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  1. A unique mating strategy without physical contact during fertilization in Bombay Night Frogs (Nyctibatrachus humayuni) with the description of a new form of amplexus and female call PeerJ Benefits Published June 14, 2016 Bert Willaert, Robin Suyesh, Sonali Garg, Varad B. Giri, Mark A. Bee, S.D. Biju https://peerj.com/articles/2117/
  2. Le kamasutra des grenouilles vient de s’enrichir d’une nouvelle position Il y a environ 6 600 espèces d’anoures, grenouilles et crapauds, dans le monde, mais malgré cette grande variété, ces amphibiens pratiquent qu’une de leurs six positions d’accouplement quand il est temps de produire une descendance. Mais les grenouilles nocturnes de Bombay, Nyctibatrachus humayuni, ne sont pas comme les autres : les couples adoptent une septième position sexuelle que des chercheurs viennent de découvrir et qu’ils ont baptisée “chevauchement dorsal” (en anglais “dorsal straddle”). Un couple de Nyctibatrachus humayuni dans leur étreinte (S.D. Biju) Cette position consiste, pour le mâle, à chevaucher la femelle tout en saisissant une feuille ou une brindille, dans certaines occasions, sa main peut reposer sur celle de la femelle ou sa patte. Puis il enfonce ses hanches, libère son sperme sur le dos de la femelle, sans aucune pénétration. Ensuite, le mâle s’en va, la femelle dépose ses œufs et se cambre, canalisant le sperme sur la ponte entre ses pattes. Elle reste immobile lors de la fécondation. Une équipe de recherche, dirigée par le professeur S.D. Biju de l’université de Delhi, a observé cette nouvelle position tout en étudiant les grenouilles nocturnes de Bombay pendant 40 nuits, entre 2010 et 2012, dans les forêts denses du Maharashtra, en Inde. Chez la plupart des espèces de grenouilles, dans leur étreinte appelée amplexus, les mâles libèrent le sperme et les femelles libèrent des œufs simultanément. Le fait de rester ensemble est estimé augmenter les chances de succès de la reproduction et les mâles, dans la plupart des espèces de grenouilles, fertilisent les œufs tout en serrant la taille de la femelle ou ses aisselles. Ce n’est pas le cas pour les grenouilles nocturnes de Bombay et la ponte ainsi que la fécondation se produit qu’une fois que le mâle s’en est allé. Ces deux comportements rendent le chevauchement dorsal unique. Infographie présentant les différentes positions des grenouilles lors de l’accouplement, avec la nouvelle. (PeerJ) Fait intéressant, les grenouilles atteignent un taux de fécondation de 100 %, sur la base des échantillons que les chercheurs ont réunis. Ils ont émis l’hypothèse que le fait de se maintenir à une feuille ou une tige, plutôt qu’à la femelle, réduirait le risque de tomber de leur perchoir. Pour la plupart des couples de grenouilles, le chevauchement dorsal alimente la chaîne alimentaire. Au cours de la période d’observation des chercheurs, un serpent a englouti 80 % des couvées. C’est la première fois qu’un serpent ait observé manger des œufs de grenouille en Inde, selon les chercheurs. Le genre Nyctibatrachus est endémique de cette région de l’Inde et comprend 28 espèces connues, dont beaucoup ont été décrites récemment. Les scientifiques n’en savent pas beaucoup sur cette branche particulière de l’arbre de famille des grenouilles, mais plusieurs études ont noté des comportements de reproduction intéressants chez les espèces Nyctibatrachus. Le Kama Sutra des grenouilles va probablement croitre alors que les scientifiques en apprendront davantage sur elles. Mais le temps n’est malheureusement pas du côté des chercheurs. Les espèces de Nyctibatrachus sont particulièrement menacées par les activités humaines. De savoir comment ils s’accouplent est essentiel pour mettre en place des techniques aidant à leur conservation. L’équipe a publié ses conclusions mardi dans la revue en libre accès peerj : A unique mating strategy without physical contact during fertilization in Bombay Night Frogs (Nyctibatrachus humayuni) with the description of a new form of amplexus and female call. Source: http://www.gurumed.org/2016/06/15/le-kamasutra-des-grenouilles-vient-de-senrichir-dune-nouvelle-position/ Article: https://peerj.com/articles/2117/
  3. The identity of Stenorhabdium temporale Werner, 1909 (Serpentes: Colubroidea) Vertebrate zoology - 66 (2) 2016 Sebastian Kirchhof, Kristin Mahlow & Frank Tillack http://www.senckenberg.de/files/content/forschung/publikationen/vertebratezoology/vz66-2/08_vertebrate_zoology_66-2_tillack_179-190.pdf
  4. Ecological divergence in the yellow-bellied kingsnake (Lampropeltis calligaster) at two North American biodiversity hotspots Molecular Phylogenetics and Evolution Volume 106, January 2017, Pages 61–72 A.D. McKelvy & F.T. Burbrink. https://www.researchgate.net/publication/308132000_Ecological_divergence_in_the_yellow-bellied_kingsnake_Lampropeltis_calligaster_at_two_North_American_biodiversity_hotspots#pf1
  5. Encore du changement chez les Lampropeltis. Lampropletis calligaster[i][/i] n'a plus de sous-espèces. L. c occipitolineata[i][/i] et L. c rhombomaculata deviennent des espèces à part entière, suite à cet article : Ecological divergence in the yellow-bellied kingsnake (Lampropeltis calligaster) at two North American biodiversity hotspots de A.D. McKelvy et F.T. Burbrink. https://www.researchgate.net/publication/308132000_Ecological_divergence_in_the_yellow-bellied_kingsnake_Lampropeltis_calligaster_at_two_North_American_biodiversity_hotspots#pf1
  6. Psammophis crucifer en mode défense Photos Dean Boshoff
  7. askook

    Moloch horridus

    Le diable cornu d’Australie (Moloch horridus) capte l’eau du brouillard, de l’humidité de l’air et du sable mouillé, puis la conduit jusqu’à sa gueule pour boire. Comment fait-il ? La réponse réside dans l’étonnante peau de ce lézard. La peau du diable cornu est recouverte d’écailles. Des scientifiques pensent que l’humidité, ou la rosée, accumulée sur ses écailles court le long de la surface rugueuse de sa peau et entre dans le réseau cutané constitué de canaux ouverts, ou sillons, situés entre les écailles. Ces canaux sont connectés entre eux et débouchent sur les côtés de la gueule du diable cornu. Mais comment attire-t-il l’eau, depuis ses pattes jusqu’à sa gueule, défiant ainsi la gravité ? Et comment, en frottant son ventre contre des surfaces mouillées, ce lézard en extrait-il l’humidité ? Des chercheurs ont levé le voile sur le secret du diable cornu. Les canaux situés à la surface de sa peau sont reliés, au moyen de conduits, à un autre réseau de canaux inférieur, à l’intérieur de la peau du lézard. La structure de ces canaux rend possible la capillarité, phénomène selon lequel l’eau est attirée à contre-gravité dans des espaces étroits. La peau du lézard se comporte alors comme une éponge. Article: Cutaneous water collection by a moisture-harvesting lizard, the thorny devil (Moloch horridus) http://jeb.biologists.org/content/219/21/3473
  8. https://books.google.fr/books?id=RoD9CwAAQBAJ&pg=PP3&dq=des+reptiles+,+Quelle+horreur&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjP7s-3rKnQAhUEOhoKHdOPB74Q6AEIHTAA#v=onepage&q=des%20reptiles%20%2C%20Quelle%20horreur&f=false
  9. Les pouvoirs de régénération de l'axolotl peuvent-ils servir à l'homme ? Des chercheurs américains ont étudié la capacité d'une espèce proche de la salamandre, l'axolotl, à reconstituer ses ovaires. Une piste en médecine régénératrice pour lutter contre l'infertilité chez l'homme. Crabes, poulpes, salamandres, lézards... De nombreuses espèces ont la capacité de faire repousser un membre voire un organe lorsqu’il est sévèrement blessé ou amputé. Une aptitude biologique assez fascinante qui est particulièrement affutée chez l'axolotl, forme larvaire d'une espèce d'amphibien proche de la salamandre. Il faut bien le dire, l'axolotl est surtout connu dans sa forme albinos très utilisée dans les laboratoires et qui rend la bestiole particulièrement "kawaï". Des chercheurs de la Northeastern University explorent cette faculté de régénération chez l'axolotl pour trouver le moyen d'en tirer partie dans le cadre d'une médecine régénératrice chez l'homme. Autant le dire tout de suite, peu de chance que la science parvienne à faire repousser des bras de votre vivant. Toutefois, dans une étude publiée par la revue Stem Cells, une équipe dirigée par James R. Monaghan s'est concentrée sur la capacité de l'axolotl à régénérer ses ovaires et à produire des ovules tout au long de sa vie. Une piste selon eux pour trouver des traitements contre l'infertilité. Des gènes en commun avec l'homme "Quand nous supprimons une grande partie de l’ovaire, cela active de nombreuses cellules souches endogènes pour réparer cet ovaire, explique James Monaghan. Ces salamandres peuvent se régénérer après une blessure et produire de grandes quantités d'ovules grâce à un système de reproduction femelle très prolifique. C'est assez incroyable." Or, "nous avons trouvé que la plupart des gènes qui sont impliqués dans les cellules souches du système ovarien chez les humains sont également présents dans les cellules souches ovariennes de ces salamandres". Suffisant pour envisager un "transfert de compétences" afin de traiter l'infertilité chez les femmes ? Rien n'est moins sûr. Mais l'idée des chercheurs est d'identifier les signaux biologiques qui déclenchent l'activation de ces cellules souches et donc la régénération chez l'axolotl pour tenter de les reproduire chez des animaux modèles comme la souris. Un obstacle évolutionniste de taille Toutefois, la différence fondamentale qui existe d'un point de vue évolutif entre le phénomène de cicatrisation - dont nous disposons fort heureusement - et celui de régénération invite à la prudence quant à un éventuel transfert de ces incroyables capacités à l'homme. Dans Le secret de la salamandre (2005), le généticien Axel Kahn s'attarde sur ces capacités régénératrices et suggère que le processus d'évolution aurait rejeté la régénération chez les espèces complexes, en particulier les mammifères terrestres, au profit de la cicatrisation. Ce qui pose une défi crucial aux recherches en médecine régénérative : peut-on conjuguer sur un même individu la cicatrisation et la régénération ? Autrement dit, si on parvenait à stimuler la régénération des ovaires chez la femme, cela ne risque-t-il pas d'inhiber les capacités de cicatrisation de ces mêmes ovaires ? Dans cet ouvrage, Axel Kahn cite une hypothèse avancée par le Pr Stéphane Roy de l'université de Montréal pouvant expliciter la problématique : "Si l'on coupe la patte d'un axolotl, il va pouvoir continuer de nager et de se nourrir normalement pendant toute la période de régénération qui peut prendre plus d'un mois. Mais, chez les animaux terrestres, il n'est pas avantageux de rester avec une plaie ouverte ; la cicatrisation, plus rapide que la régénération, permet d'assurer la survie." Rappelons par ailleurs, que déclencher une régénération chez une espèce non adaptée présente notamment le risque d'avoir une prolifération cellulaire incontrôlée aboutissant au développement d'une tumeur. Source: http://www.sciencesetavenir.fr
  10. Un Croate découvre un serpent à deux têtes dans son jardin Josip Vranic, un Croate originaire du village de Kravarsko, dans le comitat de Zagreb, a récemment retrouvé devant chez lui un spécimen très rare de serpent à deux têtes. La nature réserve parfois bien des surprises. Josip Vranic pourra en témoigner. Ce Croate à la retraite a fait l’une des plus incroyables découvertes naturalistes sans même sortir de sa propriété. Il a retrouvé dans la cour de sa maison, située à Kravarsko dans le comitat de Zagreb, un petit serpent à deux têtes. Interrogé par Barcroft, il raconte cette incroyable trouvaille : "J'ai découvert le serpent chez moi derrière le garage, il prenait le soleil sur le sol en béton. J'ai été surpris et confus, je n’arrivais pas à croire que je venais de trouver quelque chose d’aussi rare". Une vidéo qui a étonné les internautes Josip Vranic est parvenu à attraper le serpent et l’a délicatement déposé dans un petit panier. Il a ensuite appelé son ami Vedran Glavan, pour qu’il vienne admirer la curieuse créature. L’homme de 46 ans a aussitôt répondu présent à l’invitation et a même ramené une caméra pour pouvoir filmer le reptile. L’enregistrement capturé par les Croates a été publié sur Internet et est rapidement devenu viral. "Les gens qui ont vu notre vidéo ne pouvaient pas croire que le serpent était réel. Certains d’entre eux ont même pensé qu’il s’agissait d’un montage informatique", confie Vedran Glavan. Bien qu’extrêmement rare, le spécimen à deux têtes existe bel et bien. Sa condition, connue sous le nom scientifique de polycéphalie, est un phénomène rare qui se retrouve parfois chez les amphibiens et les reptiles après une interruption de la division lors du développement embryonnaire. Mais cette particularité est loin d'être sans conséquences pour les spécimens. Une survie compromise Le taux de survie des serpents à deux têtes dans la nature est minime. En effet, chaque tête forme une entité à part entière ce qui provoque la plupart du temps des problèmes de coordination et une certaine limitation des mouvements. Il arrive également que les têtes entrent en compétition pour se nourrir. Pour éviter que ce petit serpent dont l'espèce n'a pas été précisée, ne devienne une proie un peu trop facile pour les prédateurs, Josip Vranic et Vedran Glavan l’ont confié à un zoo local. La structure a assuré qu’elle veillerait sur lui et lui apporterait tous les soins nécessaires à son bon développement. Source: http://www.maxisciences.com Un Croate découvre un serpent à deux têtes dans son jardin par Gentside Découverte
  11. Merci... Pour des spécimens d'origine sauvage, elles ne sont pas trop abimées. A part une, qui a un soucis au niveau d'une côte. Par contre, des vraies teignes, impossible de mettre la main dans le terra, sans te faire mordre. Il y a en a, même, une qui n'hésite pas à sortit du terra, pour venir attaquer. J'adore !!!!
  12. Voici un nouveau groupe de 4 spécimens, d'origine sauvage, mais acclimaté à la vie captive depuis 3 ans...
  13. Va-t-on nous soigner avec du sang de crocodile ? Le sang de crocodile recèle des substances très prometteuses qui pourraient être utilisées à des fins thérapeutiques, en particulier pour favoriser la cicatrisation des plaies. De précédentes études indiquent que le plasma et le sérum sanguin du crocodile du Siam (Crocodylus siamensis) présentent une puissante activité antimicrobienne, antioxydante et anti-inflammatoire, indique cette équipe thaïlandaise (université de Khon Kaen). En cas de blessure, et les plaies sont fréquentes et souvent sérieuses chez les crocodiles en raison des combats qui les opposent, ces propriétés jouent un rôle crucial dans les processus de cicatrisation, de formation des nouveaux tissus et de récupération. Les chercheurs ont voulu évaluer l’efficacité de ces composés sanguins et comprendre les mécanismes qui entrent en jeu, avec en perspective une possible application thérapeutique chez l’être humain. Ils ont réalisé des expériences in vitro (« en éprouvette », avec des cellules de peau humaine), et in vivo (sur des souris). In vitro, les spécialistes constatent que le plasma et le sérum de crocodile activent la prolifération et la migration des kératinocytes, des cellules composant la couche superficielle de la peau humaine et qui interviennent de manière « essentielle » dans le processus de cicatrisation. In vivo, ils observent « un renforcement remarquable » de la cicatrisation, en termes de prévention des infections et de production de nouveaux tissus. Les chercheurs vont à présent s’atteler à isoler les composants les plus bénéfiques, et ils insistent sur le fait que les résultats de cette étude soutiennent « fortement » le principe de l’utilisation du sang de crocodile du Siam pour le traitement des plaies… et ce qu’il reste sans doute encore à découvrir. Source: http://www.passionsante.be/index.cfm?fuseaction=art&art_id=22235
  14. Certaines grenouilles pourraient devenir herbivores à cause du réchauffement climatique Les vagues de chaleur dues au réchauffement climatique pourraient conduire certaines espèces de grenouilles à devenir herbivores. ADAPTATION. Le réchauffement climatique a de nombreuses conséquences dont certaines sont surprenantes. Par exemple, des chercheurs de l'Université de Lisbonne (Portugal) et de l'Université de Uppsala (Suède) ont récemment découvert que la multiplication des vagues de chaleur, l'une des conséquences de la hausse globale des températures, va pousser certaines espèces de grenouilles à devenir herbivores ! Ainsi, pour se développer correctement, les têtards de rainettes vertes (Hyla arborea), rainettes méridionales (Hyla meridionalis) et de Discoglosus galganoi (sans nom vernaculaire en français, elle est appelée Iberian painted frog en anglais), trois espèces présentes dans la Péninsule Ibérique, préfèrent un régime riche en végétaux en cas de fortes chaleurs. Selon les auteurs, une alimentation pauvre en viande leur permettraient alors de maximiser leurs chances de survie et leur développement. Des espèces très fragiles Pour découvrir cela, les scientifiques ont exposé des têtards à des vagues de chaleur de différentes intensités et avec des durées variables. Ils ont artificiellement augmenté la température de l'eau où se trouvaient les amphibiens. Dans le même temps, les têtards ont été soumis à trois régimes différents : un entièrement végétal, un autre entièrement carnivore et le troisième était un mélange des deux précédents avec une variation de la proportion des végétaux. Les trois espèces ont, lorsque les aliments proposés le permettaient, augmenté le pourcentage de végétaux ingérés pendant les vagues de chaleur. Si ces résultats peuvent paraître sans gravité (ces espèces présentent déjà des habitudes alimentaires flexibles suivant les saisons), il n'en est pourtant rien. Une consommation permanente et exclusive de végétaux chez ces grenouilles pourraient modifier grandement l'écosystème qui les abrite. En outre, cela pourrait également affecter la santé de ces amphibiens. En effet, les variations brutales de température sont agressives pour la peau particulièrement perméable de ces animaux. Par ailleurs, les amphibiens ont un cycle de vie complexe: le passage de têtard exclusivement aquatique à grenouille terrestre entraîne des modifications métaboliques importantes et des besoins différents. Ce qui les rend d'autant plus sensibles au réchauffement climatique. Source: http://www.sciencesetavenir.fr
  15. askook

    Pseudalsophis biserialis

    Au mois de juin, la naissance des petits iguanes marins est une véritable aubaine pour les serpents (Pseudalsophis biserialis) de l'île Fernandina, une île inhabitée d'Équateur située dans l'archipel des Galapagos. Dès leurs premiers pas, les jeunes iguanes doivent échapper aux attaques de dizaines de serpents affamés dans une terrifiante course-poursuite digne d'un film d'horreur. Si certains parviennent à se mettre à l'abri sur les rochers, tous n'ont pas cette chance. Une vidéo cauchemardesque extraite de la série animalière « Planet Earth II » diffusée sur la chaîne de télévision BBC. Koreus.com
  16. askook

    Tetracheilostoma carlae

    Deux espèces se disputent le titre de serpent le plus petit du monde. Jusqu'à aujourd'hui, Tetracheilostoma carlae, avec une taille allant de 93 à 104 mm, détenait ce titre. Mais voilà, deux scientifiques, Maël Dewynter et Blair Hedge ont découvert une nouvelle espèce, encore non décrite, mais appartement aussi au genre Tetracheilostoma (Tetracheilostoma sp. nov.), qui pourrait détrôné T. carlae. Cette nouvelle espèce serait endémique à la Martinique. Elle se nourrit de larves de fourmis et de termites. Une vidéo, montrant ce serpent, mangeant des larves, est disponible dans ce lien. http://www.bbc.com/earth/story/20161102-meet-the-worlds-smallest-snake
  17. The Snake with the Scorpion’s Sting: Novel Three-Finger Toxin Sodium Channel Activators from the Venom of the Long-Glanded Blue Coral Snake (Calliophis bivirgatus) Toxins 2016, 8(10), 303 Daryl C. Yang, Jennifer R. Deuis, Daniel Dashevsky, James Dobson, Timothy N. W. Jackson, Andreas Brust, Bing Xie, Ivan Koludarov, Jordan Debono, Iwan Hendrikx, Wayne C. Hodgson, Peter Josh, Amanda Nouwens, Gregory J. Baillie, Timothy J. C. Bruxner, Paul F. Alewood, Kelvin Kok Peng Lim, Nathaniel Frank, Irina Vetter, & Bryan G. Fry http://www.mdpi.com/2072-6651/8/10/303/htm
  18. askook

    Calliophis bivirgatus

    Le venin de serpent, un antidouleur d'un nouveau genre Le serpent corail bleu est aussi beau que dangereux. Son venin est plus nocif que celui d'autres serpents car il cible directement une zone du cerveau qui gère la douleur. Une particularité qui peut aussi faire de lui un nouvel antidouleur, selon des chercheurs australiens. C'est l'un des animaux les plus mortels au monde, qui pourrait pourtant faire progresser la recherche du côté des traitements antidouleurs. Le serpent bleu corail, aussi surnommé Calliophis bivirgatus est l'un des plus beaux et des plus venimeux reptiles qui intéresse particulièrement les chercheurs de l'université du Queensland (Australie). La raison? Son venin différent de celui de n'importe quel autre animal de cette espèce. Chez les personnes mordues par ce serpent, le venin provoque un choc massif au niveau des nerfs, déclenchant des spasmes corporels. Ce venin est si puissant que le serpent bleu corail peut même s'attaquer à d'autres serpents venimeux sans crainte comme le cobra. "Le serpent bleu corail a aussi les plus grandes glandes de venin au monde, s'étendant sur un quart de la longueur de son corps", explique Bryan Fry, principal auteur de l'étude. Ce venin ne tue pas immédiatement. Au lieu de cela, il agit sur tous les nerfs de leurs proies". Identifier la toxine et la synthétiser Mais ironiquement, cette substance toxique peut également conduire à l'élaboration d'un nouveau type de traitement antidouleur chez les humains. Car contrairement au venin d'autres serpents qui agissent comme un puissant sédatif, le venin du serpent corail bleu contient une toxine, la calliotoxine, qui est à l'origine de cet effet catatonique sur les nerfs de ses proies. Dans leurs travaux publiés dans la revue Toxins, les chercheurs expliquent avoir découvert que celle-ci cible un récepteur précis dans le cerveau, au cœur de la transmission de la douleur : les canaux de sodium. En récupérant cette toxine et en la purifiant, il serait alors possible de mettre au point un puissant antidouleur. Ce n'est pas la première fois que des chercheurs s'intéressent aux propriétés du venin de serpent. Une autre espèce a elle aussi fait l'objet de nombreuses études: le serpent "mamba noir", qui vit en Afrique. A ce sujet, l'Inserm* précise que des chercheurs de l'Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire (Sophia-Antipolis) ont découvert dans son venin deux toxines capables d’inhiber des récepteurs impliqués dans la sensation douloureuse. "Ces molécules seraient aussi puissantes que la morphine, mais dénuées de ses effets indésirables", explique-t-il. Ils ont baptisé ces toxines les "mambalgines" et travaillent actuellement à la synthèse de dérivés, aussi efficaces et non toxiques. *Institut national de la santé et de la recherche médicale Source: http://www.bfmtv.com Article: The Snake with the Scorpion’s Sting: Novel Three-Finger Toxin Sodium Channel Activators from the Venom of the Long-Glanded Blue Coral Snake (Calliophis bivirgatus) http://www.mdpi.com/2072-6651/8/10/303/htm
  19. askook

    Pituophis deppei jani

    Oui. Photos prises à l'extérieur.
  20. askook

    Pituophis deppei jani

    Evolution de la Mlle....
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