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La reconnaissance faciale n'est pas l'apanage de certains mammifères : Polistes fuscatus, une espèce de guêpes sociales, en est également capable. Des biologistes ont tenté de mieux comprendre comment cette capacité s'est mise en place. Conclusion : l'évolution leur a appris à apprendre. Chez les polistes, des guêpes souvent sociales, la reconnaissance faciale des congénères est très efficace. Et c’est grâce à cela que l’organisation sociale est maintenue. Cela avait déjà été mis en évidence il y a quelques années mais de nouveaux travaux semblent montrer que cette habilité est le fruit de l'évolution, qui sélectionne la capacité à apprendre, et de l'apprentissage lui-même. L’origine de cette étude vient de l’organisation sociale dans les sociétés de l’espèce Polistes fuscatus. Les colonies de cet hyménoptère sont composées de plusieurs reines et d’ouvrières. Les tâches (nourriture, reproduction, etc.) se répartissent en fonction de la caste de la guêpe et une reconnaissance individuelle semble indispensable afin que cette organisation fonctionne. Apprentissage rapide La reconnaissance d'individus grâce à des caractéristiques corporelles a été soupçonnée. Toutefois, il est davantage probable que les traits faciaux permettent à ces insectes de faire la différence entre leurs congénères. Afin de le prouver, deux scientifiques de l’université du Michigan ont réalisé plusieurs expériences au cours desquelles cet insecte ainsi qu'une autre guêpe d'une espèce proche mais à l'organisation sociale différente – P. metricus – étaient placées dans un labyrinthe. Pour se diriger, il leur fallait reconnaître les têtes de guêpes qu’on leur exposait. Elles recevaient une petite décharge si elles se dirigeaient vers un visage étranger. Une autre expérience reproduisait ce schéma avec des images diverses. Les différentes catégories d'images que les guêpes devaient distinguer : tête de P. fuscatus, tête de P. fuscatus sans antenne, images déformées de têtes, forme géométrique, chenilles et têtes de P. metricus. © Sheehan et Tibbetts, 2011 Convergence évolutive avec les mammifères ? Les scientifiques ont découvert que P. fuscatus apprend plus vite que P. metricus pour discerner le faciès de ses congénères. De même, P. fuscatus apprend très vite à distinguer ses semblables et les guêpes de l'espèce P. metricus. Pourtant, paradoxalement, elle n'excelle pas dans la reconnaissance de formes. À l'inverse de P. metricus, P. fuscatus met davantage de temps à faire la distinction entre plusieurs chenilles ou même entre deux figures géométriques très différentes. Comme les scientifiques l'expliquent dans un article de Science, ces résultats montrent que pour P. fuscatus il s'agit d'un apprentissage au cours de la vie de l'individu. Chez elle, au cours de l'évolution, la sélection a donc porté non pas sur la faculté à reconnaître les caractéristiques de la face mais sur la facilité à apprendre à les reconnaître. Bien que le système nerveux et les yeux de ces insectes soient très éloignés de ceux des mammifères, les auteurs considèrent qu’il s’agit bien d’une convergence évolutive. En effet, si le processus d’apprentissage est visiblement le même, les mécanismes physiologiques sur lesquels il repose sont en revanche probablement différents. Afin de s’en assurer il faudrait désormais comparer les activités du système nerveux au sein des deux taxons. Source:http://www.futura-sciences.com/fr Article: http://www.sciencemag.org/content/334/6060/1272.abstract
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Certains papillons s’adaptent au changement climatique Publiant leurs travaux dans Molecular Ecology, des chercheurs britanniques ont mis en évidence chez une espèce de papillon, l’Argus brun, les variations génétiques qui sous-tendent une adaptation rapide à de nouveaux habitats. Celle-ci permet à cet insecte de coloniser le nord du Royaume-Uni en réponse au réchauffement climatique. En utilisant des techniques génétiques pour détecter certains changements évolutifs, des chercheurs de l’Université de Bristol et de l’Université de Sheffield ont étudié la façon dont l'Argus brun (Aricia agestis), un papillon vivant notamment dans les îles britanniques, colonise de nouveaux territoires situés plus au nord, pour pallier au réchauffement climatique. Cet élargissement de l’aire de distribution du lépidoptère implique des adaptations importantes survenues pendant ou après cette expansion, notamment grâce à une variabilité préexistante, en termes de préférence d'habitat, au sein de sa population. "À notre connaissance, c'est l'une des premières études visant à identifier les preuves génétiques de changements évolutifs associés aux modifications [écologiques] profondes provoquées par les changements climatiques récents. Ces résultats sont importants car la compréhension de la probabilité et de la vitesse de tels changements adaptatifs est essentielle dans la détermination du taux d'extinction des espèces dû aux changements climatiques en cours", conclut James Buckley, un des biologistes auteurs de l’étude. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1365-294X.2011.05388.x/pdf
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Durrel a procédé à la remise de vingt tortues dans leur habitat naturel. Ces animaux n'existent qu'à Madagascar. Vingt tortues à soc ou Angonoky sub-adultes, après un élevage et des soins spécifiques à Ankarafantsika, ont été ramenées dans leur habitat naturel, dans la Baie de Baly à Soalala, le vendredi 25 novembre dernier. Tandis que 44 autres y vivent déjà. Elles sont marquées et munies de micro-puces pour un suivi. « Ces 20 tortues seront d’abord entreposées dans un enclos de 20mx15 », a expliqué Henri Rakotosalama, responsable du suivi des Angonoky dans la Baie de Baly de l’ONG Durrel. « Elles seront ensuite relâchées dans la nature 3 semaines après. Ceci, afin que les tortues puissent prendre goût à leur nouveau milieu. Les micro-puces nous permettront ensuite de les suivre de près », a-t-il ajouté. Il est à noter que la communauté locale participe également à la protection de ces animaux, de par la mise en place de pare-feux ou de par la détection de braconniers. « Ces tortues me tiennent particulièrement à cœur », a précisé, Lee Durrel, Directeur Honoraire de Durrel, venue particulièrement à Soalala pour le relâchement des tortues Angonoky. « On essaie de les protéger et de les conserver depuis 25 ans. C’est l’animal qui a fait les premières activités de Durrel dans l’île », a expliqué le Directeur honoraire de Durrel. Pour démontrer l’engagement de la population locale ainsi que celui des partenaires de la conservation des Angonoky, la 4ème édition du Festival Angonoky a eu lieu à Soalala, les 24 et 25 Novembre dernier. L’événement a pour but de sensibiliser la population et le public en général de l’importance de cette richesse unique au monde mais qui n’existe qu’à Madagascar, et à Soalala. L’Equipe de Durrel dirigée par le Directeur Fondateur, Lee Durrel, le Directeur de Programme pour Madagascar, Richard Lewis, a rehaussé de sa présence ce festival après la célébration du 25e anniversaire de l’ONG à Ankarafantsika, jeudi dernier. Désormais, les tortues à soc ou Angonoky, espèce endémique de Soalala, Région Boeny, en voie de disparition seront marquées sur leur carapace. Des marquages relevant de leur spécificité telle que le nombre de stries et d’anneaux circulaires sur leur carapace, l’âge ou le sexe. Les chiffres sont ensuite suivis des lettres MG signifiant Madagascar. L’initiative est partie de l’ONG Durrel Wild life Conservation Trust, ONG internationale britannique qui travaille pour la sauvegarde des espèces en voie d’extinction dans le monde. En 1986, l’Angonoky était sur le point de disparaître à cause de la perte de son habitat dans la Baie de BALY dans la Région du Boeny. Depuis, l’ONG Durrel travaille d’arrache-pied avec les communautés locales et le Gouvernement pour la survie de cette espèce de tortue victime de trafic ou de consommation. Source:http://www.lexpressmada.com/soalala-madagascar/29639-vingt-8200-tortues-8200-relachees-8200-.html
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Un show pour vaincre la phobie des serpents BELVÈZE-DU-RAZÈS Plus d'une soixantaine de personnes avait investi dernièrement la salle des fêtes pour assister au "Reptiles Show" qui présentait bon nombre de serpents vivants, mais également scorpion, mygale ou bien jeune caïman. Les présentateurs de ce show, Dieter et Uschi, font une tournée européenne pour faire connaître au public les dangers réels, mais surtout pour arriver à vaincre les peurs, bien souvent infondées, vis-à-vis de ces animaux. Effectivement, la peur qu'inspirent les serpents, animaux les plus mal aimés de la Terre, n'est pas née de connaissances ou d'expériences, mais de légendes et rumeurs transmises de génération en génération. Spécialiste qualifié avec ses 30 ans d'expérience, Dieter a réalisé devant un public attentif des manipulations assorties d'explications, en présentant successivement scorpion, mygale, couleuvres, vipère à corne, python royal, boa constrictor et un python tigre de 80 kg qui mesurait près de 6 mètres de long. Le public a ensuite été invité a soulever cet imposant reptile, non sans mal, puisqu'ils étaient par groupe de quatre ou cinq personnes pour pouvoir soulever l'imposante masse mouvante. Cette démonstration a été clôturée par la présentation d'un jeune caïman à la mâchoire déjà impressionnante. De nombreuses personnes ont pu ensuite se faire photographier avec les reptiles, prouvant ainsi qu'elles avaient su dominer leur angoissante phobie. Source:http://www.midilibre.fr/2011/11/30/un-show-pour-vaincre-la-phobie-des-serpents,423217.php
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Depuis sa description, par Hoge en 1954, Corallus cropanii n'avait été observé par la suite que 3 fois. Ce qui en fait surement le boïdé le plus rare. Dans un article paru en mai 2011 dans Salamandra, on peut lire qu'un cinquième spécimen a été trouvé en janvier 2009. Malheureusement, ce spécimen avait été tué par des ouvriers. Article: /t22739-corallus-cropanii
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Publications scientifiques 2011 (Ophidiens)
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Articles scientifiques
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Une quatrième espèce (Python kyaiktiyo) dans les groupe "curtus", vient d'être décrite par Zug, Gotte & Jacobs (2011) dans Pythons in Burma: Short-tailed python (Reptilia: Squamata). Proceedings of the Biological Society of Washington 124 (2): 112-136. L'article n'est pas disponible gratuitement, mais vous pouvez lire le résumé: http://www.bioone.org/doi/abs/10.2988/10-34.1 La description de Python kyaiktiyo a été faite à partir d'un seul spécimen adulte (femelle) trouvé le 11 mars 2002 dans l'état de Mön au Myanmar. Son nom est dédié au Rocher d'Or ou Pagode Kyaiktiyo (un énorme rocher couvert de feuilles d'or, en équilibre au sommet d'une falaise. Son miraculeux équilibre serait dû à un cheveu de Bouddha.).
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Un serpent dans la maison ! Certaines espèces de serpents peuvent mesurer jusqu’à 3 mètres de long à l’âge adulte, et la durée de vie de ces reptiles peut atteindre 20 à 30 ans… Considéré comme un nouvel animal de compagnie (NAC), le serpent n’est donc vraiment pas un animal domestique comme les autres. Quelle espèce choisir pour débuter ? Dans quel type de vivarium l’installer ? Que lui donner à manger ? Et comment prendre soin de sa santé ? Toutes les réponses. Projetez-vous sur la taille adulte. Aujourd’hui en France, il est en principe impossible de se procurer un serpent dangereux – ou susceptible de le devenir à l’âge adulte - sans produire un document délivré par l’administration : le certificat de capacité pour l’entretien d’animaux d’espèces non domestiques. Autrement dit, vous ne pourrez donc pas vous offrir dès votre premier achat les gros serpents que sont le Python Molurus ou le Morelia Amethistina. « C’est effectivement rassurant », souligne le Dr Jean-Marie Péricard, président de l’Association française des Vétérinaires pour Animaux de Compagnie. A ses yeux, « il est malgré tout primordial de bien avoir en tête au moment de l’achat, la taille qui sera celle du serpent, à l’âge adulte ». Les espèces les plus courantes pour les débutants sont de petites couleuvres comme les elaphe guttata guttata. Voire les pythons royaux, qui peuvent tout de même mesurer jusqu’à 1,50 mètre… Agencer le vivarium. La taille de l’installation est primordiale bien sûr, mais d’autres critères ne doivent pas être négligés. Veillez ainsi aux agencements intérieurs. Renseignez-vous au préalable sur le mode de vie de l’animal. Il a l’habitude de grimper ? « Il lui faudra un vivarium en hauteur avec des branches ou d’autres éléments sur lesquels il pourra s’installer », explique le Dr Péricard. Prévoyez aussi un endroit abrité, et un autre dans lequel il pourra faire trempette. La température du vivarium aussi est fondamentale. « En général, elle se situe aux alentours de 25°C à 30°C, selon les espèces. Mais elle ne doit pas être uniforme. Le serpent choisit souvent ses emplacements en fonction de ce paramètre », poursuit le vétérinaire. Il ajoute également, que « le vivarium doit être nettoyé régulièrement pour ôter les déjections et éventuellement, les restes de mue ». Une alimentation aux petits oignons. Et bien sûr, les repas ont une grande importance… « Les serpents sont des mangeurs de proies. Or la proie est théoriquement rare. Les aliments ne doivent donc pas être en permanence à disposition. L’animal doit avoir envie de chasser. Il bouge beaucoup, multiplie ses va-et-vient. Nourrissez-le. Une fois par semaine suffit généralement ». Aux plus gros spécimens, vous donnerez de préférence des rongeurs comme des souris ou des mulots. Des insectes suffiront pour les autres. Vous en trouverez facilement en animalerie. Quand consulter le vétérinaire ? Plusieurs signes doivent motiver une consultation. Le Dr Péricard cite particulièrement une anorexie prolongée, « de plusieurs semaines ». Surveillez aussi la peau de l’animal à la recherche d’éventuelles lésions, ainsi que ses dents. « S’il conserve sa bouche légèrement entre-ouverte ou si vous constatez des infections au niveau des dents, un vétérinaire doit le voir ». Il en va de même - enfin, si sa respiration devient sifflante. Source:http://www.destinationsante.com/Un-serpent-dans-la-maison.html
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Faits divers concernant les serpents venimeux
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Serpents Venimeux
Un serpent venimeux capturé en pleine rue Près d'un mois après la capture d'un cobra, les sapeurs-pompiers ont attrapé un serpent corail venimeux. CHATEAU-THIERRY (Aisne). Il y a moins d’un mois, un cobra avait été retrouvé derrière un réfrigérateur dans une habitation de Château-Thierry (Aisne). Mardi soir, un autre serpent très venimeux a été capturé dans la rue, dans le même secteur. Normalement, on trouve ce genre d'animal en Afrique du Sud. C’est un serpent de petite taille, de 40 cm pour les plus petits adultes à 80 cm pour les plus imposants. Sa partie supérieure va du rouge brique à l’orange luminescent alors que le côté ventral est plus jaune beige. Ce serpent est extrêmement dangereux, et le sérum pour ses morsures, comme pour le cobra, ne se trouve que dans deux hôpitaux, à Paris et Angers. Source:http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/video-un-serpent-venimeux-capture-en-pleine-rue -
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Pituophis catenifer sayi "kingsville"
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
Merci pour Chance. C'est elle qui a fait les photos... Pour ma part, j'ai longtemps hésité à les poster car je trouve que le résultat au niveau des couleurs de reflète par vraiment les couleurs du "pituo". Les photos prises avec le flash sont trop colorées, à mon goût et, celles prises sans, sont trop fades... -
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difficultée de nourrissage des pituophis
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Serpents
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difficultée de nourrissage des pituophis
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Serpents
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Merci Rudy. Oui chez Askook, mais pour Chance Car moi et les lézards, ce n'est pas le grand amour... J'ai lu tous les posts sur Reptil-virus concernant cette espèce, surtout ceux de Boubak, vu que les futurs pensionnaires viendront de chez lui. Je suis à la recherche d'autres idées, avant de faire un choix et de me lancer dans la réalisation de leur futur domaine.
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difficultée de nourrissage des pituophis
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Serpents
Je les habitue très rapidement à manger, pendant la journée, dans une boite et en dehors du terrarium, pendant que je nettoie celui-ci. Et là, pas de soucis, ils acceptent de manger avec de la présence autour d'eux. Sur nos 11 Pituo, seul le mâle P.c annectans n'accepte pas cette façon de le nourrir. Il ne mange que dans le terrarium et dans sa cachette... -
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CONCOURS PHOTO ... "Votre Dernier Virus" ... VOS VOTES ... ICI
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Vos P'tits Virus
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Omri Gal, du Département de la Nature et des Parcs, annonçait jeudi que la Grenouille Peinte du Hula, que l’on croyait éteinte, a été observée la semaine dernière, pour la première fois depuis 50 ans. “C’est une découverte incroyable, nous avons maintenant une deuxième occasion de préserver l’espèce.” La grenouille est originaire de la vallée de Hula, un marais drainé dans les années 50 pour combattre le paludisme. Elle a été détectée par l’inspecteur Yoram Malka, du Département de la Nature et des Parcs, alors qu’il suivait des pélicans dans la vallée de Hula. Tout en conduisant son 4×4, il a soudainement remarqué un petit animal sautillant sur la piste. “Sa couleur foncée a attiré mon attention”, déclare-t-il à Ynet avec enthousiasme. “Ce n’est pas quelque chose de courant, et je connais bien les espèces d’amphibiens dans cette réserve. “Je l’ai tenue gentiment dans ma main et l’ai mise sur le ventre. Quand j’ai vu toutes les taches blanches, j’ai réalisé que j’avais quelque chose de très rare en main … un peu comme de tenir l’histoire dans sa paume. Malka a alerté le directeur de la réserve naturelle de Hula, afin d’examiner la surprenante découverte. Les deux ont été stupéfaits de réaliser qu’il avait trouvé l’un des amphibiens les plus rares au monde, espèce déclarée “éteinte dans la nature” en Israël dans les années 50. Cette espèce, Discoglossus nigriventer, avait été découverte par le professeur Heinrich Mendelssohn et le professeur Heinz Steinitz dans les années 40, et l’on en sait peu sur elle. C’est une grenouille de taille moyenne, endémique à la région marécageuse de Hula. L’écologiste aquatique Dana Milstein précise que la grenouille était déjà rare à l’époque. Dans les années 1940, un spécimen en avait mangé une autre, laissant à penser que l’espèce serait cannibale. Elle met l’observation de cette grenouille sur le compte de la réhydratation de la région et indique qu’il est probable qu’il y en ait d’autres dans la réserve. Source:http://jssnews.com
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Mon mâle Oreocryptophis porphyracea laticincta vient de muer 4 fois en 19 jours, sans aucune prise de repas. Tout a commencé par une mycose qui a été soigné et qui ne pose plus de soucis à ce jour. Après ces soins, a commencé un processus de mue. A peine commençait-il a enlever sa mue au niveau de la tête et des yeux, qu'on apercevait déjà un nouveau processus de mue (yeux opaques, couleurs ternes). Une fois cette deuxième mue faite, deux autres ont suivi en moins d'une semaine. Ce phénomène de mues consécutives a-t-il déjà été observé par l'un d'entre-vous? Quelqu'un aurait-il une explication à me fournir sur ce qui arrive à mon "Oreo"?