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Il existe chez Lamprophis fuliginosus deux sous-espèces: Lamprophis fuliginosus fuliginosus (Boie, 1827) Lamprophis fuliginosus mentalis (Günther, 1888) Bien que la plupart des auteurs donnent Lamprophis fuliginosus mentalis comme une espèce distincte: Lamprophis mentalis Il existe aussi chez Lamprophis fuliginosus, une population qui vit en Afrique du Sud dans la région du Cap, dont certains auteurs (Broadley et al (2003) and Marais (2004)) la séprare en une espèce valide: Lamprophis capensis.

Beaucoup de choses rentrent en compte lors d'une envenimation quelle que soit la denture. - le spécimen qui inflige la morsure (état de santé et condition physique) Lors de la morsure du "blandingii", si celui-ci avait eu quelques mois de plus de captivité pour se faire une santé. Je suis persuadé que sa morsure aurait eu d'autres conséquences pour moi. - la morsure en elle même. Le "cyanea" m'a juste attrapé et relâché de suite alors que le "blandingii" a eu le temps de me "mâchouiller" un peu car j'ai retirer, une à une, ces dents et crochets plantés dans ma main. En résumé une morsure plus importante mais infligé par un spécimen amorphe peut donner le même résultat qu'une morsure plus superficielle infligé par un spécimen en pleine forme. Viens ensuite l'expérience de l'éleveur. Sa réaction vis-à-vis d'une envenimation, va influencer celle-ci. Après l'accident, si l'on s'agite dans tout les sens, si l'on stress, si l'on arrive pas à ce gérer émotionnellement ou que l'on manque de lucidité, on ne ferra qu'aggraver la situation et d'augmenter les symptômes de l'envenimation ainsi que les conséquences qui peuvent en découler. L'expérience et l'âge de l'éleveur seront alors à ce moment là, très important. Personnellement, après mes deux envenimations, j'ai poursuivi mes activités, mais au ralenti et en faisant attention à ce que je faisais. Pas boire de café, qui est un excitant, pas prendre de l'aspirine ou des anti-inflammatoire (risque d'hémorragie), par exemple. Ne pas ,non plus, faire une fixation sur l'accident, mais en ayant toujours un oeil sur l'évolution des symptômes et savoir jusqu'à quel point on peut gérer seul l'évènement. Comme dit plus haut, l'expérience rentre là aussi en jeu. Autre point important, la santé et l'état physique de la personne envenimée. Quelqu'un en bonne santé, va réagir différemment à une même envenimation qu'une personne ayant déjà des défenses immunitaires affaiblies. Un conseil, ne jamais manipuler du venimeux lorsque l'on est affaibli, fatigué ou alcoolisé. On amplifiera à coup sûr les symptômes et les conséquences. Il faut aussi avoir dans ses relations, quelqu'un en qui l'on a confiance, et qui sera par son éxpérience nous rassurer et nous guider. Je sais par expérience que c'est très utile lors d'une première grosse frayeur.

Après la théorie, voici la pratique... Victime de deux envenimations par des spécimens de boïgas (Boiga cyanea et Toxicodryas (Boiga) blandingii), je fais part de mon expérience. La première envenimation s'est produite en 1999, lors d'un soin prodigué à un mâle adulte de Toxicodryas blandingii, d'origine sauvage, venant d'arriver dans l'élevage. La deuxième, plus récente en 2006, est dû à un mâle adulte de Boiga cyanea lors d'un nourrissage. Le membre mordu a été à chaque fois la main. Les deux envenimations ont produit les même effets et ont été suivies des mêmes symptômes. Juste après les morsures, sont apparus des picotements et une sensations de brûlures dans toute la main, puis qui ont remonté le long du bras jusqu'à atteindre l'épaule. Par contre, aucun oedème ne sait formé à l'endroit de la morsure. La main et le bras furent engourdis et une sensation de paralysie au niveau des membres resta pendant quelques heures. Pendant ce temps, apparurent des ganglions au niveau de l'aisselle, ainsi qu'une fièvre dépassant les 40°. La fièvre s'estompa au bout de 24h, quant aux ganglions ils disparurent dans les 48 heures qui suivirent les envenimations. Aucun traitement ne fut pris lors de ces deux envenimations. Je pense qu'il faut aussi préciser que j'étais en parfaite santé à ce moment là. L'état de santé du soigneur joue un rôle important lors d'une envenimation.

Nigri (vient de l’espagnol ou du portugais. Le mot est dérivé du latin niger, « noir » ceps: origine latine qui veut dire tête

Même chose. Avec du temps, je pense qu'il sera possible de les faire manger en find'après-midi ou en début de soirée.

Ce n'est pas une crotte. C'est la coquille de l'oeuf, qu'il recrache après avoir cassé celui-ci et avalé son contenu.

Désolé pour le retard Origine sauvage. Trouvé chez un particulier qui l'avait pris à la ferme tropicale. Il a la queue coupée et était maintenu dans de très mauvaise condition (terra trop sec, pas de branchage). Il mange des oeufs de canari. Pour l'instant, je vais déjà le remettre à flots. Je vais le nourrir abondamment jusqu'à printemps prochain et après je vais le cycler.

Comme toi. Bravo quand même pour cette acquisition.

C'est normal, qu'elle s'énerve. Elle n'aime pas les photos Pour bien la connaître, je peux dire qu'elle est assez cool, jusqu'à un certain point. Quant elle en a marre, elle sait le faire savoir. Un résumé, c'est une fille....

Couple de Lamprophis fuliginosus

Il n'y a aucun piège. La seule chose qui était indiqué sur le post c'est "jaguar". Je pense quand même que c'est une mutation. Quoi qu'il en soit, ce spécimen est tout à fait à mon goût

Qui fait une hibernation, pour quelles espèces et comment?

Je ne sais même plus Il doit y avoir une quarantaine d'adultes ou sub-adulteset une dizaine de juvéniles. Il va falloir que je les compte avant que tu passes à la maison... On ne sait jamais

Vidéo d'un Agkistrodon taylori juvénile http://www.pitviper.se/23.MOV

L'ophiophagie est le fait de consommer des serpents pour se nourrir. Le terme vient du grec ancien ophis (ὄϕις) qui veut dire serpent et de phagein (ϕάγειν) qui signifie manger. On peut trouver tous les degrés de dépendance vis-à-vis de cette source de nourriture, de la consommation accidentelle ou occasionnelle (très nombreuses espèces), jusqu'à une ophiophagie étroitement spécialisée (cobra royal, plusieurs couleuvres, oiseaux rapaces du groupe des circaètes).

Voici un crochet d'un Heterodon nasicus. Photo pour illustration. Source: Google

Spécimen de Chionactis occipitalis talpina en terrarum Photos pour illustration. Source: Google

Chionactis occipitalis Chionactis occipitalis annulata Photos pour illustration. Source: Google Généralité Répartition géographique: Amérique du Nord (Etats-Unis, Mexique). Taille: De 23 à 43 cm. Biotope: Zones sèches avec peu de végétation. Déserts (dune de sable), collines rocheuses, pentes de canyon. Biologie: Fouisseur. Nocturne (peut se rencontrer en journée en surface dans des zones très ombrées. Nourriture: Scorpions, araignées, milles-pattes, larves d'insectes, petits oeufs de reptiles. Reproduction: Ovipare. De 2 à 9 oeufs.

Chionactis Cope, 1860 Chionactis occipitalis (Hallowel, 1854) -Chionactis occipitalis occipitalis (Hallowel, 1854) -Chionactis occipitalis annulata (Baird, 1859) -Chionactis occipitalis klauberi (Stickel, 1941) -Chionactis occipitalis talpina Klauber, 1951 Chionactis palarostris (Klauber, 1937) -Chionactis palarostris palarostris (Klauber, 1937) -Chionactis palarostris organica Klauber, 1951 Chionactis occipitalis Photo pour illustration. Source: Google

Pas un grand fan des Morelia. Mais celui-ci me déplait pas. Quel est ce Morelia Photo pour illustration. Source: Google

Denture opisthodonte Denture d'Heterodon nasicus Photos pour illustration. Source: google

Qu'il se dépêche, le va se faire de plus en plus rare. Magnifique spécimen

Pituophis catenifer pumilis juvénile

Tu ne l'aura pas celle-ci Elle est destinée à la reproduction

Femelle Pituophis vertebralis