Rudy04

Mieux encore... Ed Yong découvre des vestiges de glandes à venin chez tous les serpents et une partie des lézards. http://sco.lt/85jGM5

Ah ben j'allais le poster Je sais pas s'il faut en rire ou en pleurer...

Salut C'est quoi le problème enfait ?

Ok, J'y connais que dale en objectif... un zoom 200mm ça donne une multiplication par combien...? Genre, j'ai un compact avec un zoom x8 ... Je te demande parce que le Podarcis que tu as pris, c'est pas facilement approchable comme bestiole, et la photo est superbe.

Tu as quoi comme appareil? Tu disposes d'un zoom puissant?

Et ça c'est difficilement gérable, c'est pourquoi Dieu, dans son immense bonté, a créé la vipère péliade! C'est chouette, ce que tu décris, P.R , mais pour la majorité d'entre nous, ça reste vague. Tu nous dis que le temps est important, le moment est important etc... en précisant qu'ils sont dépendants de la chaleur. Certes, mais ça ne nous donne pas les indications subtiles qui font la différence. Genre, tôt le matin comment? Au lever du soleil? Une heure après, le temps que tout se soit réchauffé un peu, animaux compris? Quant aux sites/caches, ce doit être encore plus spécifique suivant les espèces recherchées... +1 Un moyen peut-etre aussi pour connaitre précisément les aires de répartition des espèces...?

Les photos ont été prises à Montpellier même. Visiblement, il est certain que ce soit des Pelophylax sp., mais l'hybridation entre P. perezi et de P. ridibundus est très fréquente ce qui donne des Pelophylax kl. grafi.

Ca serait peut-etre le bon topic pour paratager vos techniques de herping Perso, en dehors des grenouilles vertes et des lézards des murailles j'ai un peu de mal... Donc si vous avec des conseils, astuces etc...

La première photo LiliaOoo est en entier. Bemol, trouve un vrai tronc pour faire office de support de poids ou alors camoufle le dans un grand tronc de liège, là les bout d'ecorce c'est limite limite.

Salut, Je trouve qu'il y a du mieux. Il va falloir voir le rendu une fois que les herbes auront séchées aussi. C'est fou comme ça fait des photos dégueulasses les ampoules HQI ^^

Salut, J'aimerais connaitre votre avis sur le sexe de "mon" Chlamydosaurus. En regardant la base de la queue j'ai l'impression de voir une femelle, mais sa carrure et sa colerette sont bien développées... Pour l'autre point qui me préoccupe: J'ai l'impression qu'une petite partie de sa crête à du mal à croitre ou muer. Pourtant je lui fait prendre des bains lorsqu'il mue et prends soin ôter la mue dans les pliures. Merci.

Salut, Voila une petite série de photos réalisées aujourd'hui. Si quelqu'un à une idée de ou des epèces

Camera cachée: un journaliste condamné Par lefigaro.fr Publié le 05/04/2013 à 21:58 Un homme filmé par les caméras de TF1 pour un reportage paru en janvier dans l'émission Sept à huit a été condamné ce matin par le tribunal de Valence à six mois de prison avec sursis et 3000 euros d'amende, dont 2 000 avec sursis, rapporte le Dauphiné Libéré. Dans le reportage, on le voyait se rendre en Allemagne pour acheter des serpents très venimeux. Fait inédit, rapporte le site du journal, le reporter qui tournait en caméra cachée a lui aussi été condamné, pour complicité dans l'achat et l'acheminement en France des dangereux serpents, à trois mois d'interdiction d'exercer sa profession et 1500 euros d'amende. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/04/05/97001-20130405FILWWW00632-camera-cachee-un-journaliste-condamne.php

Un homme de 38 ans a été arrêté alors qu’il tentait de prendre possession d’un sac contenant 54 tortues de Madagascar, soit l’équivalent de 10% de la population de cette espèce en voie de disparition. La scène, surréaliste, s’est déroulé à l’aéroport de Suvarnabhumi, en Thaïlande. L’homme était déjà connu des services de police Thaïlandais pour trafic d’espèces animales. La jeune femme à qui appartenait le sac, et qui voyageait de Madagascar à Bangkok, a également été arrêtée. La tortue de Madagascar a été découverte par le zoologiste français Léon Vaillant en 1885. Sa carapace, en forme de dôme très prononcé, est de couleur marron clair. Les mâles, plus grands que les femelles, peuvent mesurer jusqu’à 43cm. Cette espèce est aujourd’hui en voie de disparition et moins de 500 tortues de Madagascar peupleraient aujourd’hui encore l’île. La forte diminution ces dernières années du nombre de ces tortues est due à la dégradation de leur habitat naturel ainsi qu’au trafic. Par chance, les 54 tortues découvertes étaient encore en vie lorsque la police les a confisquées. Pour une raison simple : elles n’étaient pas destinées à êtres mangées, mais à être revendues vivantes. Nous espérons vivement que les autorités thaïlandaises feront un exemple en condamnant largement les deux personnes interpellées, ainsi que les autres éventuels responsables de ce trafic pour le moins scandaleux. Et que les tortues pourront rapidement regagner leur île. http://www.zegreenweb.com/sinformer/10-des-tortues-de-madagascar-decouvertes-dans-un-sac,63422 Mon Twitter assigné à l'actu sur la biodiversité https://twitter.com/RudyPalatci

Le lézard ocellé se met à table 22 mars 2013 Une étude s'intéressant au régime alimentaire du plus grand lézard d'Europe, vient de paraître dans la revue d'écologie « La Terre et la Vie ». L'article est le fruit d'un travail commun entre le Conservatoire d'espaces naturels de Provence-Alpes-Côte d'Azur, le Laboratoire d'éco-entomologie et l'Institut méditerranéen de biodiversité et d'écologie. Le Lézard ocellé Timon lepidus est une espèce considérée comme vulnérable, d’après la Liste rouge européenne des reptiles. La Réserve naturelle nationale des Coussouls de Crau (13), co-gérée par le CEN PACA et la Chambre d’agriculture des Bouches-du-Rhône, abrite une des plus importantes populations françaises. L’objectif de cette étude est de décrire le régime alimentaire de l’espèce sur un milieu steppique méditerranéen, bien connu pour la péninsule ibérique mais qui constitue une lacune en France. Connaître l’écologie d’une espèce est, en effet, un préalable nécessaire à la bonne gestion et à la préservation d’un site naturel. Les auteurs ont ainsi étudié la composition et les variations saisonnières du régime alimentaire du lézard ocellé dans la Réserve naturelle des Coussouls de Crau, identifié les différences entre les classes d’âge et les particularités de la Crau par rapport à d’autres sites étudiés en France et dans la péninsule ibérique. A lire : Article de la revue scientifique « La Terre et la Vie - Revue d’Ecologie » : « Patron et variations du régime alimentaire du Lézard ocellé Timon lepidus en milieu steppique méditerranéen semi-aride (plaine de Crau, France) » par Laurent Tatin, Jean-David Chapelin-Viscardi, Julien Renet, Etienne Becker & Philippe Ponel. http://www.cen-paca.org/6_07_84breve.html http://www.scoop.it/t/agir-pour-la-biodiversite

Une grenouille disparue depuis 30 ans ressuscitée par des scientifiques australiens SCIENCE - Sous la houlette du professeur Mike Archer, de l'Université de Nouvelle Galles du Sud (Australie), une équipe de scientifiques australiens a annoncé avoir réussi à utiliser des techniques de clonage sophistiquées pour recréer un embryon vivant d'une grenouille disparue des radars depuis le milieu des années 1980. Il s'agit de la Rheobatrachus silus, ou grenouille plate à incubation gastrique, un drôle d'amphibien capable de donner la vie par la bouche, à l'instar de très peu d'espèces du royaume animal. Elle s'est éteinte au cours des années 1980, en grande partie pour des raisons environnementales, et fut officiellement reconnue espèce disparue en 2001. C'était sans compter sur l'équipe du Projet Lazarus. Depuis quelques années, ces chercheurs réalisent des expériences en laboratoire en utilisant une technique de clonage reproductif dite de transfert nucléaire de cellules somatiques. Le même processus qui a permis de cloner Dolly la brebis en 1996. Sauver le tigre, l'éléphant et le rhinocéros Première étape: les scientifiques ont récupéré des cellules embryonnaires qui avaient été congelées pendant les années 1970. Ce matériel génétique non-vivant a ensuite été inoculé dans des ovules frais provenant de grenouilles d'une espèce similaire, la Mixophyes fasciolatus la grenouille rayée du Queensland. Enfin, les noyaux des cellules de ces dernières ont été désactivés et remplacés par les embryons des grenouilles disparues. Après plusieurs jours, l'embryon d'une grenouille à incubation gastrique est revenu à la vie. Si l'embryon n'est pas parvenu ensuite à se développer en têtard, les scientifiques ont pu récupérer le matériel génétique dont il était porteur. Fort de ce succès, ils se sont montrés confiants dans les chances de voir ce processus aboutir dans un futur proche. "Nous avons maintenant de nouvelles cellules cryo-préservées de la grenouille disparue prêtes à être utilisées dans de futures expériences de clonage. Nous nous attendons à voir cette grenouille sauter de nouveau", a ainsi assuré Mike Archer. Pour les chercheurs, ces nouvelles avancées entretiennent l'espoir de pouvoir un jour relancer des espèces animales disparues, notamment le mammouth, le dodo, le moa ou l'Ara cubain. Et plus certainement, à l'avenir, de pouvoir sauver des espèces actuellement en voie de disparition comme le tigre, l'éléphant ou le rhinocéros. Et un jour les dinosaures? http://www.huffingtonpost.fr/2013/03/18/une-grenouille-disparue-depuis-30-ans-ressuscitee-scientifiques-australiens_n_2899313.html?utm_hp_ref=france

Search results Search Parameters Distribution: Egypt Search results Species found: 107 Ablepharus kitaibelii (BIBRON & BORY ST-VINCENT, 1833) Acanthodactylus aegyptius BAHA EL DIN, 2007 Acanthodactylus boskianus (DAUDIN, 1802) Acanthodactylus longipes BOULENGER, 1918 Acanthodactylus pardalis (LICHTENSTEIN, 1823) Acanthodactylus savignyi (AUDOUIN, 1827) Acanthodactylus scutellatus (AUDOUIN, 1827) Agama spinosa GRAY, 1831 Bunopus tuberculatus BLANFORD, 1874 Caretta caretta (LINNAEUS, 1758) Cerastes cerastes (LINNAEUS, 1758) Cerastes vipera (LINNAEUS, 1758) Chalcides ocellatus (FORSKAL, 1775) Chalcides sepsoides (AUDOUIN, 1829) Chamaeleo africanus LAURENTI, 1768 Chamaeleo chamaeleon (LINNAEUS, 1758) Chelonia mydas (LINNAEUS, 1758) Coluber sinai (SCHMIDT & MARX, 1956) Crocodylus niloticus LAURENTI, 1768 Cyrtopodion scabrum (HEYDEN, 1827) Dasypeltis scabra (LINNAEUS, 1758) Dolichophis jugularis (LINNAEUS, 1758) Echis coloratus GÜNTHER, 1878 Echis pyramidum (GEOFFROY SAINT-HILAIRE, 1827) Eirenis coronelloides (JAN, 1862) Eretmochelys imbricata (LINNAEUS, 1766) Eryx colubrinus (LINNAEUS, 1758) Eryx jaculus (LINNAEUS, 1758) Eumeces schneideri (DAUDIN, 1802) Hemidactylus flaviviridis RÜPPELL, 1835 Hemidactylus foudaii BAHA EL DIN, 2003 Hemidactylus mindiae BAHA EL DIN, 2005 Hemidactylus robustus HEYDEN, 1827 Hemidactylus sinaitus BOULENGER, 1885 Hemidactylus turcicus (LINNAEUS, 1758) Hemorrhois algirus (JAN, 1863) Hemorrhois nummifer (REUSS, 1834) Latastia longicaudata (REUSS, 1834) Laudakia stellio (LINNAEUS, 1758) Lycophidion capense (SMITH, 1831) Lygodactylus picturatus (PETERS, 1871) Lytorhynchus diadema (DUMÉRIL, BIBRON & DUMÉRIL, 1854) Macroprotodon cucullatus (GEOFFROY DE ST-HILAIRE, 1827) Malpolon insignitus (GEOFFROY DE ST-HILAIRE, 1809) Malpolon monspessulanus (HERMANN, 1804) Mesalina bahaeldini SEGOLI, COHEN & WERNER, 2002 Mesalina guttulata (LICHTENSTEIN, 1823) Mesalina martini (BOULENGER, 1897) Mesalina olivieri (AUDOUIN, 1829) Mesalina pasteuri (BONS, 1960) Mesalina rubropunctata (LICHTENSTEIN, 1823) Myriopholis cairi (DUMÉRIL & BIBRON, 1844) Myriopholis macrorhyncha (JAN, 1860) Naja haje (LINNAEUS, 1758) Naja nubiae WÜSTER & BROADLEY, 2003 Naja pallida BOULENGER, 1896 Natrix tessellata (LAURENTI, 1768) Ophisops elbaensis SCHMIDT & MARX, 1957 Ophisops elegans MÉNÉTRIES, 1832 Ophisops occidentalis BOULENGER, 1887 Philochortus zolii SCORTECCI, 1934 Platyceps florulentus (GEOFFROY, 1827) Platyceps rhodorachis (JAN, 1865) Platyceps rogersi (ANDERSON, 1893) Pristurus flavipunctatus RÜPPELL, 1835 Psammophis aegyptius MARX, 1958 Psammophis schokari (FORSKAL, 1775) Psammophis sibilans (LINNAEUS, 1758) Pseuderemias mucronata (BLANFORD, 1870) Pseudocerastes fieldi SCHMIDT, 1930 Pseudotrapelus sinaitus (HEYDEN, 1827) Ptyodactylus guttatus HEYDEN, 1827 Ptyodactylus hasselquistii (DONNDORFF, 1798) Ptyodactylus ragazzii ANDERSON, 1898 Ramphotyphlops braminus (DAUDIN, 1803) Rhagerhis moilensis (REUSS, 1834) Rhynchocalamus melanocephalus (JAN, 1862) Scincus scincus (LINNAEUS, 1758) Spalerosophis diadema (SCHLEGEL, 1837) Stenodactylus petrii ANDERSON, 1896 Stenodactylus sthenodactylus (LICHTENSTEIN, 1823) Tarentola annularis (GEOFFROY DE ST-HILAIRE, 1827) Tarentola fascicularis (DAUDIN, 1802) Tarentola mauritanica (LINNAEUS, 1758) Tarentola mindiae BAHA EL DIN, 1997 Telescopus dhara (FORSKAL, 1775) Telescopus obtusus (REUSS, 1834) Testudo graeca LINNAEUS, 1758 Testudo kleinmanni LORTET, 1883 Trachemys scripta (THUNBERG in SCHOEPFF, 1792) Trachylepis quinquetaeniata (LICHTENSTEIN, 1823) Trachylepis vittata (OLIVIER, 1804) Trapelus mutabilis (MERREM, 1820) Trapelus savignii (DUMÉRIL & BIBRON, 1837) Trionyx triunguis (FORSKÅL, 1775) Tropiocolotes bisharicus BAHA EL DIN, 2001 Tropiocolotes nubicus BAHA EL DIN, 1999 Tropiocolotes steudneri (PETERS, 1869) Tropiocolotes tripolitanus PETERS, 1880 Typhlops vermicularis (MERREM, 1820) Uromastyx acanthinura BELL, 1825 Uromastyx aegyptia (FORSKAL, 1775) Uromastyx ocellata LICHTENSTEIN, 1823 Uromastyx ornata HEYDEN, 1827 Varanus griseus (DAUDIN, 1803) Varanus niloticus (LINNAEUS, 1766) Walterinnesia aegyptia LATASTE, 1887 http://reptile-database.reptarium.cz/advanced_search?location=Egypt&submit=Search =)

On est sur qu'il s'agit de P.grandis ?

Askook bientot dans la presse régionale

Ca dépend ou aussi on place le point chaud. En haut, en bas... Pour mes terras, je met un aération basse devant et une haute sur chaque cotés. Pour ce qui est de la circulation de l'air selon sa température, je doute franchement que ça amene à un vrai courant d'air nocif pour l'animal.

De l'OSB, du Mélaminé, du MDF...

Salut, Ce que je vais dire va peut etre c0n mais n'est-je justement pas trop vert ? N'y a-t-il pas trop de mousse partout? Tellement qu'on en distingue plus le sol, les branches etc... Est ce que tu ne gagnerais pas Alex à retirer un peu de mousse, afin d'avoir un vrai contraste entre ton sol et tes mur avec tes plantes? Ce qui les révèlerais plus à mon avis et garderais quand même le coté planté verdoyant.

Je ne sais pas s'il y a vraiment à débattre là dessus. Notre passion c'est d'observer des animaux et de les élever en captivité. Certains essayent de donner les meilleurs conditions de vie possibles, d'autres sont "motivés" par d'autres raisons. La terrariophilie, comme l'aquariophilie et les animaux de compagnie au sens plus large, c'est aussi un business et tant qu'il y aura de la demande y'aura de l'offre. Et donc des dérives inévitables.

Même fait: À Carpentras, un quadragénaire avait commencé un élevage de scorpions sans aucune autorisation. La police et les services vétérinaires ont été prévenus par le propriétaire du logement. Combien d'hommes faut-il pour arrêter une famille de scorpions en mouvement vivant en appartement? Beaucoup. Lundi après-midi, le locataire d'un appartement à Carpentras (Vaucluse) a vu débarquer chez lui la police, les pompiers, un vétérinaire de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) spécialiste du Code de l'environnement, et un expert de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage. Il hébergeait en toute illégalité cinq scorpions, achetés sur Internet, et c'est son propriétaire qui avait alerté le tribunal de grande instance. «On ne savait pas trop ce qu'on allait trouver», explique au Figaro le service santé et protection animale de la DDPP. Le propriétaire, qui avait «un peu peur», avait parlé de «plusieurs terrariums et de dizaines de scorpions». Il n'y avait finalement qu'un terrarium, avec dedans, selon La Provence qui révèle l'information, un couple d'heterometrus petersii, et trois petits qu'ils avaient eus récemment. L'escouade envoyée, avec aussi peu d'informations, n'était pas de trop. La police, elle, était là pour la perquisition. L'unité des équipiers animaliers des pompiers participait au cas où «des scorpions auraient couru partout dans l'appartement». Et les deux experts reconnaissaient et disposaient des animaux, en plus d'estimer l'infraction. Car même si l'espèce concernée n'est pas mortelle, «tous les scorpions sont classés comme animaux dangereux», nous renseigne la DDPP. Et leur «détention est soumise à un certificat de capacité en faune sauvage et captive, qui aurait dû, ici, être assorti d'une spécialité élevage, puisqu'il y avait un couple d'animaux». Le collectionneur néophyte n'avait rien de tout ça et encourt une amende. Les scorpions ont été transférés dans un centre d'étude antipoison. http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/01/16/01016-20130116ARTFIG00492-il-eleve-des-scorpions-chez-lui-la-police-intervient.php