Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

askook

Membres
  • Compteur de contenus

    13 188
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    photos marrantes

    Quand tu fais des bisous à ton pogona, enlève ton rouge à lèvres Arwen
  2. askook

    Psalmopoeus Cambridgei

    L'ensemble est super et la photo est géniale
  3. askook

    pogona vitticeps

    Vraiment trop rigolo dans leur posture les pogonas
  4. askook

    Bivitatus

    Jolie acquisition Les batteries sont superbes et d'une finition digne d'un pro
  5. askook

    ma nouvelle protégée

    C'est bien vrai Il profite de vos moments de faiblesse, pour vous enlever vos plus beaux serpents
  6. askook

    la bibliothèque

    L'accident de Nicole Viloteau a eu lieu le 23 mai 1971, lors d'une ouverture d'un sac étiqueté Elaphe obsoleta mais contenant un Crotalus. Voici une photo, histoire de faire réfléchir certains éleveurs, ou futurs, de serpents venimeux Photo extraite de "la femme aux serpents" de Nicole Viloteau. Edt Arthaud
  7. QUATRE BÉBES DRAGONS DE KOMODO, CONÇUS AU PARC DE THOIRY, SONT SORTIS DE LEURS OEUFS AU ZOO DE LONDRES CETTE PREMIÈRE NAISSANCE DE DRAGONS EN EUROPE EST UN MYSTÈRE POUR LA SCIENCE : LES BÉBÉS DRAGONS DE THOIRY ONT-ILS UN PÈRE ? Le Parc de Thoiry et le Zoo de Londres ont choisi le dimanche 23/04/2006, date anniversaire de Saint Georges, pour annoncer simultanément la naissance de quatre Dragons de Komodo pour la première fois en Europe. C’est un évènement, car ces varans géants sont exceptionnels à plusieurs titres : - Par leur taille, les dragons de Komodo sont les plus grands reptiles terrestres. Ces carnivores attteignent 3,30 mètres de long et ils chassent des cerfs, des sangliers. - Par l’ancienneté de leur espèce, les dragons sont restés proches de leurs ancêtres, qui vivaient à l’ombre des dinosaures. - Par leur rareté, car ils sont 3.000 à survivre sur moins de 300 kilomètres carré, répartis entre l’île de Komodo et quelques autres petites îles du sud est de l’Indonésie. Colomba de La Panouse, directrice zoologique des Parcs du Groupe Thoiry, voulait développer la sauvegarde d’espèces en voie de disparition. Pour elle, chaque forme de vie est unique et occupe une fonction nécessaire dans la biodiversité. Elle consacre autant d’efforts à faire reproduire dans un but de réintroduction en milieu naturel des espèces peu attractives pour le grand public, tels les visons d’Europe ou les escargots de Partula, que des espèces très attractives, tels les dragons de Komodo. En juillet 1998, elle réussissait à faire venir à Thoiry un mâle, Kimaan, et une femelle, Sungaï, nés au zoo de Gembira Loka, Indonésie. Le Parc de Thoiry devint le cinquième zoo en Europe à élever des dragons de Komodo, avec Berlin, Rotterdam, Lisbonne et Pilsen. Thoiry est le seul parc en France qui présente des dragons de Komodo. Dès novembre 1998, Colomba de La Panouse organisa à Thoiry une conférence sur les Dragons de Komodo, qui a réuni des scientifiques et spécialistes indonésiens, européens et américains. Les travaux furent publiés par le Smithsonian Institute. Komodo Dragons : Biology and Conservation - ISBN:1588340732 Murphy, James B. (Edt) /Ciofi, Claudio (Edt) . La conférence favorisa la venue d’autres couples de Dragons de Komodo en Europe, à Londres, Chester et les Îles Canaries. Les rares parcs zoologiques, qui élèvent ces grands reptiles mythiques, établirent un programme européen pour une politique d’échange de couples pour éviter les unions consanguines. Le programme européen recommanda que Kinaam et Sungaï, étant cousins, fassent grottes et jardins séparés, avant d’être mariés à d’autres partenaires Aussi en 2005, la femelle Sungaï était prêtée par le Parc de Thoiry au Zoo de Londres, le temps qu’elle reproduise avec leur mâle Rajah. À peine arrivée, Sungaï a pondu des oeufs fécondés, qui viennent de donner naissance, pour la première fois en Europe, à quatre charmants petits Dragons. Thoiry avait réussi la première fécondation en Europe d’œufs de dragons de Komodo. L’incubation a été menée à bien, grâce au savoir faire de Richard Gibson, Curator of Herpetology du Zoo de Londres. Gibson Richard a une grande expérience des reptiles et il anime la collaboration scientifique entre les vivariums européens. Colomba et l’équipe zoologique du Parc de Thoiry sont heureux que ce soit lui qui ait la responsabilité délicate d’élever les bébés dragons. La conception des bébés dragons est un mystère : comment les oeufs ont-ils pu être fécondés alors que le mâle Kimman et la femelle Sungaï étaient séparés depuis plus de deux ans ? Les hypothéses de l’amant de passage et d’une “imaculée conception” ayant été d’emblée écartées, la question scientifique est de découvrir : comment les oeufs ont-ils été fécondés ? Deux hypothèses sont possibles. Soit les femelles de dragons de Komodo ont une spermathèque, c’est à dire que Sungaï a gardé le spermatozoïde, ou l’oeuf juste fécondé par Kimaan, vivant pendant deux ans. Soit les femelles de Dragons de Komodo peuvent se reproduire par parthogénèse, c’est à dire que Sungaï s’est auto-fécondée en produisant des clones d’elle-même. Une étude génétique sera faite en Italie par Claudio Ciofi pour donner la réponse sur la paternité ou l’absence de paternité, et révéler le sexe de chacun des bébés. Le coordinateur du programme européen d’élevage des dragons de Komodo, Gérard Visser, du Zoo de Rotterdam pourra préparer, selon leur sexe les futurs mariages des jeunes dragons de Thoiry. Dès que Kimaan, le grand mâle adulte de Thoiry, aura fécondé la femelle du Zoo de Chester, il reviendra au Parc de Thoiry, où il retrouvera les deux jeunes Dragons de Komodo qui y vivent actuellement. Les connaissances vétérinaires et comportementales progressent. Les programes européens et américains coordonnent le savoir faire acquis par l’analyse des réussites et des échecs de chacun des parcs membres. Les parcs zoologiques, qui consacrent leurs efforts pour créer une population européenne de Dragons de Komodo, tels Thoiry et Londres, envoient des aides, collectent des dons et organisent des missions d’études pour aider la conservation des dragons de Komodo dans leur milieu naturel. Claudio Ciofi est chargé de suivre sur le terrain ces actions. Informations supplémentaires sur les Varans de Komodo Les Dragons ou varans de Komodo sont à la fois une forme très ancienne des sauriens et les plus “intelligents” des reptiles. Les varans sont antérieurs, dans l’ordre des squamates, à leurs neveux les serpents, dont les pattes ont régressé ultérieurement. Ils ont vu naître et disparaître les dinosaures. Ils ont survécu dans les petites îles volcaniques de Komodo et de Rinca, perdues dans les océans, à l’est de l’Indonésie, et dans une “poche” de mangroves à l'ouest de l’île voisine de Florès. Les dragons de Komodo furent découverts en 1912. Il reste moins de 3.000 dragons de Komodo sur ces îles, menacés par des éruptions volcaniques. La superficie totale n’est que de 300 kms carré, le septième d’un département français. Une éruption d’un des volcans de l’île de Flores, comme celle du Krakatoa, serait fatale au dragons concentrés sur un petit territoire. Le braconnage déc ime les proies, cerfs, sangliers et autres herbivores, dont se nourrisssent les dragons de Komodo. Il est important d’élever une population de dragons dans des parcs zoologiques. Le Zoo de Washington fut le premier à reproduire des Dragons de Komodo hors l’Indonésie. Trooper Walsh et l’équipe de Washington ont aidé Colomba de La Panouse à réaliser à Thoiry, “La Caverne des Dragons d’Asie”. Dans chaque grotte on fait évoluer le climat et on traite l’eau. On reconstitue le climat de l’Ile de Komodo. Le couple vit dans des grottes séparées jusqu’au jour où la femelle est en chaleur. Après les amours, elle s’isole pour creuser son terrier et pondre ses oeufs. Dans chaque grotte le sol se comprend des rochers, du sable et de la terre. Des verres spéciaux laissent passer les rayons U.V. du soleil que complètent des lampes chauffantes.. Les dragons de Komodo s’attachent à leur soigneur mais restent dangereux : Ils reconnaissent leur gardien au milieu d’une foule. C’est par leur odorat, très développé, qu’ils établissent le lien le plus fort. Quand ils les nourrissent, ces soigneurs s’annoncent par un signal. Ils restent prudents car un dragon de Komodo est un carnivore sauvage, qui adulte peut tuer un bufflel. Les varans ont incarné pour l’Asie le mythe universel des dragons. Partout, y compris l’Indonésie, au jour de l’an les jeunes promènent dans les rues de grands dragons en papier peint. En Chine, les dragons sont le tonnerre et l’éclair et la pluie bienfaisante, le symbole de l’empereur, les gardiens des courants de la terre, à la fois yang et yin dans sa puissance fécondatrice. Aux Inde le plus important des dragons est Makara, avec sa gueule énorme, qui, comme la baleine de Jonas, avale et recrache le héros. Plusieurs scientifiques pensent l’universalité du mythe du dragon viendrait de ce que nous avons gardé dans notre mémoire de mammifère un souvenir inconscient mais présent des reptiles. Jung fut une des premiers à montrer comment les mythes des dragons sont un archétype présent dans toutes les civilisations. Est-il vrai que la langue fourchue des dragons de Komodo les aident à mieux sentir ? Les dragons de Komodo ont des narines et un nez. Mais en plus leur langue leur permet de mieux goûter les odeurs en léchant les particules d’air qu’elle a capturées. Ils ont, comme les serpents, un organe dit de Jacobson, un super nez qui combine l’odorat et le goût. Quand la langue rentre dans la bouche, ses pointes reposent naturellement sous cet organe Si nous avions des oreilles mobiles, comme celles des ânes, par exemple, nous pourrions en orientant celles-ci déterminer l’endroit exact de l’origine du bruit, sans avoir à tourner la tête. La vision binoculaire nous permet de voir en relief.. La lange fourchue permet aux sauriens et aux serpents de sentir en stéréo et en relief, car ils ont une perception distincte de l’intensité des odeurs. Les dragons de Komodo nagent-ils ? Bien que ce soient des reptiles terrestres, les dragons de Komodo, comme tous les varans, nagent très bien. Certains ont même traversé des bras de mer de plus de 10 kilomètres.Les bains de mer peuvent aider les dragons à se raffraichir.C’est la raison pour laquelle, à Thoiry, toutes les cavernes aménagées pour les varans, disposent d’une piscine intérieure. L’été, les dragons de Komodo de Thoiry disposent d’un jardin. Même si les vitres de ses cavernes sont orientées S.O. et que leurs verres spéciaux laissent passer tous les rayons ultra violets mais rien ne vaut un grand jardin pour s’ébattre et une plage pour bronzer. Mais en dessous de 25 °, un dragon de Komodo s’enrhume. Colomba de La Panouse a créé un jardin où les arbres et les tanières sont munis de résistances et de lampes chauffantes, afin que les dragons de Komodo trouvent l’appoint de chaleur qui leur permet de sortir dehors plus souvent et plus longtemps. Deux collines et des rochers leur offrent des circuits de promenade pour que les dragons puissent s’isoler ou se rencontrer. Parmi les reptiles, quels sont les plus anciens dans l’évolution, les varans, dont font partie les dragons de Komodo, ou les serpents ? Les reptiles sont apparus il y a 260 millions d’année. Ils se sont diversifiés en plusieurs branches. Sur une vingtaine d’ordres, il n’en reste plus que quatre, qui avaient du s’adapter à à la concurrence des dinosaures. Chez les reptiles mammaliens, seules les espèces les plus petites et les plus agiles, ont pu se cacher et se sauver. Nous en descendons. Des varans ont choisi de s’enfouir sous terre et sont devenus serpents. Ils ont perdu leurs pattes et leurs oreilles, leur vue a baissée, car sous terre il n’est pas besoin de voir loin; ils sont devenus sourds et leurs capacités cervicales a régressé d’autant. Les dragons de Komodo sont les plus grands représentants, sont à la fois plus proches des ancêtres et plus évolués que les serpents. Mais ils ne sont que 35 espèces tandis que les descendants des planqués, les serpents, ont conservé plus de territoire et développé plus 2.500 espèces. voici le lien pour les photos http://www.thoiry.net/parc_animalier.php?lang=fr&sujet=varan
  8. askook

    3 petites gonzesses

    Superbe le trio de '"gutt" Pas de copain dans le lot
  9. askook

    ma nouvelle protégée

    Tu as surtout de la chance que je suis obligé de restreindre mon nombre de spécimen sinon, elle ne serait pas devenue Bretonne
  10. MAGNIFIQUE tes "lampro", Power amour les "mexicana" et "l'hondurensis"
  11. Ce sont de magnifiques "regius" J'accroche pas trop pour la femelle mais par contre le mâle
  12. askook

    petite question sur les Thamnophis

    L'hypovitaminose... L'hypovitaminose... L'hypovitaminose... l'hypovitaminose... L'hypovitaminose B1, se traduit par une dégénérescence cérébrale mortelle, dont les symptômes sont principalement des troubles de la locomotion avec des convulsions du premier tiers du corps. Cette maladie dûe à la présence de substances appelées thiaminases qui détruisent la vitamine B1, contenue dans le chair de poisson. Or, il faut savoir que la congélation a pour effet d'augmenter la teneur en thiaminases, c'est la raison pour laquelle, on utilisera plutôt du poissons frais, et que certaines de variétés de poissons sont particulièrement riches en thiaminases. Ces espèces à risques, sont notamment les poissons rouges, les sardines, les éperlans, les carpes, les chabots, les poissons-chats.
  13. askook

    Elaphe qui grandit bien

    Que du beau serpent Une petite préférence pour la "situla" et les "mexicana"
  14. askook

    mon nouveau terra

    Superbe Le bassin d'eau n'est-il pas trop grand pour une "gutt" Les "gutt" ne sont pas connues pour leurs goûts prononcés vis-à-vis des bains prolongés
  15. Mais quels sont les "beautés" que remferme tous ces terrariums
  16. askook

    Ma nouvelle pupuce

    Sympa la ceinture J'ai l'impression que c'est un serpent
  17. Ramphotyphlops Fitzinger, 1843 Ramphotyphlops acuticauda (Peters, 1877) Ramphotyphlops affinis (Boulenger, 1889) Ramphotyphlops albiceps (Boulenger, 1898) Ramphotyphlops angusticeps (Peters, 1877) Ramphotyphlops aspina Couper, Covacevich & Wilson, 1998 Ramphotyphlops australis (Gray, 1845) (Ramphotyphlops austral) Ramphotyphlops batillus (Waite, 1894) Ramphotyphlops bicolor(Peters, 1858) Ramphotyphlops bituberculatus (Peters, 1863) Ramphotyphlops braminus (Daudin, 1803) (Ramphotyphlops commun) Ramphotyphlops broomi (Boulenger, 1898) Ramphotyphlops centralis Storr, 1984 Ramphotyphlops chamodracaena Ingram & Covacevich, 1993 Ramphotyphlops cumingii (Gray, 1845) (Ramphotyphlops des Philippines) Ramphotyphlops depressus Peters, 1880 Ramphotyphlops diversus (Waite, 1894) - Ramphotyphlops diversus diversus (Waite, 1894) - Ramphotyphlops diversus ammodytes (Montague, 1914) Ramphotyphlops endoterus (Waite, 1818) Ramphotyphlops erycinus (Werner, 1901) Ramphotyphlops exocoeti (Boulenger, 1887) Ramphotyphlops flaviventer (Peters, 1864) (Ramphotyphlops à ventre jaune) Ramphotyphlops ganei Aplin, 1998 Ramphotyphlops grypus (Waite, 1918) Ramphotyphlops guentheri (Peters, 1865) Ramphotyphlops hamatus Storr, 1981 Ramphotyphlops howi Storr, 1981 Ramphotyphlops kimberleyensis Storr, 1981 Ramphotyphlops leptosoma (Robb, 1972) Ramphotyphlops leucoproctus (Boulenger, 1889) Ramphotyphlops ligatus (Peters, 1879) Ramphotyphlops lineatus (Boie, 1827) (Ramphotyphlops ligné) Ramphotyphlops longissimus Aplin, 1998 Ramphotyphlops lorenzi (Werner, 1909) Ramphotyphlops mansuetus (Barbour, 1921) Ramphotyphlops margaretae Storr, 1981 Ramphotyphlops melanocephalus (Duméril & Bibron, 1844) Ramphotyphlops micromma (Storr, 1981) Ramphotyphlops minimus (Kinghom, 1929) Ramphotyphlops multilineatus (Schlegel, 1839) (Ramphotyplops miltiligné) Ramphotyphlops nema Shea & Horner, 1997 Ramphotyphlops nigrescens (Gray, 1845) (Ramphotyphlops noirâtre) Ramphotyphlops nigroterminatus (Waite, 1918) Ramphotyphlops olivaceus (Gray, 1845) (Ramphotyphlops des Moluques) Ramphotyphlops pilbarensis Aplin & Donnellan, 1993 Ramphotyphlops pinguis (Waite, 1897) Ramphotyphlops polygrammicus (Schlegel, 1839) Ramphotyphlops proximus (Mc Coy, 1885) Ramphotyphlops robertsi Couper, Covacevich & Wilson, 1998 Ramphotyphlops silvia Ingram & Covacevich, 1993 Ramphotyphlops similis (Brongersma, 1934) Ramphotyphlops splendidus Aplin, 1998 Ramphotyphlops suluensis (Taylor, 1918) Ramphotyphlops supranasalis (Brongersma, 1934) Ramphotyphlops tovelli (Loveridge, 1945) Ramphotyphlops troglodytes Storr, 1981 Ramphotyphlops unguirostris (Peters, 1867) Ramphotyphlops waitii (Boulenger, 1895) Ramphotyphlops wiedii (Peters, 1867) Ramphotyphlops willeyi (Boulenger, 1900) Ramphotyphlops yampiensis Storr, 1981 Ramphotyphlops yirrikalae (Kinghorn, 1942) Ramphotyphlops bituberculatus. Photo pour illustration. Source: Google
  18. askook

    mes nouveau bb

    Félicitations pour cette triple acquisition
  19. askook

    mes ptite bebette

    Deux "gutt", un "crotaphytus", c'est le début d'une future famille nombreuse danse
  20. askook

    Avicularia Versicolor

    Il faut vraiment qu'elle grandisse vite
  21. askook

    mon BB gut !!

    C'est super, le démenagement ne l'a pas trop stressé Pour lui retrouvé ses origines géographiques, remonte un peu la carte, car là, tu es en Amérque du Sud
  22. Cyclotyphlops Bosch & Ineich, 1994 Clyclotyphlops deharvengi Bosch & Ineich, 1994
  23. Acutotyphlops Wallach, 1995 Acutotyphlops infralabialis (Waite, 1918) Acutotyphlops kunuaensis Wallach, 1995 Acutotyphlops solomonis (Parker, 1939) Aculoyphlops subocularisi (Waite, 1897) Acutotyphlops subocularis. Dessin pour illustration. Source: Google
×
×
  • Créer...