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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Voici les 73 espèces du genre Varanus. - Varanus acanthurus Boulenger, 1885 - Varanus albigularis (Daudin, 1802) - Varanus auffenbergi Sprackland, 1999 - Varanus baritji King & Horner, 1987 - Varanus beccarii (Doria, 1874) - Varanus bengalensis (Dauin, 1802) - Varanus bitatawa Welton, Siler, Bennett, Diesmos, Ruya, Dugay, Rico, Van Weerd & Brown, 2010 - Varanus boehmei Jacobs, 2003 - Varanus bogerti Mertens, 1950 - Varanus brevicauda Boulenger, 1898 - Varanus bushi Aplin, Fitch & King, 2006 - Varanus caerulivirens Ziegler, Böhme & Philipp, 1999 - Varanus caudolineatus Boulenger, 1885 - Varanus cerambonensis Philipp, Böhme & Ziegler, 1999 - Varanus cumingi Martin, 1839 - Varanus doreanus (Meyer, 1874) - Varanus dumerilii (Schlegel, 1839) - Varanus eremius Lucas & Frost, 1895 - Varanus exanthematicus (Bosc, 1792) - Varanus finschi Böhme, Horn & Ziegler, 1994 - Varanus flavescens (Hardwicke & Gray, 1827) - Varanus giganteus (Gray, 1845) - Varanus gilleni Lucas & Frost, 1895 - Varanus glauerti Mertens, 1957 - Varanus glebopalma Mitchell, 1955 - Varanus gouldii (Gray, 1838) - Varanus griseus (Daudin, 1803) - Varanus indicus (Daudin, 1802) - Varanus jobiensis Ahl, 1932 - Varanus juxtindicus Böhme, Philipp & Ziegler, 2002 - Varanus keithhornei (Wells & Wellington, 1985) - Varanus kingorum Storr, 1980 - Varanus komodoensis Ouwens, 1912 - Varanus kordensis (Meyer, 1874) - Varanus lirungensis Koch, Arida, Schmitz, Böhme & Ziegler, 2009 - Varanus mabitang Gaulke & Curio, 2001 - Varanus macraei Böhme & Jacobs, 2001 - Varanus marmoratus (Wiegmann, 1834) - Varanus melinus Böhme & Ziegler, 1997 - Varanus mertensi Glaubert, 1951 - Varanus mitchelli Mertens, 1958 - Varanus nebulosus (Gray, 1831) - Varanus niloticus (Linné, 1766) - Varanus nuchalis (Günther, 1872) - Varanus obor Weijola & Sweet, 2010 - Varanus olivaceus Hallowell, 1857 - Varanus ornatus (Daudin, 1803) - Varanus palawanensis Koch, Gaulke & Böhme, 2010 - Varanus panoptes Storr, 1980 - Varanus pilbarensis Storr, 1980 - Varanus prasinus (Schlegel, 1839) - Varanus primordius Mertens, 1942 - Varanus rainerguentheri Ziegler, Böhme & Schmitz, 2007 - Varanus rasmusseni Koch, Gaulke & Böhme, 2010 - Varanus reisingeri Eidenmüller & Wicker, 2005 - Varanus rosenbergi Mertens, 1957 - Varanus rudicollis (Gray, 1845) - Varanus salvadorii (Peters & Doria, 1878) - Varanus salvator (Lautrenti, 1768) - Varanus scalaris Mertens, 1941 - Varanus semiremex Peters, 1869 - Varanus similis Mertens, 1958 - Varanus spenceri Lucas & Frost, 1903 - Varanus spinulosus Mertens, 1941 - Varanus storri Mertens, 1966 - Varanus telenesetes Sprackland, 1991 - Varanus timorensis Gray, 1831 - Varanus togianus (Peters, 1872) - Varanus tristis (Schlegel, 1839) - Varanus varius (White, 1790) - Varanus yemenensis Böhme, Joger & Schätti, 1989 - Varanus yuwonoi Harvey & Barker, 1998 - Varanus zugorum Böhme & Ziegler, 2005
  2. On en sait un peu plus sur l'histoire évolutive de ce curieux groupe auquel appartiennent les varans. Des outils génétiques viennent de préciser l’origine de leurs ancêtres. Ces lézards carnivores et venimeux auraient conquis deux continents supplémentaires, l'Afrique et l'Australie, au départ de… l’Asie, mais à quelles périodes? Les varans sont une famille de lézards carnivores de l'Ancien Monde comprenant 73 espèces réparties entre l'Afrique et l'Australie. Ils forment avec les serpents, dont ils ne sont pourtant pas proches, et les iguanes, un grand groupe appelé Toxicofera en raison de leur capacité à produire du venin. Ces reptiles sont très bien représentés en Asie, en Indonésie et en Australie puisque 67 espèces peuplent ces contrées. Les membres indo-australiens vivant en Nouvelle-Guinée, sur les îles Salomon, sur les îles de la Sonde et en Australie (soit 27 espèces), présentent une très grande variété de tailles, de niches écologiques et de régimes alimentaires. On dénombre en effet : - de très petits insectivores comme Varanus brevicauda, le plus petit varan du monde (30 cm) ; - de petits prédateurs de reptiles comme Varanus eremius ; - des espèces aquatiques, dont on peut citer Varanus mertensi ; - de grands charognards à l'image de Varanus varius ; - et enfin des prédateurs géants comme Varanus giganteus et Varanus komodoensis, le dragon de Komodo, qui se nourrit de cerfs, de cochons sauvages et même exceptionnellement d'êtres humains. Pour bien comprendre l’histoire biogéographique de ces organismes, une équipe internationale comprenant des chercheurs français du laboratoire Systématique, adaptation, évolution (SAE, UPMC) vient de séquencer 5 gènes nucléaires et mitochondriaux chez de nombreux représentants des familles de lézards anguimorphes, y compris donc chez 38 espèces de varans. Une telle approche a notamment permis une datation des différentes étapes de l'histoire évolutive du groupe. Les résultats ont été publiés dans la revue Biology Letters. Des varans proches de leurs cousins asiatiques En effet, si les varans sont une famille emblématique de reptiles, leur histoire biogéographique reste très controversée puisque trois hypothèses s'affrontent : 1) Une origine asiatique suivie par des événements de dispersion vers l'Afrique et l'Australasie durant le Tertiaire. 2) Une origine africaine puis une dispersion vers l'Asie et l'Australasie durant le Tertiaire. 3) Une origine gondwanienne avant des événements de vicariance (spéciation) liés à la fragmentation des plaques continentales pendant le Jurassique et le Crétacé inférieur. Les résultats de l’étude permettent d'exclure, sans ambiguïté, une origine gondwanienne. Ils montrent que les lignées de lézards les plus proches des varans sont asiatiques, désignant ainsi l'origine des Varanus. Les espèces africaines se sont séparées de leurs homologues asiatiques voici 40 millions d'années, durant le Paléogène. C'est donc bien à partir de l'Asie que les varans ont colonisé l'Afrique, puis, toujours à partir de ce continent, et il y a environ 30 millions d'années, l'Australie, où ils occupent maintenant les niches habituellement prises par les carnivores placentaires sur les autres continents. Source: http://www.futura-sciences.com Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/07/10/rsbl.2012.0460.abstract
  3. askook

    Oligodon kampucheaensis

    Une nouvelle espèce de serpents découverte au Cambodge Fauna & Flora International rapporte sa découverte dans les forêts de la chaîne des Cardamomes. Le reptile rouge a été baptisé le « kukri cambodgien ». C’est l’herpétologiste Neang Thy, du ministère cambodgien de l’Environnement et collaborateur de l’ONG environnementale, qui a découvert le « kukri » (Oligodon kampucheaensis), ainsi nommé du fait de ses dents arrière, incurvées comme le célèbre couteau népalais des combattants Gurkhas, qui lui permettent de percer les œufs dont il se nourrit. « La science au Cambodge a été écrasée sous le régime de Pol Pot, et nous ne faisons à présent qu’en ramasser les morceaux. Cela me rend extrêmement fier de découvrir et de décrire cette espèce, et de la nommer en l’honneur de mon pays », écrit, dans un communiqué repris sur le site de FFI, le scientifique, qui avait découvert en 2011 une nouvelle espèce de lézard sans pattes dans les Cardamomes. Bien que faisant partie des zones protégées du Cambodge, les Cardamomes (sud-ouest) sont sous la double menace de la perte de l’habitat animalier et de l’aménagement de la terre. « Le ‘kukri’ est le deuxième nouveau reptile que nous décrivons cette année au Cambodge », a déclaré Berry Mulligan, le responsable de l’ONG dans le royaume. « Cela montre l’importance de notre combat pour protéger cette région ». Selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (IUCN), les espèces animales menacées dans les Cardamomes sont l’éléphant d’Asie, le banteng, le chien sauvage d’Asie, la tortue à carapace molle à tête de grenouille, le paon vert, le tigre d’Indochine, le gibbon Hylobates pileatus et le crocodile du Siam. Les espèces vulnérables comprennent la panthère nébuleuse, le gaur, l’ours des cocotiers et la loutre à pelage lisse, tandis que celles en passe d’être menacées sont le python birman et le Capricornis sumatraensis, une sorte de chèvre sauvage. La biodiversité exceptionnelle des Cardamomes est menacée par une déforestation galopante, notamment du fait des concessions économiques qui autorisent des monocultures industrielles au détriment de la forêt, et ce même dans les zones protégées. Source: http://asie-info.fr Lien: http://www.fauna-flora.org/news/scarlet-snake-discovered-in-cambodia/
  4. Très, très déçu. Tous les oeufs sont non fécondés...
  5. Incroyable, encerclé par une centaine de serpents qui cherchent à le mordre, ce dresseur parvient à les repousser ! Ses amis l'appellent "Cobra Man" ce dresseur qui gagne sa vie en faisant des spectacles de serpents arrivent à se faire respecter des reptiles. En effet dans cette vidéo, on peut voir le dresseur qui possède 1000 serpents entrer dans son élevage rempli de cobras et les manipuler l'air de rien. Cobra Man n'a décidément peur de rien et même quand les serpents essayent de le mordre celui parvient à les esquiver et à les tenir à distance sans broncher. Source: http://www.entrevue.fr Entrevue.fr vous propose de regarder la vidéo: http://www.entrevue.fr/l-homme-qui-murmurait-a-l-oreille-des-cobras-19203
  6. askook

    Les ennemis des serpents

    Les Pituophis n'ont pas que des amis...
  7. askook

    Lamprophis capensis

    Deux pontes avec un seul accouplement. Plus allongés et plus beaux que ceux de sa première ponte...
  8. askook

    Lamprophis capensis

    Deuxième ponte (5 oeufs) pour cette femelle. Deux mois jour pour jour après sa première...
  9. askook

    Zamenis situla

    Pour cette ponte, non...
  10. Une video montre qu'une seule goutte de venin de la vipère de Russell transforme le sang humain en une épaisse gelée. Le tout en moins de 30 secondes. À voir le résultat, on se dit que c'est impossible. Une goutte de venin mélangée à du sang humain et celui-ci coagule au point de se transformer en une épaisse gelée, presque une pâte. L'effet est immédiat : le sang devient compact en moins de trente secondes. Et pourtant, cette solidification fulgurante est bien réelle. Le serpent en question, ce n'est pas n'importe lequel : la vipère de Russell est le deuxième serpent au monde le plus meurtrier, le premier en Asie. Il fait partie du "big four" des serpents indiens, responsables du plus grands nombre de décès sur le sous-continent. Un venin dans les laboratoires pour étudier les cas de thrombose Renommé pour son efficacité à induire une thrombose, le venin de la vipère de Russell est utilisé dans les laboratoires d'analyses médicales. Dilué au sang, il peut faire coaguler ce dernier en un temps compris entre 23 à 27 secondes. Ce serpent est aussi connu pour injecter de très importantes doses de venin dans ses morsures. Une morsure a pour effets immédiats une douleur et des cloques là où elle est subie. La suite, c'est une chute de la pression artérielle puis une diminution de la fréquence cardiaque. Des vomissements et une tuméfaction du visage apparaissent dans un tiers des cas. Des milliers de personnes meurent par septicémie, défaillance respiratoire ou insuffisance cardiaque chaque année. Retour à l'état pré-pubère Ce qui peut surprendre c'est que le gonflement et le saignement soient presque immédiats. Mais le venin peut aussi provoquer un effet collatéral, rendant les personnes mordues infertiles, faisant chuter les poils du corps des hommes et adoucissant les courbes féminines. Le dailymail qui publie cette vidéo, parle "d'un inversement de la puberté". Une étude publiée dans The Lancet montre que 29% des personnes qui survivent à une morsure de cette vipère souffrent plus tard d'hypopituarisme (une insuffisance du fonctionnement de l'hypophyse). Une maladie qui provoque chez l'homme la perte de sa pilosité faciale et pubique et chez la femme, une perte considérable de poids et une diminution de ses courbes. L'étude montre que les membres des deux sexes perdent leur libido et leur fertilité. Le venin peut également provoquer une insuffisance rénale et de nombreuses hémorragies, qui affectent souvent la glande pituitaire. Bien qu'elle ne soit que de la taille d'un petit haricot, cette glande sécrète des hormones qui permettent de contrôler la croissance et le fonctionnement des organes sexuels. La vipère de Russell vit dans les plaines de l'Inde, du Pakistan, du Sri Lanka et du Bangladesh. Se nourrissant essentiellement de petits rongeurs, elle est souvent en contact (trop) étroit avec les fermiers et les agriculteurs. Source: http://www.maxisciences.com
  11. Une seule goutte du venin de vipère de Russell (Daboia russelii) dans du sang humain donne en quelques secondes un gros caillot de sang, un morceau épais et de matière solide. Autant vous dire qu'il ne vaut mieux pas avoir une morsure de ce serpent !
  12. La lutte contre l’agent pathogène responsable de la disparition de nombreuses espèces d’amphibiens fait des progrès mais il n’existe pas encore de traitement réellement efficace. Considérés comme des organismes sentinelles, en raison de leur grande sensibilité aux polluants et aux modifications de leur habitat, les amphibiens (grenouilles, salamandres, tritons…) connaissent une importante diminution de leurs effectifs. L’un des principaux agents responsables de cette extinction est un champignon, Batrachochytrium dendrobaditis, décrit comme « le pire pathogène ayant jamais infecté un vertébré » selon l’Union internationale pour la Conservation de la Nature. Ce champignon est impliqué dans au moins 94 des 120 disparitions d’espèces de grenouilles au cours des 30 dernières années et résiste aux tentatives menées jusqu’alors pour le combattre. Les chercheurs ont réussi à enrayer la croissance du champignon grâce à des bactéries qui colonisent la peau des espèces de grenouilles résistantes. Mais pour le moment, cette méthode ne devrait pas déboucher sur un traitement, car les tentatives d’implanter durablement ces bactéries sur la peau de grenouilles sensibles ont échoué, comme les chercheurs viennent de le rapporter dans un article récemment publié dans la revue Diseases of Aquatic Organisms. Afin de mieux coordonner les efforts des chercheurs du monde entier, une équipe américano-suisse a mis en ligne une banque de données accessibles à tous. Avec pour ambition de collationner l’ensemble des études concernant ce champignon mortel. Y compris celles qui se sont soldées par un échec et « qui ne sont trop souvent pas publiées » selon Douglas Woodhams de l’Université de Zurich. Le scientifique espère que son initiative permettra d’éviter les études doublons et accélérera la recherche d’un traitement. Selon les experts, une espèce d’amphibien sur trois risque de disparaître à court terme sans mesures de préservation efficaces. Outre les menaces infectieuses, le changement climatique et les atteintes à leur habitat représentent également des facteurs contribuant à leur extinction. Source: http://www.sciencesetavenir.fr Article: http://www.int-res.com/abstracts/dao/v99/n2/p119-125/
  13. askook

    Chelonia mydas

    Plus de 70 tortues retrouvées mortes sur les plages Des dizaines de tortues vertes ont été retrouvées mortes sur les plages du nord-est de l'Australie. Les scientifiques n'ont encore pas identifié la cause du décès de ces animaux marins dont l'espèce est protégée. Deux tortues vertes supplémentaires se sont échouées sur la plage de Wujunga Beach, à une centaine de kilomètres de la ville de Townsville, dans le Queensland australien. Sur les plages du Queensland, c'est ainsi une véritable hécatombe. La semaine dernière, soixante-deux tortues vertes ont été retrouvées gisant sur le sable, inanimées. Arrivés sur place, les scientifiques sont restés perplexes. La mort de ces pacifiques reptiles est aussi subite que mystérieuse. En effet, pour l'heure, aucune cause évidente ne laisse penser qu'il pourrait s'agir d'une pollution ou d'une intoxication. Après cette première découverte, les autorités de l'Etat ont décidé de patrouiller au large avec deux de leurs hélicoptères. Ils ont alors repéré une dizaine d'autres tortues, flottant sans vie à la surface de l'Océan. A première vue, les tortues ne souffraient pas de dénutrition. "Elles paraissaient avoir un bon état de santé général", a expliqué à l'AFP Marty McLaughlin, directeur des opérations aux Services des parc et de la vie sauvage du Queensland. "Il n'y a aucune cause apparente de la mort. Nous avons vérifié plusieurs cause habituelles de décès, comme la malnutrition ou la collision avec un bateau. Ça n'a rien donné", a-t-il confié. "Nos analyses n'ont pas signalé non plus de parasites (nocifs). C'est un mystère total", at-il ajouté. C'est autour d'Upstart Bay, au sud de la ville de Townsville, que l'ensemble des tortues a été retrouvé. Une région proche de la Grande Barrière de corail. Sur les lieux, des crabes et des cochons qui se nourrissaient des cadavres n'ont pas été malades. Mais Marty McLaughlin a tenu à rester prudent : "nous ne pouvons pas encore écarter l'hypothèse d'un empoisonnement tant que les rapports de toxicologie ne nous sont pas encore parvenus". Selon le Brisbane Times, ces derniers devraient rendre leur verdict dans les deux prochaines semaines. Un phénomène sérieux pour cette espèce menacée Cette hécatombe de tortues vertes intervient peu après que l'Unesco a vivement critiqué la gestion australienne de la Grande Barrière de corail, une région capitale pour l'alimentation de ces reptiles. La tortue verte est considérée comme une espèce vulnérable sous la législation nationale de l'Australie. La mort ne serait-ce que d'un seul individu en âge de se reproduire pourrait ainsi avoir un sérieux impact négatif sur l'ensemble de la population des tortues marines. La plupart des spécimens échoués sont des femelles de taille adulte. A cet âge, les tortues vertes ont une carapace d'environ un mètre de long pour un poids moyen de 130 kilogrammes. Certaines femelles peuvent néanmoins peser jusqu'à 180 kg en période de ponte. Source: http://www.maxisciences.com
  14. Le réchauffement climatique pourrait avoir raison des tortues du Pacifique Pour les populations de tortues luth de l’est du Pacifique, le 21e siècle pourrait fort bien être le dernier. De nouvelles études laissent entendre que les changements climatiques pourraient accroître les menaces existantes contre cette espèce et la faire pratiquement disparaître. La mort des oeufs de tortue et de jeunes tortues dans des nids enterrés sur des plages plus chaudes et plus sèches seraient les causes prévues de ce déclin potentiellement relié au réchauffement climatique. Voilà du moins ce qu’avance une étude alarmante publiée dans Nature Climate Change. Les tortues luth, l’espèce de tortue la plus grande, font partie des espèces les plus menacées en raison d’une combinaison de facteurs de risques ancestraux et actuels, tels le braconnage des oeufs et la pêche malencontreuse des adultes et des jeunes en mer. La nouvelle étude, portant sur la dynamique climatique, suggère que les changements climatiques pourraient annuler la capacité de cette espèce de se remettre d’aplomb. Si les modifications du climat poursuivent leur tendance évaluée dans l’étude, la population de tortues luth de l’est du Pacifique diminuera de 75 pour cent d’ici 2100. « Nous avons utilisé trois modèles de cette population de tortues luth pour construire un modèle dynamique de la population sous influence climatique », a indiqué le principal auteur de l’étude, le Dr Vincent Saba. Le nombre de naissances de jeunes tortues, ainsi que la proportion de mâles au sein de ces populations varient en fonction des particularités climatiques qui varient année après année. Par exemple, les femelles tortues sont plus portées à pondre des oeufs sur les plages du Costa Rica pendant les années où elles peuvent davantage se nourrir de méduses, et les méduses du Pacifique Est sont normalement plus abondantes durant les saisons plus froides. La température dans les nids affecte le ratio mâle/femelle, plus de mâles venant au monde lors des saisons plus froides et plus pluvieuses pour rejoindre la population comportant plus de femelles. Les projections scientifiques indiquent que les années plus chaudes et sèches deviendront plus fréquentes en Amérique Centrale pendant le 21e siècle. Ce réchauffement risque de faire augmenter le nombre d’oeufs n’arrivant pas à éclore, ce qui provoquerait une diminution de sept pour cent de la population des tortues luth par décennie, ou de 75 pour cent d’ici l’année 2100. La population a d’ailleurs déjà atteint un niveau plancher critique. « En 1990, il y avait 1500 tortues creusant des nids sur la plage de Playa Grande », a dit le Dr James Spotila. « Il y a actuellement de 30 à 40 femelles par saison. » Pour que la population s’en remette correctement, a dit M. Spotila, « le défi est de produire autant de jeunes tortues en santé que possible. Cela nécessite que nous soyons actifs et que nous modifions la plage pour être certains que cela se produise. » L’équipe de recherche de M. Spotila effectue déjà des recherches sur des méthodes telles que l’humidification et la mise à l’ombre des nids de tortues, ce qui pourrait diminuer l’impact des conditions météo chaudes et sèches sur la chance de mettre au monde des tortues en santé. Source: http://www.pieuvre.ca
  15. askook

    Faits divers

    Élevage illégal de tortues : 94 specimens saisis à Pia Déjà verbalisé en 2008, un couple installé dans un lotissement de Pia a vu débarquer hier matin gendarmes de la brigade de Bompas et agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) à leur domicile. Ils sont repartis quelques heures plus tard, les bras chargés de caisses transportant des dizaines de tortues. Des tortues d'Hermann comme il en existe dans les Albères (en haut à gauche), des cistudes d'Europe aquatiques (en bas) ou encore des imposantes tortues rayonnées (astrochélys radiata) ont été saisies hier par les agents de l'ONCFS. Sur les traces de la tortue Mais c'est de Chambord, siège de la Brigade nationale Convention Washington, que tout a démarré quand l'Office fut chargé de déterminer l'origine d'une tortue, sans papier, vendue à un particulier. Un défaut de traçabilité qui n'empêchait pas les enquêteurs d'orienter leurs recherches vers les Pyrénées-Orientales. Le mois dernier, à Pia, l'antenne locale de l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage agissant sur instruction du parquet faisait une 'descente' chez le vendeur présumé établi à Pia. Un contrôle fructueux. Dans la villa, effectivement, des dizaines de spécimens, la plupart issus d'espèces protégées, sont recensés et diverses infractions aux règles régissant la détention d'espèces animales non-domestiques sont relevées. Si aucune maltraitance n'est reprochée au propriétaire, de fortes suspicions d'élevage clandestin pèsent sur lui comme le confirme Gilles Caffort, agent technique de l'environnement : "Ce Monsieur avait un certificat de capacité l'autorisant à posséder ces animaux" mais était visiblement très laxiste d'un point de vue administratif. Jusqu'à 1 an de prison et 150 000 € d'amende On lui reproche ainsi : l'absence d'autorisation d'ouverture d'établissement (préalable à la détention de ces espèces), la non tenue des registres d'entrées et de sorties des animaux (rendant impossible tout contrôle) ainsi que l'absence de marquage obligatoire de certains spécimens (aucune traçabilité possible). Des griefs dont le 'propriétaire' indélicat devra répondre devant la justice (il encourt une peine maximale de 1 an d'emprisonnement et d'une amende pouvant aller jusqu'à 150 000 euros). "La personne verbalisée détenait et faisait reproduire plusieurs espèces de tortues terrestres ou aquatiques. Parmi celles-ci, étaient concernées des espèces protégées (dont les populations naturelles sont en net déclin) comme la Cistude d'Europe ou la tortue d'Hermann mais aussi des tortues originaires de Madagascar, à l'origine légale douteuse, étaient également présentes". Autant d'infractions qui ont conduit hier matin les autorités à intervenir et à procéder à une saisie conservatoire dans la villa de Pia : "Contrairement à la Catalogne qui a un centre de récupération des reptiles et amphibiens, la France ne dispose pas de ce type de structures" explique M. Caffort. Mais comme dans toute fable il y a une fin heureuse, "les 94 tortues seront placées dans un établissement d'étude et de sauvegarde des chéloniens situé dans la Région". Source: http://www.lindependant.fr
  16. askook

    Trafic

    Un touriste allemand arrêté pour vol d'iguanes Un touriste allemand a été arrêté pour avoir tenté de voler des iguanes dans les îles équatoriennes des Galapagos, un crime passible de trois ans de prison, a annoncé lundi la direction du parc national situé dans l'archipel dans un communiqué. Des agents du parc national des Galapagos (PNG) ont intercepté dimanche l'individu à l'aéroport situé dans l'archipel, après avoir remarqué qu'il portait un paquet suspect. A l'intérieur se trouvaient quatre iguanes, enveloppés dans de la toile. Ces reptiles appartenaient à une espèce menacée de disparition (Conolophus subcristatus), qui fait notamment l'objet d'un plan de protection de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Passible de trois ans de prison Le touriste, qui a été placé en détention par la police de l'environnement à la suite d'un mandat d'arrêt ordonné par la justice, est passible de trois ans de prison, selon le code pénal équatorien. Ce dernier aurait déjà été poursuivi en décembre dernier pour avoir dérobé un iguane issu d'une espèce protégée dans les îles Fidji, a indiqué la direction du PNG, citant un article du quotidien en ligne Fiji Times. Classé au Patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco depuis trois décennies, l'archipel des Galapagos se situe dans l'océan Pacifique à 1.000 km des côtes équatoriennes. Cette réserve naturelle est célèbre pour avoir inspiré la théorie de l'évolution des espèces du naturaliste britannique Charles Darwin. Source: http://www.20minutes.fr
  17. askook

    Liophis ornatus

    Un rapport d'experts atteste qu'il ne resterait plus que 18 serpents de l'espèce Liophis ornatus. Cette petite couleuvre, la plus rare au monde, survit sur un petit îlot, non loin de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Un havre de paix, loin de sa plus grande menace : la mangouste. "Après trente ans de recherches, quel soulagement de pouvoir confirmer qu'une espèce survit encore !", s'émeut à la BBC Matthew Morton, responsable du programme est-caribéen de l'association Durrell Wildlife Conservation Trust. Selon les scientifiques, il resterait dans le monde moins de 18 individus de l'espèce Liophis ornatus, le "Saint Lucia racer" ou couresse de Sainte-Lucie. Les derniers spécimens de ce petit serpent (sa taille adulte ne dépasse pas un mètre), non venimeux, survivent sur un petit îlot de 12 hectares proche des côtes de Sainte-Lucie, dans les Antilles. Selon les experts, ce membre de la famille des couleuvres serait le serpent le plus rare au monde. Une île sans mangoustes La couresse était à l'origine un serpent plutôt commun à Sainte-Lucie, et si sa population a rapidement décliné, c'est qu'elle a été la proie d'un prédateur hors pair : la mangouste. Introduite à la fin du XIXe siècle en provenance des Indes pour éliminer les serpents venimeux, le petit mammifère n'a pas fait de détail. Il a décimé cette couleuvre, endémique de l'île. A tel point que les biologistes avaient considéré l'espèce comme éteinte en 1936. Non loin de là, dans la réserve naturelle des Maria Islands, un spécimen de couresse de Ste-Lucie est aperçu en 1973. Dès lors, ses apparitions se font rares et la crainte de voir à nouveau disparaître l'espèce grandit d'année en année. Fin 2011, une équipe de chercheurs de Sainte-Lucie est constituée pour déterminer si la couleuvre est toujours en vie. Quelques mois plus tard, après de longues recherches à soulever les moindres pierres et arpenter les pentes des îlots qui composent les Maria Islands, les chercheurs attrapent onze serpents, les baguent, et les relâchent. L'analyse de données des nouvelles captures indique qu'une population totale de 18 individus peuplerait l'île. Une autre méthode, moins précise, fixerait leur nombre à environ cent couleuvres. Son aire de distribution, cet îlot de 12 hectares, pourrait être la plus petite au monde pour tout type de serpent. S'il survit dans cet endroit, c'est parce que les mangoustes n'y ont jamais accédé. "Rester les bras croisés, ce n'est pas une option" Avant que la couresse de Sainte-Lucie n'obtienne ce titre de "serpent le plus rare au monde", celui-ci était détenu par une autre espèce antillaise : la couresse d'Antigua. En 1995, le nombre d'individus de ce serpent était tombé sous les 50. Dix-sept ans d'un programme de protection de l'espèce plus tard, leur population a atteint 900 spécimens. Un succès acquis grâce à la collaboration des habitants d'Antigua, qui, en comprenant l'importance de sa présence, ont éliminé ses prédateurs "importés", les mangoustes et les rats. Une stratégie payante dont l'équipe de préservation de Sainte-Lucie pourrait s'inspirer pour sauvegarder leur espèce endémique. Jusque-là, la couleuvre locale reste sous la menace d'une nouvelle importation de prédateurs. "Nous avons quatre espèces endémiques de serpents à Sainte-Lucie", indique Alwin Dornelly du Département des forêts et de la nature de Sainte-Lucie. "L'une d'entre-elles est extrêmement rare. Nous devons déployer tous les efforts possibles pour éviter sa disparition". "Des dizaines, si ce ne sont pas des centaines, d'animaux antillais ont déjà disparu parce que les Hommes ont inconsciemment importé des espèces prédatrices, venus d'autres parties du monde. Nous ne pouvons pas nous permettre de voir l'inoffensive couresse de Sainte-Lucie devenir le prochain cas", martèle le Dr. Jenny Daltry, biologiste en chef de Fauna & Flora International. Elle ajoute : "rester les bras croisés, ce n'est pas une option". Source: http://www.maxisciences.com
  18. Les chutes de lézards et de geckos inspirent le robot RightingBot Les lézards et les geckos, tout comme les chats, retombent bien souvent sur leurs pattes après une chute. Mais comment font-ils ? Les reptiles utiliseraient leur queue pour se rétablir en leur faisant réaliser des mouvements de rotation bien précis. Une fois modélisé, ce comportement a été intégré dans un robot, le RightingBot, afin que lui aussi puisse toujours retomber de la même manière. Les chats savent s’orienter durant une chute pour atterrir sur leurs pattes. Ils sont en effet capables de plier leur corps en deux, puis de faire exécuter des mouvements de rotation à chaque moitié autour d'axes différents tout en faisant varier précisément la position des quatre membres. Le réflexe de retournement du chat, une capacité innée apparaissant 3 à 4 semaines après la naissance, dépend donc très fortement de la souplesse de la colonne vertébrale de l’animal, mais pas de la présence d’une queue. Ces mammifères ne sont pas les seuls êtres vivants à toujours, ou presque, retomber sur leurs pattes. Les lézards et les geckos, à qui il arrive parfois de marcher au plafond, ont aussi cette capacité. Mais comment font-ils ? Leur morphologie et la répartition interne de leur masse n’ont en effet rien de semblable avec celles des chats. Ardian Jusufi et ses collègues de l’University of California à Berkeley ont répondu à cette question dans la revue Bioinspiration and Biomimetic en 2010. Ils viennent cependant de profiter du meeting de la Society for Experimental Biology (Salzburg) qui a eu lieu du 29 juin au 2 juillet 2012 pour préciser leurs résultats. Un seul et unique appendice suffirait pour rétablir l’assiette de vol de ces animaux durant une chute : la queue. La construction du robot RightingBot confirme même cette donnée. Le robot RightingBot valide le modèle mathématique Des geckos Hemidactylus platyurus et des anoles verts Anolis carolinensis ont volontairement été mis dans des situations instables afin de provoquer des chutes. Des caméras rapides ont alors enregistré tous les mouvements exécutés par les reptiles jusqu’à ce qu’ils touchent le sol. Le visionnage des séquences a permis aux chercheurs de décrire avec précision les mécanismes en jeu. La conclusion est sans appel : tout dépend de la queue, cet appendice proportionnellement plus lourd et plus rigide que chez les mammifères. Durant une chute, le fait de balancer l'appendice caudal d’un côté provoquerait une rotation de l’animal dans le sens opposé. Une fois la correction d’assiette effectuée, les lézards déploieraient alors leurs pattes en vue de préparer l’atterrissage et surtout de se stabiliser. Toutes ces opérations durent environ 45 ms. Les geckos et les anoles ont des longueurs totales de corps assez similaires. Pourtant, ils ne se ressemblent pas sur de nombreux points morphologiques. Hemidactylus platyurus possède par exemple une queue relativement courte et donc un corps proportionnellement plus long. Ce fait n’est pas sans conséquence. S’il veut se retourner efficacement, le gecko doit relever sa queue vers l’avant de manière plus prononcée par rapport à un anole dont l’appendice caudal est deux fois plus long. L’angle compris entre la queue du gecko et le plan vertical passant par son bassin doit valoir entre 0° à 30° pour assurer un retournement optimal. Effectuer une rotation de la queue avec un angle de 45° par rapport au plan vertical ne provoquerait qu’un demi-retournement. Un modèle mathématique tridimensionnel a été développé à partir de ces observations afin de comprendre et quantifier les mécanismes physiques en jeu (calcul des moments d’inertie, etc.). Il pourrait également se révéler utile pour des fabricants de robots évoluant au sein d’environnements complexes et risquant donc de chuter à la suite de collisions. En dotant leurs engins d'un appendice et du programme informatique adaptés, ceux-ci pourraient toujours tomber d'une manière identique et prévisible. Un robot nommé RightingBot a d’ailleurs été développé par Ardian Jusufi pour démontrer l’efficacité de son modèle. À ce jour, il serait toujours retombé sur ses pattes... Source: http://www.futura-sciences.com Vidéo: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/zoologie/d/les-chutes-de-lezards-et-de-geckos-inspirent-le-robot-rightingbot_39786/ Articles: http://iopscience.iop.org/1748-3190/5/4/045001/pdf/1748-3190_5_4_045001.pdf
  19. Massacre de tortues luth en Amérique du Sud Une plage de Trinidad-et-Tobago a été le théâtre d’une invraisemblable hécatombe. Espèce en voie de disparition essentiellement à cause des activités d’origine anthropique, la tortue luth vient de payer un très lourd tribut à une incroyable négligence sur une plage de l’île de Trinité, dans la République de Trinidad-et-Tobago, en Amérique du Sud. Dépêchée par le gouvernement, une équipe de travaux publics qui avait pour mission de détourner le cours de l’embouchure de la Grand rivière, laquelle se jette dans la mer sur la plage précitée – considérée comme l’une des aires de nidification des tortues luth les plus étendues au monde – et risquait d’attenter aux fondations d’un hôtel voisin, a commis une erreur d’appréciation très lourde de conséquences. En voulant ériger une digue de sable, elle a en effet écrasé des dizaines de milliers d’œufs. D’autres nids, également en quantités phénoménales, ont été dévorés par des chiens errants et des vautours qui n’en demandaient pas tant… En tout, quelque deux cent mille œufs auraient été victimes de cette défaillance aux conséquences évidemment catastrophiques pour la biodiversité locale, a indiqué Sherwin Reyz, membre de l’ONG de protection de l’environnement (http://www.zegreenweb.com/tag-protection-de-lenvironnement) de la Grand rivière, interrogé par nos confrères de l’Associated Press et qui a confié avoir été « au bord des larmes ». Et d’évoquer un « gâchis dégoûtant » résultant d’un travail bâclé, encore hanté par le douloureux souvenir du sauvetage des rares nouveau-nés qui ont miraculeusement échappé au carnage. Un écosystème touché en plein cœur Ironie du sort : des touristes convergent du monde entier dans l’hôtel pour observer la ponte des tortues géantes (NDLR : elles peuvent mesurer plus de deux mètres de long et peser jusqu’à une tonne, en plus de vivre jusqu’à cent ans), incontournables de l’écosystème de l’île. Son propriétaire italien Piero Guerrini, qui réclamait les travaux, s’est lui aussi dit choqué et a estimé que le ballet meurtrier des bulldozers a laissé « beaucoup de mauvaises images dans l’esprit des gens ». Membre de l’association Papa Bois Conservation également cité par l’Associated Press, Marc de Verteuil a pour sa part déploré une mobilisation de moyens logistiques disproportionnée au regard de la taille de la plage et de la vulnérabilité de sa biodiversité. Selon lui, la procédure n’aurait de surcroît pas été respectée et l’équipe de travaux publics responsable du massacre aurait cédé à une forme de panique. Des retombées touristiques sont à craindre. Alors que l’abattage des tortues de mer est interdit dans le pays depuis 1966, les efforts de conservation consentis depuis près d’un demi-siècle pour préserver l’espèce, eux, viennent d’être en grande partie annihilés. Précisons enfin que, si les tortues luth peuvent pondre jusqu’à quatre-vingt-cinq œufs d’une seule traite, à peine 1 % des individus survit jusqu’à l’âge adulte. Une autre bonne raison d’accuser le coup… Source: http://www.zegreenweb.com
  20. «Georges le Solitaire» inscrit au patrimoine national L'Equateur a annoncé jeudi sa décision d'inscrire au patrimoine culturel national «Georges le Solitaire», une tortue géante centenaire, dernier représentant de son espèce décédé en juin dans l'archipel des Galapagos. Unique survivant de l'espèce «Geochelone abigdoni», l'animal est mort de cause naturelle, après plusieurs tentatives infructueuses de reproduction, dans un centre d'élevage de tortues de cette réserve naturelle isolée dans l'océan Pacifique, à 1.000 km des côtes. «Georges le Solitaire» constitue un symbole de la lutte pour la protection d'un «écosystème fragile dont la conservation est la responsabilité de tous», a indiqué le vice-ministre équatorien du Patrimoine, Juan Carlos Coellar, dans un communiqué. Des chercheurs ont été chargés d'une étude visant à démontrer l'intérêt scientifique que présente le corps de cette tortue, qui sera embaumé avant d'être exposé dans l'archipel des Galapagos Source: http://www.20minutes.fr
  21. "Lonesome George" le dernier représentant de l'espèce Cheloinidis abingdonii est décédé dimanche. Son âge était destiné à plus d'une centaine d'années. Les tortues géantes des îles Galapagos ont été entre autres la base du travail de Darwin sur sa théorie de l'évolution. Ces tortues, à l'évolution spécifique à leur habitat sont présentes à quelques milliers d'exemplaires pour quelques espèces.
  22. Capture d'un iguane Lundi 2 juillet, c’est une intervention inédite à laquelle a été confronté le binôme du véhicule d’interventions diverses de Créteil. Partis pour le motif « animal en difficulté » à Alfortville, les sapeurs-pompiers ont découvert un spectacle atypique, à savoir un iguane perché dans un arbre ! Rapidement, le véhicule de l’équipe cynotechnique est demandé, ainsi qu’un moyen élévateur aérien pour accéder au reptile. Les spécialistes sont intervenus avec précaution afin de déloger l’animal de sa cachette. Quinze minutes auront été nécessaires pour récupérer le lézard géant, rendu immédiatement à son propriétaire. Ce dernier a expliqué ensuite avoir laissé les fenêtres ouvertes dans la pièce où évolue d’habitude librement l’iguane. L’animal a gratté le filet de protection et est passé au travers... Source: http://www.pompiersparis.fr
  23. Un python tentait de manger un bébé dans son berceau Un bébé d'un an a survécu par miracle à l'attaque d'un python royal qui s'est glissé dans son berceau en pleine nuit. Selon ABC News, Devin Winans qui réside dans l'Illinois aux Etats-Unis, dormait lorsqu'il a entendu son enfant, William, 1 ans, hurler. "Je suis entré dans sa chambre et j'ai senti quelque chose de visqueux dans son lit", confie-t-il. En allumant la lumière, il a rapidement compris ce qu'il était en train de se produire. Un Python royal s'était glissé dans le lit de William et tentait de l'avaler. "J'ai vu le serpent enroulé autour de son pied, il l'a mordu. Il essayait de le manger". Devin Winans a immédiatement attrapé le serpent et l'a jeté hors du lit. William a été emmené à l'hôpital où il a été soigné pour sa morsure au pied. Une enquête a été ouverte par la police de Matoon. Selon les enquêteurs, le python appartenait à une voisine des Winans. Celle-ci a été interpellée pour mise en danger d'autrui. Elle ne disposait pas d'un terrarium sécurisé. Source: http://www.7sur7.be
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