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voila mes 3 petits nouveaux python (python anchietae)
askook a répondu à un(e) sujet de pumilis561 dans Vos P'tits Virus
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en pratiquant la terrariophilie? Hier soir, une personne me contacte pour prendre des renseignements avant de faire l'acquisition de son premier serpent. Dans la conversation, elle me demande combien pour un sexage. Je pensai qu'elle parlait du temps que cela allait mettre pour sexer son futur serpent. Et là, oh surprise, elle demandait le prix qu'aller lui coûter cet acte. Je lui ai répondu que c'était gratuit. Que jamais, il m'était venu à l'idée de faire payer un sexage. Sa réponse fut aussi étonnante que sa question. Un "éleveur" lui aurait demander 20€ pour un sexage. Pour ce prix là, il faisait aussi une consultation complète de son serpent. La chute de l'histoire, vaut aussi le détour. On pouvait imaginer qu'en faisant payer une "consultation", le serpent avait une origine non connue. Et bien non, le serpent était né chez ce même éleveur. Tout ça, pour simplement donner toutes les garanties possibles de la bonne santé de ses serpents, lorsqu'il en vend un. Encore un qui associe "Passion" et "Fric", pour ne pas dire "Passion" et "Arnaque"..
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Comment les abeilles étouffent les frelons
askook a posté un sujet dans Insectes et Autres Invertébrés
Comment les abeilles étouffent les frelons Quand l’énorme prédateur attaque l’essaim, les abeilles de Chypre le recouvrent entièrement et l’empêchent de respirer. La technique est différente de celle employée par d’autres abeilles et illustre l’évolution des stratégies guerrières entre proies et prédateurs… A Chypre, une espèce locale d’abeille (Apis mellifera cypria) dispose d’un moyen redoutable pour se débarrasser de son plus terrible prédateur, le frelon oriental (Vespa orientalis). Face à ce géant qui les dévorent une à une avec ses puissantes mandibules, les petites abeilles ne peuvent utiliser leurs dards, pas assez longs pour percer l’épaisse cuticule de l’agresseur. Alors, elles s’agglutinent autour de lui, formant une boule compacte enfermant complètement le frelon (voir la vidéo). Au bout de plusieurs dizaines de minutes, les abeilles se séparent, découvrant le cadavre de l’attaquant. Cette stratégie est la même que celle des abeilles asiatiques, dont les chercheurs avaient déjà percé le secret : c’est en augmentant la température au-delà de 45 °C par la seule présence de leurs corps emmêlés que ces insectes tuent le frelon. Les abeilles de Chypre doivent donc procéder de la même manière, pensait-on. Pas du tout ! affirme un groupe de chercheurs gréco-français qui s’est penché sur cette affaire. Le frelon oriental, qui vit à Chypre et en Arabie, tolère très bien la chaleur et une température de 45 ° C, voire 50 °C, ne lui fait pas peur. En fait, Vespa orientalis résiste mieux à la canicule que les abeilles… Alexandros Papachristoforou et son équipe de l’université Aristote, à Thessalonique, associés au Laboratoire Evolution, Génomes, Spéciation, de Gif-sur-Yvette (CNRS), ont trouvé la solution de l’énigme : les abeilles de Chypre étouffent le frelon. Connais les défauts de ton adversaire… Comme tous les insectes, cet hyménoptère respire à travers des orifices, appelés spiracles, disposés en général sur le thorax et l’abdomen, et communiquant avec des trachées qui se ramifient dans tout le corps. Chez le frelon, ces spiracles se situent essentiellement sur l’abdomen, et plus précisément sur les tergites, ces segments articulés qui glissent les uns sur les autres. En se contractant rythmiquement, l’abdomen aspire et exhale l’air des trachées. Mais ces spiracles sont situés de telle façon que lorsque l’abdomen se contracte et que les tergites se recouvrent partiellement, ces orifices sont obstrués. C’est ce vice de conception que mettent à profit les abeilles de Chypre. En exerçant une forte pression sur l’abdomen du frelon, la mêlée d’abeilles le contracte et les spiracles ne sont plus à l’air libre. L’agresseur ne peut plus respirer et finit par mourir étouffé. Sous cette mêlée d’abeilles, un frelon en train d’étouffer… © Emmanouil Filippou Pour démontrer leur idée, les chercheurs ont collé des petites pièces en plastique sur l’abdomen d’un frelon pour empêcher le recouvrement des tergites et donc l’obstruction des spiracles. Résultat : le frelon n’en sort toujours pas vivant mais les abeilles mettent une heure et demie à en venir à bout, soit 50 % de plus qu’en temps normal. Pour les chercheurs, cette stratégie est un bon exemple d’adaptation d’une proie à l’un de ses prédateurs. Vivant relativement isolées sur l’île de Chypre, ces abeilles locales côtoient ce frelon oriental, leur pire ennemi, depuis très longtemps sans avoir vécu d’invasions d’autres prédateurs. Dans cette situation stable, les abeilles ont donc eu le temps de peaufiner leur stratégie… Source:http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/zoologie/d/comment-les-abeilles-etouffent-les-frelons_12939/ -
Dasypeltis scabra
askook a répondu à un(e) sujet de Tompouce02 dans Photos / Vidéos de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Ce sont les apophyses très dévelopées des vertèbres qui brissent la coquille. Ces apophyses sont très développées entre la 11 et 18 ème vertèbre. Photo pour illustration. Source: Google C'est là, avec l'aide de puissants muscles, que la coquille est brisée une première fois, cela s'entend très bien. Elle est ensuite cassée une deuxième fois, tout en étant encore assez éloignée de la soi-disante "scie de l'oeuf" qui se situe entre la 24 et 30 ème vertèbre. Il semble que cette dernière n'ait qu'une fonction secondaire. Lorsque la coquille est brisé, on peut voir que l'avant du corps du Dasypeltis effectue des mouvements de compression, ondulé et réguliers, qui comprime l'oeuf davantage afin que son contenu coule jusque dans son estomac. Selon la taille de l'oeuf, cela dure entre vingt et quarante-cinq minutes. Ensuite le Dasypeltis rejette les restes de la coquille en ouvrant largement la bouche jusqu'à ce qu'ils soient éjectés, de manière soudaine et rapide.
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Dasypeltis scabra
askook a répondu à un(e) sujet de Tompouce02 dans Photos / Vidéos de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
Ce sont les apophyses très dévelopées des vertèbres qui brissent la coquille. Ces apophyses sont très développées entre la 11 et 18 ème vertèbre. C'est là, avec l'aide de puissants muscles, que la coquille est brisée une première fois, cela s'entend très bien. Elle est ensuite cassée une deuxième fois, tout en étant encore assez éloignée de la soi-disante "scie de l'oeuf"qui se situe entre la 24 et 30 ème vertèbre. Il semble que cette dernière n'ait qu'une fonction secondaire. Lorsque la coquille est brisé, on peut voir que l'avant du corps du Dasypeltis effectue des mouvements de compression, ondulé et réguliers, qui comprime l'oeuf davantage afin que son contenu coule jusque dans son estomac. -
Dasypeltis scabra
askook a répondu à un(e) sujet de Tompouce02 dans Photos / Vidéos de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Dasypeltis Wagler, 1830 Dasypeltis atra Sternfeld 1912 Dasypeltis confusa Trape & Mané, 2006 Dasypeltis fasciata (Smith, 1849) Dasypeltis gansi Trape & Mané, 2006 -Dasypeltis gansi gansi Trape & Mané, 2006 -Dasypeltis gansi latericia Trape & Mané, 2006 Dasypeltis inornata Smith, 1849 Dasypeltis medici (Bianconi, 1859) -Dasypeltis medici medici (Bianconi, 1859) -Dasypeltis medici lamuensis Gans, 1957 Dasypeltis sahelensis Trape & Mané, 2006 Dasypeltis scabra (Linné, 1758) -Dasypeltis scabra scabra (Linné, 1758) -Dasypeltis scabra loveridgei Mertens, 1954 Dasypeltis scabra Photo pour illustration. Source: Google
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Une tortue de 250 kg libérée d'un filet de pêche par les pompiers Une tortue marine d'environ 250 kg, prise dans des filets de pêche au bout de la digue de Tarnos (Landes), a été libérée par les pompiers après une intervention de plusieurs heures, a-t-on appris dimanche auprès des secours. Alertés par un témoin, les pompiers ont débuté leur intervention sur la tortue emprisonnée vers 14H45 et celle-ci n'a pris fin qu'à 18H30, l'animal, bien que blessé aux pattes et à un oeil, ayant finalement repris la mer avant l'arrivée des services vétérinaires, a-t-on expliqué. "Une fois libérée, elle a été ramenée sur la plage par les collègues. Elle avait des plaies sur les pattes et à un oeil, mais finalement, elle est repartie à l'eau avant que les services vétérinaires n'arrivent", a-t-on précisé au Centre départemental d'incendie et de secours des Pyrénées-Atlantiques. "C'était une grosse, au moins 250 kg, on ne savait pas trop quoi en faire: le musée de la mer à Biarritz ne pouvait la prendre en charge que pour la nuit, alors, on avait contacté l'aquarium de La Rochelle", ce qui c'est finalement révélé inutile, ont ajouté les pompiers. Source: http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-32633008@7-52,0.html
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Attention: Interdit au moins de 18 ans....
askook a répondu à un(e) sujet de Snake bar1 dans Vos P'tits Virus
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