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Jour de contrôle pour les techniciens du parc de Gascogne. David Sautet et Marie Moreau se rendent à Brocas, sur l'un des 20 sites du parc étudiés, pour y observer les espèces de serpents présentes. Le dernier passage en date a eu lieu il y a dix jours. En plein coeur de la forêt landaise, ils connaissent parfaitement l'emplacement des huit tôles d'onduline qu'ils ont disposées à proximité des ronciers et des plans d'eau voilà quatre mois. « Ce sont des plaques d'un mètre carré qui captent la lumière et accumulent la chaleur. C'est un refuge pour les serpents, et aussi un excellent garde-manger », explique Marie Moreau. Les deux techniciens s'approchent en douceur... mais le silence n'est pas requis. « Les serpents sont sourds, donc on peut faire du bruit. En revanche, ils sont sensibles aux vibrations du sol », raconte Marie Moreau. Sous les plaques aujourd'hui, ils ne trouveront aucun serpent. « D'habitude, quand il y en a, il faut faire vite pour analyser à quelle espèce nous faisons face car ils s'enfuient assez rapidement. » Mais Marie a l'oeil alerte et sait les saisir en cas de besoin. Les techniciens David Sautet et Marie Moreau ont procédé au décompte. (Photo Loïc Dequier) Premier inventaire Aujourd'hui, fini de compter les serpents. Commencé en mars, l'inventaire des espèces de serpents présentes dans le parc naturel régional des Landes de Gascogne vient juste de s'achever. Pour les techniciens du parc, il est temps de faire le bilan. Pas moins de quatre espèces de reptiles se trouvent sur le territoire du parc, qui couvre la Gironde, les Landes et le Gers. Cela représente un tiers de la totalité des espèces que l'on trouve en France. Il s'agit de la couleuvre verte et jaune, la couleuvre à collier, la couleuvre vipérine et la vipère aspic. Deux autres potentiellement présentes - la couleuvre d'Esculape et la coronelle girondine - ne se sont pas montrées au cours des derniers mois. « Cela ne veut pas dire qu'elles n'existent pas, tempère David Sautet, le serpent est un animal très discret. » Et malgré l'ingéniosité du « piège », certaines ont pu passer entre les mailles du filet. Un tel inventaire est une première. « Nous avons déjà fait des inventaires d'oiseaux et autres rapaces de nuit, jamais des reptiles », explique David Sautet. Son objectif ? Mieux connaître cet animal, pour être capable de mettre en place des aménagements sur les sites sélectionnés pour l'étude. Chacun d'eux est géré par des associations de chasseurs ou le Conseil général. Chaque gestionnaire sera désormais capable par exemple de favoriser les sites de ponte. Tordre le cou des préjugés C'est l'occasion de tordre le cou des préjugés partagés par nombre de personnes. À ce propos, Marie Moreau est inquiète : « beaucoup de gens confondent couleuvres et vipères. Si un serpent fait irruption chez eux, ils le tuent sans discernement. » Marie Moreau rappelle que « le serpent est une espèce protégée, en tuer un est passible d'une amende allant de 91 à 915 euros. Beaucoup ignorent que le serpent est très important dans la chaîne alimentaire, et que sans lui, nos forêts seraient probablement ravagées par les mulots ou les musaraignes. » Source: http://www.sudouest.com/landes/actualite/article/686830/mil/5022133.html
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Nous avons effectivement élevé par couple des Lampropeltis (Lampropeltis mexicana, Lampropeltis alterna, Lampropeltis getula californiae), mais cela fut impossible avec d'autres espèces de Lampropeltis (Lampropeltis getula nigrita, Lampropeltis getula floridana). Il y en avait toujours un qui voulait manger l'autre. De toute façon, en faisant cohabiter des serpents, on est jamais à l'abri d'un cas de cannibalisme ou d'ophiophagie. Nous avons bien eu un Antaresia childreni qui a mangé l'un de ses compagnons de terrarium. Cette espèce n'est pourtant pas connu pour avoir des tendances ophiophages.
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Le Pituophis melanoleucus lodingi est naturellement, à l'age adulte, de couleur noir. Il existe aussi en forme snow Photo pour illustration. Source: google Et chez cette espèce, pas de soucis de cohabitation. Voici un lien, pour faire connaissance avec cette espèce: /notes-d-elevage-colubrides-f45/pituophis-melanoleucus-ssp-t5795.htm
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quelque reptiles de notre élevage !
askook a répondu à un(e) sujet de fredy-reptiles1111 dans Vos P'tits Virus
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La veuve noire pourrait s'acclimater à la Belgique
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Python dans un jardin schaffousois Un python molure de 2,5 mètres de long a été découvert dans le jardin d'une maison à Neuhausen (SH). Le serpent, qui n'est pas venimeux, était à l'affût devant une cage contenant des cochons d'Inde. Il a été capturé par un expert de la police schaffhousoise. Le serpent, qui pèse 15 kg, n'est pas blessé et les cochons d'Inde sont saufs, a indiqué vendredi la police cantonale schaffhousoise. Le python molure (Python molurus bivittatus) est originaire d'Asie du sud-est. Il peut mesurer jusqu'à 6 mètres de long. La police ne sait pas à qui appartient le serpent. Il faut une autorisation pour posséder un tel animal.(ats) Source:http://www.20min.ch/ro/news/suisse/story/24409840 -
La veuve noire pourrait s'acclimater à la Belgique
askook a posté un sujet dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Le risque est réel que la veuve noire, cette araignée dont certaines sous-espèces possèdent un venin très toxique, s'acclimate à la Belgique, où de plus en plus de spécimens sont retrouvés, selon ARABEl, la société arachnologique de Belgique. Ce n'est pas la première fois que des spécialistes tirent ainsi la sonnette d'alarme concernant la veuve noire, qui entre la plupart du temps en Belgique par les ports. Le zoo d'Anvers a été alerté récemment de cas de veuves noires arrivées en région anversoise enfouies dans des anciennes voitures de collection. Ces deux dernières années, une vingtaine de spécimens adultes ont été découverts, et autant de cocons. Lors de la dernière intervention, neuf araignées adultes et leurs cocons ont été récupérés dans deux voitures. Selon ARABEl, il ne s'agit là que du sommet de l'iceberg. Les entreprises tairaient en effet souvent ce genre de découverte, pour une question d'image. Le risque d'acclimatation de la veuve noire à nos latitudes est réel, comme cela a déjà été constaté dans d'autres pays, affirme ARABEl. Sa résistance naturelle et sa capacité à survivre aux hivers en se protégeant dans les habitations n'est plus à démontrer aux Etats-Unis ou en Australie. Stock de contrepoison Estimant qu'il faut agir dès à présent, ARABEl a transmis à la ministre flamande de l'Environnement Joke Schauvliege un rapport recensant plusieurs mesures. Les arachnologues recommandent notamment de prévoir un stock de contrepoison nécessaire en cas de morsure, et dont la distribution serait encadrée. La veuve noire, qui mesure en moyenne 4 à 5 centimètres, n'est pas une araignée agressive mais sa morsure, dans 5 pc des cas, est mortelle, surtout quand elle porte sur des sujets sensibles tels que les enfants, les personnes âgées ou les malades du coeur. Un contrepoison peut être administré jusqu'à quatre jours après la morsure. Il n'y a toutefois pas lieu de paniquer, tempère ARABEl, mais bien d'être prévoyant au niveau des autorités. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1506/Sciences/article/detail/974747/2009/08/19/La-veuve-noire-pourrait-s-acclimater-a-la-Belgique.dhtml -
Causus defilipi Photo pour illustration de Devon Massyn Généralité Répartition géographique: Botswana, Kenya, Malawi, Mozambique, République d’Afrique du Sud, République Démocratique du Congo, Swaziland, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe. Taille: De 20 à 35 cm, avec un maximum de 45 cm. Biotope: Des plaines sèches jusqu'aux savanes humides, en passant par les maquis et les forêts côtières jusqu'à une altitude de 1 800m. Se rencontre dans les fourrés, sur les pentes et escarpements rocheux. Biologie: Terrestre mais grimpe parfois sur des buissons à la poursuite de nourriture. Nocturne, mais il n'est pas rare de l'apercevoir pendant la journée. En période d'inactivité, se cache dans des trous, sous des troncs d'arbre mort. Nourriture: Amphibiens: crapauds et grenouilles. Reproduction: Ovipare. Comportement: Si dérangé, gonfle son corps et siffle. Denture et Venin: Solénoglyphe. En cas de morsure: gonflement du membre mordu pendant 2 ou 3 jours, douleur intense, fièvre, vomissement. Pas de nécrose. Vie en captivité Terrarium: 60 x 40 x 50 cm. Température: Diurne: (24-6° C. Point chaud: 28°C). Nocturne:20° C. Humidité: Entre 55 et 70%. Une pulvérisation quotidiennes est nécessaire. Luminosité: Si le terrarium reçoit le soleil le matin, il n'est pas obligatoire d'installer un éclairage artificiel. Nourriture: Amphibiens (crapauds, grenouilles) Remarque: Espèce lente mais qui peut réagir rapidement.
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Causus bilineatus Généralité Répartition géographique: Angola, République Démocratique du Congo, Rwanda, Zambie. Taille: De 30 à 50 cm avec un maximum de 65 cm. Biotope: Savanes humides, forêts claires et les régions marécageuses. Biologie: Terrestre. Nocturne, mais il n'est pas rare de la rencontrer en journée. En période d'inactivité, se cache dans des trous, des troncs d'arbres creux. Cette espèce est la plus aquatique du genre Causus. Nourriture: Amphibiens: crapauds, grenouille (Xenopus) Reproduction: Ovipare. Comportement: Si dérangé, gonfle son corps et souffle. Denture et Venin: Solénoglyphe. En cas de morsure: gonflement du membre mordu pendant 2 ou 3 jours, douleur intense, fièvre, vomissement. Pas de nécrose.
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Mullah katl ud n'a pas bien compris le fonctionnement des portes automatiques. Légèrement perdu face à ce genre de portes, l'étudiant pakistanais a élaboré une technique particulière pour sortir du bâtiment. Courir et sauter à travers les fenêtres vitrées. La scène filmée par la caméra de surveillance de l'université fait depuis le tour du net. Le jeune homme a d'ailleurs été nominé pour le concours de "l'idiot de l'année" Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/972321/2009/08/17/Il-ignore-le-fonctionnement-des-portes-automatiques-et-passe-a-travers-video-.dhtml
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Invasion de coccinelles sur les côtes allemandes Les côtes allemandes, de la Mer du Nord à la Baltique, sont envahies depuis plusieurs jours par des millions de coccinelles alors que la saison touristique bat son plein, selon l'organisation de défense de la nature NABU qui précise qu'elles sont inoffensives. Les coccinelles ont également investi le grand port de Hambourg (nord). "Il s'agit d'un phénomène tout à fait naturel", a précisé Bernd Quellmaz, porte-parole du NABU à Hambourg. "Il ne s'agit en aucun cas d'un fléau" bien que de nombreux vacanciers et habitants des côtes maritimes se plaignent de cette invasion étrange. Plusieurs restaurateurs et propriétaires de bars de la région proche de Hambourg déplorent une baisse considérable de leur activité, les touristes fuyant les terrasses en raison des coccinelles qui y pullulent. Certains refusent également de se rendre sur les plages en raison de cette invasion. Les associations de protection de l'environnement expliquent ce phénomène par le nombre particulièrement élevé de pucerons, nourriture favorite des "bêtes à Bon Dieu", et par des conditions climatiques particulières mêlant chaleur et humidité, favorables au développement de ces insectes. Les associations de protection de la nature s'inquiètent en revanche de la multiplication des coccinelles dites asiatiques*, une espèce qui dévore beaucoup plus de pucerons et est considérée comme nuisible pour les autres espèces de coccinelles, qu'elle tend à éliminer. Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/948633/2009/07/29/Invasion-de-coccinelles-sur-les-cotes-allemandes.dhtml * Lien: /insectes-et-autres-invertebres-f9/les-coccinelles-asiatiques-attaquent-t6804.htm
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L'existence d'espèces animales endémiques de l'archipel des Galapagos est menacée par un moustique ramené par les touristes depuis l'Amérique du Sud, selon une étude britannique publiée mercredi. Le moustique Culex quinquefasciatus, vecteur de diverses maladies comme la fièvre du Nil occidental ou le paludisme aviaire, est régulièrement introduit par les avions ou bateaux de touristes, menaçant d'un "désastre écologique" l'archipel situé à quelque 1.000 km à l'ouest des côtes de l'Equateur, dans le Pacifique. Les tortues géantes, qui ont donné son nom à l'archipel, sont parmi les espèces endémiques menacées par le moustique, comme les iguanes marins, les lions de mer ou encore divers oiseaux (pinsons, albatros...). L'étude, menée par l'université de Leeds en Angleterre, la Société zoologique de Londres, l'université de Guayaquil en Equateur, le Parc national des Galapagos et la Fondation Charles Darwin, a été publiée mercredi dans un journal de la Royal Society, l'Académie des sciences britanniques. Désastre écologique "Peu de touristes réalisent l'ironie que leur voyage vers les Galapagos puisse en fait accroître le risque d'un désastre écologique", a déclaré Simon Goodman de l'université de Leeds. "C'est probablement juste une question de chance qu'on n'ait pas encore constaté un impact sérieux en terme de maladies dans les Galapagos." "En moyenne, le nombre de moustiques transportés par avion est faible, mais de nombreux avions arrivent chaque jour du continent au service de l'industrie touristique", a souligné un autre chercheur Arnaud Bataille. Protection rigoureuse L'Equateur a récemment imposé que tous les avions effectuant la liaison avec les Galapagos soient traités aux insecticides, mais l'impact de cette mesure est encore à établir et elle devrait aussi être étendue aux bateaux, a remarqué M. Goodman. "Avec la croissance si rapide du tourisme, l'avenir des Galapagos tient dans la capacité du gérer équatorien à maintenir une protection bio-sécuritaire rigoureuse", a-t-il estimé. L'archipel des Galapagos compte 13 îles principales et 17 îlots déclarés patrimoine de l'humanité en danger par l'Unesco en 2007 en raison des risques présentés notamment par le tourisme de masse sur son fragile écosystème. (afp) Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/966230/2009/08/12/Un-moustique-menace-des-especes-animales-endemiques.dhtml
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Grande-Bretagne - Des millions de coccinelles ont envahi les îles britanniques, dérangeant les habitants et les touristes. Cette invasion serait la plus conséquente depuis celle de 1976, année marquée par un été exceptionnellement chaud. A Norfolk, l'une des zones les plus touchées, les propriétaires de voitures ou de vêtements aux couleurs vives se sont retrouvés littéralement assaillis par les nuées d'insectes. A Bacton-on-Sea, de nombreux campeurs ont été contraints de s'enfermer dans leurs véhicules pour éviter les coccinelles. "Elles continuaient à s'introduire par le moindre interstice, par les fenêtres, sous les portes..." expliquait Anna Hollis, du Castaways Holiday Park. Selon les experts, la population d'insectes, évaluée à plusieurs dizaines de millions, devrait rapidement décliner en même temps que les ressources en pucerons, nourriture exclusive de la coccinelle à 7 points (Coccinella septempunctata), l'espèce concernée par cette "explosion" démographique. Source:http://www.maxisciences.com/coccinelle/des-millions-de-coccinelles-chassent-les-touristes-des-les-britanniques-decouvrez-les-images_art3216.html
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Les espèces du genre Zamenis ont longtemps fait parti du genre Elaphe. Zamenis situla se rencontre en Europe, dans les pays bordant la mer Méditerranée. Cette espèce est protégé dans son milieu naturel par la Convention de Berne. Un terrarium de 60/70 x 40/50 x 50 cm est suffisant pour élever un spécimen. Les températures diurnes seront comprises entre 22°C au point le plus jusqu'à 28°C pour le point le plus chaud. La nuit, le chauffage sera baissé ou éteint pour atteindre une température de 18-20°C. Attention, même si cette espèce vit en bordure de la mer Méditerranée, Zamenis situla ne supporte pas de grosse chaleur. Au début de son maintien en captivité, les terrariophiles l'ont souvent élevé dans des terrarium de style désertique. Malheureusement avec peu de résultats positifs. C'est ce qui lui a valu sa réputation d'espèce difficile. Le terrarium devra comporté beaucoup de cachettes, quelques branches viendront compléter le décor. Une fois bien acclimaté à son environnement, il n'est pas rare, en journée, de voir son spécimen posé sur un des abris. La reproduction de Zamenis situla passe obligatoirement par une période de repos de 2 à 3 mois entre 10 et 15° C. Les pontes ne se composent que de 2 à 6 oeufs. Ce petit nombre d'oeufs explique que Zamenis situla reste encore que peu répandu chez les terrariophiles.
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