Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

askook

Membres
  • Compteur de contenus

    13 188
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par askook

  1. C'est l'un des derniers mystères de l'évolution des vertébrés... Grâce à une nouvelle méthode, des biologistes américains de l'Université de Boston assurent avoir retracé le chemin parcouru par les tortues depuis 200 millions d'années. Et contrairement à ce que leur allure peut laisser croire, la famille des tortues n'est pas une proche cousine des lézards et des serpents. Où se situent-elle dans la marche de l'évolution ? Les chercheurs sont catégoriques : ce sont avec les crocodiles et les oiseaux qu'elles partagent un très lointain ancêtre commun. Pendant longtemps, sur la base de certaines caractéristiques physiques (morphologie du crâne, carapace, etc.), les tortues ont été considérées comme ayant très tôt divergé des autres reptiles, dont elles auraient constitué les représentants les plus anciens. D'autres études anatomiques les avaient ensuite rattachées aux lépidosaures, un vaste groupe d'espèces englobant tous les lézards et serpents. La tortue, ballottée entre lézards, serpents, crocodiles et oiseaux Avec la précision apportée par l'analyse de l'ADN, nouvelle classification : les tortues sont passées de la branche des lépidosaures à celle de leurs cousins archosaures, les grands-pères des dinosaures dont sont issus tous les crocodiles et les oiseaux actuels. Jusqu'à ce qu'une étude génétique plus récente et fondée sur d'autres marqueurs les ramène sur la branche des... lépidosaures, côté lézards et serpents. Pour dissiper ces contradictions et éviter aux tortues un inconfortable grand écart généalogique, la fameuse équipe de biologistes américains a utilisé une nouvelle méthode: trouver des éléments génétiques similaires présents dans toutes les espèces concernées («éléments ultra-conservés» ou UCE), étudier l'ADN qui leur est associé et comparer le tout pour tenter de reconstruire l'histoire de leur évolution. Les biologistes ont comparé l'ADN des tortues avec celui de reptiles, de coqs, d'oiseaux, d'alligators... A Boston, Nicholas Crawford et ses collègues ont donc passé dans cette savante moulinette le serpent des blés, la tortue à cou caché d'Afrique, la tortue peinte, l'alligator d'Amérique, le crocodile marin et le tuatara. Afin de préciser leur analyse, ils ont ajouté dans cet étrange cocktail génétique des extraits d'UCE de coq sauvage, originaire du sud-est asiatique et à l'origine de toutes les poules domestiques, un peu de Diamant mandarin, un oiseau très répandu en Australie, un zeste d'Anole vert, une espèce de lézard des Etats-Unis, le tout saupoudré de génome humain. Résultat : l'analyse comparée de ces témoins génétiques de l'histoire des espèces fournit selon eux une «preuve écrasante». Les tortues sont bien issues des «archosaures», qui englobent toutes les espèces de crocodiles et d'oiseaux, concluent les auteurs de cette étude publiée dans la revue Biology Letters de l'Académie des sciences britannique. Source: http://www.leparisien.fr Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/05/14/rsbl.2012.0331.abstract?sid=35d0155b-98e2-4d84-ba05-d663a405213c
  2. Il existe une grande confusion, pour le groupe "getula" entre la taxonomie scientifique et celle utilisé par les terrariophiles, surtout depuis l'article en 2009 de Pyron & Burbrink (http://163.238.8.180/~fburbrink/Research/Publications/Pyron_Burbrink_2009e.pdf). Depuis cet article, les sous-espèces de Lampropeltis getula sont, soit devenues des espèces à part entières (L.g getula, L.g californiae, L.g holbrooki, L.g niger , L.g splendida) , soit devenues des synonymes (L.g floridana, L.g meansi, L.g sticticeps) Quant à "brooksi" et "goini", qui ont été à une époque, considérés comme des sous-espèces de L. getula, ce ne sont que des phases d'anciennement L.g floridana. L.g floridana devenu depuis L. getula[/i] Je pense qu'en terrariophilie, il va être bien de garder un peu tous ces mots, histoire de savoir plus précisément ce que l'on possède, lorsque l'on cherche le complément et surtout qu'un jour ou l'autre on risque d'être confronté à de nouveaux changements officiels de taxonomie pour le groupe "getula"..
  3. askook

    Lamprophis capensis

    Combien de jours d'incubation?
  4. askook

    Lamprophis capensis

    C'est une femelle de 2010, qui mesure aux alentours des 70 cm, pour un poids d'environ 150 à 180 gr. La reproduction n'était pas voulue. Elle ne devait avoir lieu qu'en 2013. Elle a eu lieu lors d'un nettoyage. J'ai mis la femelle avec le mâle, quelques minutes ensemble, le temps de nettoyer sa boîte. Ces quelques minutes ont été suffisantes pour qu'ils s'accouplent. De vrais lapins ces Lamprophis...
  5. askook

    Emys orbicularis

    Etude sur le statut de la Cistude d'Europe, Emys orbicularis, dans le département d'Indre-et-Loire (37) http://www.donnees.centre.developpement-durable.gouv.fr/etudes/Etude_Cistude_37_nov2010.pdf
  6. askook

    Emys orbicularis

    Au Bagnas, la tortue cistude est de nouveau chez elle Disparue, la tortue cistude, une espèce endémique, colonise à nouveau les zones humides du territoire agathois. Dans les marécages des Verdisses, autour de Bessan et Florensac, plusieurs spécimens ont déjà été observés à l’état naturel. Mais pour que cette tortue d’eau douce retrouve pleinement sa place dans la biodiversité locale, il fallait un coup de pouce. C’est là tout l’intérêt d’un programme régional démarré en 2006, financé par l’Europe, l’État, la Région et le conseil général de l’Hérault, qui prévoit la réintroduction progressive de l’espèce dans la réserve naturelle du Bagnas, mais également dans celle de l’Estagnol, à Villeneuve-lès-Maguelone. Vendredi après-midi, une dizaine de scientifiques et d’étudiants, flanqués des maires d’Agde et Marseillan, Gilles d’Ettore et Yves Michel, ont validé le dernier volet de l’opération en procédant à la mise à l’eau de 45 tortues supplémentaires dans un petit canal d’eau douce, situé aux confins de la réserve. Un lieu paisible, qu’elles vont progressivement adopter. Source: http://www.midilibre.fr
  7. askook

    problème de mue [Boa]

    C'est un jeune spécimen ou un adulte? Essaye de lui faire des bains, en la mettant dans une boite, lorsqu'elle est en période de mue. Cela lui facilitera sa mue..
  8. Les chercheurs de l'Université d'Auburn, aux Etats-Unis, ont découvert une nouvelle espèce de mygale dans un lotissement résidentiel situé dans le cœur même de la ville. "La plupart des gens pensent que seuls les tropiques recèlent des espèces encore non identifiée. Ceux-ci n’ont certainement pas la moindre idée de la biodiversité avec laquelle ils cohabitent" confie à l’Huffington Post, Jason Bond. Ce biologiste de l’Université d’Auburn dirige une équipe de recherche, qui travaille à l’identification d’une nouvelle espèce de mygale de la famille des Ctenizidae. L’araignée, découverte dans un lotissement du centre ville, a d’ores et déjà été baptisée Myrmekiaphila tigris, ou mygale tigre d’Auburn par les scientifiques. Le spécimen appartient à la famille des Ctenizidae qui contient également 11 autres espèces de mygales dispersées à travers tous les Etats-Unis. Les arachnides de ce groupe se caractérisent par leurs capacités à creuser d’étonnants terriers cachés sous une sorte de trappe se confondant avec le sol en surface. Ces tanières leurs permettent ainsi de rester cachés patiemment jusqu’à l’arrivée d’une proie qu’ils repèrent grâces aux vibrations émises. L’étude menée par les chercheurs sur M.tigris révèle que les mâles atteignent leur maturité sexuelle vers 5 ou 6 ans. A ce moment là, ils sortent de leurs trous pour aller s’accoupler et meurent peu après. Entre novembre et décembre, il est assez fréquent de rencontrer des mâles errants sur les trottoirs du quartier, dans les garages ou encore dans les piscines. Les femelles sont quant à elles plus discrètes, leur vie relativement longue (entre 15 et 20 ans) se déroule entièrement dans les profondeurs de leurs repaires généralement plus complexes avec des chambres secondaires et des opercules sous terrains. Pour Jason Bond, la découverte de cette nouvelle espèce est certes "excitante" mais peu surprenante. Il conclut : "Il a fallu environ 250 ans de taxonomie pour décrire près d’1,8 million de plantes et d'animaux terrestres appartenant à un ensemble que les scientifiques estiment de 5 à 30 millions d’espèces". Source: http://www.maxisciences.com Article en accès libre: http://www.pensoft.net/journals/zookeys/article/3011/abstract/phylogenetic-reconsideration-of-myrmekiaphila-systematics-with-a-description-of-the-new-trapdoor-spider-species-myrmekia Vidéo: http://www.maxisciences.com/mygale/etats-unis-une-nouvelle-espece-de-mygale-decouverte-a-auburn_art24371.html
  9. CHARTRES - Le serpent exotique a retrouvé son vivarium A Chartres, le serpent exotique a regagné son vivarium… Hier les pompiers ont été appelés hier après-midi pour rechercher l’animal qui s’était échappé et qui avait été repéré dans une grille d’aération, rue du Faubourg Guillaume. Une unité spécialisée a été appelée en renfort pour capturer le serpent qui fait désormais partie de ces nouveaux animaux de compagnie. Le serpent exotique a ensuite été reconduit chez son propriétaire… Source:http://www.intensite.net
  10. Tarbes. Le python n'était qu'une couleuvre Dans la nuit de vendredi à samedi, vers 1 heure, les pompiers sont appelés pour une intervention peu commune : un serpent, qui ressemblant à un python, divaguait sur un trottoir, en plein centre ville, rue Lamartine à Tarbes. Sur place, ils trouvent en effet un serpent, d'environ 1 mètre de long. Dans la pénombre, pas facile de distinguer l'espèce. Après l'avoir capturé, ils l'ont transporté, comme le veut la procédure, chez l'expert herpétologue du département, Pierre Barataud, à Lannemezan. Qui s'amuse de la mésaventure. « Ils croyaient que c'était un python, mais il ne s'agissait que d'une couleuvre, certes d'un genre particulier, une couleuvre des blés des États-Unis, que l'on peut acheter en toute légalité dans une animalerie. C'est un animal totalement inoffensif. » Toutefois, notre spécialiste tire la sonnette d'alarme : « Pour le coup, il n'y avait pas de danger, mais de plus en plus de particuliers prennent des serpents comme animaux de compagnie. Parfois ils sont dangereux et leurs propriétaires, qui se les sont souvent procurés de manière illégale, ne sont pas forcément habilités à s'en occuper correctement. Notamment en cas de fugue. Car si l'on peut comprendre que des gens aient eu peur d'une couleuvre, qu'est-ce qui se serait passé s'ils étaient tombés sur un vrai python ou un anaconda ? » Source:http://www.ladepeche.fr
  11. askook

    US Geological Survey

    US Geological Survey Science for a changing world http://www.usgs.gov/
  12. askook

    Lamprophis capensis

    Voici la photo des oeufs. Après quelques heures d'incubations, il apparait que seuls trois oeufs sur quatre sont bons...
  13. askook

    Malpolon monspessulanus

    Une couleuvre à venin dans les rues de Cannes Un piéton paniqué a alerté police et pompiers ce dimanche après-midi après la découverte d'un serpent lové autour d'un pylône, au début de l'avenue Picaud à Cannes. Le spécimen, un jeune mâle d'environ un mètre, est une couleuvre de Montpellier, la seule espèce qui possède des crochets à venin au fond de sa gueule. Les policiers municipaux cannois sont parvenus à intercepter l'animal avec leurs tonfas, qui a ensuite été pris en charge par le vétérinaire départemental des sapeurs-pompiers. La couleuvre, espèce protégée, sera relâchée dans son milieu naturel forestier. Source: http://www.monacomatin.mc
  14. http://geos-nature.org/couleuvre_de_montpellier_fiche.html
  15. askook

    Lamprophis capensis

    Ce matin, découverte de quatre oeufs + un non fécondé. La photo dans la journée...
  16. Pour avoir retrouvé son origine (reptilis), c'est une femelle Lampropeltis getula floridana brooksi anerythristique.
  17. Beaucoup trop grosse. Elle était nourrie avec deux rats par semaine...
  18. Une grosse femelle, avec beaucoup de caractère, fraichement arrivée...
  19. Trop de fuites. Cela va mal se terminer...
  20. Le serpent exotique se promenait sur un trottoir de Reims REIMS (Marne). Ils n'oublieront pas de sitôt leur intervention d'hier matin rue des Coutures, derrière le lycée Clemenceau. Peu après 10 heures, alors qu'ils ramassaient papiers gras et autres déchets, des agents de propreté de la Ville de Reims ont distingué une forme peu conventionnelle sur le trottoir, au niveau du 4 bis. Ils n'en ont pas cru leurs yeux, mais il s'agissait bel et bien d'un serpent long d'une trentaine de centimètres. Aussitôt, le téléphone a sonné chez les pompiers pour leur demander de venir le capturer au plus vite. Couleuvre américaine Très effilé, de couleur marron clair avec de petites tâches noires, le serpent ondulait contre un mur à l'arrivée des sauveteurs. Ils ont d'abord tenté de le prendre avec leurs mains gantées, mais il ne s'est pas laissé faire et s'est mis en boule. L'un des employés municipaux a alors prêté sa pelle avec laquelle les pompiers ont pu ramasser le reptile et le glisser dans un sac. Ils l'ont ensuite confié à Lucien Laurent, un herpétologue amateur de Bétheny, président du Cercle aquariophile et terrariophile de Reims. Identifier le serpent ne lui a pris que quelques secondes. « C'est une élaphe obsoleta, une couleuvre non venimeuse qui vit en Amérique, du Canada au nord du Mexique. On en rencontre de plusieurs couleurs. Celle-là est plutôt jeune. Elle mesure 35 cm alors que la taille maximale d'un adulte peut atteindre 1,60 m. » Sauvée de la famine La couleuvre récupérée rue des Coutures est en bonne santé. D'après le spécialiste, elle a probablement fugué du domicile de son propriétaire. « Les serpents ont un pouvoir échappatoire extraordinaire. Il suffit d'un petit trou, d'un espace entre les vitres du terrarium, pour qu'ils mettent le nez, forcent un peu et parviennent à passer. » Lui remettre la main dessus était la meilleure chose qui pouvait lui arriver car « en pleine ville, il est difficile pour un serpent de survivre », explique M. Laurent. « Admettons qu'il ne fasse pas froid, ce qui est le cas avec l'arrivée du printemps, elle aurait fini par mourir de faim. Une élaphe se nourrit de petits rongeurs, d'oisillons, voire de sauterelles si elle ne trouve rien d'autre. Ce genre de proies ne court pas les rues de Reims. » Espèces inoffensives non protégées, les élaphes sont autorisées à la commercialisation. Le spécimen capturé hier matin a pris pension dans l'un des terrariums de Lucien Laurent, où son propriétaire peut venir le récupérer. Source: http://www.lunion.presse.fr/article/marne/le-serpent-exotique-se-promenait-sur-un-trottoir-de-reims
  21. Je ne sais pas. D'après un nouvel article que je n'ai pas pu prendre, d'autres serpents auraient été trouvés dans la même rue. Ils appartiendraient à un terrariophile qui habiterait dans cette même rue...
  22. askook

    Articles de presse

    Des serpents comme « animaux de compagnie » Depuis quelques années, les amateurs de serpents sont de plus en plus nombreux. Une passion qui nécessite un minimum d'investissement. Ils élèvent des serpents comme d'autres des chiens ou des chats. Depuis quelques années, les amateurs de pythons royaux, couleuvres et autres reptiles sont de plus en plus nombreux. Un engouement favorisé par Internet qui a démocratisé ce commerce. Un plaisir avant tout Antoine Mahieu n'a pas attendu que le serpent devienne un phénomène de mode pour en faire une passion. Sa première rencontre avec ce reptile remonte à vingt-cinq ans. Âgé de 17 ans, le jeune homme acquiert un python d'un mètre de long, « par accident » : « La mère d'un copain voulait s'en débarrasser. J'ai décidé de l'adopter, plus par esprit de rébellion qu'autre chose. À l'époque, le python royal était peu connu, et il n'a pas été simple d'avoir des informations sur ses conditions d'élevage. » Le temps a passé. Antoine Mahieu est devenu éleveur de pythons regius (royal, en langage international). Une activité qu'il exerce « pour le plaisir » avant tout, et non pour des raisons économiques. « Entre le coût du chauffage, les investissements dans le matériel et dans le couple reproducteur, l'élevage de serpents ne peut être une activité rentable », insiste-t-il. Un élevage familial Favorisée par Internet, l'offre et la demande en serpents n'ont cessé de se développer depuis ces dix dernières années. « Pour le meilleur », mais aussi « pour le pire ». « Le point positif, c'est que l'on trouve désormais toutes les informations sur toutes les espèces. Le point négatif, c'est que certains ont profité de l'occasion pour se spécialiser dans l'achat et la revente de serpents », précise Antoine Mahieu, qui fustige les conditions d'élevage inadaptées de certains éleveurs. En dessous d'une certaine quantité, le fait de détenir certaines espèces de serpents comme le python regius n'exige, légalement, aucune formation particulière. Pour autant, insiste Antoine Mahieu, un minimum de matériel est nécessaire pour recréer les conditions de vie sauvage et de chaleur de cet animal à sang froid. « Les serpents ne sont pas des animaux de compagnie. L'homme doit s'adapter à leur condition de vie, et non le contraire », insiste l'éleveur. Si les serpents sont élevés dans une petite pièce aménagée spécialement pour eux, ils n'en font pas moins partie de la famille. Souvent accompagné de ses enfants, l'éleveur nourrit les reptiles avec des rongeurs congelés, vérifie la température, la diminue de 10 °C l'hiver afin que les femelles puissent hiverner et ainsi se reproduire. « Si j'ai choisi cette espèce, ce n'est pas seulement par nostalgie pour mon premier python. C'est aussi parce que je ne me voyais pas détenir un serpent venimeux, avec des enfants. Il y a toujours un risque de morsure », précise-t-il. D'ici quelques semaines, une trentaine de petits de 29 cm devraient voir le jour. Proposés à la vente, ils ne partiront que lorsque l'éleveur sera sûr qu'ils sont capables de se nourrir seuls, lorsqu'ils auront pris cinq repas. Cédés entre 30 et 300 € selon leur couleur, certains spécimens extrêmement rares ont pu atteindre les 150 000 € de prix de vente, aux États-Unis. « Beaucoup se sont lancés dans l'élevage, en pensant qu'il y avait de l'argent à se faire », observe Antoine Mahieu, qui remarque : « Mon élevage est familial. Il m'arrive de refuser de céder un de mes serpents, si je sens qu'aucun investissement n'a été effectué pour élever l'animal. » Source: http://www.lest-eclair.fr/article/a-la-une/des-serpents-comme-animaux-de-compagnie
  23. Qui a volé les tortues de l'Albera ? Connu et très fréquenté par le public, les scolaires, amateurs et autres passionnés de reptiles carapacés, le Centre de Reproduction des Tortues de l'Albera, implanté sur la commune de Garriguella près de Rosas, en Catalogne Sud, a été victime d'un vol sans précédent. Dans la nuit du 15 avril, peu avant 1 heure du matin, des individus ont pénétré dans le parc, cassant tout sur leur passage, pour dérober quatre tortues : un couple de Centrochelys sulcata adultes, des spécimens qui mesurent 60 cm et pèsent 45 kg et un autre couple cette fois de Stigmochelys pardalis. Dont voici les signalements. Le mâle Centreochelys sulcata, identifié par la puce 0000E0043, présente deux trous percés dans l'écaille supra caudale. Sa femelle, au numéro de puce 0000020D922, est identifiable, elle, grâce à deux bandes d'usure sur la carapace laissées par les pattes du mâle lors de l'accouplement. Leurs "enfants", les juveniles sont destinées au projet SOS Sulcata au Sénegal, pour la sauvegarde de cette espèce dans la Réserve Naturelle du Ferlo. Les Stigmochelys pardalis, ensuite. Ces mâle et femelle de 40 cm chacun ne comportent pas de puces mais sont reconnaissables. Elle a un oeil visiblement proéminent, lui se trouve forcément à proximité. Dès la découverte du cambriolage, les responsables du Centre catalan ont évidemment déposé plainte et la police a ouvert une enquête. Mais les investigations, pour l'heure, demeurent vaines. Or, au CTR, on ne se remet pas de ce coup dur. Espèces protégées depuis 1982, et réintroduites sur le site depuis 2005, ces tortues sont devenues des raretés qui survivent près des rivages méditerranéens dans des lieux clos, surveillés, afin qu'une fois reproduits, les progénitures repartent sur leur terre d'origine. Une centaine d’individus sont ainsi relâchés chaque année pour réjoindre une réserve, et ce dans le cadre d'un programme international dirigé par la société scientifique française SOPTOM, programme destiné à lutter contre l’extinction de cette tortue géante dans son milieu naturel. Toutes personnes susceptibles de fournir des informations sur les tortues disparues sont donc priées de se mettre en rapport avec le centre de Reproduction de l'Albéra, tél : 972 55 22 45 (0034 depuis la France). Source: http://www.lindependant.fr
  24. Il grave ses initiales sur une tortue et la retrouve 47 ans après Aux Etats-Unis, un homme a trouvé par hasard une tortue avec laquelle son fils jouait quand il avait 13 ans. En 1965, Jeff Cokeley est un jeune américain âgé de 13 ans lorsqu'il trouve dans son jardin une tortue. Le jeune homme, qui habite près de Pittsburgh (Pennsylvanie), aux Etats-Unis, conserve l'animal plusieurs jours. Il décide de la relâcher en pleine nature après avoir inscrit sur sa carapace ses initiales, "JC", ainsi que l'année en cours. L'histoire aurait pu s'arrêter là. Mais 47 ans plus tard, son père, Holland, va faire une drôle de découverte. Alors qu'il promène "Zack", le chien de son voisin, Holland Cokeley remarque que l'animal est particulièrement excité par quelque chose. Ce quelque chose, c'est une tortue. Intrigué, l'homme de 85 ans s'en empare. "Oh Jésus, c'est la tortue de Jeff !" "En la soulevant, j'ai pensé 'Oh Jésus, c'est la tortue de Jeff !'", explique l'homme, interrogé par la chaîne locale CBS Pittsburgh. "L'animal est toujours resté dans le même coin depuis 1965 et a toujours les mêmes marques gravées sur son dos". Jeff Cokeley est maintenant âgé de 60 ans et habite l'Etat mitoyen de New York. Lorsque son père lui envoya des photos de sa tortue, il commença par rire, avant d'être profondément ému. Après l'avoir conservé plusieurs jours, Holland Cokeley a aussi relâché la tortue, comme son fils, il y a près de 50 ans de cela. Source:http://tempsreel.nouvelobs.com
  25. Venin aphrodisiaque Une araignée pour donner un coup de pouce à la vie sexuelle... Ça existe. Et quelle araignée ! Il s’agit de l’araignée-banane, la Phoneutria nigriventer, une dangereuse araignée brésilienne dont la morsure peut s'avérer mortelle mais qui a des vertus thérapeutiques. Son venin, qui a intéressé les chercheurs du Medical College de Georgie, pourrait être utile dans le traitement des problèmes érectiles. Les chercheurs ont remarqué qu’en plus d'expérimenter une souffrance générale, les hommes mordus par la Phoneutria nigriventer subissent un effet secondaire hors de l'ordinaire. Ils souffrent tous de priapisme, une érection très douloureuse qui dure plusieurs heures après avoir été mordus. L'élément responsable se trouve dans le venin de l'araignée. Il s’agit d’une toxine baptisée Tx2-6. Les chercheurs l’ont administrée à des rats et ils ont remarqué que la pression sanguine et l’érection du pénis était significativement plus élevées que chez les rats témoins. La Tx2-6 hausse le niveau d'oxyde nitrique, un vasodilatateur, à l'intérieur du pénis. La pression sanguine augmente et une enzyme, la guanosine monophosphate cyclique (GMPc), détend les muscles souples du pénis. Cela permet aux tissus spongieux des corps caverneux de se remplir de sang et de causer une érection. La toxine agit dès le début de l'érection, tandis que les médicaments tels que Viagra, Cialis et Levtra tentent de prolonger le phénomène en retardant le travail de l'inhibiteur phosphodiestérase des nucléotides cycliques de type 5 (PDE-5). Le PDE-5 contracte les muscles souples, entraînant du coup l’expulsion du sang des alvéoles des corps caverneux. Et la fin de l'érection. Des études ont montré que les médicaments déjà sur le marché ne fonctionnent pas pour tous les hommes. Une combinaison avec la version synthétique de la toxine du venin de la Phoneutria nigriventer permettrait un traitement plus efficace pour vaincre les dysfonctions érectiles. Source: http://www.sciencepresse.qc.ca Article: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0041010102001368
×
×
  • Créer...