tombe sortit en volant une créature qui avait sur ses ailes toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Elle vola vers lui et se posa sur son épaule. "Ne sois pas triste, mon époux. A présent ma vision s'est totalement réalisée, et ceux que j'aiderai désormais à enseigner apporteront toujours aux autres la bonté du coeur, la guérison et le bonheur. Quand ton heure viendra de te transformer en esprit, je t'attendrai et te rejoindrai." Quand l'homme changea de monde, quelques années plus tard, et fut enterré, ses enfants restèrent en arrière après que tous les autres s'en furent allés. Ils remarquèrent une de ces nouvelles créatures magnifiques qu'ils appelaient papillons, voletant près de la tombe. En quelques minutes un autre papillon d'égale beauté sorti en volant de la tombe de leur père, rejoignit celui qui attendait et, ensemble, ils volèrent vers le Nord, le lieu du renouveau. Depuis ce temps-là les papillons sont toujours avec les hommes, éclairant l'air et leur vie de leur beauté. Si vous voulez que votre souhait se réalise, vous n'avez qu'à le souffler au papillon. N'ayant pas de voix, il ira porter votre souhait au ciel jusqu'au grand Manitou, où il sera exaucé. Extrait de "La Roue de Medecine" de Sun et Wabun Bear
  3. Autre article: Une araignée qui aime le vert Elle serait l’exception qui confirme la règle: une araignée sud-américaine a un régime alimentaire presque uniquement végétarien. Son péché mignon: l’acacia, qu’elle vole aux fourmis ! Manger des fruits et des légumes est un message nutritionnel qui n’est pas arrivé jusqu’aux 40.000 araignées connues, prédateurs d’invertébrés. Sauf une? Malgré son nom, qui rappelle justement un grand animal carnivore, l’araignée sud-américaine Bagheera kiplingi se distingue par son goût très prononcé pour la verdure. L’espèce observée au Mexique est presque totalement herbivore, expliquent des chercheurs dans la revue Current Biology. Cette découverte est d’autant plus étonnante que l’araignée en question se nourrit sur des acacias qui vivent en association avec des fourmis. C’est l’un des cas de mutualisme les plus étudiés en biologie : certaines espèces de fourmis habitent les acacias, trouvant refuge dans les épines enflées et partiellement creuses, et défendent la plante contre les herbivores. En échange, elles se nourrissent du nectar de la plante (riche en sucres) et de petites nodosités situées à la base des feuilles, les corps beltiens, riches en protéines et en lipides. L’araignée Bagheera kiplingi profite de cette situation pour se nourrir elle aussi des corps betliens, ont observé Christopher Meehan (Villanova University, E-U) et ses collègues. Les observations de terrain, conjuguées à des analyses isotopiques, montrent que les protéines de l’acacia constituent plus de 90% du régime alimentaire de l’araignée mexicaine. Des observations similaires ont été réalisées au Costa Rica. C’est la première fois que l’on observe une araignée «chassant» une nourriture végétale, soulignent les chercheurs. Pour manger les corps beltiens, Bagheera kiplingi doit tromper la surveillance des fourmis. Son agilité est l’atout principal de la végétarienne, qui appartient à la famille des araignées saltiques ou salticides, autrement dit sauteuses. Jusqu’à présent, la consommation de pollens ou de nectar observée chez des araignées a toujours été secondaire voire anecdotique. La capacité de cette araignée à manger une nourriture végétale aussi ‘solide’ est totalement atypique, soulignent encore les chercheurs. Source: http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/vivant/20091012.OBS4359/une_araignee_qui_aime_le_vert.html
  4. Des chercheurs identifient la première araignée végétarienne du monde Amérique Centrale - Des scientifiques américains ont découvert la première araignée végétarienne du monde. Sur les 40.000 espèces connues, c’est la seule qui peut se nourrir uniquement de matière végétale. Surnommée Bagherra kiplingi par le couple américain George et Elizabeth Peckham, en l’honneur de l’auteur du Livre de la Jungle, l’araignée a la même taille que l’ongle d’un pouce. Elle a la particularité de voler sa nourriture, issue des acacias, sous le nez des fourmis qui y ont fait leur fourmilière. Les araignées attaquent normalement les insectes, oiseaux ou lézards. Mais Bagherra kiplingi a une autre tactique de chasse, qui consiste à tromper les fourmis qui vivent sur les acacias au Mexique et au Costa Rica pour atteindre sa nourriture. La petite araignée mange en effet les bouts de feuille des acacias (surnommés "corps de Beltian"), représentant sa principale source de nourriture selon les recherches publiées dans le Journal Current Biology. Problème : les fourmis se nourrissent également des corps de Beltian et s’attaquent aux insectes ou herbivores qui s’en approchent. C’est pourquoi l’araignée végétarienne les évite. Les scientifiques, dirigés par Christopher Meehan de l’Université de Villanova et par Eric Olson de l’Université Brandeis aux États-Unis, supposent que l’araignée utilise son excellente vue, son agilité et ses connaissances cognitives pour esquiver les fourmis. Elle pourrait même imiter leur odeur chimique pour les tromper. Source: http://www.maxisciences.com/araign%e9e/des-chercheurs-identifient-la-premiere-araignee-vegetarienne-du-monde-decouvrez-la-en-images_art4024.html
  5. Report Documents the Risks of Giant Invasive Snakes in the U.S. Five giant non-native snake species would pose high risks to the health of ecosystems in the United States should they become established here, according to a U.S. Geological Survey (USGS) report released today. Researchers implant a radio transmitter in a 16-foot, 155-pound female Burmese python (Python molurus) at the South Florida Research Center, Everglades National Park. Radio-tracking builds understanding of where pythons spend their time and therefore where they can be controlled in practice. Photo courtesy of Lori Oberhofer, National Park Service. Photo Credit: USGS. The USGS report details the risks of nine non-native boa, anaconda and python species that are invasive or potentially invasive in the United States. Because all nine species share characteristics associated with greater risks, none was found to be a low ecological risk. Two of these species are documented as reproducing in the wild in South Florida, with population estimates for Burmese pythons in the tens of thousands. Based on the biology and known natural history of the giant constrictors, individuals of some species may also pose a small risk to people, although most snakes would not be large enough to consider a person as suitable prey. Mature individuals of the largest species—Burmese, reticulated, and northern and southern African pythons—have been documented as attacking and killing people in the wild in their native range, though such unprovoked attacks appear to be quite rare, the report authors wrote. The snake most associated with unprovoked human fatalities in the wild is the reticulated python. The situation with human risk is similar to that experienced with alligators: attacks in the wild are improbable but possible. “This report clearly reveals that these giant snakes threaten to destabilize some of our most precious ecosystems and parks, primarily through predation on vulnerable native species,” said Dr. Robert Reed, a coauthor of the report and a USGS invasive species scientist and herpetologist. High-risk species—Burmese pythons, northern and southern African pythons, boa constrictors and yellow anacondas—put larger portions of the U.S. mainland at risk, constitute a greater ecological threat, or are more common in trade and commerce. Medium-risk species—reticulated python, Deschauensee’s anaconda, green anaconda and Beni anaconda—constitute lesser threats in these areas, but still are potentially serious threats. The USGS scientists who authored the report emphasized that native U.S. birds, mammals, and reptiles in areas of potential invasion have never had to deal with huge predatory snakes before—individuals of the largest three species reach lengths of more than 20 feet and upwards of 200 pounds. The reticulated python is the world’s longest snake, and the green anaconda is the heaviest snake. Both species have been found in the wild in South Florida, although breeding populations are not yet confirmed for either. Breeding populations have been confirmed in South Florida for Burmese pythons and the boa constrictor, and there is strong evidence that the northern African python may have a breeding population in the wild as well. “Compounding their risk to native species and ecosystems is that these snakes mature early, produce large numbers of offspring, travel long distances, and have broad diets that allow them to eat most native birds and mammals,” said Dr. Gordon Rodda, a USGS scientist at the Fort Collins Science Center and the other coauthor of the report. In addition, he said, most of these snakes can inhabit a variety of habitats and are quite tolerant of urban or suburban areas. Boa constrictors and northern African pythons, for example, already live wild in the Miami metropolitan area. The report notes that there are no control tools yet that seem adequate for eradicating an established population of giant snakes once they have spread over a large area. Making the task of eradication more difficult is that in the wild these snakes are extremely difficult to find since their camouflaged coloration enables them to blend in well with their surroundings. “We have a cautionary tale with the American island of Guam and the brown treesnake,” said Reed. “Within 40 years of its arrival, this invasive snake has decimated the island’s native wildlife—10 of Guam’s 12 native forest birds, one of its two bat species, and about half of its native lizards are gone. The python introduction to Florida is so recent that the tally of ecological damage cannot yet be made.” USGS researchers used the best available science to forecast areas of the country most at risk of invasion by these giant snakes. Based on climate alone, many of the species would be limited to the warmest areas of the United States, including parts of Florida, extreme south Texas, Hawaii, and America’s tropical islands, such as Puerto Rico, Guam, and other Pacific islands. For a few species, however, larger areas of the continental United States appear to exhibit suitable climatic conditions. For example, much of the southern U.S. climatic conditions are similar to those experienced by the Burmese python in its native range. However, many factors other than climate alone can influence whether a species can establish a population in a particular location, the report notes. The Fish and Wildlife Service and the National Park Service will use the report to assist in further development of management actions concerning the snakes when and where these species appear in the wild. In addition, the risk assessment will provide current, science-based information for management authorities to evaluate prospective regulations that might prevent further colonization of the U.S. by these snakes. The 300-page report provides a comprehensive review of the biology of these species as well as the risk assessment. Source: http://blog.jcmnaturalhistory.com/ Traduction: Rapport décrit les risques de Giant envahissantes Snakes in the US Cinq non-espèce de serpent géant natif poserait des risques élevés pour la santé des écosystèmes dans les États-Unis doivent-ils s'établir ici, selon un US Geological Survey (USGS), rapport publié aujourd'hui. Les chercheurs implantera un émetteur radio dans un 16 pieds, 155 livres Homme python birman (Python molurus) au Centre de recherche du Sud de la Floride, Everglades National Park. Radio-pistage favorise la compréhension de l'endroit où pythons passent leur temps et donc là où elles peuvent être contrôlées dans la pratique. Photo gracieuseté de Lori Oberhofer, National Park Service. Credit photo: USGS. Le rapport détaille USGS les risques de neuf services non-indigènes boa, anaconda python et les espèces qui sont envahissantes ou potentiellement envahissantes dans les États-Unis. Parce que l'ensemble des neuf espèces partagent des caractéristiques associées à de plus grands risques, aucun n'a été trouvé pour être un risque écologique faible. Deux de ces espèces ont été classées comme reproduisant l'état sauvage au sud de la Floride, avec des estimations de population pour les pythons birmans dans les dizaines de milliers. Sur la base de la biologie et l'histoire naturelle connue des constricteurs géant, des individus de certaines espèces de mai également présenter un faible risque pour les personnes, bien que la plupart des serpents ne serait pas assez grande pour considérer une personne comme une proie convenable. Tous les individus matures de la plus grande espèce-birmane, réticulé, et dans le nord et le sud-africaine pythons ont été documentées comme attaquant et en tuant des gens à l'état sauvage dans leur milieu d'origine, même si de telles attaques non provoquées semblent être très rares, les auteurs du rapport écrit. Le serpent le plus associée à des décès non provoquée de l'homme dans la nature est le python réticulé. La situation des risques chez l'homme est similaire à celle vécue avec les alligators: attaques à l'état sauvage sont improbables mais possibles. «Ce rapport montre clairement que ces serpents géants menacent de déstabiliser certains de nos écosystèmes les plus précieux et des Parcs, principalement par la prédation sur les espèces indigènes vulnérables", a déclaré le Dr Robert Reed, coauteur du rapport et d'une espèce envahissante scientifique USGS et herpétologiste. High-espèces à risque pythons birmans, les pythons du Nord et d'Afrique australe, de serpents boas, anacondas et jaune-mis de plus grandes portions de la partie continentale des États-Unis à risque, constituent une menace écologique plus grande, ou sont plus courants dans le commerce et le commerce. Risque moyen espèce python réticulé, anaconda Deschauensee's, l'anaconda vert et Beni anaconda-constituent des menaces moins dans ces domaines, mais qui sont toujours des menaces potentiellement graves. Les scientifiques de l'USGS, qui a rédigé le rapport a souligné que les oiseaux indigènes des États-Unis, de mammifères et de reptiles dans les zones d'invasion potentielle n'ont jamais eu à faire face aux énormes serpents prédateurs avant les individus de la plus grande des trois espèces atteignent une longueur de plus de 20 pieds et plus de 200 livres. Le python réticulé est le plus long serpent du monde, et l'anaconda vert est le plus lourd serpent. Les deux espèces ont été trouvées dans la nature au sud de la Floride, mais les populations d'élevage ne sont pas encore confirmés pour l'une ou l'autre. Les populations nicheuses ont été confirmés dans le sud de la Floride pour les pythons birmans et le boa constricteur, et il ya de fortes indications que le python mai Afrique du Nord ont une population de reproducteurs dans la nature aussi bien. «S'ajoute à leur risque pour les espèces indigènes et des écosystèmes, c'est que ces serpents maturité précoce, produisent un grand nombre de descendants, Voyage de longues distances et avoir une alimentation large qui leur permettent de manger la plupart des oiseaux et des mammifères indigènes, a déclaré le Dr Gordon Rodda, un USGS chercheur au Centre des sciences de Fort Collins et l'autre co-auteur du rapport. En outre, il a dit, la plupart de ces serpents peuvent habiter une variété d'habitats et sont assez tolérants des zones urbaines ou suburbaines. Les serpents boas et pythons d'Afrique du Nord, par exemple, vivent déjà sauvages dans la région métropolitaine de Miami. Le rapport note qu'il n'y a pas encore d'outils de contrôle qui semblent adéquates pour l'éradication d'une population établie de serpents géants une fois qu'ils se sont répandus sur un vaste territoire. Rendant la tâche d'éradication plus difficile est que, dans les sauvages de ces serpents sont extrêmement difficiles à trouver, car leur coloration camouflé leur permet de se fondre parfaitement avec leur environnement. «Nous avons un récit édifiant de l'île américaine de Guam et le treesnake Brown," a déclaré Reed. La faune indigène "Dans les 40 années de son arrivée, ce serpent envahissante a décimé l'Île-du-10 de 12 oiseaux de Guam forêt indigène, l'un de ses deux espèces de chauve-souris, et environ la moitié de ses lézards indigènes ont disparu. L'introduction en Python pour la Floride est si récente que le décompte des dommages écologiques ne peuvent pas encore être faites. " Chercheurs de l'USGS utilise la science la meilleure disponibles pour prévoir les régions du pays les plus à risque d'invasion par ces serpents géants. Basé sur le climat seul, bon nombre de ces espèces serait limitée aux zones les plus chaudes des États-Unis, y compris les parties de la Floride, l'extrême sud du Texas, à Hawaï et des îles tropicales de l'Amérique, tels que Puerto Rico, à Guam, et d'autres îles du Pacifique. Pour quelques espèces, cependant, les plus grandes régions de la zone continentale des États-Unis semblent présenter des conditions climatiques appropriées. Par exemple, une grande partie du sud des États-Unis les conditions climatiques sont similaires à celles vécues par le python birman dans son aire naturelle. Toutefois, de nombreux facteurs autres que le climat seul peut influencer si une espèce peut établir une population dans un endroit particulier, note le rapport. Le Fish and Wildlife Service et le National Park Service utilisera le rapport pour l'aider dans le développement supplémentaire des actions de gestion concernant les serpents quand et où ces espèces figurent dans la nature. En outre, l'évaluation des risques fournira la science actuelle, basée sur l'information des autorités de gestion pour évaluer les règlements éventuels qui pourraient empêcher la colonisation ultérieure des États-Unis par ces serpents. Le rapport de 300 pages présente un examen complet de la biologie de ces espèces ainsi que l'évaluation des risques. Lien du rapport: http://pubs.usgs.gov/of/2009/1202/pdf/OF09-1202.pdf
  6. Un python de plus de 2 m découvert à Vendœuvres (Indre) Un couple de Vendœuvres se rappellera sûrement longtemps de sa cueillette de champignons 2009. Samedi, peu avant 18 h, le duo est tombé nez à nez, dans le bois de Nioron, avec un python molure. Un python molure peut mesurer de plus de 6 m et peser jusqu'à 100 kg. C'est d'ailleurs le plus grand serpent actuellement vivant dans sa région d'origine, l'Asie. Les pompiers de Buzançais ont été appelés pour venir capturer l'animal. Évidemment, pour les hommes du lieutenant Labrune, c'était la première fois qu'ils avaient affaire à un serpent de cette taille. Finalement, la bestiole a élu domicile pendant quelques heures dans le bureau du chef de centre, chauffé pour l'occasion. Car il commençait à souffrir du froid : ce doux compagnon apprécie comme vous et moi une température de 25 à 30°. Il a ensuite été pris en charge par un responsable de l'Ile aux serpents, dans la Vienne. Que faisait dans les bois ce serpent long de 2,40 m dont l'espèce est interdite à la vente ? C'est ce que tentera d'élucider la brigade de gendarmerie d'Écueillé qui est chargée d'enquêter. Et de retrouver son propriétaire. Une trouvaille inhabituelle qui fait suite à la découverte d'un cadavre de python à Vierzon, en mai, et à la traque d'un cobra fantôme, fin août, dans le nord de la Touraine. Source:http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=36&num=1409047
  7. askook

    Reptilariums, Vivariums, Zoos....

    Vivarium de Lausanne Ch. de Boissonnet 82 CH - 1010 Lausanne http://www.vivarium-lausanne.ch/index.php http://www.facebook.com/pages/Vivarium-de-Lausanne/191288217619302
  8. askook

    Heosemys depressa

    Des tortues de l'Arakan, très rares, repérées en Birmanie Des tortues terrestres de l'Arakan, espèce rare qu'on a cru éteinte pendant près d'un siècle, ont été récemment découvertes à l'état sauvage dans une forêt isolée de Birmanie. Une trouvaille qui pourrait aider à la préservation de ces reptiles presque totalement décimés par la chasse. Cinq de ces tortues ont été repérées en mai dernier lors d'une étude sur la vie sauvage dans la réserve d'éléphants de la forêt de Rakhine Yoma par le chercheur texan Steven Platt et une équipe de l'ONG Wildlife Conservation Society. Cette réserve contient des pans de forêts de bambou pratiquement impénétrables, seulement accessibles en suivant les pistes creusées par les éléphants, explique Steven Platt de l'université de Sul Ross à Alpine (Texas). Dans un entretien à l'Associated Press via courriel, le chercheur a raconté comment lui et son équipe avaient pu atteindre seulement par bateau cette région infestée de sangsues, après avoir essuyé des pluies incessantes, avant de finalement découvrir les tortues. "A ce moment-là, toutes les difficultés physiques du voyage sont oubliées", a-t-il témoigné. Les scientifiques ont longtemps cru que ces tortues, originaires des monts Arakan dans l'ouest de la Birmanie, avaient définitivement disparu, avant qu'elles ne refassent surface sur les marchés asiatiques dans les années 1990. Le nom local de ces tortues est "pyant cheezar", qui signifie littéralement "tortue qui mange des excréments de rhinocéros". L'appellation scientifique est, elle, Heosemys depressa. Selon les scientifiques, la chasse a pratiquement conduit à l'extinction de la tortue de l'Arakan, prisée en Asie pour ses vertus culinaires et médicales. L'espèce, qui semble se reproduire difficilement en captivité, est aujourd'hui considérée comme l'une des plus en danger au monde par l'Union internationale pour la préservation de la nature et des ressources naturelles (IUCNNR). Grâce à la découverte de ces cinq tortues, les scientifiques espèrent pouvoir sauver l'espèce. "Partout en Asie, les tortues sont décimées par les braconniers pour le commerce illégal des animaux sauvages", explique Colin Poole, directeur de la branche Asie à la Wildlife Conservation Society. "Nous sommes ravis et étonnés de voir que cette espèce extrêmement rare est en vie et se porte bien en Birmanie. Maintenant, nous devons faire notre possible pour protéger la population restante". Steven Platt et la Wildlife Conservation Society ont recommandé la mise en place de postes de surveillance sur les routes menant à la réserve de Rakhine Yoma pour éviter le braconnage, ainsi que le recueil d'informations sur les tortues de l'Arakan en vue de développer un programme de protection. AP Source:http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/20091009.FAP7361/international/
  9. Le retour inattendu d'une tortue birmane Une tortue considérée comme quasi disparue a été observée au Myanmar (Birmanie) pour la première fois depuis le début du 20ème siècle. Cette petite tortue (Heosemys depressa) vit dans des forêts de l’Etat de l’Akaran, dans l’ouest du pays. Deux des tortues de l'Akaran 'redécouvertes' en Birmanie. (AP Photo/Wildlife Conservation Society, Steven Platt) Une équipe de la Société pour la protection de la nature (Wildlife Conservation Society, New York, E-U) a repéré cinq de ces rares tortues au milieu d’une dense forêt de bambous, dans un sanctuaire créé pour protéger les éléphants. Selon les informations de la WCS, cette tortue à la carapace marron claire était considérée comme disparue jusqu’à ce qu’en 1994 des spécimens soient vus sur un marché alimentaire chinois. Cependant, depuis la capture d’une tortue de l’Akaran par un officier britannique en 1908, aucun animal vivant n’avait été observé. En Birmanie, le nom commun de l’Heosemys depressa signifie ‘la tortue qui mange des excréments de rhinocéros’, souvenir d’une époque, il y a plus de 50 ans, où l’on rencontrait le rhinocéros de Sumatra dans cette région. Recherchées pour la consommation de leur chaire ou pour les besoins de la médecine chinoise, les espèces protégées de tortues sont souvent victimes de la contrebande. Des études de terrain vont se poursuivre pour mieux connaître la population actuelle de tortues de l’Akaran tandis qu’un plan de protection, avec une surveillance permanente des routes du sanctuaire, est mis en place par la WCS. Source:http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/nature/20090907.OBS0263/le_retour_inattendu_dune_tortue_birmane.html
  10. AARQ Atlas des amphibiens et des reptiles du Québec http://www.atlasamphibiensreptiles.qc.ca/
  11. Orthriophis taeniurus ridleyi possède bien une langue rouge ou brique alors que O. t. taeniurus, O. t. friesei, O. t. mocquardi, possèdent une langue bleu noir, et que O. t. yunnanensis possède une langue allant du brun rouge à noir violet. Orthriophis taeniurus ridleyi. Photo pour illustration. Source: google Orthriophis taeniurus friesei. Photo pour illustration. Source: google
  12. askook

    Coluber constrictor foxi [INFO]

    Coluber constrictor possède 10 sous-espèces: Coluber constrictor anthicus (Cope, 1862) Coluber constrictor constrictor Linné, 1758 Coluber constrictor etheridgei Wilson, 1970 Coluber constrictor flaviventris Say, 1823 Coluber constrictor foxii (Baird & Girard 1853) Coluber constrictor helvigularis Auffenberg, 1955 Coluber constrictor latrunculus Wilson, 1970 Coluber constrictor oaxaca (Jan, 1863) Coluber constrictor paludicola Auffenberg & Babitt, 1955 Coluber constrictor priapus Dunn & Wood, 1939 Coluber constrictor foxii se rencontre au Canada (Ontario (sud)), Etats-Unis (Ohio (Nord/Ouest), Iowa (Est), Minnesota (Sud/Est), Wisconsin, Michigan. Coluber constrictor foxii mesure entre 120 et 180 cm. Sa coloration va du gris au bleu. Sa face ventrale est blanche ou bleue claire. Sa tête est généralement plus foncé que le corps et le dessous est blanc. Coluber constrictor foxii se rencontre dans touts sortes d'habitats (forêts, prairies, terres cultivées, au bord de points d'eau, éboulis rocheux...). C'est un serpent diurne et terrestre, mais qui n'hésite pas à grimper sur des arbustes de petite taille soit pour échapper à un prédateur, soit pour ce nourrir. L'alimentation de Coluber constrictor foxii est composée de rongeurs, oiseaux, amphibiens, insectes, reptiles (lézards, serpents). Je n'ai jamais élevé Coluber constrictor foxii, mais en 1995 j'ai possédé un couple de Cluber constrictor constrictor d'origine sauvage. Ces serpents sont très farouches, vifs et n'hésitent pas à mordre. Leurs morsures peuvent être très douloureuses. Il leur faut un terrarium spacieux (120/140 x 60 x 60 cm), une température comprise entre 24-28° C qui sera abaissée vers 18-20° C la nuit. Aucun soucis au niveau de l'alimentation. Toutes proies est facilement acceptées. Attention au cannibalisme. Pour ce qui est d'en trouver et surtout du NC, cela me parait bien difficile en France...
  13. Le village de Bazoulé est très célèbre grâce à ses crocodiles sacrés. Une fête baptisée "Koom lakré" est organisée chaque année pour honorer les sauriens. Bazoulé, une déformation de "M’pa zolg yé (je ne suis pas idiot", est un vilage situé à une trentaine de kilomètres de Ouagadougou.. Le village est l’un des sites touristiques majeurs du Burkina Faso avec sa mare aux crocodiles sacrés. Les habitants du village entretiennent des relations étroites avec ces reptiles. Des enfants se baignent sans risque à longueur de journée dans la mare de ces animaux réputés dangereux. Valeur touristique pour les uns, la mare aux crocodiles est un lieu de culte pour la population de Bazoulé. Le chef de Bazoulé, Naaba Kiiba disait dans Sidwaya du 16 septembre dernier, que ces reptiles ont été pris comme totems par leurs ancêtres : "ils allaient implorer les crocodiles pour de bonnes récoltes, le bien-être de la famille, la santé" "Koom lakré" ou le culte des crocodiles sacrés Aujourd’hui, les crocodiles de Bazoulé apportent leur protection à d’autres personnes.. Certains y vont dans l’espoir de faire prospérer leurs affaires, les uns pour avoir un enfant, les autres pour réussir à l’école, etc. Ainsi, chaque année au mois d’octobre, une fête de reconnaissance intitulée "Koom lakré" est organisée en signe de remerciements aux crocodiles pour les vœux exaucés. Le jour du "Koom lakré", la cour du chef est envahie par les villageois. Les troupes traditionnelles rivalisent de mélodies, des coups de fusil tonnent. Le cheval du chef est superbement harnaché. Après des échanges avec les notables, le chef monte sur son cheval en direction du bosquet sacré. Tout le monde le suit. Les femmes et les enfants mettent de l’ambiance. Le cortège traverse le marché du village pour atteindre le bosquet sacré. Des plats à base de pâte de mil ou de maïs (tô) attendent le chef et sa cour. Individuellement, des villageois et des invités donnent des poulets à sacrifier sur la pierre-fétiche. Après un long moment de sacrifice, une autre partie du rituel a lieu à la mare avec comme maître de cérémonie le Goog Naaba. Plusieurs poulets sont sacrifiés et offerts aux crocodiles. Après cette partie visible du "Koom lakré" ouverte à tout le monde, le chef et sa suite se retrouvent chez lui pour une partie de beuverie, pour des prestations musicales et de danse. Source: http://www.lefaso.net/spip.php?article33467&rubrique4
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