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Alexandra-chevalfrison

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Tout ce qui a été posté par Alexandra-chevalfrison

  1. tu peux essayer avec le peigne mais finalement ça reviendra au même... les démêlants lissent le crin, ce qui facilite énormément le démêlage (je conseille d'ailleurs de ne jamais brosser une crinière sans démêlant, sauf le bouchon) ; et puis si tu peux, natter la crinière pour éviter les nœuds
  2. tu n'aurais pas une vidéo ou des photos à nous montrer ?
  3. il y a plusieurs méthodes expliquées sur le net... c'est dur à expliquer sans montrer...
  4. Garuda marchait presque dessus et ça ne l'effrayait pas du tout à croire même qu'elle le cherchait je ferais faire des photos la prochaine fois
  5. oua ! j'espère qu'il va durer marylin moi il ne m'a couté que 16 e....
  6. heuu en tout cas c'est pas une selle stock... australienne peut être mais un autre modèle, ça ressemble plus à une western...
  7. disons que tu peux continuer dans cette voie, mais pas à l'attache plus dans ton rond de longe
  8. non directement en selle. par contre après la séance je savais pas si je laissais le ballon à l'écurie ou si je le ramenais chez moi... du coup en attendant on l'a mis dans le boxe de Lize, il a fait une de ces têtes en rentrant le pauvre bb d'amour puis me suis assise dessus le temps qu'il mangeait sa ration et ensuite il mettait le bout de son nez dessus sans se sauver en fait au début Lize n'osait pas l'approcher, Garuda et Walter sans soucis et durant le match, on arrivait sans soucis à trotter pour "taper" dans le ballon (sauf Wal qui déviait au dernier moment le cochon ) mais dés que le ballon allait sur les postérieurs de Lize, il faisait un bond avec la queue entre les jambes mais bon c'était une première fois on a quand même fini à 10 à 6 les filles contre les garçons (cavaliers), (et en chevaux les mecs ont gagnés ) je vais m'amuser avec eux en liberté et avec le ballon, j'pense qu'on peut bien s'amuser aussi
  9. mercredi j'suis allée acheter un ballon à gosp.... et on a fait une heure pratiquement en jouant au foot, avec les trois gros c'était excellent !! Walter et Lize contre Garuda, et bien Garuda défonçait tout elle nous rentrait dedans la nenette Lize quant à lui a eu très peur du ballon (bien connu, ça mange les chevaux ces trucs là ) et Walter, pas peur, mais il feintait il allait sur le ballon et déviait au dernier moment, ça fait qu'il ne touchait pas souvent le ballon (pas de photos car pas de photographes )
  10. "Assouplir son cheval permet de donner à ses muscles force, souplesse et élasticité, afin qu’il lui soit plus facile d’exécuter n’importe quel mouvement, tout en restant décontracté. Car une décontraction générale est propice à un travail de qualité. La bonne réalisation de l’assouplissement dépend de la justesse des aides. Or on n’a pas la même finesse dans toutes les allures : il faut donc choisir son allure de travail avec discernement. C’est au pas que l’on est le plus maître de son équilibre, se ses actions et de son cheval. C’est également au pas que l’on a le plus de temps d’adapter ses actions aux réactions du cheval. Et enfin, c’est au pas que la monture aura le plus de temps pour comprendre les actions et y répondre correctement. Mais dans cette allure, il faut faire attention à l’impulsion, difficile à conserver. Le trot, lui, est l’allure de dressage par excellence, puisque le déplacement des membres y est symétrique. Cela permet de travailler d’une façon équilibrée; il suffit de travailler autant aux deux mains. Et puis, c’est au trot que les oscillations de la tête sont les plus réduites, permettant au cheval de conserver une attitude à peu près constante. L’impulsion quant à elle est presque toujours présente et facile à entretenir. Au galop, le balancement important de l’encolure peut compromettre gravement l’équilibre. Par contre, l’impulsion ne pose pratiquement pas de problèmes. Les figures de manège Il est donc préférable de travailler au trot, mais si un problème apparait, il faut repasser au pas. Une fois les exercices parfaitement réalisés au pas et au trot, on peut travailler au galop. Bien souvent, on assouplit son cheval sans le savoir. En effet, les figures de manège permettent non seulement d’échauffer progressivement les muscles du cheval, mais aussi de les assouplir, de les étirer. Il existe deux familles principales d’exercices : les assouplissements latéraux qui concernent essentiellement les muscles mobilisant le côté droit ou le côté gauche. Pour cela, il faut réaliser des cercles dont on diminue progressivement le diamètre, tout en veillant à bien conserver l’incurvation, sans tordre l’encolure. Puis, on peut enchainer en décrivant des serpentins et des huit de chiffres sur lesquels on travaille les changements d’incurvation. Il faut toujours veiller à ce que le cheval ne relève pas la tête et conserve l’impulsion. En effet, il aura tendance à ralentir afin de se soustraire aux efforts que représentent ces exercices. Éviter le monotonie La deuxième famille d’exercices consiste à travailler le dos de son cheval dans sa longueur. Le but de ses exercices d’assouplissement longitudinaux est de favoriser le jeu des muscles du dos intervenant dans l’engagement de l’arrière-main. Ces exercices sont constitués de variations d’allure : allongements, ralentissements, arrêts suivis d’un départ,… Au cours de ceux-ci, le cheval ne doit pas relever la tête, signe de défense, car il risque alors de creuser le dos et de se faire mal. Une fois que le cheval est bien chaud, reculer permet d’exercer plus particulièrement l’abaissement des hanches. Il faut toujours penser à varier l’allure car cela permet de maintenir une impulsion quasi permanente et surtout, de garder l’attention du cheval en évitant la monotonie dans les exercices. Lorsque le cheval est suffisamment échauffé et préparé, on peut commencer les mouvements dits “sur deux pistes”. Il est très clair que ce travail ne doit être effectué que si l’on maîtrise l’utilisation de la jambe isolée et que le cheval monté est habitué à ce genre de contraintes. Il s’agit là d’améliorer le mobilité générale du cheval. On va lui demander d’amener ses membres sous lui latéralement, par les exercices suivants : sortir et rentrer les hanches sur le cercle, une épaule en dedans, une contre-épaule en dedans et un appuyer." très bonnes explications si vous avez des difficultés à définir certains termes, je les ajouterais à la suite
  11. Assouplir son cheval permet de donner à ses muscles force, souplesse et élasticité, afin qu’il lui soit plus facile d’exécuter n’importe quel mouvement, tout en restant décontracté. Car une décontraction générale est propice à un travail de qualité. La bonne réalisation de l’assouplissement dépend de la justesse des aides. Or on n’a pas la même finesse dans toutes les allures : il faut donc choisir son allure de travail avec discernement. C’est au pas que l’on est le plus maître de son équilibre, se ses actions et de son cheval. C’est également au pas que l’on a le plus de temps d’adapter ses actions aux réactions du cheval. Et enfin, c’est au pas que la monture aura le plus de temps pour comprendre les actions et y répondre correctement. Mais dans cette allure, il faut faire attention à l’impulsion, difficile à conserver. Le trot, lui, est l’allure de dressage par excellence, puisque le déplacement des membres y est symétrique. Cela permet de travailler d’une façon équilibrée; il suffit de travailler autant aux deux mains. Et puis, c’est au trot que les oscillations de la tête sont les plus réduites, permettant au cheval de conserver une attitude à peu près constante. L’impulsion quant à elle est presque toujours présente et facile à entretenir. Au galop, le balancement important de l’encolure peut compromettre gravement l’équilibre. Par contre, l’impulsion ne pose pratiquement pas de problèmes. Les figures de manège Il est donc préférable de travailler au trot, mais si un problème apparait, il faut repasser au pas. Une fois les exercices parfaitement réalisés au pas et au trot, on peut travailler au galop. Bien souvent, on assouplit son cheval sans le savoir. En effet, les figures de manège permettent non seulement d’échauffer progressivement les muscles du cheval, mais aussi de les assouplir, de les étirer. Il existe deux familles principales d’exercices : les assouplissements latéraux qui concernent essentiellement les muscles mobilisant le côté droit ou le côté gauche. Pour cela, il faut réaliser des cercles dont on diminue progressivement le diamètre, tout en veillant à bien conserver l’incurvation, sans tordre l’encolure. Puis, on peut enchainer en décrivant des serpentins et des huit de chiffres sur lesquels on travaille les changements d’incurvation. Il faut toujours veiller à ce que le cheval ne relève pas la tête et conserve l’impulsion. En effet, il aura tendance à ralentir afin de se soustraire aux efforts que représentent ces exercices. Éviter le monotonie La deuxième famille d’exercices consiste à travailler le dos de son cheval dans sa longueur. Le but de ses exercices d’assouplissement longitudinaux est de favoriser le jeu des muscles du dos intervenant dans l’engagement de l’arrière-main. Ces exercices sont constitués de variations d’allure : allongements, ralentissements, arrêts suivis d’un départ,… Au cours de ceux-ci, le cheval ne doit pas relever la tête, signe de défense, car il risque alors de creuser le dos et de se faire mal. Une fois que le cheval est bien chaud, reculer permet d’exercer plus particulièrement l’abaissement des hanches. Il faut toujours penser à varier l’allure car cela permet de maintenir une impulsion quasi permanente et surtout, de garder l’attention du cheval en évitant la monotonie dans les exercices. Lorsque le cheval est suffisamment échauffé et préparé, on peut commencer les mouvements dits “sur deux pistes”. Il est très clair que ce travail ne doit être effectué que si l’on maîtrise l’utilisation de la jambe isolée et que le cheval monté est habitué à ce genre de contraintes. Il s’agit là d’améliorer le mobilité générale du cheval. On va lui demander d’amener ses membres sous lui latéralement, par les exercices suivants : sortir et rentrer les hanches sur le cercle, une épaule en dedans, une contre-épaule en dedans et une contre-épaule en dedans et un appuyer.
  12. oui, de plus tout dépend de la sensibilité du cheval, certains sont plus sensibles de la langue (Lize par exemple) et d'autres au niveau des barres... le mieux est de trouver le mors qui correspond
  13. le poil d'été est régulé avec la lumière du jour et les températures, et la pousse du poil d'hiver est en fonction des températures ; si un cheval reste dans l'écurie durant la pousse du poil d'hiver, si l'écurie n'est pas trop froide, il en fera peu, si l'écurie est en plein vent, ou même en extérieur, son métabolisme fera plus de poil d'hiver (plus long) pour le protéger du froid ; c'est pour cette raison que certains chevaux sont habillés d'une couverture d'écurie, pas chaude mais qui fait dire au cheval que le temps n'est pas froid et de ce fait le poil d'hiver ne pousse pas trop long...
  14. jamais fait voir un de mes chevaux à l'ostéopathe... jamais ressenti le besoin pour un ostéo dans l'aisne, as tu regardé la rubrique "adresses utiles" ?
  15. j'ai toujours appris que le droit était plus sévère que le brisé... or sur le net on lit le contraire... disons que ça n'agit pas au même endroit le droit agit sur les barres, tandis que le brisé agirait, logiquement, plus sur la langue...
  16. en effet, logiquement plus le mors est fin, plus il est "dur" ; mais selon ces nouvelles idées, est ce toujours avec le meme cavalier ? et comment savoir si le cheval "souffre" ? tout dépend de la main du cavalier, et ce, avec n'importe quel mors... je monte actuellement Lize avec un mors S canon droit, après avoir longuement chercher un mors qui lui convenait, je l'ai enfin trouvé l'effet levier permet de retenir mon molosse... mais tout en restant souple dans la bouche (le mors brisé agissait trop sur la langue et il n'appréciait pas du tout)... maintenant, sa façon de jouer avec la lèvre inférieure, je pense qu'il l'aura toujours, il a simplement gardé ce tic pour attraper les branches.... tu as plus d'infos mamia sur ces nouvelles idées ?
  17. les photos sont magnifiques !! il n'est pas introverti dis donc il aime montrer ses allures
  18. le poil tombe à l'automne pour laisser place à un poil plus long, et à l'inverse au printemps le poil long laisse place à un poil court
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