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Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    Elaphe et la cohabitation

    Il est préférable de séparer dès maintenant tes 8 serpents. Plus facile à gérer à tous les niveaux (nourriture, surveillance, etc.) Tu peux les élever dans des petites boites, que tu installera dans ton terrarium de 60x40x40 cm, en attendant mieux...
  2. askook

    Reptilariums, Vivariums, Zoos....

    Vivarium du moulin 6, rue du Moulin 68610 Lautenbach-Zell http://pagesperso-orange.fr/vivarium.du.moulin/
  3. askook

    saucisse pour serpent.

    Il y a longtemps que les "saucisses" pour serpents existent. Elles n'ont jamais convaincu les terrariophiles français... Je connais un éleveur qui fait ses saucisses lui même, en utilisant que du rongeur ou de la volaille et du boyau de porc. A ma question" quel avantage trouves-tu à ces saucisses?". Sa réponse est "ma femme ne supporte pas d'avoir un congélateur contenant des rongeurs", par contre elle accepte les "saucisses"...
  4. Les plages du Gabon, cocon pour les oeufs de la tortue luth POINTE DENIS (Gabon) - Après deux heures de marche nocturne sur les plages du parc national de Pongara, la patrouille tombe enfin sur une tortue luth, la plus grande tortue marine au monde, espèce protégée en voie de disparition : l'animal vient de pondre et regagne difficilement la mer. S'aidant d'une lumière rouge pour ne pas aveugler et perturber la femelle, Joan Ikoun-Ngossa, un des employés de l'association Aventures sans frontières (ASF), monte aussitôt sur le dos de l'animal pour le mesurer: 1m60 de long pour 1m11 de largeur. Certaines peuvent atteindre 2m40. Il pose aussi une bague sur les pattes arrière pour suivre l'évolution de la tortue. La femelle, hébétée, semble pataude sur la terre ferme mais disparaît rapidement dans les flots une fois la mer atteinte. Témoins de son passage: les imposantes traces de ses reptations, qui ressemblent à celles d'une roue d'un gros 4x4. La saison de la ponte a commencé début octobre et devrait durer environ deux mois. A chaque fois la tortue se rend de nuit sur la plage, creuse un trou, pond et recouvre les oeufs de sable avant de repartir, le tout en un peu moins de 2 heures. Elle pond entre 50 et 120 oeufs, un oeuf sur trois étant un "faux", sans embryon, raconte Joan, ancien piroguier reconverti dans la défense de l'écologie de son pays. "Les faux oeufs font partie du nid. Ils participent à la circulation de l'air, à la température", explique-t-il soulignant: "sans doute, la nature a-t-elle aussi prévu des genres de leurre pour les prédateurs". Les prédateurs sont nombreux: varans, crabes, oiseaux qui font partie du cycle naturel mais aussi l'homme, qui peut s'en nourrir, et les chiens errants, qui les mettent au jour. "Sur mille oeufs pondus, on estime qu'un individu seulement atteindra l'âge adulte", explique Angela Formia, du Wildlife Conservation Society (WCS). D'octobre à avril, Joan reste sur les plages de Pongara pour tenter d'augmenter les chances de survie des oeufs. "Quand la tortue pond sous la ligne de marée, les oeufs sont condamnés. On les récupère donc et on les met dans une écloserie", située un peu plus haut sur la plage, raconte-t-il. Aujourd'hui plus de 300 oeufs attendent déjà dans cette "maternité" improvisée. Les oeufs mettent deux à trois mois pour éclore. Les petits, longs de quelques centimètres à peine, rampent alors vers la mer où beaucoup seront mangés par des oiseaux, requins ou autres prédateurs marins. "Actuellement, il y a environ 40.000 femelles qui viennent au Gabon, soit la population de tortues luth la plus importante au monde", estime Angela Formia. Il existe aussi une importante colonie en Guyane française. Les femelles pondent tous les deux à trois ans, explique Joan Ikoun-Ngossa, soulignant que les bagues posées sur les animaux ont permis de déterminer qu'une tortue peut avoir jusqu'à trois portées d'oeufs en dix jours avant de repartir définitivement. Les connaissances sur la vie des tortues en dehors de ces périodes de ponte restent sommaires. "Selon des recensements, elles voyagent vers les eaux froides au milieu de l'Atlantique et au sud. Certaines ont été repérées au large du Brésil ou de l'Argentine", déclare Angela Formia. "On pense qu'elles peuvent normalement vivre juqu'à 80 ans", explique-t-elle à propos de cet animal, réputé sage et malin, qui a souvent le beau rôle dans les contes gabonais. La légende veut qu'elle ait terrassé grâce à la ruse léopards, serpents et autres crocodiles. Mais aujourd'hui, l'espèce est en voie d'extinction, selon de nombreux observateurs. La faute à la pollution notamment. Les principaux dangers qui la guettent sont les sacs en plastique, qu'elle semble confondre avec les méduses, sa principale alimentation. Source:http://www.romandie.com/infos/news2/091126053133.63o9cgp6.asp
  5. askook

    Kinyongia magomberae

    C’est en observant des singes dans la forêt de Magombera, en Tanzanie, que Andrew Marshall, du Département Environnement de l’Université de York, a découvert cette nouvelle espèce. Ou plutôt un serpent en train de la dévorer ! Après avoir récupéré l'animal qu'un serpent s'apprêtait à engloutir, Andrew Marshall et ses collègues du Museo Tridentino di Scienze Naturali, du South African National Biodiversity Institute, d'Anglia Ruskin University et de l’Université de Stellenbosch l’ont analysé et comparé à deux spécimens collectés à proximité. Ils l’ont nommé Kinyongia magomberae, c’est-à-dire le Caméléon de Magombera. Nouveau venu, nouvel espoir ? « Découvrir une nouvelle espèce est un événement rare, alors être impliqué dans l’identification et l’attribution d’un nom à cet animal est très excitant » déclare Andrew Marshall. Il ajoute que les espèces de caméléons sont en général très liées à de petites zones, malheureusement pour celui-ci, la forêt de Magombera est menacée. Mais il ajoute que sa découverte contribuera peut-être à aider à la protection de cette région. Andrew Marshall dirige un projet de recherche sur les changements de la forêt de Magombera qui combine études biologiques et éducation des populations locales à une gestion durable des ressources de la forêt. L’objectif final est de développer le statut de protection de cette forêt et de trouver des moyens alternatifs pour satisfaire les besoins des populations locales. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/en-bref-une-nouvelle-espece-de-cameleon-decouverte-par-hasard_21546/ Article: http://www.york.ac.uk/depts/eeem/people/marshall/MenegonEtAlInPress_Kinyongia_magomberae.pdf
  6. Les tortues volées ont regagné le jardin botanique Tours. Dix des onze tortues dérobées la semaine dernière au jardin botanique ont été retrouvées. L'enquête de la police se poursuit. L'affaire du vol des tortues du jardin botanique n'est certes pas une enquête prioritaire pour les policiers du commissariat de Tours, mais les investigations se poursuivent doucement autour de ce fait divers peu banal. Rappelons que, vendredi dernier, la ville de Tours a déposé plainte suite au vol de ces onze tortues dites d'Hermann – une espèce protégée par la convention de Washington – dans l'enceinte du jardin botanique. Le vol a été commis avec effraction, la porte du local qui héberge ces reptiles ayant été forcée. « Ce n'est pas la première fois qu'un vol de ce type est commis au botanique, explique un employé de l'équipe animalière. Ces tortues sont protégées, donc rares. » Et chères, bien sûr, puisque leur commerce est interdit depuis 1985 (sauf pour celles issues de l'élevage). On estime les spécimens volés à 500 € pièce. Le préjudice n'était donc pas négligeable… Et le gain potentiel en cas de revente des animaux dérobés pouvait être alléchant. L'enquête de la police n'a pas pour l'instant permis de préciser les motivations de ce vol. En revanche, dix des onze tortues ont été retrouvées. Neuf d'entre elles ont été découvertes au domicile d'une dame, à Tours. Leur présence a été signalée à la police par une voisine qui avait lu dans la presse l'annonce de leur disparition. Interrogée, la dame a expliqué que ces tortues lui avaient été amenées par son fils. Apparemment, elle-même ignorait tout de leur provenance. Lundi après-midi, le fils en question s'est présenté au commissariat de police, en possession d'un dixième animal. Il niait cependant être l'auteur du vol et affirmait que les reptiles lui avaient été remis par un ami à lui. L'enquête se poursuivait donc… En attendant, les tortues retrouvées ont regagné le jardin botanique. Elles ne semblent pas avoir souffert de leur escapade forcée. Source:http://www.lanouvellerepublique.fr/dossiers/journal/index.php?dep=37&num=1458674
  7. askook

    achat 2010

    Tout ira bien, je n'en doute pas. Quitte à aller faire une prière tous les dimanches...
  8. askook

    Antaresia

    C'est là que l'expérience joue énormément... Avec le temps et l'expérience, tu apprends à bien gérer ces moments de jeûne. Génial pour toi, Pituophil... Petite anecdote sur un Antaresia childreni Nous avons eu un spécimen difficile à nourrir. Ce spécimen restait des mois sans manger, était difficile sur les proies qu'il lui était présentées. Puis un jour, lors du nettoyage de son terrarium, je l'ai mis avec un autre juste le temps de... Et bien, là, il a eu une crise de cannibalisme et a mangé l'autre...
  9. En Georgie (USA), un Labrador de couleur chocolat a été dressé à pister les serpents indigo (Drymarchon) lors d'une étude et d'un recensement de ce genre... Article original: In Southeast Georgia, C.J. the research dog sniffs out reptiles FOLKSTON, Ga. — Researchers are using a popular breed of dog to learn how rare indigo snakes are faring in the Okefenokee National Wildlife Refuge. C.J., a 7-year-old chocolate Lab, has a nose for more than indigo snakes. He has sniffed for spider monkeys in Nicaragua, big cats in Brazil and bats in New Mexico. The intent is to determine what is leading to the decline of the threatened species and to take an informal census on the snakes in the swamp, said Sara Aicher, a refuge wildlife biologist. “We know we have some, but we don’t know how many,” Aicher said. Refuge officials made arrangements to use C.J.’s talents Monday and Tuesday through Project Orianne, a wildlife conservation organization based in Clayton that is dedicated to saving the species. Aicher said a snake survey has never been conducted in the area searched on the east side of the refuge, nor has a dog been used to track the elusive reptiles inside the refuge. “We have not had a good survey of indigo snakes,” Aicher said. “It will help us compare our management practices.” Indigo snakes were once common throughout Florida, South Georgia and parts of Mississippi and Alabama, but their numbers have dwindled. Their current range is in South Georgia and parts of Florida, including a few isolated populations in the Panhandle. The nonvenomous snakes are considered the longest snakes native to the United States, sometimes reaching lengths greater than 8 feet, according to refuge biologists. C.J., who was rescued from a shelter, is trained to track different animals, including individual species of snakes, without confusion, said Kara Ravenscroft, C.J.’s handler. Ravenscroft, her husband, Mike Ravenscroft, a field technician for Project Orianne, and the team of researchers allow the dog to take the lead during their search. Because indigo snakes often share burrows with gopher tortoises, the search focused on upland areas at or near the refuge. A bell attached to C.J.’s collar makes it easier to follow him as he sniffs across the rugged terrain, through thick bushes and over piles of branches. Mike Ravenscroft said the dog leads them miles during a typical search, but the distance depends on the terrain. “It’s rough habitat here,” he said. Whenever the dog found a tortoise burrow, he intently sniffed the area, trying to pick up the scent of an indigo snake. C.J. even stuck his head deep into some of the burrows. The dog’s sense of smell is good enough to lead searchers to snake droppings and skin that has been shed. “You can tell by the change in his behavior,” Kara Ravenscroft said of the dog’s wagging tail when he discovered the scent of a snake. Mike Ravenscroft said the hope is to find areas where the snakes congregate during breeding season, which begins when cooler weather arrives. Searchers planned to tag some snakes and remove a few scales for genetic tests, Aicher said, but C.J. found only one snake and two “sheds” — skin from snakes that had molted. The results were disappointing because they may not have been looking in the correct area during the two-day search, Aicher said. “They’re just really difficult to find because they are so scattered,” she said. “We’d love to find more, but it’s not surprising.” Aicher said it’s possible some snakes could be relocated from areas where they are known to be thriving, such as north of Fort Stewart and Telfair County. Source: http://jacksonville.com/news/georgia/2009-11-18/story/in_southeast_georgia_cj_the_research_dog_sniffs_out_reptiles
  10. askook

    achat 2010

    Des adultes. Ils feront leur première reproduction en 2010 et après si tout va bien, je les récupère...
  11. Serpent venimeux trouvé à la douane Il s’en est fallu d’un cheveu qu’un douanier ne se fasse mordre par une vipère des bambous, lors d’un contrôle à l’aéroport de Kloten. Ce dangereux reptile se trouvait dans les bagages d’un Suisse de 33 ans. L’homme venait de débarquer d’un avion en provenance de Malaisie, raconte le Tages-Anzeiger. «La découverte a été faite lors d’un contrôle de routine», déclare Heinz Widmer, inspecteur des douanes. Le serpent se trouvait dans un sac en toile, lui même placé dans un carton. La personne qui a effectué le contrôle aurait facilement pu être mordue à travers la toile. Le reptile a été confié aux services vétérinaires. Son propriétaire doit s’attendre à des poursuites judiciaires. Source: http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/20461009
  12. Découvrez comment une araignée tisse sa toile C’est tout simplement bluffant. Cliquez sur le lien ci-dessous, et vous assisterez à l’une des plus belles animations que j’aie jamais eu l’occasion de voir. Le plus intrigant, c’est de se dire que dans la petite cervelle de cet animal, se trouvent cachés des mécanismes lui permettant de mesurer un pas, comprendre si elle doit tisser de la toile ou avaler les morceaux inutiles, tourner à gauche ou à droite, etc. De quoi vous réconcilier avec la Toile! Source: http://www.hervekabla.com/wordpress/2009/11/decouvrez-comment-une-araignee-tisse-sa-toile/ http://www.espace-sciences.org/science/images/images-maj/Perso/spiderweb/index_spider.html
  13. askook

    Autopsie

    As-tu une école vétérinaire près de chez toi? Si c'est le cas, cela peut ne rien de couter. L'autopsie servira aux futurs vétérinaires... Il arrive aussi qu'un vétérinaire ne te demande rien. Il faudrait que tu contactes les vétérinaires près de chez toi...
  14. askook

    achat 2010

    Et voilà, J'ai trouvé mon couple de "laticinctus" pour 2010
  15. Un Cryptophis nigrescens albinos a été découvert, au sud de Gold Coast (Australie), et a été remis en liberté une fois observé. Source: http://www.brisbanetimes.com.au/queensland/tradies-pale-at-albino-snake-find-20091118-ilcf.html Vidéo: http://www.goldcoast.com.au/article/2009/11/18/159615_gold-coast-news.html Article original: Tradies pale at albino snake find It's extremely rare, extremely venomous and extremely pink. An albino small-eyed snake that sought refuge in a shovel handle was an unwelcome surprise on a building site just south of the Gold Coast last week. Construction workers in Pottsville, about 30 minutes south of the state border, watched the snake slither out from under a concrete slab into the shovel handle on Friday. A worker loaded the shovel onto his ute tray, hoping the snake would make its way out eventually, but that was to no avail. The three-year-old reptile stayed put until veterinarians at Currumbin Wildlife Sanctuary cut open the shovel handle. Like most brightly-coloured snakes, the small-eyed snake packs a deadly bite - its venom has killed one person before. It was the first time veterinarian Michael Pyne had seen an albino small eyed snake in his 10 years at the sanctuary. "They are certainly very rare," Dr Pyne said. "They don't usually survive in the wild very well, mainly because they're not camouflaged and they're easily spotted by predators." Despite his unusual appearance, the 50-centimetre-long reptile was the picture of health. "His parents would have both carried a recessive gene for albinism. Otherwise he's perfectly healthy," Dr Pyne said. Small-eyed snakes are usually a dark brown colour, but should not be mistaken for their venomous cousins - brown snakes. "Small-eyed snakes are not as venomous as black or brown snakes, but...there is one record of someone dying from a small eyed snake bite," he said. The pink critter will be returned to bushland near Pottsville today - far away from building activity. "We were very grateful that we got to save this guy," Dr Pyne said.
  16. Des recettes japonaises... à base d'insectes Tokyo, Japon - Shoichi Uchiyama est un adepte de la cuisine aux insectes. Dans le but de démocratiser cette pratique, il a publié un livre de recettes de cuisine à base d'insectes et de larves. Même si dans certaines contrées manger des insectes est une chose courante, beaucoup d'entre nous ont une profonde aversion pour cette pratique. Shoichi Uchiyama, amateur de cuisine aux insectes, se fait l'avocat de ces aliments hors du commun. M. Uchiyama insiste sur les bénéfices que l'ont peut trouver à consommer des insectes. Très riches en protéines, leur élevage est rapide et peu coûteux. Plus de 1400 espèces seraient consommées à travers le monde. Le livre de cuisine aux insectes de M. Uchiyama donne à ses lecteurs des recettes afin de pouvoir réaliser chez soi sushis aux chenilles, tofu aux mantes religieuses ou soupe aux cigales. Source:http://www.zigonet.com/cuisine/en-images-des-recettes-japonaises-a-base-d-039-insectes_art8869.html Nouilles aux insectes Bouchée de riz surmontée d'un insecte Sushis aux insectes Tofu aux mantes religieuses Maki
  17. Cameroun : le retour des criquets à Yaoundé Ces insectes verts très visibles dans la ville en ce moment, suscitent la curiosité chez certains citadins et l’engouement chez d’autres. Depuis quelques jours, les amateurs d’insectes se délectent à Yaoundé. Plus un seul coin de rue n’est épargné par les essaims de criquets. A longueur de journée et de nuit, jeunes et moins jeunes font la chasse. Ils arpentent les rues de quartiers, et même les bureaux, à la recherche des petits volatiles verts. « On veut juste vérifier si quelques criquets ne sont pas entrés ici », lance un jeune garçon, sans même se rendre compte qu’il trouble la concentration des travailleurs. Et dehors, la chasse se fait d’une façon assez insolite. Pas de gros efforts à fournir. Les proies sont faciles à attraper. Ces insectes volent assez bas et il suffit de les suivre pour les prendre un à un. Au bout d’une heure, on a une quantité suffisante pour un repas. « J’aime manger les criquets avec du bâton de manioc », lance Olga N., enseignante. Et comme elle n’a pas pu en avoir à volonté à son départ du bureau, Olga N. a acheté des insectes chez un autre ramasseur, pour son repas du soir. Et la gibecière, aussi insolite que le gibier. Une bouteille en place, non couverte. « C’est pour que les criquets ne puissent plus s’envoler. De plus, ça facilite leur transport », affirme Jeannot T., ramasseur de criquets. Et il y a même des stratégies pour en attraper en grande quantité. « Les insectes sont visibles en journée, mais c’est mieux en soirée. Ils sont attirés par la lumière. C’est pourquoi on s’installe la plupart du temps sous des lampadaires », souligne le jeune homme. Ce qui n’est pas sans risque pour les ramasseurs. Aux heures de pointe par exemple, certains manquent de se faire ramasser par des véhicules alors qu’ils tentent de rattraper un insecte, en pleine chaussée. « L’homme doit manger à la sueur de son front », a lancé un ramasseur, tout trempé. Et à son avis même ceux qui commercialisent ces insectes n’ont pas un autre moyen pour les capturer. C’est ce qui explique son coût élevé sur le marché. En effet, un paquet d’à peine 200 g de criquets séchés coûte en moyenne 500 F. Les insectes frais, vendus dans des bouteilles de 1,5 l reviennent à 1500 F. Mais en dehors des consommateurs, qui se réjouissent de l’apparition des criquets, les autres s’en inquiètent. Pour eux, c’est un signe de la météo qui ne trompe pas. « Plus il y a de criquets et de sauterelles à l’amorce de la saison sèche, plus elle sera rude », soutient Rigobert Tzopgang, la soixantaine. Source:http://www.camer.be/index1.php?art=7953
  18. La consommation des insectes et particulièrement des criquets et des sauterelles est une coutume très ancienne à travers le monde. Les saintes écritures révèlent d’ailleurs que Moïse se nourrissait de criquets et de sauterelles dans le désert. De nos jours, il est reconnu à ces insectes un apport certain pour l’organisme. «Sur le plan nutritif, la teneur en protéines (éléments bâtisseurs chez le jeune enfant) varie de 14% à 30%. C’est dire qu’ils contiennent autant de protéines que la viande et le poisson. Séchés, ils ont souvent une teneur en protéines double par rapport à la viande et au poisson frais », affirme Georges Okala, nutritionniste diététicien. Selon ce spécialiste, leur consommation peut contribuer à résoudre le problème de la malnutrition qui touche de nombreux enfants de moins de cinq ans dans nos pays. « Les criquets et sauterelles représentent aussi une bonne source de fer, indispensable à l’organisme. Ils apportent également du calcium nécessaire à la contraction musculaire, la consolidation des os et la coagulation du sang », ajoute Georges Okala. Outre ces raisons la consommation des criquets et des sauterelles a un impact positif sur l’environnement. En effet, ces insectes se nourrissent essentiellement de feuilles fraîches. Leur chasse évite donc la défoliation des branches et évite ainsi aux arbres de perdre leur vitalité. Source: http://www.cameroononline.org/2009/11/24/une-valeur-nutritive-insoupconnee/
  19. askook

    achat 2010

    Euprepiophis conspicillatus Euprepiophis mandarinus femelle axanthic Oreocryptophis porphyraceus laticinctus Oreocryptophis porphyraceus vaillanti Orthriophis moellendorffi Je ne ferai pas l'acquisition de toute cette liste cette année, je prendrai ce que je trouverai....
  20. askook

    Oiseau Vs serpent

    Apparemment, c'est un Chironius fuscus. Cette vidéo a été filmée au Pérou sur la rivière Yarapa.
  21. La tortue luth retrouvée morte au large de Roz-sur-Couesnon La tortue luth retrouvée blessée, mardi, sur une plage de la baie du Mont Saint-Michel, a été retrouvée morte hier matin au large de Roz-sur-Couesnon. Elle avait été remise en liberté, sa captivité étant totalement impossible. Deux sacs plastiques ont été retrouvés dans son estomac, après autopsie. Elle les aurait confondus avec des méduses, dont elle est friande. La tortue luth est présnte de l'Océan Indien jusqu'aux eaux froides du Groenland. C'est une espèce en voie de disparition. Source: http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-La-tortue-luth-retrouvee-morte-au-large-de-Roz-sur-Couesnon_-1159805_actu.Htm
  22. Onze tortues d'Hermann protégées volées au jardin Botanique de Tours TOURS — Onze jeunes tortues d'Hermann, protégées par la convention de Berne et de Washington, ont été volées dans la nuit de dimanche à lundi au jardin Botanique de Tours, a indiqué vendredi la mairie. La Ville de Tours a déposé plainte auprès du commissariat de police, toujours de même source. Les tortues ont été volées dans un local fermé à clef qui a été forcé. La tortue d'Hermann (Testudo hermanni) est l'unique tortue terrestre en France. Elle atteint 20 cm et sa longévité est importante (80 ans). Elle figure en annexe II de la Convention de Berne (protection des espèces) et en annexe II et C1 de la Convention de Washington (commerce des espèces). Ces tortues, du fait de la protection dont elles font l'objet, pourraient être revendues par des trafiquants. Leur vente permettrait un gain financier conséquent, selon la mairie qui demande à toute personne qui se verrait proposer ces tortues à la vente de bien vouloir contacter la police. Source: http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jBD4LQ3oT9BIrC6ktVywb7pYJE5w
  23. Galerie des insectes et arachnides de ma région ( Languedoc Roussillon) http://microgalerie.canalblog.com/
  24. Découverte de fossiles de nouvelles espèces Croco-sanglier, croco-rat, croco-chien, croco-canard et croco-crêpe Cinq crocodiliens anciens, l'un d'eux doté d'une dentition similaire aux défenses d'un sanglier et l'autre, d'un museau comparable au bec d'un canard, ont été découverts dans le Sahara par l'explorateur en résidence du National Geographic, Paul Sereno, et par le professeur mcgillois Hans Larsson. Les fossiles des cinq crocodiliens, dont ceux de trois espèces nouvellement désignées, sont ce qui reste d'un étrange habitat sur la zone terrestre méridionale, connu sous le nom de Gondwana, il y a de cela quelque 100 millions d'années. Monsieur Sereno, professeur à l'Université de Chicago, et les membres de son équipe, incluant le professeur Larsson, ont mis au jour les étranges crocodiliens pendant une série d'expéditions entreprise en 2000. « Ces espèces ouvrent une fenêtre sur un monde de crocodiliens complètement étranger à celui de ceux qui vivaient sur les continents septentrionaux », a déclaré le professeur Sereno. Ces crocodiliens, ainsi qu'une sixième espèce qui leur est étroitement apparentée, sont décrits en détail dans un article publié dans la version anglaise du numéro présentement en vente du magazine National Geographic. Mesurant 12 mètres de longueur et pesant 7 250 kilos, le Sarcosuchus imperator, ou Sarco, est le premier et le plus gros des crocodiliens découverts par le professeur Sereno dans le Sahara, sans toutefois être le plus étrange, selon le chercheur. De concert avec les membres de ses équipes, le chercheur a rapidement découvert les fossiles clés de cinq espèces autrefois inconnues ou peu comprises, dont la plupart se déplaçait en position verticale, bras et jambes sous le corps comme un mammifère terrestre, plutôt qu'étendus de chaque côté, le ventre touchant le sol. Nouvelles espèces : - Croco-sanglier (Kaprosuchus saharicus) : fossiles découverts au Niger. Carnivore se déplaçant en position verticale, mesurant six mètres de longueur, doté d'un museau blindé permettant de frapper et de trois rangées de crocs en forme de poignard pour trancher. Parent le plus proche découvert à Madagascar. - Croco-rat (Araripesuchus rattoides) : fossiles découverts au Maroc. Mangeur de larves et de plantes, se déplaçant en position verticale et d'une longueur de près d'un mètre. Paire de palettes à la mâchoire inférieure utilisées pour creuser et trouver de la nourriture. Parent le plus proche découvert en Amérique du Sud. - Croco-crêpe (Laganosuchus thaumastos) : fossiles découverts au Niger et au Maroc. Mangeur de galathées mesurant six mètres de longueur avec une tête plate de près d'un mètre en forme de crêpe. Dents pointues sur mâchoires fines. Pouvait apparemment demeurer immobile pendant des heures, mâchoires ouvertes, pour attendre une proie. Parent le plus proche en Égypte. L'article scientifique fait également état d'un proche parent découvert par l'équipe au Maroc, le Laganosuchus maghrebensis. Nouveaux fossiles : - Croco-canard : Espèce déjà désignée sous le nom d'Anatosuchus minor; fossiles découverts au Niger. Mangeur de poissons, de batraciens et de larves se déplaçant en position verticale et mesurant près d'un mètre de longueur. Museau évasé et pendant avec nez à la Pinocchio. Zones sensorielles spéciales à l'extrémité du museau lui permettant de fouiller le sol sur la plage et en eau peu profonde pour découvrir des proies. Parent le plus proche à Madagascar. - Croco-chien : Nouveaux fossiles d'une espèce appelée Araripesuchus wegeneri; fossiles découverts au Niger comprenant cinq squelettes, un à côté de l'autre, sur un seul bloc rocheux. Mangeur de plantes et de larves se déplaçant en position verticale, d'une longueur de près d'un mètre avec nez mou, ressemblant à celui d'un chien pointant vers l'avant. Galopeur sans doute agile et excellent nageur. Parent le plus proche découvert en Argentine. « Nous avons été surpris de découvrir autant de nouvelles espèces au même moment et au même endroit », a déclaré monsieur Larsson qui, en compagnie d'un membre de l'équipe, a découvert les ossements du croco-sanglier et du croco-crêpe. « Chacun des crocodiliens avait apparemment une diète et des comportements différents. Il semble qu'ils s'étaient réparti l'écosystème, chaque espèce en tirant profit à sa manière. » En se basant sur l'interprétation des fossiles, les professeurs Sereno et Larsson émettent l'hypothèse que ces anciens crocodiliens étaient de petits galopeurs évoluant en position verticale. Ils suggèrent que le plus agile de leur nouvelle ménagerie de crocodiliens pouvait non seulement galoper sur la terre ferme, mais qu'elle avait aussi développé une nageoire caudale lui offrant agilité et vitesse dans l'eau, deux moyens de locomotion considérés comme des marques de l'évolution au cours des 200 derniers millions d'années. Pour étudier le cerveau des crocodiliens, monsieur Sereno a effectué un examen tomodensitométrique crânien du croco-canard et du croco-chien et a créé des modèles numériques et physiques des cerveaux. Le résultat : le croco-chien et le croco-canard possédaient un cerveau antérieur large, en forme de trèfle, qui semble différent de celui des crocodiles de notre époque. « Il se peut qu'ils aient eu une fonction cérébrale plus sophistiquée que celle des crocodiles actuels », a déclaré monsieur Larsson, « parce que la chasse active sur terre nécessite plus de capacité cérébrale que l'attente pure et simple qu'une proie se manifeste. » Pour recueillir les fossiles des crocodiliens, le professeur Sereno et ses équipes ont dû supporter des températures allant jusqu'à 50 degrés Celsius et se sont nourris pendant des mois d'aliments déshydratés. La logistique représentait tout un défi : lors de l'expédition de 2000, ils ont transporté des camions, des outils, des tentes, 4 535 kilogrammes de plâtre, 270 kilogrammes d'eau et d'autres matériaux pour tenir quatre mois. Source: http://francais.mcgill.ca/newsroom/news/item/?item_id=112310 Pour plus de renseignements: http://news.nationalgeographic.com/news/2009/11/091119-dinosaurs-crocodiles-missions.html Pour lire l'article scientifique : http://pensoftonline.net/zookeys/index.php/journal/index «When Crocs Ate Dinosaurs» (Quand les crocodiliens mangeaient les dinosaures) sera diffusé le 21 novembre 2009, à l'occasion de la deuxième Semaine annuelle de l'expédition du National Geographic.
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