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L'objectif principal de la BSA est l'élaboration d'un dispositif efficace de prise en charge des envenimations par serpents exotiques, dans les centres ou laboratoires de recherche publics ou privés et chez les éleveurs privés capacitaires. Ce dispositif passe par la constitution, au siège social de la BSA, d'un stock en quantité suffisante d'antivenins de qualité, monovalents ou polyvalents, dont le rapport bénéfice/risque a été évalué et les données de sécurité validées par la Direction de l'Evaluation de l'AFSSAPS. Les objectifs secondaires sont de recenser les espèces venimeuses détenues en France, de traiter toute envenimation survenant sur le territoire national chez les professionnels ou les particuliers détenant des serpents venimeux et également de permettre aux Centres Antipoison de recenser au niveau national les envenimations à des fins de toxicovigilance et de veille sanitaire. http://www.antivenins.fr/index.html
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L’insecte assassin qui porte les cadavres de ses victimes sur son dos. Elle fait moins d’un centimètre en longueur et c’est une chose pour laquelle, très probablement, nous pouvons vraiment être reconnaissants ! Cette nymphe d’insecte assassin (c’est ainsi que l’on surnomme en anglais les membres de la famille d’insectes prédateurs reduviidaes ou réduves) trouvée en Malaisie, dispose d’une astuce macabre une fois qu’elle a terminé son diner. Elle attache les carcasses vides de ses victimes sur son dos, non pas comme trophée, mais comme stratagème que l’on pense être une tentative pour éviter de devenir elle-même une victime. Une fois que son déjeuner potentiel a été paralysé, la nymphe de l’insecte assassin lui injecte une enzyme. Elle liquéfie l’intérieur de sa proie permettant à l’insecte assassin de sucer ses entrailles. Pourtant, la mort n’est pas l’ultime fin de ces insectes malchanceux. Leurs exosquelettes seront mis à contribution sous forme d’armure ou de camouflage pour éventuellement masquer une odeur. La largeur du jeune réduve assassin signifie qu’il peut les empiler en hauteur, jusqu’à créer un monticule de plus de vingt “coquilles”. L’exosquelette de fourmis est fait de chitine, une substance particulièrement robuste qui peut fournir une nouvelle carapace pour le réduve pendant des semaines. Le tas est assemblé à l’aide une sécrétion collante. Comme le monticule est généralement plus grand que l’insecte lui-même, si un autre insecte, comme le plus souvent une araignée sauteuse, décide que l’assassin sera son prochain repas, il lui sert comme plan de repli. L’attaquant s’en prendra à la plus grande partie, les exosquelettes vides, qui sont ensuite tout simplement délestés, ce qui permet à l’insecte assassin de battre en retraite. Cette nymphe d’Acanthaspis petax, appartient à la famille des Reduviidae qui se compose d’environ 7000 espèces, ce qui en fait la plus grande famille de l’ordre des punaises (ou Hemiptera). Bien que fascinante, il n’y a seulement que quelques espèces qui prennent l’habitude de traîner avec elles, les carcasses vidées de leurs victimes. Jeune, les araignées sauteuses sont une menace, mais adulte, l’insecte assassin renverse la situation en chassant avec une grande habilité les arachnides, comme je le décrivais dans mes précédents articles sur cette insecte fascinant : un mimétisme agressif et plus récemment : Le tueur d’araignées qui agit comme une proie et se camoufle avec le vent. Source: tp://www.gurumed.org/2012/05/05/linsecte-assassin-qui-porte-les-cadavres-de-ses-victimes-sur-son-dos/ Vidéo: Article: ttp://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1469-7998.2007.00335.x/abstract;jsessionid=F3C66A5BED35724541B8002CEC676392.d01t04
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Trafic d’animaux : du serpent de contrebande Le trafic d’animaux sauvages n’épargne pas la Malaisie. Hier, des centaines de cobra et de tortues ont été saisies alors qu’ils allaient être sortis illégalement du pays. Les animaux avaient été dissimulés dans une cargaison de Papayes. La contrebande d’animaux sauvages n’est pas l’apanage de la Malaisie. Cette semaine encore, une campagne de sensibilisation a été menée au Brésil. Là aussi serpents et tortues sont concernés. Mais aussi les petits oiseaux chanteurs, les grands aras bleus et jaunes d’Amazonie, les perroquets verts, les singes et même les pumas. le trafic d’animaux n’épargne aucune espèce dans ce pays, même celles en voie de disparition. C’est aussi le plus lucratif après la drogue et les armes. « D’après nos estimations quelque 38 millions d’animaux sauvages - dont 80% d’oiseaux - sont retirés en fraude de la forêt par an au Brésil et près de 90% meurent pendant leur transport » déclarait, jeudi, à l’AFP, Rauff Lima, le porte-parole de l’ONG Renctas. Mais cette perte est « largement compensée par la vente d’un seul spécimen » et ces trafiquants gagnent près de deux milliards de dollars par an dans le pays sud-américain, soit le commerce illégal le plus rentable après la drogue et les armes, selon Renctas. La seule police fédérale saisit en moyenne 250.000 animaux par an et l’Institut brésilien de l’environnement (Ibama) en capture 45.000 lors de contrôles qui ont été multipliés au cours des dernières années dans tout le pays. Source: http://www.lavenir.net
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L'araignée Pisaura mirabilis offre de la chair fraîche d'insecte pour conquérir sa partenaire Des scientifiques euro-américains ont observé les moeurs amoureux de l'araignée Pisaura mirabilis qui offre de la chair fraîche d'insecte pour séduire. Avant d'espérer s'ébattre avec une femelle, les soupirants de l'araignée Pisaura mirabilis doivent lui faire une offrande : de la chair fraîche d'insecte soigneusement emballée dans de la soie. Une équipe euro-américaine s'est penchée sur ces moeurs arachnides, raconte la revue Animal Behaviour, et le confirme : 40 % des mâles se plieraient à la règle, sans jamais tricher sur le contenu du colis. Mieux ! Même fatigués par tant d'efforts, ils battent encore leurs concurrents en duel... Exemplaires. Source: http://www.lexpress.fr Article: http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0003347212001224
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Pisaura mirabilis, la pisaure admirable est une espèce d'araignées aranéomorphes de la famille des Pisauridae. Distribution Cette espèce se rencontre en zone paléarctique. Description La femelle mesure de 10 à 15 mm, le mâle 10 à 12. La coloration générale varie du gris au brun. Le céphalothorax comporte une large bande longitudinale sombre avec au milieu une ligne blanche ou jaune terminée vers l'avant par une touffe de poils. Une trainée claire très nette part des yeux latéraux vers l'arrière. L'abdomen est de couleur très variable et plus claire sur les côtés, le folium sombre a un contour ondulant plus nettement délimité chez le mâle que chez la femelle. Éthologie Cette araignée ne tisse pas de toile pour capturer ses proies mais se nourrit en les chassant dans les herbes basses. Pour se faire reconnaître, le mâle présente à la femelle, une proie morte enrobée de soie et, probablement, imprégnée par les phéromones de la femelle. L'accouplement dure environ une heure, pendant que la femelle consomme le présent qui lui a été fait. Quelque temps plus tard, la femelle pond les œufs dans un cocon qu'elle transporte à l'aide de ses pattes-mâchoires durant le temps de la maturation des œufs. Une fois proche de l'éclosion, elle fixe le cocon à des herbes basses. Elle fabrique alors une « pouponnière » de soie, sorte de cloche de soie dans les herbes, où les jeunes vont demeurer. Elle reste à proximité de cette cloche durant les premières phases de développement des jeunes, cloche qu'ils ne quittent qu'après leur seconde mue, lorsqu'ils deviennent capables de chasser et se nourrir. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Pisaura_mirabilis
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Guerre des sexes : un moteur d'évolution Une nouvelle étude retrace l'évolution des antennes chez les punaises d'eau qui utilisent ces appendices en forme de crochet pour tenir les femelles lors de l'accouplement. Une punaise mâle à gauche et femelle à droite. Improprement appelées « araignées d’eau », les insectes du genre Geris sont en fait apparentés aux punaises. Leur faible poids et leurs longues pattes hydrophobes les autorisent à se déplacer à la surface des lacs ou des mares, piquant puis aspirant l'intérieur des organismes qu'ils attrapent. Chez Rheumatobates riley, une espèce de punaise d’eau, les mâles possèdent aussi de grosses antennes munies de crochets, de segments allongés et de pointes parfaitement adaptées à la préhension de la femelle durant l’accouplement. Des chercheurs des universités de Toronto et de Montréal (Canada) ont étudié l’évolution de ces appendices au cours du temps. Ils ont d’abord identifié le gène responsable du développement des antennes, il s’agit du gène distal-less qui existe aussi chez d’autres insectes. Puis l'équipe a utilisé une technique de génétique appelée interférence à ARN pour réduire progressivement l'expression du gène distal-less dans les larves de mâles. Ils ont créé des mâles avec diverses formes d'antennes allant de celles, simples, comparables à celles des femelles jusqu'à des formes de plus en plus en crochet. Leurs résultats sont publiés dans la revue Science. Les chercheurs ont noté que les mâles sans ces structures devaient batailler pour se maintenir au-dessus de la tête des femelles, ce qui rendait les préliminaires encore plus difficiles. Ces mâles s'accouplaient moins et avaient moins de descendance. « Cela signifie que la lutte pour l'accouplement pourrait expliquer l’apparition d’antennes de plus en plus élaborées », explique Locke Rowe, biologiste et principal auteur de l’étude. De façon plus générale, les auteurs confirmant avec ce travail que dans la nature, la sexualité et les conflits sexuels constituent une force particulièrement puissante dans l’apparition et l’évolution des différences morphologiques entre mâles et femelles. Source: http://www.sciencesetavenir.fr/nature-environnement/20120504.OBS4656/guerre-des-sexes-un-moteur-d-evolution.html Article: http://www.sciencemag.org/content/336/6081/585.abstract
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La province indonésienne qui abrite les varans de Komodo est réticente à en échanger contre des pandas L'administration de la province indonésienne dite des "Petites îles de la Sonde orientales" (en indonésien : province de Nusa Tenggara Timur) a refusé le récent projet du gouvernement central indonésien d'échanger des varans de Komodo contre des pandas avec la Chine. Or le varan de Komodo ne vit que sur l'île de Komodo, dans le Parc National de Komodo, dans les Petites Îles de la Sonde ; et Frans Salem, Secrétaire de la Province des "Petites îles de la Sonde orientales" a fait savoir jeudi 3 mai que l'administration de la province avait promis de ne pas prélever des varans de Komodo pour les envoyer à la Chine et a précisé que les résidents locaux refuseraient un tel projet. « Le varan de Komodo est l'atout le plus précieux de la province. Si vous souhaitez en voir, visitez leur habitat d'origine » a ajouté Salem. Ce positionnement provincial fait suite à l'annonce en avril dernier d'une possibilité d'échange entre l'Indonésie et la Chine de leurs espèces emblématiques comme symbole de leurs relations diplomatiques bilatérales (lire l'article). Salem a ajouté que la province devrait accueillir en 2013 une manifestation de voiliers (la régate Sail Komodo) qui rassemble des participants de plus de 100 pays et que « prélever des varans de Komodo de leur environnement naturel n'est pas une bonne idée ». L'arrivée de pandas géants en Indonésie est donc compromis suite à cette décision. Source: http://www.pandas.fr
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Wissenschaftler fordern Verbot von Terraristikbörsen Eine heute veröffentlichte wissenschaftliche Untersuchung fordert ein europaweites Verbot von Terraristikbörsen, zum Schutz von Menschen, Tieren und der Umwelt. Die von animal public und anderen europäischen Tierschutzorganisationen* in Auftrag gegebene Untersuchung wird Politikern aus den Mitgliedsstaaten und der Europäischen Kommission zur Verfügung gestellt. Für die Untersuchung besuchte ein Team von internationalen Wissenschaftlern im Jahr 2011 Terraristikbörsen in Deutschland, Spanien und Großbritannien. In Deutschland nahmen die Wissenschaftler die, seit Jahren in der öffentlichen Kritik stehende, Terraristikbörse “Terraristika” in Hamm (NRW) in Augenschein. Gemäß des Reports zeigten viele der angebotenen Tiere Anzeichen von Stress. Zudem wurde nach Auffassung der Wissenschaftler die Mehrheit der Reptilien und Amphibien in einer Weise behandelt, die Tierquälerei gleich kommt. Veterinäre, die für die Kontrolle der Veranstaltungen zuständig gewesen seien, hätten tierschutzrelevante Missstände nicht erkannt. Die Untersuchung hebt zudem das gesundheitliche Risiko, das von solchen Veranstaltungen für die Besucher ausgeht, hervor. Reptilien und Amphibien sind Träger von Bakterien, wie Salmonellen, die sie auf ihre Umgebung und auch auf Menschen übertragen. Daher ist besonders für Kinder der Besuch einer Terraristikbörse mit einem hohen Infektionsrisiko verbunden. Des weiteren kommen die Autoren zu dem Schluss, dass von Terraristikbörsen ein erhebliches Risiko hinsichtlich der Einschleppung von sogenannten Neozoen ausgeht. Neben Klimawandel, Umweltverschmutzung und der Zerstörung natürlicher Lebensräume stellen invasive Arten eine der größten Bedrohungen für die natürliche Biodiversität in Europa dar und verursachen Schäden in Milliardenhöhe. animal public fordert seit Jahren ein gesetzliches Verbot von Wildtierbörsen. Umfangreiche Informationen zu diesem Thema gibt es auf der Internetseite www.stoppt-den-wildtierhandel.de *Animal Protection Agency (United Kingdom), Animal Public (Germany), Eurogroup for Animals (Belgium), Eurogroup for Wildlife and Laboratory Animals (Belgium), Fundación para la Adopción, el Apadrinamiento y la Defensa de los Animales (Spain), International Animal Rescue (United Kingdom) and People for the Ethical Treatment of Animals (Germany). Source:http://animal-public.de/2012/05/wissenschaftler-fordern-verbot-von-terraristikborsen/ Traduction google: Les scientifiques appellent à l'interdiction de Terraristikbörsen Une étude scientifique publiée aujourd'hui appelle à une interdiction européenne sur Terraristikbörsen, pour protéger les personnes, les animaux et l'environnement. L'autre animal de publics et les organisations européennes de protection des animaux * enquête demandée est mis politiciens des États membres et la Commission européenne. Pour l'étude, une équipe de scientifiques internationaux ont visité en 2011 Terraristikbörsen en Allemagne, l'Espagne et la Grande-Bretagne. En Allemagne, les chercheurs ont depuis des années dans la critique publique de standing, spectacle! "Terraristika" à Hamm (NRW) dans les apparences. Selon le rapport, la plupart des animaux offerts des signes de stress. En outre, selon les scientifiques traités la majorité des reptiles et des amphibiens d'une manière qui cruauté envers les animaux est le même. Les vétérinaires qui étaient responsables pour le contrôle des événements n'avait pas reconnu le bien-être des animaux liés à des griefs. L'étude souligne également le risque pour la santé posés par de tels événements pour les visiteurs à l'extérieur. Reptiles et amphibiens sont porteurs de bactéries comme la salmonelle, qui ils ont transmis à leur environnement et aux êtres humains. Par conséquent, en particulier pour les enfants fréquentant un spectacle! Avec un risque élevé d'infection est associée. En outre, les auteurs concluent qu'il existe un risque important lié par Terraristikbörsen pour l'introduction de soi-disant espèces envahissantes. En plus du changement climatique, la pollution et la destruction des habitats naturels, les espèces envahissantes représentent une des plus grandes menaces qui pèsent sur la biodiversité naturelle en Europe, causant des milliards de dégâts. publique des animaux a été l'appel d'une interdiction légale sur les marchés d'animaux sauvages. Des informations détaillées sur ce sujet, il www.stoppt-le-wildtierhandel.de sur le site * Agence de protection des animaux (Royaume-Uni), des animaux publique (Allemagne), le Groupe Euro pour les animaux (Belgique), Groupe de € pour les animaux de la faune et de laboratoire (Belgique), Fundación para la adopción, el Apadrinamiento y la Defensa de los Animales (Espagne), International Animal Rescue (Royaume-Uni) et le peuple pour le traitement éthique des animaux (Allemagne). Article en anglais: http://animal-public.de/wp-content/uploads/2012/04/ARPM2012_v131.pdf
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Animaux insolites : une " mode " dangereuse Après les serpents, voici la folie des insectes. Le succès des nouveaux animaux de compagnie grandit. Un effet de mode qui n’est pas sans dangers. Animaux insolites : une " mode " dangereuse Perroquets ararauna, tortues d'Hermann, mambas noirs… Les espèces protégées ou dites dangereuses font fureur, chez les particuliers. Une centaine de personnes détiendraient ce type d'espèces, dans l'Indre, selon l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS). Aujourd'hui, si la folie des reptiles est, semblerait-il, passée, ce sont désormais les petits insectes (comme les dendrobates, ces grenouilles venimeuses ; les mygales ou les scorpions) qui remportent un vif succès. Jusqu'à un an de prison et 15.000 € d'amende Auprès de qui ? La Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations. (DDSCPP) distingue deux catégories. « Il y a les véritables passionnés, très pointus dans leur connaissance de l'espèce et qui mettent tout en œuvre pour prendre soin de l'animal et se mettre en conformité avec la loi. Et il y a les amateurs qui cèdent à un phénomène de mode et ne se rendent pas compte des dangers ni des conséquences de détenir un tel animal chez soi », note Céline Imberdis, chargée de la faune sauvage captive. Exemples : un propriétaire mal renseigné pourra être surpris de découvrir que son perroquet vivra trente ans, que son serpent de quelques centimètres atteindra, à l'âge adulte, plus de 3 m ou qu'il leur coûte finalement plusieurs centaines d'euros par an à nourrir. « C'est ainsi que des gens se débarrassent de leurs animaux dans la nature ou que ces animaux s'échappent. » De la tortue d'Hermann, protégée par la convention de Washington, à la mygale, classée comme dangereuse, la détention de ces animaux est soumise à une réglementation stricte et précise. Il est ainsi nécessaire de disposer d'autorisations particulières et de pouvoir – pour éviter les trafics – attester de l'origine licite de l'animal (permis d'importation, certificat de cession…). En collaboration avec la DDSCPP, les agents de l'ONCFS font donc la chasse à ces détenteurs irréguliers d'animaux non domestiques. En 2011, ils auront ainsi effectué trente-deux interventions. « Toute infraction à la réglementation animale est un délit pouvant être puni jusqu'à un an d'emprisonnement et 15.000 € d'amende », rappelle Arnaud Dupont, de l'ONCFS. Les agents agissent au travers de contrôles inopinés dans les animaleries, les cirques de passage, ou sur dénonciation. Autre moyen d'action : la « toile ». Les agents épluchent en effet les petites annonces suspectes sur Internet, véritable plate-forme d'échanges illicites pour les espèces non autorisées. « Le commerce des animaux constitue le second trafic international, après la drogue et avant les armes », indique Céline Imberdis. Et pour cause. Alors qu'un perroquet de base se monnaye à 1.500 €, un spécimen rare, type ara hyacinthe, peut se négocier jusqu'à 15.000 € Iguane, pythons et wallabies... > Mars 2012. Un iguane d'1,50 m est retrouvé mort dans la Creuse, à Argenton. > Juillet 2011. Les agents de l'ONCFS saisissent un python molure de 3,50 m sur un parking de Châteauroux, suite à une annonce passée sur le site Internet Le Bon Coin. Lassés de leur animal, ses propriétaires cherchaient à le revendre. > Printemps 2011. Un automobiliste prévient les secours qu'un wallaby se promène dans la nature, à Mers-sur-Indre. Après plusieurs recherches, les agents de l'ONCFS découvrent que l'animal s'était enfui de son enclos. > Août 2010. Un wallaby de Bennett adulte est capturé, après avoir causé un accident, à Châtillon-sur-Indre. > Octobre 2009. Des promeneurs découvrent un python molure de 2,40 m, lors d'une cueillette de champignons dans le bois de Nioron, à Vendœuvres. Une trouvaille inhabituelle qui faisait suite à la découverte d'un cadavre de python à Vierzon, et à la traque d'un cobra fantôme, en Touraine. pratique Pour obtenir des réponses sur la détention d'un animal ou vous mettre en conformité avec la loi, adressez-vous à : > Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations : Cité administrative, bâtiment P, boulevard George-Sand, à Châteauroux. Tél. 02.54.53.45.00. > Service départemental de l'Office de la chasse et de la faune sauvage : Cité administrative, bâtiment R, boulevard George-Sand, à Châteauroux. Tél. 02.54.24.58.12. Source: http://www.lanouvellerepublique.fr
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Orné d'un serpent, le téléphone Vertu allie technologie de pointe au luxe le plus extrême en signant une collaboration avec le joaillier Boucheron. Ce dernier pare le mobile en or rose d'un python ou d'un cobra couverts de pierres précieuses. Si l'on succombe au cobra, c'est aussi et surtout pour un diamant poire de deux carats, un autre plus petit d'un carat tout de même, deux yeux en émeraudes et quatre cent trente-neuf rubis totalisant vingt-et-un carats. Quant au python, il est tout aussi difficile de lui résister. Ses dix-sept carats de saphirs multicolores, un carat de diamants et deux yeux reptiliens en saphir bleu ne peuvent susciter que l'admiration face aux petites mains qui ont su s'affairer sur ces deux téléphones d'exception. Pour protéger en beauté ces mobiles, une housse en peau de python aubergine dont les liens en cuir qui enserrent le précieux objet sont rehaussés par deux petits serpents en or rose 24 carats est disponible. Toute exception a un prix... Un prix exceptionnel lui aussi, puisqu'il faut tout de même compter au moins 100 000 euros pour le plus accessible de ces téléphones à commander directement auprès du joaillier du 26 de la prestigieuse place Vendôme.
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J'ai été chercher l'incubateur hier. Trouvé sur le bon coin, pas trop loin de la maison (30km) et pour 100€. Servi une seule fois pour incuber des oeufs de Physignathus. Nous voilà donc avec un incubateur Lucky reptile2 Je me modernise enfin... Après plus de plusieurs décennies de bons et loyaux services, mon incubateur maison va pouvoir enfin prendre sa retraite....
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Je me sépare de mon python car j'en est plus l'utilité.c'est une femelle, Elle mesure 1m10 elle a 3 ans elle mange du rat de 90-120g tout les 2 semaines elle mue très bien. Elle est très calme et toujours actif dans son terrarium a partir de 18h environ http://www.leboncoin.fr/animaux/314215256.htm?ca=1_s
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Rien ne vous semble plus anodin qu'une mouche. Cet insecte est pourtant capable d'une petite prouesse, surtout si la mouche est surprise. Cette dernière est capable de réaliser un saut périlleux et cela a été filmé pour la première fois. Vous avez peu de chances de le voir dans le monde réel avec vos yeux ou une caméra vidéo standard. Si vous optez pour une caméra ultrarapide, voici ce que vous pouvez voir. Certains chercheurs étudient de près les mouvements en vol des mouches, par exemple pour en savoir plus sur la dynamique de vol et comment le cerveau passe d'une décision à un mouvement. Ce film a été dument récompensé lors d'une compétition en Hollande pour la meilleure vidéo utilisant une caméra ultrarapide. Source:http://www.sur-la-toile.com
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Saisie de près de 200 reptiles et d'une centaine de grenouilles à Zaventem La douane de Brussels Airport a saisi 112 caméléons, 72 serpents et 100 grenouilles le lundi 23 avril, a indiqué le SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement vendredi dans un communiqué. Les animaux venaient du Burundi et transitaient par Bruxelles. Ils devaient ensuite prendre la direction de la République tchèque. Les 284 animaux étaient transportés dans des étuis en roseau mal fermés. Il s'est rapidement avéré que la convention CITES (Convention sur le commerce international d'espèces animales et végétales menacées) n'était pas respectée et que les autorisations nécessaires à leur transport n'étaient pas en ordre, souligne le SPF Les caméléons saisis ont été provisoirement accueillis au Natuurhulpcentrum Opglabbeek. Les serpents et les grenouilles sont quant à eux pris en charge par le Zoo d'Anvers. Trois serpents venimeux dangereux devront cependant être euthanasiés car la Belgique ne dispose pas d'antidote contre leur venin. Le service CITES du SPF Santé publique, Sécurité de la Chaîne alimentaire et Environnement est responsable de la délivrance des différents documents, mais aussi du contrôle de l'application de la législation relative au commerce des animaux menacés. Il collabore ainsi étroitement avec les différentes instances douanières et la police, ce qui permet de procéder régulièrement à des saisies. En 2012, une cinquantaine d'infractions à la législation CITES ont déjà été constatées. (VIM) Source:http://www.rtl.be