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shihtzuart

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Tout ce qui a été posté par shihtzuart

  1. Auriez vous des infos, pour une amie dont le chien vient d'être diagnostiqué de cette saleté??? Merci
  2. Hello Sandy On se connait ;o) Je vois que la famille s'agrandit
  3. Je comprends que ais répondu, il m'aurait énervée aussi. Des fois ça fait du bien de réagir
  4. Je suis désolée, je suis MDR mais quand on voit de "grands éleveurs" passer à la télé et dire que certains chiens ont le poil long et d'autres l'inverse, suivant les "germes" et bien ça me desespère . La génétique est souvent l'ennemie de bonnes affaires juteuses
  5. Adorables, je craque complètement
  6. Génial!!!! craquants ces p'tits loukoums
  7. J'adore la maman !! Et trop mimis les p'tits bouts de charbons
  8. J'adore cette petite ville, je me garde toujours une journée pour y aller quand je vais à la CRUFT Vraiment sympa pour vos trouvailles d'affixes:0014:
  9. Effectivement j'ai aperçu des CLT des schipperkes, des chihuahuas. Mince alors on a du tous se croiser et on ne s'est pas parler
  10. Bravo à tous J'étais contente de te rencontrer Joelle, même si on n'a pas eu trop le temps de parler. J'ai craqué sur ta caniche LOL J'étais à l'hotel "etap hotel" de Chassieu et je me demande si certains d'entres vous n'étaient pas la bas!!!!!!!!!!!! En tous les cas félicitations à tous
  11. Je suis de tout coeur avec toi Joelle
  12. Une équipe de biologistes a réussi à empêcher la dégénérescence de muscles chez des chiens myopathes. Ce résultat, publié aujourd'hui par la revue Nature sur son site Internet, est une première qui mérite d'être accueillie avec autant d'intérêt que de prudence. Il est le fruit d'un essai mené sur l'unique modèle animal de la myopathie de Duchenne, de jeunes golden-retrievers appartenant à une lignée issue d'un animal dont la myopathie a été repérée par un généticien dans les années 80. Affligés comme les humains d'une mutation dans le gène de la dystrophine (protéine indispensable à la contraction des muscles et à la réparation des cellules musculaires), ces golden-retrievers perdent eux aussi l'usage de leurs muscles. En moyenne, ils marchent très mal à huit mois et meurent à un an. Même cause, mêmes effets chez l'homme et le chien : de fait, tout succès dans le traitement de leur maladie est particulièrement instructif, et attendu. Le premier du genre, signé par une équipe internationale conduite par Giulio Cossu (San Raffaele Scientific Institute, Milan, Italie), est le fruit d'un domaine en plein essor : la recherche sur la greffe de cellules souches ­ adultes ou embryonnaires ­ pour lutter contre des dégénérescences tissulaires. Sur le même sujet Deux pistes thérapeutiques Récolte aisée. La clé de ce travail est l'injection chez les chiens malades de cellules souches triées sur le volet : des mésoangioblastes, cellules identifiées par Giulio Cossu, il y a quelques années dans les petits vaisseaux sanguins d'animaux sains. Au fil d'expériences, il a découvert que ces cellules ont une capacité naturelle à aller vers les cellules musculaires «souffrantes», sites d'une inflammation, et à participer à leur survie. En outre, il a démontré qu'il est assez aisé de les récolter dans les vaisseaux sanguins et de les multiplier in vitro. Fort de ces connaissances, il a décidé de tester les effets d'injections de mésoangioblastes (une par mois pendant cinq mois, 50 millions de cellules en tout) sur des chiens malades ­ dix exactement. Le projet devait toutefois surmonter deux problèmes. Si les cellules proviennent des chiens malades, elles portent la mutation fatale et ne peuvent donc rien réparer. Si, à l'inverse, elles sont récoltées chez des chiens sains, elles sont susceptibles d'être rejetées par les canins receveurs. En réponse à ces écueils potentiels, Giulio Cossu a exploré deux solutions : quatre chiens ont reçu leurs propres mésoangioblastes, mais préalablement corrigées par génie génétique ; six autres ont eu des cellules provenant d'animaux sains, mais ils ont été soumis à un traitement antirejet. Le bilan est étonnant : alors que les effets sont «modestes» dans le premier groupe, chez quatre des six chiens du second groupe, les chercheurs ont observé une reconstitution des fibres musculaires à distance des sites d'injection et une amélioration de la force de contraction. L'un d'eux, qui a reçu les cellules dans l'aorte (la veine qui part du coeur et envoie le sang dans la circulation générale) marchait encore bien cinq mois après la fin du traitement. Prémices. Des résultats «spectaculaires», comme le relève Luis Garcia (Généthon, à Evry). Mais qui doivent être reproduits et validés par d'autres équipes. «Le travail rapporté ici pose les prémices logiques pour le début d'une expérimentation clinique qui pourrait conduire à une thérapie efficace de la myopathie de Duchenne» , commente Jeffrey Chamberlain, de l'université de Washington à Seattle, dans Nature . La méthode «doit être développée» , mais les essais sur l'homme pourraient n'avoir lieu que «dans plusieurs années» , soulignent, prudents, Giulio Cossu et ses collègues.
  13. J'y serais le dimanche rayon "shih tzu" sans shih tzu 81 inscrits
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