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Tout ce qui a été posté par askook
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Des scientifiques dévoilent le mystère du saut des grenouilles En filmant des grenouilles au ralenti, des scientifiques de l'Université Brown aux États-Unis, sont parvenus à mettre en évidence les mécanismes musculaires interagissant dans le saut des amphibiens. De manière générale, les cuisses d’une grenouille représentent près d’un quart de sa masse corporelle totale. Si cette proportion est relativement conséquente, elle n’est toutefois pas suffisante pour rendre compte de la hauteur record à laquelle l’amphibien réalise ses sauts. Pour lever le voile sur le mystère de la performance spectaculaire de ces bonds, des scientifiques américains de l’Université Brown ont filmé au ralenti des grenouilles taureau en action. Les séquences expérimentales ont été réalisées à partir d’appareils photos, capables de capturer 500 images par seconde dans des longueurs d’onde visibles et dans les rayons X. Grâce à ce protocole, les chercheurs sont parvenus à retracer chaque mouvement, intérieur et extérieur de l’animal. Les résultats, publiés dans la revue Biology Letters révèlent que le secret du saut de la grenouille réside dans le comportement élastique de ses tendons régissant la performance. Juste avant de s’élancer, l’amphibien contracte les muscles de ses mollets puis étire au maximum ses tendons pour charger le reste de l’énergie. Ce n’est qu’une fois ses pieds hors du sol, qu’il libère l’énergie de ces tendons qui viennent alors s’enrouler autour de l’os de la cheville. Ce processus agit de la même manière qu’une catapulte, permettant ainsi à l’animal de bondir dans les airs à des hauteurs beaucoup plus importantes que celles permises par sa physiologie. "Pour la première fois, nous avons vraiment compris le fonctionnement interne du saut de la grenouille dans son ensemble”, souligne au Dailymail Henry Astley, membre de l’étude avant de conclure : "nous avons maintenant une idée plus précise de ce qu’il se passe". Source:http://www.maxisciences.com Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2011/11/07/rsbl.2011.0982 Vidéo:
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quelques photos de tribolonotus gracilis+ du nouveau tribo novaeguinea
askook a répondu à un(e) sujet de boubak11 dans Vos P'tits Virus
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Malformations et déclin chez les Amphibiens
askook a répondu à un(e) sujet de Chance-reptil-virus dans Amphibiens
Toujours plus de menaces sur les amphibiens De multiples facteurs menacent la diversité des amphibiens et ces menaces peuvent se chevaucher dans les zones les plus sensibles. Considérés comme des organismes sentinelles, les amphibiens (grenouilles, salamandres, tritons…) en raison de leur grande sensibilité aux polluants et aux modifications de leur habitat connaissent une importante diminution de leurs effectifs. Chaque année, l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) inscrit dans sa liste des espèces menacées un nombre plus important d’amphibiens. Selon les experts, une espèce d’amphibien sur trois risque de disparaître à court terme sans mesures de préservation efficaces. Pire, une nouvelle étude publiée dans la revue Nature établit que cette extinction pourrait être encore plus importante et rapide. Trois facteurs principaux pèsent sur le futur de ces animaux : le changement climatique, la modification de leur habitat et la chytridiomycose, une maladie fongique. Des chercheurs de l’Université de Copenhague ont évalué la répartition géographique de ces menaces par rapport à la répartition mondiale des amphibiens. Ils démontrent que les régions où les modifications de l’habitat et le changement climatique ont le plus d'impact sur les populations d'amphibiens ont tendance à se chevaucher. De plus elles correspondent également aux zones les plus riches en diversité d’espèces. En revanche, la menace posée par les maladies fongiques varie selon l'endroit avec peu de chevauchement spatial avec les deux autres menaces. En se fondant sur l’observation de ce chevauchement des facteurs de risque, les auteurs suggèrent que les projections faites pour le futur, qui ne prennent généralement en compte qu’une menace à la fois, sont beaucoup trop optimistes…Ils estiment que le déclin des populations d’amphibiens observé depuis vingt ans va continuer à s’accélérer. Source:http://www.sciencesetavenir.fr Article: http://www.nature.com/nature/journal/vaop/ncurrent/full/nature10650.html -
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Du sang d’alligator pour combattre les infections?
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Vous tenez les alligators en horreur? Sachez que ces reptiles terrifiants pourraient être bien utiles à l’humain, car une protéine contenue dans leur sang pourrait mener à l’élaboration d’un antibiotique superpuissant ainsi qu’à des traitements pour les brûlures graves et les ulcères. Les alligators subissent fréquemment des blessures graves lors de leurs batailles territoriales brutales. Leurs plaies guérissent toutefois rapidement malgré leur contact constant avec les champignons, bactéries et virus de leur environnement. C’est ce qui a fait penser à des scientifiques que le sang des alligators doit contenir des substances puissantes pour combattre les microbes. Pour étudier ce phénomène, des chercheurs ont recueilli des échantillons de sang d’alligators américains. Ils ont ensuite isolé les globules blancs, les cellules qui défendent l’organisme, pour en extraire les protéines antibiotiques. Lors de tests de laboratoire, de faibles concentrations de ces protéines ont tué un vaste éventail de bactéries, incluant le SARM, une bactérie hautement résistante aux antibiotiques traditionnels. Les protéines en provenance du sang d’alligator ont aussi tué six des huit souches de Candida albicans, une moisissure qui peut causer des infections graves aux personnes dont le système immunitaire est affaibli, les personnes atteintes du VIH/Sida par exemple. La résistance aux antibiotiques est en augmentation partout dans le monde, tandis que peu de nouveaux antibiotiques sont attendus sur le marché au cours des prochaines années. Il existe donc un besoin bien réel de découvrir de nouveaux médicaments de ce type. La prochaine étape pour les chercheurs sera d’identifier la structure chimique exacte de la protéine antibiotique, puis d’effectuer les tests cliniques. Il faudra donc encore bien des années de travail avant que des patients puissent éventuellement profiter des propriétés antimicrobiennes du sang d’alligator. Source: http://www.familiprix.com -
Faits divers concernant les ophidiens
askook a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
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Le mâle de l'espèce pisaure admirable (Pisaura mirabilis) qui désire convaincre une femelle de rencontre d'abandonner le ménage de sa toile lui offre très souvent un cadeau enveloppé dans un beau tissu de soie. À l'intérieur, très souvent, un insecte bien gras ou quelque autre delicatessen. Le présent fait souvent mouche. La belle inconnue s'en empare et, pendant qu'elle s'en rassasie, son partenaire s'active à sa petite affaire. Plusieurs espèces d'insectes pratiquent ainsi le cadeau nuptial avec plus ou moins de bonheur. J'en ai donné plusieurs exemples dans un livre que j'ai consacré à la sexualité animale, voilà quelques années chez Grasset. Mais le mâle pisaure se révèle parfois un vrai manipulateur en offrant un emballage vide ! C'est la surprenante découverte effectuée, après plusieurs années d'observation, par Maria Albo qui vient de consacrer un article scientifique à ce beau goujat dans la revue BMC Evolutionary Biology. Certains mâles, donc, glissent dans le paquetage non pas une succulente proie à dévorer, mais un morceau de mousse ou encore l'enveloppe d'un insecte déjà dévoré, en général par eux. La femelle n'imaginant un tel vice laisse le généreux inconnu l'étreindre. À cet endroit-là, une petite explication est nécessaire sur le Kamasutra de l'araignée. Faute d'un zizi en bonne et due forme, le mâle doit utiliser deux appendices pour effectuer le transfert de spermatozoïdes : les pédipalpes situés de part et d'autre de sa gueule. Il les remplit avec une goutte de sperme déposée au préalable sur le sol ou sur un carré de soie. Pendant que madame ouvre son cadeau dont elle pense qu'il contient un petit casse-croûte, le mâle se colle tête-bêche contre elle pour lui enfourner ses deux seringues dans l'orifice adéquat, l'une après l'autre. L'opération prend plusieurs minutes. Toutes les stratégies sont bonnes Quand la femelle découvre qu'elle a été flouée, elle prend généralement ses huit pattes à son cou, se débarrassant de son vilain amant. Quelques gouttes tombent sur la moquette, mais ce n'est pas ça qui le préoccupe. Ce qu'il veut, c'est récupérer son cadeau pour, éventuellement, s'en resservir auprès d'une autre femelle crédule. Dès que la femelle fait mine de s'enfuir, il agrippe le cadeau et fait le mort ! Après quelques centimètres, la femelle, en ayant assez de se traîner le cadeau et son amant immobile, lâche tout. Maria Albo ne s'est pas contentée d'observer ces manoeuvres, elle a aussi compté les étreintes et les a même chronométrées. Ainsi a-t-elle pu vérifier que les mâles offrant un cadeau sont davantage acceptés par les femelles. Cependant, ceux qui font un faux présent sont aussi éjectés plus rapidement. Généralement, ils n'ont pas le temps de vider leurs deux pédipalpes, mais ils se seront aussi moins fatigués pour attraper une proie et la donner en cadeau. "Le résultat final montre que le nombre d'oeufs pondus est moindre si la femelle n'a pas reçu de cadeau, mais il y a peu de différences entre les femelles qui ont reçu un présent comestible et celles qui en ont reçu un non comestible. Le succès de la triche explique probablement pourquoi les deux stratégies ont coévolué et se sont maintenues dans la population", explique l'arachnologue. Dans le monde animal, toutes les stratégies sont bonnes pour disperser ses gènes. Le mâle pisaure n'est pas le pire en la matière!!!! Source:http://www.lepoint.fr Article: [center] http://www.biomedcentral.com/content/pdf/1471-2148-11-329.pdf /center]
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Un demi-siècle pour arriver à maturité Publiant leur étude dans la revue Functional Ecology, des chercheurs britanniques ont imaginé une méthode pour évaluer l’âge de la maturité sexuelle chez la tortue caouanne, trop difficile à suivre individuellement en pleine mer durant des années. Leur conclusion : une femelle ne peut pondre avant 45 ans, d’où la grande fragilité de cette espèce menacée. Comment suivre, de sa naissance à l’instant où elle revient pondre, pour la première fois, sur son rivage natal, un animal à grande longévité, qui passe la majeure partie de sa vie à parcourir les fonds sous-marins, comme la tortue caouanne ? "Les précédentes estimations de l’âge de leur maturité sont disparates, allant de 10 à 35 ans. Il était impossible d’avoir une sorte de consensus", explique le Pr Graeme Hays, de l'Université de Swansea (Pays de Galles) cité par BBC Nature. Pour pallier cette difficulté, son équipe a procédé à un calcul, à partir de données issues de décennies d’observations de terrain. Elle a comparé la taille de nouveaux nés, tagués et mesurés sur un site d’éclosion en Floride, à celle des mêmes individus, mesurée environ 450 jours plus tard dans les Açores, première étape de leur voyage à travers l’Atlantique nord. Les chercheurs ont pu ainsi établir le taux de croissance (taille en fonction de l’âge) approximatif des animaux. En rapprochant cet élément de la taille des femelles pondeuses, mesurée sur plusieurs sites de nidification bien étudiés, les chercheurs ont pu estimer l’âge de celles-ci : ce n’est pas avant 45 ans que ces reptiles femelles peuvent procréer ! "Plus un animal prend du temps pour arriver à maturité, plus sa population est vulnérable aux causes de mortalité", souligne le Pr Hays. Cette étude donne ainsi "une meilleure idée de combien de temps les efforts de conservation doivent être maintenus sur les plages de nidification", conclut Bryan Wallace, conseiller scientifique pour le Programme de Conservation International Sea Turtle Flagship. Source: http://www.maxisciences.com Article: http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1365-2435.2011.01915.x/abstract
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naissance pituophis m mugitus photo et video
askook a répondu à un(e) sujet de jojoscoottkr11 dans Serpents
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naissance pituophis m mugitus photo et video
askook a répondu à un(e) sujet de jojoscoottkr11 dans Serpents
Effectivement, il n'existe rien sur les mutations ou la génétique concernant cette sous-espèce. Attends que tes "virus" grandissent, pour voir leur évolution au niveau couleurs et dessins. Je ne suis pas sûr que la mutation "white side" se rencontre chez le P.m mugitus... Un lien pour quelques mutations: /t22604-mutations-chez-pituophis-melanoleucus-mugitus -
Voici quelques mutations pour cette sous-espèce. Amélanistique Photo pour illustration de Discern. Source:http://forums.kingsnake.com/ Hypomélanistique Photo pour illustration de Discern. Source:http://forums.kingsnake.com/ Leucistique Photo pour illustration de Wisema2297. Source: http://www.repticzone.com Pink Bubblegum Photo pour illustration de lovin2act. Source: http://www.faunaclassifieds.com Snow Photo pour illustration de Billy Fraser. Source: http://www.kingsnake.com Patternless Photo pour illustration de Greg Knoell. Source: http://www.kingsnake.com Il existe aussi, Yellow- tinted, mais pas de photo.
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Faits divers concernant les scorpions
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Une femme piquée par un scorpion au travail dans les Bouches-du-Rhône Vous ne rêvez pas, une jeune femme s'est fait piquer par un scorpion alors qu'elle était en train de déballer des cartons sur son lieu de travail. melty.fr vous en dit plus sur cette histoire incroyable. Pas besoin d'aller faire un tour dans les pays exotiques pour se retrouver face à face avec un scorpion et se faire piquer. La pauvre Caroline Gallego en a fait la désagréable expérience début octobre alors qu'elle déballait un carton de tasses venues de Chine . La jeune femme employée du magasin Casa dans les Bouches-du-Rhône a très vite ressenti les premiers effets de la piqûre de la bête. Elle est prise d'une grande vague de chaleur et devient rapidement sujette à des vomissements très importants qui dureront toute la nuit. Elle se rend immédiatement chez les pompiers en liens avec le centre antipoison, mais rien n'y fait son poignet continue d'enfler et la paralysie survient. Depuis, la pauvre jeune femme voit son état empirer de jour en jour. Victime de problèmes respiratoires et cardiaques , la jeune femme doit se rendre très régulièrement à l'hôpital. Et quand elle n'est pas suivie par les médecins, elle est obligée de se calfeutrer chez elle, victime d'une photosensibilité aiguë . Pire le choc allergique a été si violent que l'épiderme de son bras gauche s'est littéralement décollé . Pour le moment, elle est obligée de vivre constamment avec des lunettes de soleil. Caroline a décidé de raconter son aventure à la médecine du travail en attendant de voir son état s'améliorer. Et vous, que pensez-vous de cette histoire incroyable ? Comment un si petit animal a pu se retrouver dans un magasin français ? Source: tp://www.melty.fr L'employée de Casa a-t-elle été piquée par un scorpion ? Mais où se cache le scorpion chinois qui aurait piqué Caroline Emma Gallego, salariée du magasin de déco Casa (Cabriès) ? Des investigations sont en cours, dans le magasin et chez son fournisseur chinois, après que la jeune femme s'est plaint de malaises et d'une perte de sensibilité de son poignet. Interrogée par Le Parisien, elle aurait été piquée alors qu'elle rangeait des mugs provenant de Chine. Méticuleusement auscultée, elle souffrirait aussi d'une photosensibilité aiguë. Et s'inquiète de la sécurité des clients du magasin. Pour l'heure, l'arachnide reste introuvable. Une société spécialisée a été envoyée sur place, pour traiter puissamment les locaux, indique la DRH de Casa France, Patricia Trigalo. "On privilégie la sécurité du personnel et des clients." La centrale d'achat en Belgique a été contactée, puis le fournisseur chinois. "Mais dans la région du fournisseur, il n'y aurait pas de scorpion." D'autant qu'il faut trois mois au conteneur pour rallier la Chine à la Belgique, puis un mois pour arriver à Marseille. Le scorpion a-t-il survécu ? Ou sera-t-il un autochtone marseillais ? Seule certitude, pour la direction de l'enseigne: "Ce problème est pris très au sérieux." L'employée piquée a été appelée à plusieurs reprises par sa hiérarchie. Source: http://www.laprovence.com/ -
Une nouvelle espèce de mygale découverte en Australie
askook a posté un sujet dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Un habitant d'une petite ville de l'ouest australien a découvert une nouvelle espèce d’araignée. Une mygale qui présente la particularité d'avoir une tête totalement blanche, d'où son surnom de "mygale albinos". La nouvelle mygale qui vient d’être découvert en Australie n’est pas, comme son nom le laisse supposer, une véritable mygale albinos. Elle possède en effet un certain nombre de pigments qui donnent une couleur brune à son corps et ses pattes, exactement comme celui des autres mygales. Cette araignée de 3 centimètres a en fait conservé ce surnom en attendant d’être cataloguée officiellement en tant que nouvelle espèce. Découverte par un habitant d'une petite ville de l’ouest de l’Australie, elle a été capturée et envoyée au musée. "Je suis presque tombé quand j'ai vu sa tête blanche", s'est souvenu dans un mail Mark Harvey, administrateur du Western Australian Museum cité par le National Geographic. Bien qu'il se ravisse de cette découverte, le spécialiste a néanmoins regretté qu'on n'en sache si peu sur cet arachnide, dont c'est ici le seul spécimen connu. "Nous ne savons rien de son histoire. Nous pensons qu’elles vivent dans des terriers leur vie entière [comme toutes les mygales] et que lorsque les mâles arrivent à maturité ils partent à la recherche de femelles dans leurs terriers". Les mygales ont en effet pour habitude de se terrer dans leur antre et de bondir pour saisir leur proie lorsque les vibrations qu’elle produit en passant, lui parviennent. Proie qui peuvent aussi bien être des insectes, des arthropodes que des petits invertébrés. Toutefois, la nouvelle mygale qui vient d’être découverte est extrêmement rare, il n'est donc pas exclu qu'elle se comporte un peu différemment. "Les araignées appartiennent à un groupe varié d'animaux qui fascinent et terrifient beaucoup de gens", a commenté Mark Harvey. Alors qu'elles détiennent un rôle crucial dans le contrôle des populations d'insectes, le spécialiste a estimé : "le monde serait un endroit bien pire sans les araignées". Source: http://www.maxisciences.com -
Ogopogo, le monstre du lac d'Okanagan
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mythes et Légendes
Un Canadien affirme avoir filmé le monstre d'Ogopogo (la version canadienne du monstre du Loch Ness) que la légende situe dans le lac Okanagan en Colombie Britannique. Cela ressemble à une grosse vague dans l'eau mais pour Richard Huls, un homme de la région, il n'en est rien. Selon lui, si l'on regarde bien sa vidéo, on peut distinguer l'énorme créature marine. C'est en tout cas ce qu'il a confié au Vancouver Sun. Alors qu'il visitait une ferme vinicole avec son épouse, monsieur Huls qui se promenait avec sa caméra a eu son regard attiré par le lac. "Il n'y avait pas de vagues", affirme-t-il. "C'était une couleur plus foncée. La taille m'a fait penser à autre chose". Pour Richard Huls, ses images sont la preuve qu'un "monstre" habite dans ces fonds marins comme la légénde d'Ogopogo l'affirme. "Cela prouve qu'une créature vit bien là-bas. Que ce soit Ogopogo ou autre chose il y a quelque chose là-bas". Le monstre d'Ogopogo aurait été aperçu plus d'un millier de fois depuis 1860. A l'instar de son collègue, le monstre du Loch Ness, la créature a été prise en photos à de nombreuses reprises. Selon les descriptions des observateurs, Ogopogo serait une sorte d'énorme serpent avec des bosses. Source: http://www.7sur7.be Vidéo: -
Ogopogo, le monstre du lac d'Okanagan
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mythes et Légendes
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Le monstre le plus populaire des lacs canadiens, Ogopogo, a fait parler de lui pour la première fois avec éclat et intrigué des gens du monde entier, en 1926 dans un article du Vancouver Sun. De nombreuses personnes à travers les années, ont témoignés avoir vu le monstre, certain l'on même photographié ou même filmé. Ogopogo est un monstre marin légendaire qui vivrait dans le lac Okanagan, en Colombie-Britannique au Canada. Cet immense lac, de 111 kilomètres de long et de 6,4 kilomètres de large, est un lac glaciaire de forme allongée, sa profondeur moyenne est de 76 mètre et sa profondeur maximum est de 232 mètre. Les observateurs de cette étrange créature décrivent un monstre avec une tête de cheval et un long corps filiforme qui s'apparente pour certain à la description de Caddy qui sévit dans la baie de Cadboro. D'allure serpentine sa peau serait sombre et brillante, son coup long et fin et sa queue élancée et fourchue. Les adeptes de l'existence de Ogopogo ont découvert dans leurs recherches que les premières apparitions documentés sur l'existence du monstre de l'Okanagan dateraient de 1872, après l'arrivée des colons européens au début des années 1800 dans la vallée de l'Okanagan. Cette année là, une jeune femme nommée Susan Allison attend le retour de son mari près du Lac Okanagan. Son mari, marin, est parti sur l'autre rive avant qu'une tempête ne se forme. Elle observe avec attention le lac d'Okanagan et va apercevoir au milieu des flots en tumulte un monstre de quinze mètre de long qui se déplace tel un serpent. Ce jour-là, Alison pense avoir vu Naitaka. Naitaka (N'ha-a-itk), qui veut dire « Le méchant du lac » en salish, une langue parlée par les populations amérindiennes du sud de la Colombie-Britannique est présent dans plusieurs représentations des légendes inuites sous forme de pictogramme. Naitaka, aujourd'hui nommé Ogopogo, terrifiait les Inuits qui l'accusaient de prendre trop souvent des vies, ils refusaient d'aller pagayer en canot sur le lac sans faire une offrande pour calmer « Le méchant du lac ». Les inuits pensaient que Naitaka vivait dans une grotte sous Squally Rattlesnake Point près d'une ile au large de Peachland sur la rive ouest du lac Okanagan, c'est dans cette zone qu'il faisait leurs offrandes au monstre. Selon les cryptozologues, Roy Mackal et Karl Shuker il pourrait s'agir d'une race de baleine primitive de la famille des Basilosarus, une race préhistorique et carnivore de baleine aux formes serpentines, qui aurait vécu il y a des millions d'années. Pour d'autres il pourrait s'agir du plus grand poisson d'eau douce de l'Amérique du nord, un esturgeon blanc. Et enfin certain émettent l'hypothèse que Ogopogo serait une erreur d'interprétation et pourrait être une seiche, qui se serait déplacée à la surface et dont l'ondulation des mouvements aurait pu faire penser à un serpent. Certain auteurs on comparait le monstre à Nessie, le fameux monstre du Loch Ness. Ogopogo existe-t-il réellement ? Les nombreux témoins qui ont croisé sa route à travers les années l'affirment. Source:http://www.mystere-tv.com/
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Rappelez-vous... Le 4 novembre 2011: Naissance en Floride d'un Lampropelis triangulum hondurensis albinos bicéphale Maintenant voici un article de presse paru le 9 novembre dans Infogabon Gabon : Un serpent à deux têtes à Ndéndé (ville de Pierre Mamboundou) Libreville, 9 novembre 2011 (Infos Gabon) – L’animal ressemble à une créature mythologique qu’on ne trouve que dans les livres ou les films. Mais il est bel et bien réel et vivant ! Les militants et les sympathisants de l’UPG n’en croyaient pas leurs yeux quand ils ont vu ce serpent rouge à deux têtes à Ndéndé, annonce l’hebdomadaire GABAON dans sa livraison de ce matin. Décidément, il se passe de drôles de choses et d’événements à Ndéndé depuis l’inhumation de Pierre Mamboundou. Après l’éléphant qui a traversé la ville en début de soirée le 15 octobre dernier avant l’annonce du décès de l’opposant. Après le grand coup de tonnerre et la grande pluie le jour de l’inhumation de leader de l’UPG dans sa localité durant dix minutes. Les dernières nouvelles qui nous parviennent nous laissent perplexe. Elles font état de la découverte d’un serpent à deux têtes qui aurait été aperçu dans la ville de l’opposant historique. L’on se souviendra que dansant au rythme du Ikoku, une danse locale utilisée aussi bien dans les cérémonies de réjouissances que dans celles de deuil, la foule vêtue de rouge et de tee-shirts à l’effigie de Pierrot a accompagné le cercueil porté par des militants dans sa dernière demeure. Qu’à cet effet, des femmes et des hommes avaient effectué de multiples rituels traditionnels sur son cercueil avant son enterrement. Ceci expliquerait-il cela ? Selon certaines indiscrétions d’un ressortissant de Ndéndé bien ancré dans les traditions et les mystères de la ville des neuf routes, et qui restent à vérifier, l’apparition de ce serpent à deux têtes près du tombeau du défunt leader serait un signe pour les connaisseurs. Et, selon ce dernier, il n’est pas exclu que ce serpent à deux têtes rende une «petite visite» à certains proches collaborateurs du défunt leader conformément aux directives des derniers rituels effectués sur le cercueil du défunt. En revanche, l’apparence du serpent étonne et provoque la frayeur. Le fait pour le corps de recevoir deux informations différentes devrait nuire à ses capacités de survie en liberté dans la nature. A moins qu’il ne soit, selon certains commentaires, qu’une matérialisation d’un redoutable «Mboumba», serpent mystique à têtes chercheuses, pour confirmer à l’endroit des «initiés» qu’il a été activé. En réalité, la possibilité de voir éclore un serpent à deux têtes est extrêmement rare. De plus, ce serpent est albinos, comme le montrent les parties très blanches de sa peau. Le fait qu’il conserve une coloration orange constitue une autre particularité étonnante qui prouve qu’il a un lien avec la couleur rouge que le défunt leader affectionnait. Un militant émerveillé aurait même déclaré que ce serpent pourrait certainement inspirer les producteurs des films d’horreur. Pour une autre militante, les «vampireux» du coin ne reculent devant rien! Pauvre Ndéndé ! Depuis, plusieurs questions taraudent les esprits. Comment il se nourrit-il ? Comment fera t-il pour choisir son chemin ? C’est incroyable mais vrai! C’est spectaculaire! C’est du jamais vu ! C’est mystérieux ! Comme quoi, la nature révèle parfois des surprises! Au rythme des apparitions mystérieuses à Ndéndé, il n’est pas exclu que bientôt on verra certainement apparaître des animaux à trois têtes et deux pattes, estime une ressortissante de cette localité, dépassée par la vue de l’horrible photo. D’après un militant de l’UPG, il est à craindre, dans le Ndéndé profond, que certains ne commencent à vénérer ce serpent à deux têtes comme un dieu, comme un génie ! Si l’information qu’on nous a transmise sur ce serpent à deux têtes aperçu à Ndéndé après l’inhumation de Pierrot est vraiment fondée, une chose est certaine, les mots manquent pour décrire le phénomène. Ça fait vraiment peur ! On ne sait pas quoi dire, sauf que ça va probablement chauffer du côté de l’UPG. Affaire à suivre ! Source:http://infosgabon.com/?p=13530