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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Aprosdoketophis andreonei, a new genus and species of snake from Somalia (Serpentes: Colubridae, Boiginae)
  2. Ecology of Philodryas natteri in the brazilian semi-arid region
  3. askook

    Moustiques

    Pourquoi les moustiques piquent toujours les mêmes personnes ? Des chercheurs néerlandais viennent de percer le mystère de l’inégalité de l’homme face aux piqûres de moustique. Leur étude tend à démontrer que l’insecte est attiré par certaines odeurs véhiculées par les microbes qui vivent sur notre peau. D’autres bactéries auraient au contraire un effet repoussoir. Vous avez le sentiment d’être un mets de choix pour le moustique ou au contraire de passer toujours au travers de leurs trompes hostiles ? Et bien cela n’est pas qu’un sentiment. Le moustique ne pique pas au hasard les animaux ou êtres humains mais sa partialité à l’égard des personnes qu’il choisit de piquer a une explication. D’après une étude publiée dans la revue scientifique Plos one par des chercheurs néerlandais de l’université de Wageningen, les moustiques sont attirés par les odeurs corporelles. À l’origine de ces effluves, les 200 grammes de bactéries qui vivent sur notre peau et qui diffèrent en genre et en nombre selon les individus. Les chercheurs ont découvert que les personnes les plus attaquées portaient une quantité particulièrement importante de microbes. Toutefois, la diversité de ces bactéries est plus faible que la moyenne. Les principales bactéries qui attirent ces diptères par les composés volatils qu’elles émettent portent les noms barbares de Leptorichia, Delftia et Actinobacteria Gp3. A contrario, ils ont découvert que les individus qui se faisaient moins piquer par les moustiques étaient porteurs d’une importante variété microbienne et possédaient une grosse quantité de bactéries répondant au “doux” nom de Pseudomonas et Variovorax. UNE AVANCÉE DANS LA LUTTE CONTRE LE PALUDISME Sur les 48 volontaires qui ont accepté de participer à cette étude, neuf d’entre eux se sont montrés particulièrement attractifs pour les moustiques et sept autres, au contraire, très peu attirants. “Les composés qui inhibent la production microbienne de l’odeur humaine, ou la manipulation de la composition des bactéries de la peau peuvent réduire l’attirance d’une personne pour les moustiques, précise Niels Verhulst, principal auteur de l’étude. Les bactéries identifiées dans cette étude permettront peut-être de contribuer au développement de produits attrayants pour les placer dans des pièges visant le moustique de la malaria.” Car la recherche a uniquement concerné l’Anopheles gambiae, vecteur bien connu du paludisme (ou malaria) que l’on retrouve également à la Réunion. Mais les odeurs ne sont pas les seuls facteurs attirants pour le moustique. Comme le rappelle Jean-Sébastien Dehecq, entomologiste à l’agence régionale de santé (ARS-OI), “les moustiques sont aussi attirés par d’autres signaux émis par notre corps. Pour passer du jardin à la terrasse où les hommes se trouvent, ils suivent les flux de CO2 (sueur et respiration, ndlr), et la chaleur les conduit jusqu’à nous”. Si l’odeur leur permet de sélectionner l’individu à piquer, c’est l’épaisseur de la peau qui va déterminer la zone d’attaque. Le moustique privilégie les endroits où la peau est la plus fine (dessus des pieds, cou, visage et poignets). Rappelons que la femelle moustique ne pique pas pour se nourrir, à l’instar de la mouche bœuf, mais pour se reproduire. Elle a besoin des protéines contenues dans notre sang pour pondre 50 à 100 œufs tous les trois à quatre jours. Source: http://www.clicanoo.re/11-actualites/17-sante/308868-pourquoi-les-moustiques-piquent.html Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0028991
  4. Lorsqu'un lézard agite sa queue en sautant d'un rocher à un autre, ce n'est pas pour l'épate, mais pour éviter de se fracasser sur la paroi. Une équipe de chercheurs de l'université de Californie a montré le rôle primordial et actif de cet appendice dans le contrôle de la stabilité des sauts du Agama agama, un lézard qui apprécie les climats semi-désertiques. Cette petite bête de 70 grammes a été contrainte d'effectuer, sous l'œil des caméras rapides des chercheurs, des sauts d'une marche à une autre, plus haute et éloignée de la première. En outre, pour forcer le reptile à effectuer différents sauts, la surface d'envol était plus ou moins glissante. Verdict : c'est bien grâce au mouvement de sa queue que l‘animal parvient à éviter la gamelle humiliante. Il use plus précisément d'un vieux principe de mécanique, la conservation du moment cinétique. C'est ce qui permet au funambule de tenir en équilibre avec une perche : l'inclinaison de la perche "compensant" celle du corps. Pour le lézard, quand il se sent piquer du nez en l'air, il remonte sa queue. Et dans le cas contraire, il l'abaisse. Il garde ainsi une inclinaison de son corps constante et correcte pendant son saut. Le corps d'un Agama agama s'incline ainsi 72 % de moins que celui d'un lézard sans queue. Il y avait déjà des observations du rôle de la queue dans le saut, mais ce résultat le quantifie pour la première fois et en propose un modèle", précise Vincent Bels, du Muséum national d'histoire naturelle de Paris. Les chercheurs, qui ont publié leur résultat en ligne dans Nature, le 4 janvier, ont été plus loin en testant leur théorie sur un jouet doté d'une queue passive ou active et lancé sur un tremplin. Source: http://www.lemonde.fr/planete/article/2012/01/06/la-queue-du-lezard-organe-moteur-pour-bien-sauter_1626366_3244.html Les mouvements de la queue du lézard et du tailbot permettent de les stabiliser. (PolyPEDAL Lab & CiBER/UC Berkeley)
  5. http://www.pluzz.fr/le-crocodile-du-nil-apres-l-eden-2012-01-04-16h35.html
  6. askook

    voila mon Thamnophis

    Pour ceux qui nourrissent leurs Thamnophis avec des morceaux de poissons, ils ajoutent automatiquement des compléments. Cela fonctionne... Perso, j'ai du mal à trouver le juste équilibre. Donc, je ne suis pas un adepte de cette pratique...
  7. askook

    voila mon Thamnophis

    En ce qui concerne les poissons que l'on donnait à nos Thamnophis, nous avons toujours éviter de leur donner des poissons d'aquariophilie, nous avons toujours donné des poissons de rivière (vairons, goujons ou gardons) que nous allions chercher dans un magasin de pêche ou dans un élevage piscicole.
  8. askook

    voila mon Thamnophis

    Le genre Thamnophis ne possède pas un régime alimentaire exclusivement piscivore. Même si pour la majorité des espèces et sous-espèces de ce genre, le régime alimentaire est composé en grande partie de poissons, les Thamnophis mangent aussi des amphibiens, des vers de terre et de petits rongeurs. Certaines sous-espèces (Thamnophis sirtalis parietalis, Thamnophis sirtalis pallidulus) fréquentent des biotopes plus secs et de ce fait, ont un régime alimentaire à base de rongeurs. Thamnophis elegans est connue pour se nourrir d'autres serpents. En ce qui concerne l'expérience, nous avons eu avec les différentes espèces ou sous-espèces de "Thamno", que nous avons élevé, en ce qui concerne les différentes préférences et acceptations au niveau nourriture, voici ce que cela donne. Certaines espèces ou sous-espèces comme T. sirtalis sirtalis, T. sauritus sackenii et Thamnophis radix n'acceptaient que du poisson, d'autres comme une femelle T. sirtalis similis ou T.s parietalis ne mangeaient que de la souris, alors que d'autres (T. marcianus, T. elegans) n'avaient aucun scrupules à avoir un régime alimentaire double (poisson et rongeur).
  9. askook

    voila mon Thamnophis

    Pour revenir à l'identification de ta "Thamno" je rejoins Venon et Chance. Pour moi, c'est bien une Thamnophis marcianus. En ce qui concerne Thamnophis sirtalis, cette espèce possède 13 sous-espèces: Thamnophis sirtalis sirtalis Thamnophis sirtalis annectens Thamnophis sirtalis concinnus Thamnophis sirtalis dorsalis Thamnophis sirtalis fitchi Thamnophis sirtalis infernalis Thamnophis sirtalis lowei Thamnophis sirtalis pallidulus Thamnophis sirtalis parietalis Thamnophis sirtalis pickeringii Thamnophis sirtalis semifasciatus Thamnophis sirtalis similis Thamnophis sirtalis tetrataenia Le vendeur aurait dû au moins te préciser la sous-espèce...
  10. askook

    Macroclemys temminckii

    Voici une vidéo,où l'on voit bien l'appendice, dans la gueule, en forme de ver qui est utilisé comme appât pour attirer les proies. .
  11. Une tortue alligator découverte sur le littoral en Guadeloupe Paul Dupuy a fait une bien étrange découverte sur le bord de mer, jeudi dernier : une tortue alligator, espèce vivant dans le Sud-Est des États-Unis. Il est aux environs de 6 h 30, au lendemain des pluies diluviennes qui ont fait sortir les cours d'eau de leur lit, quand Paul Dupuy, pêcheur à la retraite, fait sa tournée matinale. Il se rend aux abords de son lieu de prédilection, la mer, au niveau du boulevard maritime, derrière la mairie. C'est en descendant de son scooter, qu'il aperçoit une bien étrange créature qui grouille sur les roches du bord de mer. « On dirait un mòlòkòy, mais il a l'air bien bizarre celui-là » , se dit-il, tout en avançant vers la bête. Au fur et à mesure qu'il s'approche, sa curiosité grandit. Paul veut à tout prix savoir ce que c'est car plus il s'en approche, moins il en sait. Arrivé à quelques centimètres, l'animal tente de s'éloigner. Après quelques secondes d'observation plus approfondie et après avoir pris la mesure du potentiel danger de l'animal, le pêcheur s'en saisit fermement. La dizaine de kilos le surprend mais ne le décourage pas. Paul ramène l'animal chez lui pour en faire profiter ses amis et sa famille, non pour un éventuel repas mais pour la curiosité. L'animal est en grande forme et Paul en prend grand soin en attendant de le remettre à un zoo ou une structure plus appropriée car, aussi étrange est l'animal, aussi sceptique est la femme de Paul pour le garder à la maison. Selon Paul Dupuy, les trombes d'eau qui ont fait déborder les rivières pourraient être à l'origine de l'arrivée de cet animal sur la côte car il ne s'agirait pas d'un animal marin, mais plutôt d'eau douce ou terrestre. Sectionnant d'un coup franc une branche de plusieurs centimètres, l'animal demeure quelque peu dangereux. Depuis sa captivité, Paul le nourrit de végétaux dont il semble raffoler. (D.N.) Source:http://www.guadeloupe.franceantilles.fr/regions/basse-terre-et-sa-region/une-tortue-alligator-decouverte-sur-le-littoral-07-12-2011-149085.php
  12. askook

    Timon pater

    Toutes les espèces du genre Timon sont soumise au cdc. Ce n'est pas la première fois que la ferme tropicale oublie d'indiquer qu'une espèce est soumise au cdc...
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