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LETTRE MODÈLE : Monsieur le Maire ou Madame la Mairesse, Madame la Conseillère ou Monsieur le Conseiller, En avril dernier, Radio-Canada diffusait le reportage choc intitulé « Mauvais berger » sur une fourrière animale privée dont les services étaient retenus par un certain nombre de municipalités. À la vue des cruautés présentées, des milliers de personnes se sont alors indignées quant aux traitements réservés aux animaux errants, perdus ou abandonnés au Québec. Ce reportage choc a eu pour effet d’amorcer une profonde réflexion sur la façon dont sont traités les animaux de compagnie délaissés et, ainsi, d’initier des changements. Dans cette foulée, le MAPAQ est en voie de bonifier la loi 42, Loi sur la protection sanitaire des animaux, par son projet de Règlement sur la sécurité et le bien être des chats et des chiens. Comme citoyenne de la ville de (nommez votre ville), je souhaite vivre dans une communauté qui offre des services animaliers éthique, respectueux et soucieux du bien-être de nos animaux de compagnie. À cet effet, j’ai pris connaissance qu’une journée de formation, spécialement préparée pour les élus et les administrateurs des municipalités et villes du Québec, sera offerte le 28 octobre prochain, à Montréal. Le thème de cette journée consistera à présenter la façon de passer du contrôle animalier à un service animalier responsable. Cette journée, présentée par Le Centre d’adoption des animaux de compagnie et sous l’égide du MAPAQ et du MARMOT, permettra de démontrer qu’il est possible de créer une communauté vivante, saine et sécuritaire pour les citoyens et leurs animaux de compagnie. Je me permets donc de vous inviter à participer à cette journée pour que je puisse espérer vivre dans une ville qui innovera en passant d’un modèle de contrôle animalier, basé sur la capture et l’élimination, à un modèle de services animaliers centrés sur la responsabilisation des propriétaires d’animaux et sur des mesures incitatives à le devenir. Vous pouvez consulter le programme de la journée et vous y inscrire à cette adresse : http://billbrucemontreal.posterous.com/programme-28-octobre Je vous invite également à consulter ces deux liens qui présentent le modèle de Calgary en images : http://vimeo.com/5526061 Dans l’espoir que vous puissiez assister à cette journée, je vous prie de recevoir, (Monsieur le Maire, OU Madame la Mairesse, OU Madame la Conseillère, OU Monsieur le Conseiller), l’assurance de mes sentiments distingués.
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Question aux toiletteuses: Les taches brunes
Ktema a répondu à un(e) sujet de Whippy11 dans Toilettage et soins
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Berger Blanc only choice for some Montreal boroughs? Posted By: Shuyee Lee slee@astral.com · 9/30/2011 8:31:00 AM The city of Laval may not be the only one who has no choice but to go with Berger Blanc as their animal pound service. Some Montreal boroughs say they're also caught between a rock and a hard place. Berger Blanc has come under fire this past spring for alleged animal cruelty and questionable practices. One worker with the St. Leonard borough who didn't wish to be identified tells CJAD News when they get calls about stray animals, they refer them to a vet or tell people to try to keep them, unwilling or reluctant to refer them to Berger Blanc. The borough's contract with them runs out at the end of the year. It's the same situation in Villeray-St. Michel-Parc Extension, and borough mayor Anie Samson tells CJAD News they don't know what to do. She's concerned they may have to renew the contract, because the only other option, the SPCA, can't do it. "They told us they don't have the capacity to take more boroughs," Samson says. "We don't have any option, because the only two companies doing animal control (...) is the SPCA and Berger Blanc." Samson says they haven't heard a peep from the central city since it set up a committee last spring to look into Berger Blanc and go about revising the framework for its animal pound service. Other boroughs contacted by CJAD News also say they're in the same predicament, waiting for their contracts with Berger Blanc to end and waiting for the city of Montreal to come up with a new plan. The city says it should make an announcement in the coming weeks but won't comment further. http://www.cjad.com/CJADLocalNews/entry.aspx?BlogEntryID=10295590
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Toronto interdit la vente d'animaux dans les pet-shops
Ktema a répondu à un(e) sujet de Ktema dans Lois et réglementation
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Toronto interdit la vente d'animaux dans les pet-shops
Ktema a répondu à un(e) sujet de Ktema dans Lois et réglementation
Toronto interdit la vente de chiens et de chats Par Lise Bergeron Mise en ligne : 29 septembre 2011 Les animaleries ne pourront plus vendre de chiens ni de chats sur le territoire de la ville, sauf s’ils proviennent d’un refuge pour animaux. Un exemple pour les municipalités du Québec? Photo: Shutterstock Les événements se bousculent dans l’industrie des animaux de compagnie. Après la chaîne de magasins PJ’s Pets, qui vient d'abandonner la vente de chiens et de chats pour en promouvoir l'adoption, voilà que Toronto veut couper l’herbe sous le pied des «éleveurs de fond de cour» en leur fermant la porte des animaleries. Les usines à chiots, dénoncées depuis des années par les groupes de défense des animaux, sont tristement célèbres pour l’élevage intensif qu'elles font de plusieurs races de chiens dans des conditions pitoyables et à des fins purement mercantile. La décision de Toronto arrive au lendemain de la saisie de plus de 500 chiens sur une ferme de l’Outaouais, la plus grosse à survenir au Canada jusqu’à présent. «C’est une nouvelle extraordinaire! On aimerait que la Ville de Montréal adopte un tel règlement», dit Alanna Devine, directrice de la protection des animaux à la SPCA de Montréal. Les CAACQ (Centres d'adoption d'animaux de compagnie du Québec) sont aussi très enthousiastes: «Les Villes peuvent jouer un rôle important dans le bien-être des animaux de compagnie. Une interdiction aiderait à mettre un terme à la reproduction industrialisée et à la vente au détail des chiens et chats», dit Johanne Tassé, présidente de l'organisme. À Toronto, les animaleries pourront proposer uniquement des animaux provenant de refuges, d’organismes de secours animal et de dons du public. «Nous demandons la même chose aux maires et conseils des villes défusionnées dans l'espoir que l'idée se rende jusqu'à la Ville de Montréal et à toutes les autres villes du Québec, dit Johanne Tassé. Le maire de Gatineau, Marc Bureau, a déjà manifesté son intérêt à suivre l'exemple de Toronto.» Ces initiatives suffiront-elles à mettre fin à l’élevage intensif des animaux de compagnie? «C’est un excellent moyen de couper les vivres aux usines à chiots. Surtout que Toronto est un très gros marché pour elles. Qu'attends donc Montréal?» dit Gabriel Villeneuve, de la SPA Canada, un organisme qui fait de la sensibilisation auprès du public et des élus. Montréal emboîtera-t-elle le pas? Les organismes de défense des animaux trouvent que les villes du Québec traînent la patte comparativement à plusieurs autres villes nord-américaines, où les services de gestion animalière sont très bien structurés. Selon toute vraisemblance, Montréal a les pieds et poings liés: «La Ville n'a pas le pouvoir juridique d'interdire une activité économique comme la vente d'animaux dans les commerces», explique Martine Painchaud, attachée de presse au Cabinet du maire et du Comité exécutif de Montréal. Rien à faire, donc? «Nous travaillons avec un comité d'experts pour uniformiser la gestion animalière sur Montréal. Nous voulons mettre en place les meilleures pratiques», dit Mme Painchaud. Ainsi donc, pas moyen de serrer la vis davantage aux usines à chiots, comme à Toronto? «C'est Québec qui réglemente le commerce des animaux. À la Ville, nos chartes et lois nous l'interdisent. Nous pouvons par contre faire des recommandations au gouvernement du Québec.» La Ville de Montréal promet d'ailleurs une annonce importante prochainement au sujet de la gestion animalière sur son territoire. À suivre. Possible au Québec? Certaines municipalités ont pris les devants face à la crise qui sévit présentement. L'arrondissement de Verdun, par exemple, fait bonne figure en obligeant ses résidants à faire stériliser leurs animaux. Et il a aussi mis sur pied une Charte du bon comportement du gardien d'un animal. «Mais on est très loin de Toronto où les services de contrôle animalier sont municipaux. Là-bas, il n’y a aucune fourrière à but lucratif, c’est la Ville qui prend en charge la population animale sur son territoire», dit Alanna Devine, directrice de la protection des animaux à la SPCA de Montréal. De son côté, la SPA Canada entend intensifier la pression: «On a Verdun d’un côté et Toronto de l’autre, deux extrêmes en termes de taille. Pourtant, les deux ont trouvé des solutions pour endiguer le problème. Verdun n’a peut-être pas interdit la vente d’animaux, mais en obligeant la stérilisation, l’arrondissement a trouvé un bon moyen dissuasif», constate Gabriel Villeneuve. Les élus en mal de solutions – ainsi que les citoyens qui veulent en savoir plus – sont invités à assister à la conférence du gourou canadien de la gestion des animaux, Bill Bruce, directeur des Services animaliers de la Ville de Calgary, qui sera de passage à Montréal les 28 et 29 octobre prochains. Pour plus d'information, visitez le site Web des CAACQ. http://www.protegez-vous.ca/affaires-et-societe/toronto-interdit-vente-animaux.html -
Centre d'Adoption d'Animaux de Compagnie du Québec Les Centres d’adoption d’animaux de compagnie du Québec (caacQ) ont été fondés en 2008 par Johanne Tassé. Après avoir travaillé dix ans de façon bénévole pour l’organisme Animatch à titre de responsable du marketing et de la promotion de l’adoption, Mme Tassé a constaté que malgré les efforts des organismes, il n’y avait aucune diminution du nombre d’animaux dans les refuges. Elle a donc créé les caacQ en vue d’aller à la source du problème et de mettre en place des solutions rentables pour assurer le bien être des animaux et régler le problème de la surpopulation. Les caacQ veulent également changer la mentalité du public, afin qu’il fasse un choix éthique et préconise l’adoption d’animaux en attente d’un foyer. En effet, de nombreux animaux de compagnie en pleine santé sont tués tous les jours en raison d’un manque de foyers d’accueil. L’adoption est la solution à ce problème. http://www.facebook.com/caacq
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Animaux: Laval fait appel à un consultant La Ville entend renouveler le contrat du Berger Blanc jusqu’au 26 octobre. (Photo: Alarie Photos) Publié le 30 Septembre 2011 Nathalie Villeneuve Sujets : Centre d’adoption d’animaux de compagnie du Québec , Ville de Laval , Laval Dans le maelström actuel lié à la gestion animalière à Laval, la municipalité annonce qu’elle retient les services du Centre d’adoption d’animaux de compagnie du Québec (caacQ), pour l’accompagner dans le dossier. Cette décision a été prise «dans le cadre de la recherche de solutions durables en matière de gestion animalière éthique et innovatrice», indique la porte-parole de la Ville de Laval, Nadine Lussier, dans un communiqué diffusé dans la matinée du 30 septembre. Nouvelles politiques Alors que Laval vit une «phase de transition», ce recours à l’expertise du Centre a comme objectif l’établissement de nouvelles politiques et le perfectionnement des pratiques existantes, exprime-t-on à l’Hôtel de Ville. «Notre vision de ce que nous souhaitons accomplir est claire: offrir une gestion éthique et innovante. Nous croyons en un processus d’amélioration continue et c’est pourquoi l’accompagnement du caacQ est important pour la municipalité dans cette démarche», ajoute la porte-parole. Le caacQ n’offre pas le service de gestion animalière, mais plutôt de consultation, d’accompagnement et de conférences. Cet organisme fait la promotion de l’adoption et de la stérilisation des animaux de compagnie, de l’éducation du public, de la mise en place de règlements plus sévères et de l’amélioration des pratiques. Qui? À court terme, la question du fournisseur de service de fourrière et de gestion animalière sur le territoire lavallois demeure entière. «La Ville doit s’assurer de maintenir les services offerts et désire renouveler, jusqu’au 26 octobre prochain, le contrat avec Le Berger Blanc, afin qu’il n’y ait pas d’interruption de services sur son territoire.» À l’issue d’un appel d’offres lancé le 1er septembre, Le Berger Blanc, qui nage en pleine controverse, est le seul soumissionnaire. http://www.courrierlaval.com/Actualites/2011-09-30/article-2764273/Animaux:-Laval-fait-appel-a-un-consultant/1
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Dit le gars avec seulement 3 bureaux isolés à l'autre bout du monde et avec des heures d'ouvertures merdiques sans oublier un service à la clientèle absent au téléphone pour compenser... Non mais on se regarde le nombril avant de commenter, tata... 3 bureaux ??? Il y avait 2 berger blanc. Il en reste un.
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«Assurer la gestion animalière d’une ville demande énormément de travail» - Pierre Couture MARIE-EVE PROULX Actualités - Publié le 23 septembre 2011 à 15:20 Si le CAPAL promet d’être plus éthique et moral que le Berger Blanc, le président de l’entreprise privée, Pierre Couture doute de la faisabilité du projet de l’organisme. «Je suis convaincu que ces personnes sont de bonne foi et leurs intentions sont très louables, mais assurer la gestion animalière d’une ville demande énormément de travail. C’est un boulot qui se fait 24 heures par jour sept jours par semaine», a confié Pierre Couture, président du Berger Blanc, soulignant que le CAPAL de Repentigny traverse une crise de gestion et que plusieurs membres ont récemment claqué la porte. «Ça fait 25 ans que je suis dans le domaine. Pour assurer les services, ça prend des professionnels et c’est très difficile parce qu’ils sont de moins en moins nombreux», a-t-il ajouté, précisant que la demande, elle, ne cesse de croître. Refusant de se prononcer sur l’avenir du Centre d’aide et de protection animalier de Laval (CAPAL) ou encore sur la gestion animalière de la ville de Laval, M. Couture a toutefois tenu «à laver son nom». «Je suis le premier à défendre les intérêts des animaux et je n’ai pas créé mon entreprise pour leur faire du mal». Le président du Berger Blanc est d’ailleurs convaincu qu’«on va tous ressortir gagnants de cette mauvaise expérience et que les animaux se porteront pour le mieux». «Le reportage de l’émission Enquête va nous permettre de regarder la situation à la loupe et de la corriger. Que ce soit les municipalités, les organismes ou entreprises de gestion animalière ou encore la population, on a tous fait preuve de laxisme et on doit tous poser des gens pour améliorer la situation.» Le Berger Blanc, qui continue d’assurer la gestion animalière d’une trentaine de villes québécoises, compte d’ailleurs ouvrir ses portes à la population afin de redorer son image. http://lechodelaval.canoe.ca/webapp/sitepages/content.asp?contentid=207310&id=2486&classif=Nouvelles#.TnziqeWDUKA.facebook
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Mobilisation contre Le Berger Blanc Marie-Josée Tessier, présidente du CAPAL, invite les citoyens à venir poser des questions au maire, à la séance publique du conseil municipal, le 3 octobre. (Photo: Alarie Photos) Publié le 28 Septembre 2011 Nathalie Villeneuve Sujets : Berger Blanc , Vaillancourt , Ville de Laval Le Berger Blanc, seul soumissionnaire pour le service de gestion animalière à Laval. La nouvelle, tombée le 27 septembre à midi, a rapidement suscité des appels à la mobilisation sur les réseaux sociaux. «Venez manifester contre le retour du Berger Blanc. Lundi 3 octobre à 19h devant l'hôtel de ville de Laval. Nous voulons une fourrière éthique et nous avons besoin de votre soutien», publiait un sympathisant du Mouvement lavallois (ML), sur la page Facebook du parti politique opposé à l’administration Vaillancourt. La présidente du Centre d’aide et de protection animalier de Laval (CAPAL), Marie-Josée Tessier, invite quant à elle les citoyens à se présenter à la séance du conseil municipal, afin de poser des questions au maire. Chose qui ne sera pas nécessairement possible, si plusieurs manifestants essaient d’entrer dans la salle, fait-elle valoir via un commentaire sur la page Facebook du ML. Mme Tessier envisage néanmoins d’appeler les gens à manifester, «dès que je vais savoir avec exactitude que le Berger Blanc entre en fonction», a-t-elle précisé lors d’une conversation téléphonique, le 27 septembre. CAPAL Quoiqu’il ait obtenu ses lettres patentes cet été et soumis son plan d’affaires le 1er septembre à la direction générale de la municipalité, le CAPAL, un organisme à but non lucratif (OBNL) créé par des citoyens au printemps, n’a pas participé à l’appel d’offres. L’ouverture publique des soumissions, effectuée le 27 septembre à midi, a révélé que l’entreprise privée Le Berger Blanc est le seul fournisseur à avoir soumis sa candidature. «On ne répondait pas à toutes les exigences, a expliqué Marie-Josée Tessier. On demandait une expérience dans le domaine, l’équipement, une assurance, 5000 $… Seul quelqu’un avec les reins solides [pouvait soumissionner]. En tant qu’OBNL, c’était impossible. Pour moi, dans la tête du maire, il était clair que Le Berger Blanc allait revenir», estime Marie-Josée Tessier. Selon les informations obtenues par la présidente du CAPAL, qui a assisté à l’ouverture des soumissions, le contrat à octroyer est d’une durée d’un an et renouvelable. Le soumissionnaire doit satisfaire à 70 % des critères. «Piège à cons» Des membres du CAPAL et le chef du Parti au service du citoyen (PSC), Robert Bordeleau, qui ont tenu une conférence de presse conjointe, le 22 septembre, dénonçaient le manque d’appui de la Ville à l’égard des citoyens qui ont mis en place l’OBNL cet été. M. Bordeleau a saisi l’occasion pour annoncer sa démission de l’organisme, afin de «ne pas nuire à la cause animalière». Libéré de sa promesse de ne pas politiser le dossier, le chef du PSC a dénoncé «l’hypocrisie et le manque de transparence de l’administration [municipale]. Depuis le début, on sait que c’est un piège à cons de Vaillancourt», a-t-il ajouté au téléphone, le 28 septembre. De son côté la Ville affirme, dans une mise au point diffusée la semaine dernière, que le CAPAL a été accompagné par la Ville et que la direction générale demeurait en lien avec ses bénévoles. La porte-parole municipale, Nadine Lussier, a assuré, le 28 septembre, que «le plan d'affaires et le budget du CAPAL sont présentement à l'étude». Sur le site Internet de la Ville de Laval, on fait toujours mention d'un OBNL composé de citoyens. Ce qui ne dissipe pas le scepticisme de Marie-Josée Tessier. «Le maire n’a jamais rencontré le comité exécutif du CAPAL. Si on est vraiment dans le coup, donnez-nous du concret», lance-t-elle. Le Mouvement lavallois a également réagi à l’ouverture publique des soumissions. Ses représentants se disent «scandalisés» d’apprendre que Le Berger Blanc est le seul soumissionnaire. Ils invitent l’administration municipale à donner sa chance au CAPAL. http://www.courrierlaval.com/Actualités/2011-09-28/article-2762282/Mobilisation-contre-Le-Berger-Blanc/1#.ToOdKYV1190.facebook
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Berger Blanc: la Ville a le choix Le CAPAL dévoilant son plan d’affaires devant l’ancien local du Berger Blanc, unique soumissionnaire pour le contrat municipal de gestion animalière. (Photo: Alarie Photos) Publié le 28 Septembre 2011 Nathalie Villeneuve Sujets : Centre d’aide , Université du Québec à Montréal , Ville de Laval , Laval Ultimement, la décision d’accorder ou non le contrat de services de gestion de la protection des animaux et de la fourrière à l’unique soumissionnaire, Le Berger Blanc, relève de la volonté politique de l’administration municipale. «La Ville a toujours la latitude», confirme sa porte-parole, Nadine Lussier. L’objectif est de «prendre la meilleure décision possible en lien avec ses objectifs et les services à offrir aux animaux, tout en tenant compte des préoccupations des citoyens et ce, pour les solutions à court, moyen et long termes», a écrit Mme Lussier dans un courriel en réponse aux questions du Courrier Laval, le 28 septembre. Elle ajoute que «la Ville ne s’engage à accepter aucune des soumissions reçues, même celle offrant le meilleur rapport qualité/prix. Par conséquent, la Ville n’encourt aucune obligation ou responsabilité envers le ou les soumissionnaires». OBNL En fait, en vertu de la Loi sur les cités et villes (article 573.3), il n’était pas même obligatoire de lancer un appel d’offres. La municipalité aurait pu décider de faire appel aux services d’un organisme à but non lucratif (OBNL), comme le Centre d’aide et de protection animalier de Laval (CAPAL), sans avoir à se soumettre aux règles habituelles, assure Danielle Pilette, spécialiste en gestion municipale à l’Université du Québec à Montréal. Cette façon de faire est «de plus en plus courante», autant dans les officines municipales que dans les ministères, selon la professeure. «C’est une façon de ne pas passer par l’appel d’offres.» La Ville de Laval a d’ailleurs opté pour cette solution, dans le cas du Complexe sportif et culturel de Laval, un projet évalué à 93,2 M$. Le mandat de piloter le projet a été confié, sans appel d’offres, à la Cité de la culture et du sport de Laval, un OBNL créé pour l’occasion par la municipalité. Analyse et décision Dans le cas du contrat de gestion animalière, des étapes restent à franchir. «La soumission sera analysée par un comité de sélection, écrit Mme Lussier. Une recommandation du Service des achats et de la gestion contractuelle sera transmise au comité exécutif. Le comité exécutif statuera quant à l’octroi ou non d’un contrat», résume-t-elle. Sans donner d’échéancier, la porte-parole rappelle que selon le document d’appel d’offres, «toute soumission doit être valide pour une période minimale de 90 jours suivant la date d’ouverture des soumissions», laquelle a eu lieu le 27 septembre. Depuis la fin du contrat la liant au Berger Blanc, le 31 mai dernier, la Ville a accordé à l’entreprise des mandats temporaires. Le dernier prend fin le 5 octobre, date à laquelle les membres du comité exécutif de la Ville se réunissent. Ils accorderaient alors possiblement une nouvelle prolongation jusqu’au 26 octobre, indique Nadine Lussier. http://www.courrierlaval.com/Actualites/2011-09-28/article-2762727/Berger-Blanc%3A-la-Ville-a-le-choix/1#.ToR-BZ-ByUI.facebook
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Mise au point de la ville de Laval Service de gestion de la protection des animaux et de la fourrière pour animaux à Laval : mise-au-point Communiqué Laval, le 22 septembre 2011 - La Ville de Laval tient à faire le point sur le dossier de la gestion animalière sur son territoire. Ce dossier d’envergure commande qu’on lui accorde le plus de rigueur possible dans l’analyse des besoins actuels; c’est pourquoi la Ville désire mettre en place des solutions permanentes qui offriront aux animaux des services de qualité et éthiques tout en répondant aux besoins et préoccupations des Lavallois. Pour ce faire, plusieurs démarches ont été entreprises depuis la fin du précédent contrat de gestion animalière qui a été renouvelé temporairement afin de maintenir des services sur le territoire. Dans un premier temps, un groupe de citoyens qui avaient fait part de leur volonté de s’impliquer dans le dossier lors du conseil municipal du 6 juin dernier, ont été rencontrés par le maire Vaillancourt. Ils ont ensuite été accompagnés dans leurs démarches visant à mettre sur pied un organisme à but non lucratif (OBNL) : remboursement des frais d’incorporation de l’OBNL, prêt d’un local pour tenir leurs séances de travail et présence d’un professionnel de la Ville pour amorcer la démarche. Depuis, le Centre d’aide et de protection animalier de Laval (CAPAL) est toujours en lien avec la direction générale de la Ville qui a reçu son plan d’affaires et en fait actuellement l’étude. Comme la mise en place d’une solution permanente présente plusieurs défis, un avis d’appel d’offres public est actuellement en vigueur afin de répondre aux besoins à court terme et l’ouverture des soumissions est prévue le 27 septembre prochain. La Ville souhaite rassurer les citoyens. Elle a à coeur le bien-être des animaux, veut trouver des solutions permanentes et éthiques à court, moyen et long terme et met tout en oeuvre pour y arriver. http://www.ville.laval.qc.ca/reports/rwservlet?communique_fr&p_id=904
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Le CAPAL: une «fourrière éthique» Le CAPAL et le chef du PSC, Robert Bordeleau, ont tenu une conférence de presse conjointe devant l’ancien local du Berger Blanc. (Photo: Alarie Photos) Publié le 22 Septembre 2011 Nathalie Villeneuve Sujets : Centre d’aide , Société de prévention de la cruauté envers les animaux , SPCA , Région de Laval , Parc Industriel Le Centre d’aide et de protection animalier de Laval (CAPAL) a perdu espoir de décrocher un contrat à l’Hôtel de Ville et a lancé dans l’arène publique le plan d’affaires de son projet de «fourrière éthique», le 22 septembre. La rencontre avait lieu en présence de nombreux journalistes, devant l’immeuble anciennement occupé par la fourrière Le Berger Blanc, dans le parc Industriel. Plan d’affaires La formule proposée par le Centre tient dans un plan d’affaires détaillé d’une vingtaine de pages. «On va au-delà du cahier de charges de la Ville», dit la présidente, Marie-Josée Tessier, détentrice d’un dîplôme en soin d’animaux. «La grande différence, c’est l’aspect moral et éthique, explique une administratrice du CAPAL et zoologiste, Karine Duguay. On veut replacer un maximum d’animaux, en visant autant le bien-être des citoyens que celui des chats et des chiens.» Autour de cette mission se grefferaient des services d’assistance, d’adoption, de sensibilisation, d’inspection et d’enquête, d’éducation, d’information et de protection des animaux. Les bêtes adoptées seraient stérilisées et munies d’une micropuce, sur demande. La vice-présidente, Katherine Lamothe, a souligné l’importance de la rééducation de certains animaux, avant de les laisser partir dans un nouveau foyer. Mme Lamothe a une expérience d’éducateur canin à la Société de prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). Aide financière Pour réaliser son projet, le CAPAL demande 839 000 $ la première année, puis quelque 650 000 $ pour chacune des quatre années suivantes. Avec l’argent en poche, les portes ouvriraient le 17 octobre, estiment les bénévoles. Un financement de la Ville? «Le CAPAL n’y croit plus», a résumé la présidente. L’appel d’offres ne se termine pourtant que le 27 septembre. «À la Ville, on dit que le processus suit son cours», admet Mme Tessier. Le CAPAL n’avait pas eu vent du lancement de l’appel d’offres et ignore la nature d’un «projet novateur» en gestion animalière à l’échelle métropolitaine évoqué publiquement par le maire. Des signaux incongrus, pour les citoyens membres de l’organisme, qui étaient présentés par l’administration municipale, en juin, comme la relève du controversé Berger Blanc. Mise au point À l’heure de mettre sous presse, le 22 septembre, la municipalité publiait une «mise au point». Les citoyens à l’origine de la création du CAPAL «ont été rencontrés par le maire Vaillancourt. Ils ont ensuite été accompagnés dans leurs démarches visant à mettre sur pied un organisme à but non lucratif: remboursement des frais d’incorporation, prêt d’un local pour tenir leurs séances de travail et présence d’un professionnel de la Ville pour amorcer la démarche. Depuis, le CAPAL est toujours en lien avec la direction générale de la Ville, qui a reçu son plan d’affaires et en fait actuellement l’étude.» Pas mort Quoiqu’il arrive, «on n’a pas l’intention de laisser mourir le CAPAL», maintient Marie-Josée Tessier, qui indique que deux hommes d’affaires de la région de Laval seraient prêts à investir. Le chef du Parti au service du citoyen, Robert Bordeleau, a pour sa part annoncé sa démission du conseil d’administration du CAPAL «pour ne pas nuire à la cause animalière à Laval». http://www.courrierlaval.com/Actualités/2011-09-22/article-2756124/Le-CAPAL-une-fourriere-ethique/1
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