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  1. askook

    Superbe pièce d'élevage

    Demandé aussi gentiment, je ne peux que te les donner... http://www.livefoodshop.co.uk/forum/index.php?showtopic=65729 http://www.livefoodshop.co.uk/forum/index.php?showtopic=68370
  2. askook

    Superbe pièce d'élevage

    Tout est dans le titre. Il n'y a rien d'autre à rajouter... Vide: Remplie: Photos pour illustration. Source:google
  3. Voici la pose des premières planches et vis de mon tout premier rack. Il est en bois mélaminé blanc de 18 mm d'épaisseur. Il sera composé de 16 boites d'une dimension de 33,5 x 40 x 18 cm et de 2 boites de 33,5 x 40 x 32 cm. La suite demain...
  4. Jusqu'à présent, la plupart de nos spécimens étaient élevés en duo ou en trio... Vu les changements qui vont voir le jour avec la nouvelle pièce d'élevage (les travaux ont enfin commencé), l'élevage se fera désormais à l'unité...
  5. La protection de la plus grosse tortue du monde menacée au Costa Rica SAN JOSE - Le gérer du Costa Rica envisage de réduire les dimensions d'un parc national consacré à la protection de la plus grande tortue du monde, une espèce marine en danger d'extinction, pour ne pas verser d'indemnisation aux propriétaires de la zone, rapporte lundi la presse locale. Selon le quotidien La Nacion, le ministère de l'Environnement, de l'Energie et des Télécommunications (MINAET) a élaboré un projet destiné à réduire de 125 à 50 mètres de large la zone classée "parc national" sur deux plages où ont l'habitude de pondre chaque année le plus grand nombre de tortues luth. Les 75 mètres ainsi libérés passeraient sous un statut moins contraignant autorisant notamment l'installation d'habitations et le développement d'activités économiques, selon le ministre du secteur, Jorge Rodriguez. D'après lui, le gérer devrait payer entre 300 et 500 millions de dollars d'indemnités aux dizaines d'habitants qui possèdent des terrains dans la zone, s'il veut maintenir intégralement le statut de parc national. Plusieurs organisations écologistes estiment cependant que le nouveau statut proposé - "refuge de la vie sauvage" - ne garantit pas la protection des tortues luth, espèce placée sur la liste rouge des espèces menacées d'extinction, établie par l'Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN). Elles affirment notamment que le réchauffement climatique va entraîner une réduction de la taille des plages dans les prochaines années, ce qui diminuera progressivement l'aire de ponte des tortues. Les tortues luth peuvent atteindre jusqu'à 1,75 m de long et peser 500 kilos à l'âge adulte. Leur population a diminué de 97% ces vingt dernières années et il ne resterait plus que 1.700 femelles en âge de procréer à travers le monde, selon La Nacion. Source: http://www.romandie.com/infos/news2/091110004336.p7esx03m.asp
  6. askook

    Les serpents de France

    Les serpents de France de Guy Naulleau En format pdf: http://www.societeherpetologiquedefrance.asso.fr/Dossiers/2009/janvier/serpentsdefrance.pdf
  7. askook

    Besoins dans la nature et en captivité

    Bien sûr que les conditions d'élevage doivent être au plus près à celles du milieu naturel. Mais, les spécimens nés en captivité sont moins exigeant que les spécimens d'origine sauvage. Je le vois bien avec mes "mandarina"... Pour les spécimens sauvages, cela se joue presque au degré près au niveau température, alors que les spécimens nés en captivité possèdent un seuil de tolérance bien plus élevé...
  8. Quand les amphibiens croassent dans les forêts qui ont subi une coupe rase, c'est plutôt d’agonie que de contentement. D'après les chercheurs de l’Université du Missouri, les amphibiens adultes sont affectés, ainsi que leur réaction à ces bouleversements. Ils recommandent donc d’adapter les modes d’exploitation des forêts pour protéger ces animaux menacés. Les amphibiens ont deux phases dans leur vie, comme l’indique leur nom, du grec amphi, double, et bios, la vie, soit double vie. La première phase, celle de la reproduction et de la croissance des têtards, est aquatique, tandis que la phase adulte est terrestre et souvent forestière. Ray Semlitsch, professeur de biologie au College of Arts and Science de l’Université du Missouri, explique l’importance de ces organismes. « Les amphibiens sont de bons bio-indicateurs de la santé d’un milieu. Quand les amphibiens ne vont pas bien, c’est un avertissement que le reste de l’écosystème va mal. Ils sont sensibles à la température et à la déshydratation et ils adoptent la température de leur environnement. A cause de cette sensibilité, les amphibiens sont les vertébrés les plus menacés. Près d’un tiers des espèces à travers le monde sont en danger d’extinction. » Un effet kiss cool pervers Lors d’une coupe rase, l’intégralité du couvert végétal est retirée, exposant le sol et les mares aux rayons du soleil. Dans les mares, cela favorise la croissance des algues qui sont dévorées par les têtards dont le métabolisme est accéléré par la température de l’eau. La coupe est donc bénéfique à la phase aquatique des amphibiens car les larves grandissent plus vite, mais lorsque celles-ci sortent de l’eau, c’est une autre affaire. Sans l’ombre et la fraîcheur de la végétation, le terrain se transforme en fournaise pour les tritons, salamandres et autres crapauds, très sensibles à la dessiccation. Trois hypothèses étaient avancées pour expliquer le déclin post-exploitation forestière : retraite des individus dans des abris, fuite ou mortalité. C’est la deuxième option qui s’est révélée juste. Les adultes fuient les zones rasées pour atteindre des havres préservés et plus frais. Pour éviter ce phénomène peu favorable aux amphibiens, l’équipe de Ray Semlitsch recommande de ne plus effectuer de coupes rases mais de laisser des taches de couvert végétal. Cette pratique sera aussi bénéfique pour d’autres espèces animales, protégera en partie les sols de l’érosion et accélérera la régénération naturelle. « L’objectif ultime n’est pas d’arrêter l’exploitation du bois, résume Ray Semlitsch, mais de trouver des techniques qui peuvent assurer une exploitation forestière durable et protéger les écosystèmes forestiers, y compris les espèces d’amphibiens. » Il reste maintenant à étudier le destin des amphibiens qui ont fui et changé de milieu ainsi que le temps nécessaire à la recolonisation des zones exploitées. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/developpement-durable-1/d/exploiter-les-forets-sans-trop-affecter-les-amphibiens_21272/
  9. Voici un article trouvé dans le "Guide pratique des Maladie des reptiles en captivité du Docteur Lionel Schilliger paru aux Editions MED'COM" sur la quantité de nourriture à donner pour un serpent. - Chez les serpents, la quantité de rongeurs à distribuer peut être estimée de deux manières. 1) On considère que pour la plupart, les serpents sauvages consomment annuellement deux à quatre fois leur poids en nourriture. Sachant qu'en captivité, les besoins énergétiques sont réduits par le manque d'activité physique, le facteur 2 est retenu. Un serpent de 500 grammes adulte doit donc consommer 1 kg de petits mammifères par an, c'est à dire 18 souris sur huit mois d'activité (si l'on compte 4 mois de repos hivernal), ca qui correspond à une souris toutes les deux semaines. 2) Les besoins énergétiques quotidiens des reptiles peuvent être calculés d'une manière plus mathématique à partir d'une équation obtenue expérimentalement en cage métabolique, sur des animaux non gravides, au repos, à 30°C, dans l'obscurité. Ces besoins caloriques, proportionnels au poids de l'animal à la puissance 0,77, sont, par exemple de 6kcal par 24h pour un serpent de 500 grammes, soit de 90kcal pour 15 jours ce qui correspond exactement à la densité énergétique d'une souris adulte!
  10. Pourquoi y a-t-il tant de variétés de couleurs et de formes chez les oiseaux, les mammifères ou les insectes ? A cause de la sélection sexuelle, répondait Charles Darwin. Pas seulement, affirment aujourd'hui Gregory Grether et Christopher Anderson, de l'Université de Californie. Les deux chercheurs ont étudié le comportement d’espèces de demoiselle du genre Hetaerina, pour découvrir finalement que la coloration des robes des mâles ne relevait pas d'une affaire de coquetterie visant à séduire les femelles. Elle leur permet aussi de distinguer les mâles de leur espèce, donc leurs concurrents, de ceux d’autres espèces qui ne tenteraient pas de séduire leurs femelles. Inutile en effet de se fatiguer, donc de s’affaiblir, à chasser ces simples étrangers. Mieux vaut se consacrer entièrement à la séduction et à la compétition avec les vrais Don Juan. Déjà en 1962, le zoologiste et éthologiste Konrad Lorenz avait énoncé que l’incroyable diversité de couleurs des poissons des récifs coralliens devait provenir de mécanismes de sélection mis en place pour éviter de lutter contre les mauvais concurrents. « Cette idée n’a jamais réellement attiré le niveau d’attention qu’elle méritait en biologie de l’évolution » souligne Gregory Grether, de l'Université de Californie à Los Angeles (UCLA), co-auteur de l'étude. Un habit qui fait le moine Les travaux de ces scientifiques américains ont montré que les mâles se comportaient moins agressivement avec des mâles de leur espèce lorsque leurs ailes étaient artificiellement colorées pour imiter des mâles d’une autre espèce présente sur leur territoire. Les demoiselles se reconnaissent donc à leurs ornements colorés. Selon Gregory Grether, « que cette capacité ait évolué en conséquence d’une sélection contre les agressions interspécifiques est fortement suggéré par le fait que dans les lieux où les autres espèces n’étaient pas présentes, les mâles ne faisaient pas la distinction [entre leurs concurrents et ceux qui étaient artificiellement travestis] ». Hetaerina titia mâle, dont l’apparence a été utilisée pour berner des mâles de Hetaerina occisa. © UCLA En effet, s’il n’y a pas de relations de prédation ou de concurrence pour les ressources, il n’y a aucune raison d’interagir agressivement entre espèces. L’évolution devrait donc, selon les chercheurs, favoriser des mécanismes pour que ces espèces puissent se différencier. Ce mécanisme sélectif favoriserait par conséquent la différenciation morphologique (ici la couleur) entre les espèces. Pour généraliser ces observations, Gregory Grether, Christopher Anderson et le modéliseur Kenichi Okamoto ont élaboré un modèle mathématique pour prédire les conséquences de la rencontre d’espèces aux mêmes caractères sexuels secondaires. Ce modèle, dont les résultats sont publiés dans le journal Biological Reviews de novembre 2009*, montre une évolution rapide de ces caractères et comment les animaux identifient leurs concurrents. Pour Gregory Grether, ce processus évolutif est un élément important de l’évolution des espèces mais l’agressivité interspécifique est encore trop peu étudiée. Peut-être parce que ce mécanisme est difficile à différencier d’un autre processus, la sélection pour éviter non pas d’agresser une autre espèce mais de s’accoupler avec elle. Faire l’amour, pas la guerre, mais avec la bonne espèce ! Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/pourquoi-les-males-sont-ils-souvent-colores_21207/ * The role of interspecific interference competition in character displacement and the evolution of competitor recognition Lien: http://www3.interscience.wiley.com/journal/122538157/abstract Une demoiselle mâle de l'espèce Hetaerina occisa avec des marques colorées à la base et à l'apex de ses ailes. © UCLA
  11. Comment le papillon monarque peut-il migrer de milliers de kilomètres sur plusieurs générations sans se tromper ? Avec un GPS, assurent des chercheurs. C'est l'un de ces mystères dont Dame Nature est friande : le monarque, un papillon «royal» aux ailes tigrées noir et orange, effectue chaque année une très longue migration depuis la région des Grands Lacs, en Amérique du Nord, jusqu'au centre du Mexique, dans l'État du Michoacan. Certains de ces lépidoptères parcourent ainsi plus de 3 500 kilomètres vers le sud sans se tromper et s'installent par millions dans leurs quartiers d'hiver, d'octobre à mars, où ils se reproduisent. Leurs descendants remonteront ensuite vers le nord mais en plusieurs générations. Ils seront donc, à l'arrivée, les petits-enfants de ceux qui sont partis. Du coup, comment ceux qui migreront l'année suivante parviendront-ils à trouver leur chemin ? Une équipe franco-américaine vient de lever une partie du voile : les monarques possèdent des sortes de GPS dans leurs antennes (et pas dans leurs yeux). Leur cerveau, qui possède un compas solaire, est ainsi capable de visualiser le sud par rapport à la position du soleil dans le ciel. La maître d'œuvre de ces travaux est une jeune Française, Christine Merlin, formée à l'Inra et expatriée aux États-Unis après son doctorat. Elle a eu l'idée de peindre les antennes soit en noir (ne laissant pas passer la lumière) soit avec une peinture claire (la laissant passer). Les papillons aux antennes noircies perdaient leur sens de l'orientation. Les autres, non. CQFD. Reste à trouver où se cache la petite voix qui leur dit de migrer. Source: http://www.lefigaro.fr/sciences-technologies/2009/09/29/01030-20090929ARTFIG00365-les-antennes-a-gps-des-papillons-migrateurs-.php
  12. Quelques nouvelles de Boucan. La nageoire antérieure gauche a du être amputée en raison de l’importance de la blessure provoquée par un requin. L’hameçon retiré de la gorge de la tortue est un hameçon de petite taille utilisé par la petite pêche. La tortue opérée sous anesthésie générale, s’est réveillée rapidement, et ce matin respire fréquemment. Les prochains jours vont être déterminant car la tortue est déshydratée et affaiblie. La tortue a rejoint le centre de soins de Kélonia et est prise en charge par l’équipe de soigneurs du centre. Source:http://www.clicanoo.com/index.php?id_article=226596&page=article
  13. La liste rouge des espèces menacées en France Reptiles et Amphibiens de France métropolitaine http://www.uicn.fr/IMG/pdf/Liste_rouge_France_Reptiles_et_Amphibiens_de_metropole.pdf
  14. Lien remis Lithobius forficatus est responsable, en cas de morsure, de quelques effets bénins (picotements).
  15. Les maîtres nageurs de la Plage de Boucan Canot (ïle de la Réunion) ont sauvé une tortue grièvement blessée qui se trouvait sur le récif. Victime de morsures de requins et prise au piège par un hameçon, cette tortue n’aurait pas survécu à ses blessures sans une opération chirurgicale réussie cet après midi par deux vétérinaires. Les maîtres nageurs de la plage de Boucan Canot ont découvert avec stupeur une tortue géante très grièvement blessée. Bloquée sur le récif, cette tortue a sans nul doute vécu un enfer car après avoir été prise au piège par un hameçon de grosse taille, elle a été attaquée par un ou des requins. Les maîtres nageurs n'ont donc pas perdu de temps: ils ont directement amené cette tortue au sein d'un cabinet de vétérinaires à Saint Louis. L'intervention chirurgicale a duré une heure, la tortue était sous anesthésie générale. Deux vétérinaires étaient donc mobilisés: l'un pour l'hameçon dans la bouche de cette tortue géante et l'autre a procédé à l'amputation d'une des pattes car les dommages causés par la morsure du requin étaient trop importants. Baptisée Boucan, cette tortue sera remise en liberté mais avant de pouvoir retrouver l'immensité de l'océan, celle-ci sera placée pendant deux mois en convalescence au sein du Parc Kélonia, situé à Saint Leu. Pour assurer le bon rétablissement de cette tortue, il faut nécessairement qu'elle passe deux mois dans un bassin en eaux chaudes, avec un traitement antibiotique. Particulièrement impressionnante, cette intervention chirurgicale a bel et bien sauvé la vie de Boucan. PS: Il existe une vidéo. Voir lien en dessous. Source: http://www.linfo.re/Une-tortue-sauvee-de-justesse
  16. Association des Lépidoptéristes de France http://lepido-france.fr/
  17. Association Phyllie http://association.phyllie.free.fr/ Phyllie est une association loi 1901, créée en 1998. Son but principal est la diffusion et la vulgarisation des connaissances dans le domaine de l’entomologie (la science des insectes) liée à l’environnement, l’écologie et la biologie. Elle regroupe donc des professionnels, mais aussi des amateurs passionnés, ou tout simplement des personnes motivées autour d’un intérêt commun : celui des insectes et des arthropodes en général.
  18. Eléments d'une faune des Myriapodes de France Chilopodes par H.W. Brolemann http://www.faunedefrance.org/bibliotheque/docs/H.W.BROLEMANN%28FdeFr25%29Myriapodes-Chilopodes.pdf
  19. Les serpents géants menacent d’étouffer la Floride Les autorités de l’Etat de Floride, aux Etats-Unis, tirent la sonnette d’alarme face à la prolifération des serpents géants. Boas et python sont originaires d’autres continents, mais adaptés à leur nouvel environnement, y compris en ville. Les ouragans Andrew (1992), et Katrina (2005) les auraient aidé à s’échapper des animaleries. C’est un accident mortel, en juillet dernier, qui a provoqué la prise de conscience des autorités. Une fillette de deux ans est morte étranglée par un python birman de plus de trois mètres de long. Depuis, les études menées démontrent que les serpents géants venus d’autres continents, semblent apprécier le climat de la Floride. Les immenses zones marécageuses de cet Etat, dont certaines bénéficient de la tranquillité des parcs nationaux, comme les Everglades, constituent une zone de reproduction idéale pour ces serpents importés d’Afrique, d’Asie, ou d’Amérique du sud. Leurs couleurs naturelles se fondent dans la végétation locale et ils montrent des capacités d’adaptation qui permettent à certains, comme les pythons africains, de se plaire même en zone urbaine. L’étendue de leur régime alimentaire leur permet de ne pas trop faire la fine bouche et de se nourrir de proies très variées. L’étude de l’estomac de certains spécimens fournit tout un bestiaire de la Floride : chauves-souris, écureuils, lézards, iguanes etc. Même les alligators, jusqu’ici rois des marais, en font les frais. La prolifération de ces serpents géants menace du coup la faune locale, qui compte certaines espèces fragiles. LIBERES PAR L’OURAGAN KATRINA S’ils représentent une menace potentielle pour l’Homme, comme le montre l’accident de juillet, ils ne sont pas plus dangereux que les alligators. Les attaques restent rares, mais la plus grande prudence est recommandée. Selon certains experts, les envahisseurs se seraient abattus sur l’Etat à cause des ouragans : Andrew, en 1992 et Katrina, en 2005, ont durement touché l’Etat. Ils ont détruit des animaleries, permettant ainsi à des individus de s’échapper. D’autres spécialistes incriminent les propriétaires privés, qui se débarrassent d’animaux vite devenus encombrants. Face au fléau, les autorités s’avouent impuissantes. Les serpents géants sont particulièrement féconds et peuvent se déplacer sur d’énormes distances pour trouver leur nourriture. Leur population est déjà évaluée à plusieurs dizaines de milliers d’individus. Source: http://www.france-info.com/monde-ameriques-2009-11-02-les-serpents-geants-menacent-d-etouffer-la-floride-364061-14-16.html
  20. L'heure du repas pour un serpent bicéphale Photo pour illustration. Source: google
  21. askook

    Acrochordus javanicus

    Reptile home, c'est pas à Nice
  22. Elaphe -Basel (Marc Brandenberger) http://www.elaphe-basel.ch/cms/index.php?option=com_content&task=category&sectionid=10&id=28&Itemid=45 Photo pour illustration issue du site
  23. Reptira.com (Rainer Grohs) http://www.reptira.com/en/start_en.php Photo pour illustration issue du site
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