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Tout ce qui a été posté par askook
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Le projet Kalaweit a été créé en 1999 pour venir en aide aux gibbons captifs d'Indonésie. L'objectif est de rendre ces gibbons à la vie sauvage après un travail nécessaire de réhabilitation. Ceci se fait à travers une approche globale, avec protection de l'environnement de ces gibbons (création d'une réserve de la vie sauvage, lutte contre la déforestation) et l'intégration des populations locales à tous les niveaux du projet. Kalaweit gère deux centres (Bornéo et Sumatra), réhabilite actuellement 300 gibbons et siamangs, emploie 50 personnes, vétérinaires et employés. Kalaweit permet le parrainage de nos gibbons et siamangs. Kalaweit reçoit des stagiaires dans le cadre de stages de découvertes. http://www.kalaweit.org/index_fr.php
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La plus grande araignée du monde est une femelle (Nephila komaci)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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Toujours les mêmes snake.
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Serpents Venimeux
La terrariophlie, qu'elle concerne les venimeux ou non venimeux, en s'ouvrant au "grand public" s'est appauvrie en espèces. Il existe de nos jours une surproduction de certains '"virus" qui fait chuter les prix, ce qui facilite à de nouveaux terrariophiles l'acquisition de ces "virus", qu'ils feront reproduire à leur tour... Et cela devient une chaîne sans fin... Et comme l'a souligné Lucas, il sera de plus en plus difficile de céder ces nouvelles générations, alors ces espèces disparaitront des élevages, n'ayant plus aucun intérêt financier. Car la nouvelle terrariophilie, n'est plus une vraie passion mais souvent elle n'a qu'un but: L'argent... Combien de fois, j'ai entendu: "si j'élève cette espèce, crois-tu que je revendrai facilement les bébés". Mais j'entends de moins en moins, "je vais prendre cette espèce car j'ai vraiment un coup de coeur"... Pour reprendre l'exemple du Naja haje. Les jeunes de l'année étaient vendus 50 francs (faites la conversion en Euro) en fin de snake day dans les années fin 1990/début 2000. Le prix de vente d'une portée ne payait même pas la nourriture d'une année des parents... -
Elle vit en Afrique et appartient au genre Nephila, célèbre pour ses grands gabarits. Nephila komaci bat le record avec près de 12 centimètres. Du moins les femelles car les mâles, eux, sont des nains, en comparaison. Ce cas a offert l'occasion d'une intéressante étude génétique sur cette curieuse évolution séparée entre les deux sexes. La première découverte de cette impressionnante araignée remonte à 1978 mais personne ne l'avait alors décrite comme une espèce nouvelle. En 2000, Matjaž Kuntner, un zoologiste slovène, en a étudié un exemplaire, pieusement conservé dans un musée, celui du Plant Protection Research Institute, à Pretoria, en Afrique du Sud. L'aranéide appartenait manifestement au genre Nephila, créé par Linné en 1767 et qui s'est ensuite enrichi de 150 espèces, la dernière ayant été décrite en 1869. Toutes sont de bonnes tailles et savent tisser de belles toiles circulaires (ce que ne font pas toutes les araignées). Elles en détiennent le record de dimension avec des diamètres qui atteignent un mètre. Kuntner a fait du genre Nephila sa spécialité... jusqu'à affirmer qu'en réalité, tous les individus décrits ne représentent pas 150 mais seulement 15 espèces. La conclusion n'est pas si étonnante car les araignées présentent des différences très grandes entre individus, qui gênent beaucoup le taxonomiste. Avec Jonathan Coddington (National Museum of Natural History, Washington, Etats-Unis) et d'autres collègues, Kuntner est parti à la chasse aux Nephila en Afrique du Sud. Revenus bredouilles, les scientifiques ont émis l'hypothèse que l'espèce avait peut-être disparu. Mais un spécimen a été découvert en 2003 dans un musée de Vienne, en Autriche, provenant de Madagascar. La recherche s'est alors poursuivie dans 37 musées du monde parmi 2.500 spécimens. Mais pas de trace de la belle. Finalement, il y a quelques années, un mâle et deux femelles ont été récupérés par un zoologiste d'Afrique du Sud dans le Tembe National Elephant Park. Matjaž Kuntner et Jonathan Coddington ont enfin pu étudier à loisir l'aranéide mystérieuse et viennent de la décrire dans un article de la revue PlosOne. Il s'agit bien, selon eux, d'une nouvelle espèce, qu'ils ont baptisée Nephila komaci, en hommage à un ami de Kuntner, Andrej Komac, qui venait de décéder dans un accident. Chez les araignées de la famille des néphilidés, les messieurs sont – beaucoup – plus discrets que leurs compagnes. On voit ici, à gauche, un mâle de l'espèce Herennia multipuncta surpris en plein repos sur le dos d'une femelle. Les champions du genre appartiennent au genre Nephila. A droite, un mâle de N. pilipes se promène sur le dos de l'élue de son cœur. © M. Kuntner/J. A. Coddington/PlosOne Mâles et femelles : à chacun leur vie, à chacun leur évolution Découvrir une nouvelle espèce d'araignée n'a rien d'exceptionnel. Pour environ 41.000 espèces connues, quatre à cinq cents sont décrites chaque année. Mais celle-ci est particulière. Le corps des femelles mesure près de 4 centimètres (33 à 40 millimètres de longueur pour les spécimens étudiés). Avec les pattes, N. komaci atteint 10 à 12 centimètres, ce qui en fait actuellement la plus grande araignée connue. Mais la caractéristique la plus frappante est la différence de taille entre les deux sexes. Les mâles, en effet, sont à peu près cinq fois plus petits. Le corps de celui trouvé en Afrique du Sud est large de un centimètre et demi, sans les pattes, donc. Cette différence est commune dans le genre Nephila et chez certaines espèces, ce dimorphisme sexuel est même encore plus marqué. Une planche représentant Nephila komaci réalisée par les auteurs et publiée dans la revue PlosOne. A gauche (A), une femelle, sans les huit pattes. En B, la même, vue de profil. La petite barre horizontale donne l'échelle et représente un centimètre. En C et D, les parties génitales de la femelle et dessous (E et F), l'organe copulateur du mâle (de C à F, la barre horizontale représente 0,5 millimètre). © M. Kuntner/J. A. Coddington/PlosOne Les deux chercheurs ont pu étudier les filiations génétiques de l'espèce et remonter à l'évolution des tailles chez les individus des deux sexes. Leur conclusion est qu'elles se sont modifiées au fil des générations de manière complètement indépendante entre les deux sexes. La différence de taille actuelle est plutôt à interpréter comme le gigantisme des femelles que comme le nanisme des mâles. Selon eux, les femelles les plus grandes échappent davantage à la prédation et un seuil existerait à 28 millimètres (pour la longueur du corps). Chez les mâles, les petits sont avantagés parce qu'ils acquièrent plus tôt la maturité sexuelle et qu'ils sont plus agiles. Mais ils sont aussi désavantagés lorsqu'il s'agit de se battre avec des mâles plus grands qu'eux convoitant la même femelle. Les deux chercheurs estiment que des études sur des populations suffisamment grandes seraient fructueuses pour étudier ce genre d'évolutions parallèles. Mais la rareté des observations montre que l'espèce nouvelle est peut-être rare ou en danger. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/la-plus-grande-araignee-du-monde-est-une-femelle-forcement-une-femelle_21035/ Lien: http://www.plosone.org/article/info:doi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0007516
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Homalopsid Snakes, Evolution in the Mud de John C. Murphy chez Ed Krieger Les serpents aquatiques de la famille des Homalopsidae vivent généralement dans les eaux saumâtres. La péninsule indochinoise possède la plus grande diversité des espèces, et l'histoire de ces serpents est étroitement lié au paysage changeant de l'Asie du Sud. Beaucoup d'espèces se nourrissent de poissons, mais quelques-unes se nourrissent de crustacés. Homalopsid Snakes: Evolution in the mud est le seul livre disponible sur ces serpents aquatiques et est le premier examen complet du groupe depuis 35 ans. Il comprend la totalité des espèces, les photographies des serpents et de leur morphologie. Cet ouvrage contient aussi les résumés des travaux sur le terrain de l'auteur
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Publications scientifiques 2003 (Ophidiens)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Articles scientifiques
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