askook

T'inquiète. Plus grand monde vient sur le forum... Même nous, l'avons abandonné Cela fait plaisir de voir, ici, toute ta famille pituo...

Ce n'est pas mon espèce préférée chez les asiatiques. Mais sympa ces naissances. Tu dois être le seul à en reproduire en France?

Ecological diversification in a group of Indomalayan pitvipers (Trimeresurus): convergence in taxonomically important traits has implications for species identification Journal of Evolutionary Biology Volume 17, Issue 4 K. L. Sanders, A. Malhotra & R. S. Thorpe http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1420-9101.2004.00735.x/pdf

Reptiles Designer "Elevage d'Epicrates cenchria" http://reptilesdesigner.jimdo.com/ et http://www.epicratescenchria.fr/

Colubrid Venom Composition: An -Omics Perspective Toxins 2016, 8 (, 230 Inácio L. M. Junqueira-de-Azevedo, Pollyanna F. Campos, Ana T. C. Ching & Stephen P. Mackessy http://www.mdpi.com/2072-6651/8/8/230/htm

http://docnum.univ-lorraine.fr/public/SCDPHA_T_2010_GUILLON_JOHANN.pdf

Phylogeographic and population genetic analyses reveal multiple species of Boa and independent origins of insular dwarfism Molecular Phylogenetics and Evolution Volume 102, September 2016, Pages 104–116 Daren C. Carda, Drew R. Schielda, Richard H. Adamsa, Andrew B. Corbina, Blair W. Perrya, Audra L. Andrewa, Giulia I.M. Pasquesia, Eric N. Smitha, Tereza Jezkovab, Scott M. Bobackc, Warren Boothd & Todd A. Castoea https://www.researchgate.net/publication/303635944_Phylogeographic_and_population_genetic_analyses_reveal_multiple_species_of_Boa_and_independent_origins_of_insular_dwarfism

Phylogeographic and population genetic analyses reveal multiple species of Boa and independent origins of insular dwarfism Molecular Phylogenetics and Evolution Volume 102, September 2016, Pages 104–116 Daren C. Carda, Drew R. Schielda, Richard H. Adamsa, Andrew B. Corbina, Blair W. Perrya, Audra L. Andrewa, Giulia I.M. Pasquesia, Eric N. Smitha, Tereza Jezkovab, Scott M. Bobackc, Warren Boothd & Todd A. Castoea https://www.researchgate.net/publication/303635944_Phylogeographic_and_population_genetic_analyses_reveal_multiple_species_of_Boa_and_independent_origins_of_insular_dwarfism

The evolution of scale sensilla in the transition from land to sea in elapid snakes Jenna M. Crowe-Riddell, Edward P. Snelling, Amy P. Watson, Anton Kyuseop Suh, Julian C. Partridge & Kate L. Sanders https://www.researchgate.net/publication/303869655_The_evolution_of_scale_sensilla_in_the_transition_from_land_to_sea_in_elapid_snakes

L’identification des caïmans de Guyane (genres Caiman, Melanosuchus & Paleosuchus) http://www.biotope.fr/sites/biotope.fr/files/documents/dewynter_marty_blanc_2016_cle_des_caimans_de_guyane.pdf

8 jolis petits bouts!!!!

Je ne comprenais pas Photos de la ponte le 4 mai, naissances le 18 mai. Incubation ultra-rapide!!!!!! Donne moi ton secret, Vincent, pour ne plus perdre de temps

Voici deux bonnes raisons d'acheter le dernier ReptilMag. Première raison: ReptilMag fête ses 15 ans Deuxième raison: Parution de mon article sur les Pituophis melanoleucus ssp.

Génial, Vincent. Félicitations!!!! Combien de temps d'incubation?

Un python avale une pince à barbecue et subit une opération Un python animal de compagnie nommé Winston a dû subir une opération chirurgicale, après avoir avalé des pinces de barbecue en métal. Les radiographies sont saisissantes. On voit très bien les pinces dans le corps fuselé du pauvre Winston. Le serpent devait sans doute avoir très faim. Les pinces tenaient un rat mort que lui présentait son maître. Winston a agrippé la pince en dévorant son repas; son propriétaire les lui a laissées, certain qu'il allait lâcher prise. Mais à sa grande surprise, elles avaient disparu quand il est revenu. Et Winston présentait une bien drôle de courbure. Au département vétérinaire de l'Université d'Adélaïde, en Australie, le patient a été endormi; un chirurgien a retiré les pinces de son estomac. Source: http://tvanouvelles.ca/ Vidéo:

Mue de python en Ardèche : "Une chance sur mille pour que le serpent soit dans la nature" Antoine Soler, responsable scientifique de la Ferme aux crocodiles, a été réquisitionné pour retrouver l'animal dont la peau a été découverte dans la garrigue. "Je vais continuer à chercher, même si selon moi, le canular est gros comme une maison." Au bout du fil, Antoine Soler ne cache pas son scepticisme. Pour le responsable scientifique de la Ferme aux crocodiles de Pierrelatte (Drôme), réquisitionné par la gendarmerie pour sa connaissance des reptiles, la situation est claire : la mue de python de près de 4 mètres retrouvée la semaine dernière dans un petit village de l'Ardèche a été déposée par un plaisantin qui souhaitait attirer l'attention des médias. "La mue était parfaitement propre, comme si elle venait d'être déposée" L'affaire a pourtant de quoi préoccuper les 215 habitants de la commune de Labastide-de-Virac, où un arrêté a été publié par le maire, qui souhaite éviter la "psychose". La mue appartient en effet à un python birman, "l'un des plus gros serpents du monde, qui peut atteindre 6,5 mètres de long et peser jusqu'à 140 kilos", explique le spécialiste de 23 ans. "C'est un prédateur que l'on retrouve en Asie du Sud-Est, constricteur, et qui possède de grands crocs qui ne sont toutefois pas venimeux", énumère le jeune homme, qui précise que l'animal "a tendance à s'enfuir face aux humains" et qu'il n'attaque "que lorsqu'il est acculé". Mais pour Antoine Soler, les riverains auraient tort de s'inquiéter. Car non seulement l'animal aurait peu de chance de rester en bonne santé en raison de la fraîcheur des nuits ardéchoises, mais les conditions dans lesquelles sa peau a été trouvée posent question. "La mue a été découverte dans un endroit très reculé, et était parfaitement propre, comme si elle avait été conservée et venait d'être déposée dans la garrigue. En plus, étant constituée de kératine, elle aurait normalement été dévorée par les grillons, qui sont nombreux dans la région, ou se serait décomposée après quelques nuits", continue le spécialiste. Et d'ajouter que si un amateur de reptiles avait décidé de se débarrasser de son animal, "il aurait plutôt choisi de l'abandonner dans le Rhône plutôt que dans un endroit aussi perdu". "Si cette bête est dans les parages, il faut la sauver !" Comment retrouver alors le propriétaire de la mue ou de l'animal ? Antoine Soler a sa petite idée. "Le python birman est une espèce considérée comme dangereuse, et sa détention est réglementée depuis 2004. Pour en avoir un chez soi, il faut un document appelé certificat de capacité d'élevage qui n'est vraiment pas simple à obtenir. Pour l'avoir, j'ai dû patienter un an, entre les procédures administratives et les formations obligatoires", explique le responsable scientifique de la Ferme aux crocodiles. Un amateur moins scupuleux aurait également pu en acheter en Allemagne ou en Espagne, où la procédure est plus souple, avant de le rapatrier chez lui, précise toutefois le jeune homme. Dernière possibilité : la peau aurait pu être achetée comme souvenir dans un pays d'Asie du Sud-Est, d'où cet animal est originaire. S'il juge qu'il "n'y a qu'une chance sur mille pour que le serpent se balade vraiment dans la nature", Antoine Solère va donc tout de même continuer ses recherches bénévoles dans la garrigue. "J'ai disposé des tôles un peu partout dans les environs, que je retourne régulièrement. Ce sont des abris chauds qui peuvent attirer ce type de python. Si cette bête est dans les parages, il faut la sauver !" Source: www.francetvinfo.fr

C'est ce qui est proposé le plus souvent..

Pour la petite histoire... Cette femelle est née en décembre 2014, d'un couple frère et soeur... Son père est classique het albinos, sa mère est albinos, et très jaune (je l'ai récupéré en même temps). Ses grands-parents sont classiques het albinos. Aucunes autres mutations est connues chez cette souche, qui est originaire de chez Anna Piriou. Tous les jeunes issus de cette souches étaient, jusqu'à présent, soit classique het albinos, soit albinos. C'est la première à sortir avec cette mutation...

Il détenait chez lui un anaconda de près de 3m, des pythons et un boa... Les agents de l'ONCFS ont saisi chez un habitant des Corbières un anaconda jaune, de 2,70 m et 15 kg, réputé très dangereux. Les agents de l'ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage) viennent de réaliser une "prise" chez un habitant des Corbières à faire froid dans le dos. Début 2014, l'ONCFS avait été informé, par l'intermédiaire de son réseau régional sur le contrôle du commerce et trafics des espèces sauvages de faune et flore, qu'un particulier domicilié dans les P.-O. avait fait l'acquisition d'un anaconda jaune (Eunectes notaeus), un serpent, originaire d'Amérique centrale pouvant atteindre une taille supérieure à 3 m et classé parmi les espèces dangereuses, au vu de son comportement agressif et de sa puissance rare. Après vérifications auprès des administrations centralisant les autorisations nécessaires pour la détention de ce type de spécimen, les inspecteurs de l'environnement ont pris la décision d'effectuer fin mars un contrôle au domicile dudit propriétaire de ce fameux reptile. Capable d'avaler un alligator Et ils n'étaient pas été pas au bout de leur surprise. Dans un vivarium installé dans son logement, l'homme possédait effectivement un anaconda, de 2,70 m et pas moins de 15 kg. Une petite bête capable d'avaler un alligator. Une détention strictement interdite sans aucune autorisation préfectorale ou certificat de capacité obligatoires. Mais, l'intéressé, un amateur passionné de reptiles, hébergeait également sous son toit un boa constrictor, quatre pythons royaux, un lézard ocellé qu'il avait trouvé et pris dans le milieu naturel, plus une dizaine de tortues mauresques (Testudo graeca) sans origine déterminée pour lesquels il ne s'était pas affranchi des dispositions légales (Photos ci-dessus). Un procès-verbal lui a d'abord été dressé pour avoir "enlevé" le lézard méditerranéen, qui a par ailleurs été relâché, et pour tous les manquements au règlement. Par ailleurs, sur instruction du parquet de Perpignan, les agents de l'ONCFS, assistés par l'adjudant-chef Le Gac, référent sur les atteintes à l'environnement et à la santé publique (RAESP) de la gendarmerie nationale, ainsi que d'un spécialiste du maniement des reptiles, ont procédé à la saisie du serpent dangereux. Les démarches se sont avérées complexes afin de trouver un lieu d'accueil à l'animal. Il a été envisagé un temps de le transporter jusqu'à Nantes avant que l'anaconda ne soit finalement acheminé vers un parc zoologique en Dordogne où des soigneurs compétents l'attendaient, disposant en outre d'une structure adaptée à sa corpulence. Enfin, le propriétaire a pu conserver le boa et les pythons, car il a pu fournir les factures requises et, même s'ils sont classés dangereux par un arrêté de 2004 (lire ci-contre), parce qu'il ne dépassait pas le nombre fixé pour ces espèces. De même, les tortues ne lui ont pas été confisquées car il a entrepris les démarches pour régulariser sa situation. Il devra toutefois répondre ultérieurement devant la justice de "défaut d'autorisation préfectorale d'ouverture d'établissement d'élevage" ou "manque de connaissances validées par un certificat de capacité". Il encourt une amende pouvant s'élever à 15 000 euros et une peine maximum d'un an d'emprisonnement. Source:http://www.lindependant.fr

Voici une jeune femelle, qui est arrivée le week-end dernier en provenance de Loire-Atlantique... Je prends tous les avis, au niveau de sa mutation...

ils sont effectivement magnifique. Vous devez, surement, connaître l'éleveur. Il est du Gard.

Découverte d’une impressionnante mue de python de 4 m de long Une impressionnante mue de serpent a été découverte par un habitant de Labastide-de-Virac en milieu de semaine dernière dans le quartier des Claux-Virac, en bordure de garrigue. Elle mesure près de 4 mètres de long ! La gendarmerie a aussitôt été alertée ainsi que la préfecture qui a réquisitionné un herpétologue. D’après ce dernier, la peau du serpent serait celle d’un python birman. Des battues ont été organisées. En vain. Aucune trace du reptile n’a été retrouvée. L’éventuel propriétaire du serpent s’est-il contenté de se débarrasser de cette peau dans la nature ? Ce python s’est-il échappé d’un vivarium ? S’agit-il d’un canular ? L’énigme demeure. Toutefois, selon le spécialiste missionné, si l’animal se promène dans la nature, il a peu de chances de survivre bien longtemps en raison des nuits encore fraîches… Par principe de précaution, le maire Jacques Marron a pris un arrêté établissant un périmètre de protection sur l’ensemble de la commune. Source: http://www.ledauphine.com

Alain dire non aux Pituophis, jamais mdrrr Il faudra bien, un jour ou l'autre....

Avec l'âge, je vais bien y arriver!!!!