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Tout ce qui a été posté par askook

  1. askook

    Les terres de Jade.

    Cela sent l'acquisition d'une "mandarina"...
  2. askook

    Nouvel ouvrage sur les Pituophis.

    Je ne l'ai pas encore. Je l'ai commandé chez amazon. Ils doivent me contacter dès qu'ils l'ont en stock.
  3. Les plus grands spécialistes mondiaux des tortues ont découvert que près de la moitié (45%) des populations menacées de tortues marines se trouvent dans le nord de l'Océan Indien. L'étude a aussi déterminé que les menaces les plus importantes pour l'ensemble des populations des tortues marines sont les captures accidentelles par des pêcheurs qui ciblent d'autres espèces, et le prélèvement direct de tortues ou de leurs oeufs pour les manger ou pour le commerce de l'écaille. Un rapport récent, préparé par le Groupe de spécialistes des tortues marines de l'UICN (Union international pour la conservation de la nature), avec le soutien de Conservation International (CI) et de la National Fish and Wildlife Foundation (NFWF), est la première évaluation complète de l'état de toutes les populations de tortues dans le monde. L'étude, conçue pour préparer un projet de conservation et de recherche, a évalué l'état de chacune des populations de tortues marines et identifié les 11 populations les plus menacées, ainsi que les 12 populations les plus saines. Cinq des onze espèces de tortues marines les plus menacées sont trouvent dans le nord de l'Océan Indien; plus particulièrement, des populations spécifiquement menacées de Tortues caouannes (Caretta caretta) et de Tortues olivâtres (Lepidochelys olivacea) se trouvent dans le nord de l'Océan Indien, dans des eaux et des sites de ponte situés à l'intérieur de Zones économiques exclusives (ZEE) de pays tels que l'Inde, le Sri Lanka et le Bangladesh. D'autres régions particulièrement dangereuses pour les tortues marines sont l'Océan Pacifique oriental (des États-Unis à l'Amérique du Sud) et la côte atlantique orientale (au large des côtes d'Afrique occidentale). « Le rapport confirme que l'Inde héberge un grand nombre de tortues marines parmi les plus menacées du monde », dit le Dr B. C. Choudhury, chef du Département de la gestion d'espèces menacées du Wildlife Institut indien (Institut de la faune et de la flore sauvages), l'un des auteurs de l'étude. Ce document est un signal d'alerte, pour que les autorités renforcent la protection des tortues marines de l'Inde et de leurs habitats afin d'assurer leur survie.» L'étude identifie aussi les 12 populations de tortues marines les plus saines de la planète ; elles sont nombreuses et rencontrent relativement peu de menaces. Cinq d'entre elles, dont la Tortue imbriquée (Eretmochelys imbricata) et la Tortue verte (Chelonia mydas), ont des populations prospères dans des habitats favorables, dont des sites de ponte et des zones de nourrissage en Australie, au Mexique et au Brésil. Des populations de tortues dans un état favorable se trouvent aussi dans le sud-ouest de l'Océan Indien, en Micronésie et en Polynésie française, entre autres. « Avant de mener à bien cette étude, tout ce que l'on savait des tortues marines c'est que six espèces sur sept sont menacées d'extinction sur le plan mondial », dit le Dr Bryan Wallace, Directeur scientifique du Programme des espèces marines emblématiques de CI, et auteur principal du document. « Ce n'était pas très utile, parce que cela ne nous aidait pas à établir des priorités pour différentes populations dans différentes régions ; les tortues ont partout besoin d'actions de conservation, mais ce cadre nous aide à mieux cibler nos efforts dans les différentes régions du monde ». « Cette étude définit une référence de base pour toutes les tortues marines, à partie de laquelle nous pouvons mesurer le progrès du rétablissement de ces populations menacées à l'avenir » explique Roderic Mast, co-président du Groupe de spécialistes des tortues marines et l'un des auteurs du document. « Grâce à ce travail, nous avons beaucoup appris sur les succès et les échecs de la conservation des tortues marines ; maintenant nous voulons traduire les leçons apprises dans des stratégies de conservation solides pour les tortues marines et leurs habitats ». Source:http://www.newspress.fr/Communique_FR_246186_3497.aspx
  4. askook

    Les serpents les plus longs

    Médusa, devient le serpent le plus long Larry Elgar a acheté ce python il y a 7 ans. Il ne mesurait que 60 centimètres. Aujourd’hui, il est le plus grand serpent en captivité, d’une taille de 7,62 m et d’un poids de 136,1 kg. Médusa devrait entrer très prochainement dans le Livre Guinness des Records comme le plus grand serpent du monde qui vit en captivité. Il faut 15 personnes pour le porter. Medusa a un régime draconien: 20 kg de proies par semaine et le serpent s’octroie de temps en temps un dépassement à 45kg. Si vous vous demanez pourquoi les hommes sont vêtus bizarrement, c’est que Médusa vit dans la maison de l’horreur, Edge of Hell à Kansas City.
  5. askook

    Les serpents les plus longs

    Fluffy : Le serpent le plus long Fluffy, un python réticulé (Broghammerus reticulatus), vivait au Zoo et Aquarium de Columbus, à Powell (Ohio, USA). Le 30 septembre 2009, il mesurait plus de 7,3 m de long. Fluffy était selon le Guinness World Records le plus long serpent du monde. Fluffy est mort en octobre 2010 d'une tumeur. Photo pour illustration. Source: http://recordsgwr.kazeo.com Photo pour illustration. Source:http://blida-rdjel.over-blog.com
  6. Si vous avez des articles scientifiques ou de presses, des photos ou toutes choses concernant quelques records sur la taille des serpents, vous pouvez les mettre ici...
  7. Un jeune homme attaqué par un crocodile à Matala Matala (Angola) - Adelino Jundo, 18 ans, a été attaqué mortellement jeudi, par un crocodile, sur les rives du fleuve Cunene, dans la municípalité de Matala, à l'Est de la province de Huíla, quand il prennait bain en compagnie de son frère. Selon l'administrateur du secteur de Castanheira, Celestino Leornardo, les attaques des crocodiles sont fréquentes dans cette localité, mais c'est souvent contre des animaux, c'est la première fois qu'un homme est attaqué par un crocodile, au cours de trois dernières années. Le responsable a déconseillé les habitants de fréquenter ces lieux pour éviter des accidents du genre. Source:http://www.portalangop.co.ao/motix/fr_fr/noticias/sociedade/2011/8/38/jeune-homme-attaque-par-crocodile-Matala,a106d386-bdf5-49c2-919a-e97d97b3f2e6.html
  8. N°.16, mai 2011 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_16_May2011.pdf
  9. N°.15, février 2011 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_15_Feb2011.pdf
  10. N°.14, mai 2010 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_14_2010may.pdf
  11. N°.13, décembre 2007 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Frogleg%2013%20Dec%2007.pdf
  12. N°.12, août 2005 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/FroglegAug05.pdf
  13. N°.11, août 2004 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Froglegaug04.pdf
  14. N°.10, mai 2002 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Frogleg%20May02.pdf
  15. Vol.4, N°2, août 2000 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_4_2_Aug2000.pdf
  16. Vol.4, N°.1, février 2000 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_4_1_Feb2000.pdf
  17. Vol.3, N°2, novembre 1999 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_3_2_Nov1999.pdf
  18. Vol.3, N°.1, novembre 1998 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_3_1_Nov1998.pdf
  19. Vol.2, N°.2, mars 1998 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_2_2_Mar1998.pdf
  20. Vol.2, N°.1, juillet 1997 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_2_1_Jul1997.pdf
  21. Vol.1, N°. 2, décembre 1996 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_1_2_Dec1996.pdf
  22. Vol.1, N°1, Mai 1996 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/frog_leg_1_1_May1996.pdf
  23. askook

    Faits divers

    Iguanes, pythons, mygales: la détresse d'une retraitée privée de ses animaux PARMAIN (Val d'Oise) — Iguanes verts, pythons royaux, mygales: depuis que ses animaux exotiques ont été saisis, Regula Hess, retraitée du Val-d'Oise, bientôt jugée pour "défauts de soins aux animaux", désespère face à ce qu'elles estime être un acharnement. "On me juge coupable d'avoir ouvert un établissement d'élevage, de vente, de transit et d'exploitation d'animaux, c'est faux!", affirme la Suissesse de 67 ans, jugeant faire l'objet de poursuites abusives simplement pour ne pas avoir toujours été présente lors des contrôles des services vétérinaires. Le 16 mai dernier, les agents de la Direction départementale de la protection des populations de Pontoise (DDPP) et l'Office national de la chasse (0NCF) ont saisi à son domicile un épervier d'Europe, deux buses variables, quatre chouettes hulottes, une chouette chevêche, quatre hérissons d'Europe, deux iguanes verts, un boa constrictor, quatre pythons royaux et six mygales. Autant d'espèces sauvages que Regula Hess "détenait et élevait illégalement", selon Gildas Hascot, responsable du service de l'ONCF. "Elle avait déjà fait l'objet d'un contrôle quelques années auparavant et persiste dans son action", assure-t-il. La retraitée devra comparaître début octobre devant le tribunal de grande instance de Pontoise pour "défauts de soins aux animaux" et "détention d'animaux sans certificat de capacité". Un serpent autour du cou, elle récuse "tout commerce d'animaux" et s'indigne que lors de la saisie, on lui ait "volé" des perroquets alors qu'elle est titulaire "d'un certificat de capacité à titre définitif concernant de nombreuses espèces : perroquets, loris, couleuvres, tortue Hermann et grecque". Elle a porté plainte auprès du procureur de la République "pour vol d'animaux". Regula Hess consacre la moitié de ses revenus au nourrissage de ses furets, lamas, et autres couleuvres. "Ma maison et mon parc de 5.000 m2 servent de refuge aux animaux à qui je donne une deuxième chance", dit-elle accompagnée de ses trois dogues allemands. "Mon crime est de m'occuper depuis 30 ans des animaux blessés que l'on m'amène, que je soigne et relâche", explique-t-elle en sanglots devant les photographies de chiens disparus et les figurines d'oiseaux qui peuplent son salon. Plus de 400 personnes ont signé une pétition de soutien et son amie Anne Castagna, vétérinaire spécialisée en animaux exotiques, est à ses côtés. "Je veux éviter que Regula Hess se suicide, elle est dans un état épouvantable, énormément amaigrie depuis qu'on lui a pris ses bêtes", s'inquiète la praticienne qui atteste "des bons soins prodigués aux animaux". Pour l'avocate de Mme Hess, Sabine Gibault, "la procédure est abusive". Elle "remonte à 2006 quand Mme Hess avait fait une demande de capacité de détention d'animaux suite à un contrôle administratif, après la dénonciation d'un voisin". Au tribunal, l'avocate plaidera "la main levée des placements, la restitution de ses animaux et la relaxe des chefs d'accusation de mauvais traitements". De son côté, Rédouan Ouahrani, directeur de la DDPP, se défend de tout acharnement. "Il n'y a aucune fixation sur cette dame de la part de mes services qui ont fait leur travail", explique-t-il, tout en manifestant son inquiétude "à l'annonce de son mauvais état de santé". Source: http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jxVMLdwJiozAgcaQ0BRvBUkVeyTQ?docId=CNG.f8d11bb966fa89adcb34bf65371ebe1a.5b1
  24. Il capture un anaconda de plus de 5 mètres de long ! Niall McCann, un jeune biologiste, a capturé en Guyane un des plus grands serpents jamais vus. Niall McCann, un biologiste de 29 ans, originaire de Cardiff a capturé un anaconda de 5,5 mètres de long en Guyane, dans la forêt tropicale. C’est lors d’une exploration qu’il réalisait en compagnie du Dr Robert Pickles, que le biologiste a repéré le reptile. La prise date de 2009 mais les photos n’ont émergé que très récemment. Les deux compagnons étaient initialement partis étudier les loutres géantes et ont découvert dans leur exploration un espace où la vie sauvage avait été totalement préservée et qu’aucun scientifique n’avait encore eu l’occasion d’observer. S’adressant en exclusivité à la version britannique de Yahoo, Niall McCann a déclaré : "Les animaux qui vivaient ici n’avait encore jamais vu d’être humains, aussi il était possible de s’en approcher comme jamais auparavant ". Il a comparé ce lieu préservé, traversé par la rivière Rewa et situé au cœur de la Guyane, au jardin d’Éden. Niall McCann a raconté que pendant les trois semaines qu’il a passé à explorer la rivière et ses alentours il a aperçu sept anaconda dont quatre de plus de cinq mètres de long. "Nous étions terrifiés" Un jour, alors qu’ils remontaient la rivière en bateau, Niall McCann et Robert Pickles ont décidé de s’arrêter pour explore la berge. C’est à ce moment qu’a eu lieu la rencontre avec le mastodonte que le biologiste décrit comme étant d’une taille terrifiante: "Lorsque ce que vous voyez quelque chose de cette taille vous ne savez absolument pas à quoi vous attendre. Nous étions terrifiés et avions entendu nombre d’histoires effrayantes à propos de personnes attaquées et tuée par ces animaux – nous savions que l’animal qui nous faisait face était réellement dangereux". Pendant trois semaines, le serpent est resté au même endroit et les deux hommes ont pu le photographier depuis une distance respectable. Confrontés quotidiennement à différents serpents et crocodiles, ils ont peu à peu pris confiance et ont décidé un soir de capturer l’animal. Pendant près de vingt minutes, Niall McCann et son compagnon ont préparé le terrain où devait se dérouler la capture, afin d'éviter que le serpent ne s’échappe vers le fleuve. "Nous avons fait cela dans un but scientifique" A la vue des hommes s’approchant de lui, l’anaconda a commencé à s’étirer et à se contracter successivement, se préparant à passer à l’attaque. Lors de l’un de ses étirements, McCann s’est jeté sur lui, plaçant ses mains derrière sa tête et tentant de l’immobiliser avec ses genoux. Son compagnon de voyage, ainsi que leurs guides locaux sont venus lui prêter main forte. Alors que le serpent essayait de les mordre, Ash, le chef des guides a enveloppé les redoutables mâchoires de l’anaconda avec du ruban adhésif. Le biologiste a déclaré que lui et son équipe ont alors soigneusement veillé à ce que le serpent ne s’échappe pas, étant donné qu’il n’aurait pas été capable de survivre seul dans la nature. Bien évidemment, après l’avoir mesuré, les deux scientifiques l’ont libéré. "Nous avons fait cela dans un but scientifique, mais je ne peux pas mentir, nous avons aussi vécu une aventure", a expliqué McCann. Il ajouté que pouvoir se tenir aussi près et même manipuler un anaconda de cette taille -le plus grand jamais mesuré- a été quelque chose d'extraordinaire, mais aussi de terrifiant. Source:http://www.gentside.com/insolite/il-capture-un-anaconda-de-plus-de-5-metres-de-long_art27885.html
  25. N°12, mai 2011 http://www.zoosprint.org/ZoosPrintNewsLetter/Reptile_Rap_12_May2011.pdf
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