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askook

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  1. A 3-D kinematic analysis of gliding in a flying snake, Chrysopelea paradisi
  2. askook

    Holaspis guentheri

    Les secrets d’un lézard volant De nombreux animaux ont développé des capacités de contrôle de leur saut soit en planant soit en freinant leur vitesse verticale comme un parachute. Le contrôle du saut est rendu possible le plus souvent par des spécialisations morphologiques telles que des écailles en forme de volets ou de larges membranes. Or, bien que dépourvu de spécialisation morphologique, le contrôle du saut a été observé chez le lacertidé africain tropical (Holaspis guentheri, proche parent du lézard des murailles). Une étude en deux temps Des scientifiques du Muséum national d’Histoire naturelle, de l’ESRF (synchrotron européen) et de l’Université d’Anvers (Belgique) ont cherché à vérifier si ces reptiles maîtrisent leur saut lorsqu’ils se déplacent d’arbre en arbre. L’étude a consisté, dans un premier temps, à mesurer et comparer les performances des sauts (vélocité verticale et horizontale, distance horizontale couverte et durée de la descente) de 3 espèces de lézards : l’Holaspis, le gecko volant (Ptychozoon kuhli) et le lézard des murailles de nos régions (Podarcis muralis). Dans un second temps, les scientifiques ont examiné en détail l’anatomie de ces animaux par le biais de la microtomographie en contraste de phase par rayon X à l’ESRF (Grenoble). Un squelette optimisé Les mesures montrent que : - d’une part, le lézard africain contrôle mieux sa descente que le lézard des murailles en réduisant davantage sa vitesse de descente - d’autre part, à dimensions identiques, donc à surfaces portantes identiques, Holaspis présente un poids plus faible que le lézard des murailles. L’analyse des images synchrotron a mis en évidence un squelette plus léger, faiblement ossifié et occupé par de nombreuses foramen (ou trous). Les prochains travaux consisteront à étudier la morphologie fonctionnelle chez d’autres lézards et chez les grenouilles volantes. Source:http://www.science.gouv.fr/fr/actualites/bdd/res/3356/t/4/les-secrets-d-un-lezard-volant/ Reference : Ecomorphological analysis of aerial performance in a non-specialized lacertid lizard, Holaspis guentheri. Bieke Vanhooydonck, Greet Meulepas, Anthony Herrel, Renaud Boistel, Paul Tafforeau, Vincent Fernandez, Peter Aerts. (2009), The Journal of Experimental Biology. 212, 2475-2482. /articles-scientifiques-f64/publications-scientifiques-2009-sauriens-t14018.htm
  3. askook

    Abeilles

    Dans le journal télévisé de 20H du 29/09/09 sur TF1, il parle justement des ravages que fait ce frelon sur les abeilles. On y voit même un frelon manger une abeille. http://videos.tf1.fr/jt-20h/le-20-heures-du-29-septembre-2009-4823015.html
  4. askook

    Abeilles

    Mais où vont les abeilles quand elles ne rentrent pas à la ruche? Mystère chez les apiculteurs: depuis plusieurs années, des colonies entières d'abeilles s'évanouissent dans la nature et ne rentrent pas chez elles, laissant leur reine se débrouiller quasiment seule dans la ruche abandonnée. Les scientifiques présents au congrès mondial Apimondia à Montpellier se perdent en conjectures. D'autant que l'absence de cadavres d'abeilles à proximité des ruches ainsi désertées complique l'enquête. Aux Etats-Unis, les chercheurs parlent d'un "syndrome d'effondrement des colonies" (Colony collapse disorder, CCD). En 2007 et en 2008, les Etats-Unis ont perdu 36% de leurs colonies d'abeilles. Et les pertes liées au CCD ont encore atteint 30% au cours de l'hiver 2009, a indiqué à Montpellier Dennis van Engelsdorp, coordinateur d'un groupe de travail américain sur la question. Pesticides, maladies, virus, agriculture intensive, de multiples causes peuvent expliquer la disparition des abeilles. Mais "le CCD est une manifestation particulière des troubles de l'abeille", explique le chercheur français Gérard Arnold, président du comité scientifique du congrès Apimondia. "Les colonies s'effondrent, les abeilles ne reviennent pas à la ruche et on ne retrouve pas d'abeilles mortes", indique-t-il. "Dans les autres cas, on voit les colonies s'affaiblir peu à peu et on trouve des abeilles mortes autour de la ruche", ajoute-t-il. Les experts européens considèrent que le syndrome d'effondrement des colonies pourrait être le résultat d'une combinaison de causes. Pour le docteur Jean-Marc Bonmatin, chercheur à Orléans (centre), "le CCD est la conséquence d'un affaiblissement général des colonies d'abeilles, c'est l'étape ultime". Mais il désigne un coupable: "depuis des milliers d'années, les abeilles se sont très bien accomodées des parasites et des maladies, ce qui est nouveau c'est ce qui a été introduit par l'homme: les neurotoxiques". "Si les abeilles ne reviennent pas à la ruche, cela veut dire qu'elles ont rencontré en cours de route quelque chose qui les a tuées", explique-t-il. Ainsi, après avoir butiné des tournesols traités au niveau des semences par des pesticides neurotoxiques, les abeilles présentent des "comportements anormaux, elles sont prises de convulsions", indique-t-il. "Les pesticides affaiblissent les colonies et des agents pathogènes en profitent", renchérit Marc-Edouard Colin, docteur vétérinaire et chercheur à Montpellier. Et pour expliquer la disparition des insectes, il rappelle que "certains insecticides peuvent désorienter les butineuses qui se perdent et ne reviennent pas à la ruche". Des scientifiques américains de l'Université Columbia (New York) ont de leur côté montré dans une étude parue en septembre 2007 qu'un virus était impliqué dans la disparition massive des abeilles. Il s'agit d'une variante du virus baptisé IAPV (Israeli Acute Paralysis Virus) qui paralyse les abeilles. L'IAPV était le seul micro-organisme présent dans quasiment tous les échantillons provenant des ruches affectées, ont-ils souligné. "Ce qui ne veut pas dire que l'IAPV soit la cause de ce phénomène de disparition, c'est juste un indicateur d'affaiblissement", fait remarquer Jean-Marc Bonmatin qui estime "urgent de faire quelque chose contre les neurotoxiques, sinon on va dans le mur". L'Union nationale de l'apiculture française a de son côté lancé un "appel solennel" aux pouvoirs publics pour "une évaluation plus rigoureuse et complète de la toxicité des produits phytosanitaires". Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/998737/2009/09/20/Mais-ou-vont-les-abeilles-quand-elles-ne-rentrent-pas-a-la-ruche-.dhtml
  5. askook

    Plasma

    La mutation plasma est obtenue à partir de quelles mutations
  6. Si la plupart des auteurs actuels valident, pour Orthriophis taenirus, 7 sous-espèces (Orthriophis taeniurus taeniurus (Cope, 1861); Orthriophis taeniurus grabowskyi (Fischer 1885); Orthriophis taeniurus friesei (Werner, 1928); Orthriophis taeniurus mocquardi Schulz, 1996; Orthriophis taeniurus ridleyi (Butler, 1899); Orthriophis taeniurus schmackeri (Boettger, 1895); Orthriophis taeniurus yunnanensis (Anderson, 1879)) + 2 non décrites (ssp. bleue et ssp. jaune), cela ne fut pas toujours le cas. C'est en 1996 avec Schulz (Eine Monographie der Schlangengattung Elaphe Fitzinger) qu'Elaphe taeniura yunnanensis fit de nouveau son apparition et qu'Elaphe taeniura mocquardi prit la place d'Elaphe taeniura vaillanti. Sur le plan de la répartition géographique, Orthriophis taeniura friesei se rencontre uniquement sur l'île de Taïwan, alors que Orthriophis taeniura yunnanensis possède une répartition géographique plus grande (Inde (Nord-Ouest); Laos (Nord); Myanmar (Nord); République populaire de Chine (Provinces du Gansu, Guizhou, Shaanxi, Sichuan, Yunnan, Tibet); Thaïlande (Nord-Est); Viêt-Nam (Nord)). Voilà ce que j'ai trouvé concernant l'écaillure de ses deux sous-espèces: Orthtiophis taeniurus friesei Ventrales: 243-262 Sous-caudales: 96-123 Dorsales: 25 Orthtiophis taeniurus yunnanesis Ventrales; 236-260 Sous-caudales: 89-120 Dorsales: 23
  7. Phelsumania http://www.phelsumania.com/
  8. Un grand coassement d'amour qui porte loin constitue le meilleur atout de séduction de la grenouille mâle. Mais à Melbourne ces amphibiens ont bien du mal à dominer le bruit de la circulation, et leur vie sexuelle en pâtit, selon une chercheuse australienne. Voilà qui pourrait expliquer au moins en partie le déclin de la population de grenouilles dans la deuxième ville d'Australie, estime Kirsten Parris, de l'Université de Melbourne, qui surveille une centaine d'étangs depuis 2000. Selon ses observations, le bruit de la ville réduit considérablement la portée du cri du mâle en chaleur, "et les grenouilles ont beaucoup plus de mal à attirer des partenaires, ce qui pourrait se traduire par une réduction de leurs accouplements", explique-t-elle à l'Associated Press. Car le coassement est vraiment crucial à la saison des amours. "S'il y a un certain nombre de mâles qui appellent, c'est souvent celui qui sonne le mieux qui séduit la femelle", ajoute-t-elle. "Vous devez mettre vos atouts clairement en avant si vous êtes une grenouille mâle. En général, si (le mâle) met beaucoup d'énergie à appeler, s'il appelle très fort, ou pendant longtemps ou les deux à la fois, cela montre qu'il est fort et en bonne santé, et c'est ce que la femelle a tendance à choisir". Les espèces qui coassent en basse fréquence sont les plus pénalisées par la vie urbaine car elles doivent affronter dans leur couloir sonore la concurrence des voitures et de machines comme les climatiseurs. L'appel de la grenouille banjo, par exemple, est perçu par la femelle à 800 mètres de distance dans un environnement calme, portée qui se réduit à 14 mètres environ près d'une route bruyante. Kirsten Parris a découvert que la rainette marron qu'on trouve au centre de Melbourne s'était quant à elle adaptée en montant dans les aigus dans les zones où la circulation est la plus bruyante. Dans ces secteurs, le coassement ne peut être normalement être entendu à une distance de 19 mètres. Or, quand il le faut, cette rainette gagne 5 mètres supplémentaires en criant plus aigu. Les conclusions de la chercheuse semblent "hautement plausibles", estime Ken Thompson, spécialiste d'écologie à l'Université de Sheffield, qui dirige la revue britannique "Functional Ecology". "Les indices montrant que le bruit des habitats urbains a un effet sur le comportement des animaux s'accumulent", souligne-t-il. Ses propres recherches indiquent que des oiseaux en Grande-Bretagne se sont mis à chanter la nuit car leur habitat était devenu trop bruyant le jour. AP Source: http://www.bloc.com/news/monde/animaux-rubrique-hebdomadaire-grenouilles-2009-09-25.html
  9. Superbes Pituophis que tu as acquis Pour les "lodingi", je les préfère un peu plus vieux, lorsqu'ils sont bien noirs
  10. Certains spécimens sont de vrais anges
  11. askook

    mon couple de Pituophis

    Superbes spécimens... J'adoreeeeeeeeeeee Je me répète, mais le genre Pituophis mérite vraiment que l'on s'intéresse beaucoup plus à lui
  12. askook

    Vipera ursinii

    Programme life au service de la vipère d'Orsini Ce programme européen a pour vocation de maintenir dans un bon état de conservation les populations françaises de vipères d'Orsini et d'améliorer les connaissances du public sur ce serpent peu toxique. http://www.vipere-orsini.com/fr/
  13. Allez, une petite présentation dans la rubrique prévue à cet effet, et je te donne un site avec des photos de tous les lézards français + un autre avec plein de photos de sauriens Voici les sites: http://www.herpfrance.com/fr/ http://calphotos.berkeley.edu/browse_imgs/reptile_sci_1.html
  14. askook

    Développement durable

    http://www.developpementdurablelejournal.com/
  15. Pour détourner l'attention des prédateurs, le gecko peut se débarrasser de sa queue qui effectue une fois coupée des mouvements particulièrement complexes pendant de nombreuses minutes, selon une étude publiée mercredi dans la revue britannique Biology Letters. Objet de recherches depuis un siècle, la perte de la queue du gecko permet à ce petit lézard d'augmenter ses chances de survie et de courir plus vite, mais cette mutilation est aussi pénalisante pour ce reptile lorsqu'il saute ou grimpe, et également pour sa reproduction. En utilisant un électromyogramme, qui mesure le potentiel électrique généré dans les muscles, et une technique de vidéo ultra-rapide, Anthony Russell, de l'université de Calgary au Canada, et Timothy Higham, de l'université de Clemson en Caroline du Sud (Etats-Unis) ont analysé les mouvements de la queue coupée d'un gecko léopard (Eublepharis macularius). A la différence des mouvements de la plupart des corps ou membres d'animaux qui ne peuvent plus être contrôlés par le cerveau (comment ceux d'un poulet qui continue à courir lorsqu'on lui coupe la tête), ceux de la queue du gecko sont particulièrement diversifiés. "Nous avons découvert que la queue avait un large répertoire de mouvements variés et hautement complexes, dont des galipettes acrobatiques jusqu'à trois centimètres de hauteur", a déclaré M. Russell. Les scientifiques ne savent pas encore comment de tels mouvements peuvent être exécutés pendant un temps pouvant atteindre une demi-heure. "L'explication la plus plausible est que la queue reçoit des informations sensorielles en provenance de l'environnement. Des senseurs à sa surface pourraient la faire sauter, pivoter ou se déplacer dans une direction donnée", estime M. Russell dans un communiqué. Du point de vue évolutionniste, c'est le caractère imprévisible de ces mouvements qui confère aux geckos un avantage du point de vue de la survie, en mobilisant l'attention du prédateur, arguent les chercheurs. Ils pourraient aussi permettre de mettre la queue elle-même à l'abri, car il arrive que les geckos survivants reviennent la chercher pour la manger, afin de compenser la perte de graisses stockées dans ce membre. Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/990780/2009/09/09/Coupee-la-queue-du-gecko-effectue-des-pirouettes.dhtml
  16. Le monstre du Loch Ness repéré sur Google Earth? Une image satellite du Loch Ness repérée sur Google Earth apporterait-elle enfin la preuve que "Nessie", le monstre du Loch Ness, existe bel et bien? Les amateurs de mystères et autres illuminés férus de la créature ne demanderaient évidemment pas mieux. Voici en tout cas un nouvel élément pour alimenter la légende et les spéculations. C'est Jason Cooke, un gardien de sécurité anglais âgé de 25 ans qui a fait la découverte, aux coordonnées 57°12'52.13"N, 4°34'14.16"W. "Je ne pouvais pas y croire. C'est tout à fait les descriptions de Nessie", a-t-il commenté auprès du tabloïd The Sun. "C'est vraiment intriguant. Ca demande une étude approfondie", a estimé Adrian Shine, du Loch Ness Project. (7sur7) Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/981898/2009/08/27/Le-monstre-du-Loch-Ness-repere-sur-Google-Earth-.dhtml
  17. askook

    Plus d'importance que...

    Pour ma part, mon groupe de spécimens d'Euprepiophis mandarinus représente ce que j'ai de plus important dans mon élevage. J'ai mis tant d'année à créer ce groupe que toute mon attention se porte en premier sur eux... Si je devais ne garder qu'une espèce, ce serait bien sûr, celle-ci..
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