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Alexandra-chevalfrison

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Tout ce qui a été posté par Alexandra-chevalfrison

  1. ok pour son oeil, ce n'était donc pas bien grave (je me rappelle, pour l'œil de Walter, rien que le mettre en liberté, il avait un voile sur tout l'œil, et il ne voulait même pas se rouler ) on attend ta vidéo
  2. demander comme un reculer, mais demander l'élévation de l'avant main (par les rênes) et donner des jambes, puis aussi la voix, voilà comment je demande.. oui il ne faut pas se pencher trop en arrière pour éviter de se retourner...
  3. magnifiques photos !!!! et son oeil, ça va mieux ? tu le bosses quand même, ça le dérange pas ?
  4. tu peux prendre cette méthode : une fois le cheval cabré en main, tu fais monter par un cavalier et tu demandes un cabrer en main, où le cavalier demande aussi, et avec un peu de temps c'est bon
  5. non pas encore, ils ont dit mi janvier, mais au pire, ils répondent rapidement par mail donc si ça dépasse trop je les contacterait j'en avais pas pour bcp (en prix) et puis ça m'est passé carrément à coté ça tombe que sur moi des trucs comme ça
  6. ça s'appelle pas plutot coup de lance ?? jamais entendu ce terme pour un cheval qui a le coup de hache
  7. mes deux mâles, Lize et Walter : sire registre du frison + fps ma pouliche, Garuda : sire oi (pas de papier frison car pas de saillie déclarée, mais parents vert jaune)
  8. première chose : en lavant mais là en ce moment c'est pas possible... tu peux sinon appliquer du petrol hahn, et une fois que les crins seront lavés tu peux mettre de l'huile d'amande douce à la racine (ya un post pour les pellicules )
  9. oui il a le garrot noyé... mais ça va venir ! il va fondre et la selle lui ira bien mieux
  10. sur les papiers français récents, on peut cocher la case "non destiné à l'abbatage", j'ai remarqué sur le papier de Garuda (le dernier passant aux haras) mais je ne peux pas t'en dire plus
  11. les vendeurs de levure de bière disent 50 g par jour tu sais peser une cuiller ?
  12. Ces parasites très virulents, et très répandus dans l'environnement du cheval sont soit des vers qui le restent à l'état adulte, soit des larves d'insectes qui se mettent au chaud dans l'intestin du cheval, non sans faire quelques dégâts pendant leur séjour… D'une façon générale, les vers sont très prolifiques, et se multiplient en bien plus grande quantité encore que les insectes, qui sont déjà des athlètes de haut niveau… par exemple, la femelle ascaris pond environ 200 000 œufs par jour, un véritable élevage en batterie ! Les vers qui infestent le cheval représentent un nombre limité d'espèces ou de groupes d'espèces : - les vers ronds (némathelmintes) ascaris, oxyures, strongles - les vers plats (plathelminthes) douve, ténia - les larves de gastérophiles - les trichonéma - les microfilaires (onchocerque et habronème) Tous sont des parasites « obligatoires », c'est-à-dire que l'organisme du cheval est un passage obligé pour leur développement. D'une façon très générale, les œufs ou larves sont avalées par le cheval, se développent dans son organisme au prix de lésions parfois irréversibles, deviennent adultes, pondent des œufs qui sont rejetés avec les crottins pour poursuivre leur évolution dans le monde extérieur puis être réingérés par broutage… Un cheval infesté peut rejeter environ 2 millions d'œufs en une journée. Le cheval peut développer une immunité relative vis-à-vis de certains vers : c'est le cas pour une espèce de strongles (strongyloïdes westeri) et d'ascaris (panascaris equorum). Elle est très limitée pour les autres strongles, et inexistante pour les gastérophiles, cestodes et oxyures. Elle est limitée aux larves de stades L3 contre strongylus vulgaris. Des recherches en phytothérapie ont permis de montrer que certaines plantes ont la propriété de rétablir cette auto immunité. Si l'herbe représente le meilleur aliment de base pour les chevaux, les pâtures sont également un lieu idéal de dissémination des parasites digestifs. Il y a donc une infestation permanente, qui doit être régulée par les vermifuges réguliers, sinon les vers deviennent tellement nombreux qu'ils causent des lésions mortelles au cheval. Cette infestation connaît des pics saisonniers, différents en fonction des espèces de vers. La vie en collectivité augmente le risque d'infestation. Il faut donc traiter en même temps tous les chevaux qui vivent ensemble au pré ou les poneys qui partagent une stabulation. Chaque espèce de vers colonisent des milieux différents : alors que les pâtures sont favorables aux petits et grands strongles, les écuries sont elles « fertiles » en oxyures, strongyloïds et parascaris. Le meilleur moyen de lutte est une attention quotidienne aux troubles spécifiques, mais surtout une prophylaxie (vermifuge) rigoureuse et une hygiène irréprochable. Les parasites du tube digestif sont beaucoup moins fréquents dans les écuries de course ou l'hygiène est drastique (absence de contact direct entre les chevaux, ramassage quotidien des crottins, remplacement régulier de la litière…). Soyez particulièrement attentifs aux chevaux d'élevage : -Pour la jument, les parasites du cheval adulte risquent de provoquer des coliques à l'origine d'avortement. D'autre part, les parasites se nourrissent au dépend de la mère et donc du fœtus. Enfin une jument contaminée transmet ses parasites au poulain. -Pour le poulain, car il quitte à la naissance un milieu stérile ; il est donc plus fragile aux infestations que les chevaux adultes « endurcis ». Il est surtout exposé à strongyloïds westeri (larves transmises par le lait de la jument), qui provoquent des diarrhées et retards de croissance, à parascaris equorum, dont les larves provoquent des problèmes pulmonaires, et les vers adultes des retards de croissance. Les vers ronds Ce sont les vers les plus fréquents chez le cheval, si bien que les vermifuges sont souvent axés plus particulièrement sur cette espèce, et délaissent les vers plats qui deviennent finalement de plus en plus répandus. En plus d'être fréquents, ils sont dangereux, provoquant principalement des coliques mais également de nombreuses lésions sur tous les organes du cheval. Chaque variété a un cycle différent. Les plus représentatifs sont les strongles. Certaines larves ont tendance à s'enkyster dans la paroi intestinale pour échapper aux vermifuges, rendant leur destruction problématique. Certaines se logent dans les vaisseaux d'irrigation de l'intestin et provoquent des coliques violentes et mortelles, d'autre provoquent des diarrhées insensibles aux antibiotiques. Avant les coliques, le cheval maigri et perd de l'état de façon anormale. Petits strongles (larve = cyathostome) 0.5 à 2 cm de long, 6 genres de parasites différents ; après ingestion, la larve se loge dans la paroi de l'intestin où elle vit au ralenti pendant plusieurs mois, l'adulte vivant à l'intérieur de l'intestin. Le plus représentatif est Strongylus westeri, spécifique du poulain, très fin, 9 mm de long. Les larves lui sont transmises par le lait de la mère ou les larves de la litière qui traversent la peau. Diarrhées, perte d'appétit, baisse de poids et anémie, coliques au printemps et en hiver, sont les symptômes à surveiller. Grands strongles 2 à 5 cm de long. Les plus fréquent sont strongylus vulgaris et edentatus equinus. Une fois ingérée, la larve traverse la paroi de l'intestin, migre dans les organes (artères, foie, pancréas, flanc,…) où elle crée des lésions puis revient vers l'intestin pour finir son développement et pondre. Symptômes : en plus des signes digestifs, anévrisme, douleurs du foie et de pancréas, péritonite, fièvre, obstruction des artères… Strongylus vulgaris Vers gris à rouge, 1cm à 2.5cm de long, principalement chez les chevaux en pâture. La « bouche » du vers comporte des dents puissantes qui lui permettent de se fixer solidement à la paroi intestinale du cheval. La larve est ingérée par le cheval quand il broute. Elle parcourt un long périple à l'intérieur de l'organisme du cheval, au terme duquel elle arrive dans les artères qui entourent l'intestin, et y reste fixée. Leur présence perturbe la circulation du sang dans ces vaisseaux, et engendre des troubles importants (coliques, boiteries, embolies). Il arrive que la paroi se déchire provoquant une hémorragie aiguë mortelle. Les larves quittent ensuite la paroi des vaisseaux pour gagner la paroi de l'intestin ou elle perfore les muqueuses au stade adulte. Les chevaux qui ont été infestés garderont toujours une sensibilité importante aux coliques. Strongylus equinus De 2.5 à 4.8 cm de long, brun rouge à gris sombre ; Atteint principalement les chevaux adultes au pâturage. La larve est ingérée par le cheval, elle arrive dans l'intestin puis commence sa migration vers les organes abdominaux, auxquels elle cause de graves lésions. Puis elle élit domicile sur la muqueuse intestinale, sur laquelle elle se déplace continuellement en se fixant de point en point, causant des lésions importantes à cette muqueuse. Les symptômes se manifestent par une anémie et une fragilité de la paroi intestinale aux infections virales ou bactériennes. Dans cette catégorie des vers ronds, hormis les strongles on trouve également les ascaris et les oxyures… Ascaris Le plus grand des vers rond du cheval ; Blanc jaunâtre, 15 à 50 cm. Surtout fréquents chez les poulains jusqu'à un an. Le vers adulte pond ses œufs dans l'intestin, les œufs sont rejetés avec les crottins puis l'œuf est réingéré avec une larve à l'intérieur ; La larve se libère une fois parvenue dans l'estomac du cheval, d'où elle gagne en traversant la paroi, le foie, le cœur et les poumons, puis elle rejoint les voies respiratoires puis la gorge, et est à nouveau ingérée. Ces vers provoquent des dégâts au foie et aux poumons, du rachitisme, des troubles de la croissance, une anémie, des troubles gastriques accompagnés d'amaigrissement... tout cela sur un poulain qui devrait être en pleine croissance ! En cas d'infestation massive, l'intestin peut s'obstruer et même se rompre. Une femelle ascaris pond environ 200 000 œufs par jour, et il n'est pas rare de trouver jusqu'à 100 ascaris dans l'intestin d'un cheval. Oxyures 0.9 à 10 cm de long, blanchâtre, en forme de point d'interrogation étiré. infeste principalement les chevaux à l'écurie, où il est très répandu. Les femelles se fixent en zones anales d'où elles pondent leurs œufs, qui tombent sur le sol et sont réingérés avec les aliments au sol ou avec la paille et le foin. Une fois arrivé dans l'intestin, l'œuf libère la larve, qui devient adulte et va se fixer en zone anale (femelles) ou dans la partie postérieure du gros intestin. Le dépôt des œufs autour de l'anus provoque des démangeaisons intenses, poussant le cheval à se gratter la queue sans cesse (queue ébouriffée caractéristique) les larves provoquent des lésions des muqueuses intestinales à l'origine de coliques. Les vers plats Moins fréquents et moins dangereux que les vers ronds, ils proviennent souvent d'une infestation des pâtures par les ruminants. Ténia, douve du foie, sont difficiles à détecter dans les crottins. Douve du foie Également appelée grande douve. La larve est véhiculée par un mollusque des zones humides : la limnée. Attention aux prairies en bordures de mares. L'adulte vit dans les canaux biliaires et y provoque des troubles considérables. Œufs parfois présents dans les crottins. Les ténias Les adultes vivent dans le tube digestif du cheval. Ils éliminent leurs œufs dans les crottins. Ces œufs sont ingérés par des acariens (oribates) qui pullulent dans les prairies à la belle saison. Ces acariens sont ingérés par le cheval avec l'herbe, et le cycle recommence… les ténias adultes se fixent dans l'intestin et provoquent des coliques spasmodiques. Autres vers et larves Larves de gastérophiles (diptères) La gastérophile est une grosse mouche ressemblant à un bourdon mais qui ne pique pas. Elle pond ses œufs sur la peau des chevaux, de préférence sur les antérieurs. Le cheval se frotte le nez pour se gratter les canons (geste fréquent après un travail, à l'endroit où les guêtres l'ont fait transpirer), et les larves en profitent pour se fixer sur les lèvres, puis entrent ensuite dans la bouche, où elles se fixent dans un premier temps, avant de migrer vers le tube digestif. Lorsqu'elles meurent, il peut y avoir une ulcération de la muqueuse. Seule la larve (œufs éclos) est parasite : elle ressemble à une gélule rouge d'environ 2 mm de long. Une fois dans la paroi intestinale, elle reste entre 9 et 11 mois, à l'issu desquels elle se décroche et est évacuée avec les crottins (vers mai-juin). Une fois à l'extérieur, l'adulte se développe et vient à son tour pondre ses œufs sur la peau des chevaux. Leur implantation dans la muqueuse intestinale provoque des ulcérations, parfois des perforations, avec réactions inflammatoires à l'origine de coliques (qui se manifestent après les repas), et parfois une péritonite mortelle. Quand elle est dans la bouche, elle s'enfonce dans les joues et la langue, créant des tunnels dans les gencives à l'origine d'abcès et de gêne à la mastication. Elle reste dans la bouche environ un mois, puis est déglutie lorsqu'elle arrive dans la gorge. Gastérophilus nasalis : les mouches pondent leurs œufs dans l'auge, les larves gagnent les lèvres et colonisent la bouche, le reste du cycle est équivalent. Les larves de certaines espèces (gastérophilus inermis) creusent des sillons sur les joues pour migrer de l'auge aux lèvres, provoquant ce que l'on appelle la dermite estivale des joues accompagné d'un gonflement des ganglions de l'auge. D'autres espèces pondent leurs larves directement dans les poils autour des lèvres (gastérophilus haemorrhoigalis). Ces larves restent dans le rectum et autour de l'anus quelques temps avant d'être expulsées, créant une inflammation de ces zones. Les signes d'infestations, outre les coliques postprendiales (=après repas), sont une perte d'appétit, une baisse de forme et un mauvais état général. Trichonema SPP 0.7 à 1.2 cm gris blanc, surtout répandu chez les jeunes et adultes vivant dans des pâtures très humides, voir marécageuses (Camargue). La larve est ingérée dans l'œuf (elle peut survivre survivre ainsi 2 ans dans le milieu extérieur) par le cheval avec l'herbe. Elle gagne la paroi de l'intestin dans laquelle elle commence par se fixer, puis s'enfonce à l'intérieur où elle devient adulte et se met à pondre. Les larves endommagent la paroi intestinale et perturbent la digestion. Les Microfilaires Ce nom leur est attribué à cause de leur taille minuscule (quelques centaines de microns pour certains ; taille d'un fil d'où son nom), qui leur permet d'être véhiculés par les insectes. Les habronèmes (filaire) Vers parasites de l'estomac. Les larves rejetées depuis l'estomac sont ingérées par les œufs de mouches en développement dans les crottins. Les parasites sont ensuite déposés par les mouches adultes sur le corps du cheval, en général sur les plaies qui ne cicatrisent plus et deviennent récidivantes chaque année en été ; on les appelle « plaies d'été », ou habronèmose cutanée, laquelle se manifeste par des granules jaunâtres sur la tête, les membres, et à proximité des muqueuses. Ces « granules » contiennent la larve, mais sont aussi provoquées par une hypersensibilité de la peau du cheval. Elles se logent parfois dans les yeux, provoquant une conjonctivite. Déposées autour de la bouche ou des naseaux, elles sont avalées, se transforment en adulte dans l'estomac, où elles provoquent gastrites, coliques et cancérisation. Surtout dans le Sud Ouest de la France. Onchocerque (filaire) Parasites transmis par les culicoïdes qui injectent la larve lors de la piqûre. Les larves vivent sous la peau et entraînent des réactions inflammatoires et allergiques, des démangeaisons. Les adultes se fixent dans les ligaments et les tendons et forment des nodules à l'origine de boiteries et douleurs ligamentaires. L'onchocercose est une Helminthose provoquée par la présence de ces onchocerques (onchocerca cervicalis) dans le ligament cervical du cheval, et dont les larves, appelées microfilaires, migrent dans le derme vers l'avant main (garrot, tête encolure, yeux) et la ligne blanche. Symptômes : « gale filarienne » = dépilations circulaires et inflammées sur l'avant main, (accompagnées parfois de lésions au niveau des yeux), qui se couvrent de croûtes. Pas toujours de prurit, la peau s'épaissit. Il existe une forme plus rare, liée à onchocerca reticulata, dont les larves se logent dans le ligament suspenseur du boulet. Le meilleur moyen de protéger le cheval contre ces parasites inévitables est de le vermifuger assidument, avec les traitements correspondants aux vers contre lesquels on veut aider le cheval à lutter : en pâte, en sonde, en injectable, sous forme de molécules chimiques ou de substances naturelles, le choix qui s'offre aux propriétaires de chevaux est très large, et il existe des produits à la portée de tous les budgets : autant dire qu'aucune excuse n'est donc valable pour ne pas protéger votre quadrupède préféré, et que les conséquences engendrées sur sa santé par les vers seront bien plus regrettables que la dépense réalisée pour l'en débarrasser... source : site "attention chevaux.com"
  13. je reviens sur ce post, suite à mon message du 7 aout, pour medicanimal : je n'ai toujours pas reçu ma commande c'est pas une blague je l'avais meme oubliée j'ai reçu un mail de leur part m'indiquant qu'ils n'avaient pas été approvisionnés pour un article que j'ai commandé et me demandaient donc (récemment) si je pouvais attendre mi janvier ou si j'annulais ma commande, bien entendu je vais attendre donc méfiance sur le délai de votre livraison si vous commandez
  14. quelle histoire c'est une preuve qu'il faut être vigilant à tout ! merci pour ton expérience
  15. ça me fait peur ce que tu me dis avec l'eau je croyais que l'eau était l'ennemi des cuirs
  16. en étant déclaré à la msa, cela permet d'obtenir des terrains à tarif préférentiel (en plus d'être prioritaire pour acheter), et de plus, il est tout à fait possible de construire sur du terrain non constructible, afin d'y établir un élevage par exemple (mais tout cotisant à la msa a cet avantage).
  17. non les deux photos sont du même oeil, le gauche ; mais le droit commençait la même chose, mais pas de photo, de toute manière on ne verrait rien si j'en prenais, c'est vraiment infime, ça fait un tout petit cratère... et son oeil gauche ça a commencé par un petit cratère aussi, que j'ai remarqué il y a 3 ans environ, c'est ma nièce qui m'a fait remarqué "t'as vu Wal a un trou dans l'œil !" j'ai regardé immédiatement, mais rien d'affolant, pas d'œil fermé ou qui coule, j'ai continué à observer les mois suivants et pas d'évolution... si j'avais su j'aurais fait qq chose mais à ce moment là, on ne pouvait rien faire avant que la paroi se perce ... mais pas d'affolement ! t'en fais pas, si tu fais le traitement dés maintenant, tout va bien aller, ça cicatrisera au plus vite.... as tu vu qq chose sortir de son oeil ? ou il coulait simplement ? ah je te comprends tout à fait !! moi c'est pareil ! tu vois, rien que l'état de Lize après le vaccin, il était las, et semblait ailleurs, je me posais des questions !! alors tu imagines si c'est pris au plus vite y'a pas de soucis
  18. alors en fait, Walter avait l'œil qui pleurait le lundi, je n'ai rien vu d'anormal, et c'est quand j'ai sorti Walter le mercredi que j'ai vu ce "morceau" !!!!! j'étais trop affolée, le vétérinaire est passé deux heures après et nous avons débuté les soins sans attendre... au début, quand j'ai vu son oeil qui coulait, je pensais simplement à une conjonctivite... il en faisait souvent avant ça... étant donné que c'était en période de tempête et que son boxe donnait devant une porte... (pas toujours fermée) oui l'oeil de Walter s'en est vraiment sorti de justesse !!! d'ailleurs lors de la première visite du véto, il m'a expliqué tout ce qui pouvait arriver : au mieux son oeil pouvait rester mais il allait devenir aveugle à coup sur d'après le véto... sinon au pire, son oeil pouvait tout simplement mourrir, tomber et au grand étonnement du vétérinaire (auquel j'envoyais des photos de son oeil tous les trois jours par mail), il s'en est sorti !!! il m'a dit que c'était un miracle (Walter y est habitué ), mais l'acharnement dans les soins prodigués en sont en grande partie responsable
  19. Walter a eu ce soucis il y a deux ans.... par contre, je pense qu'il doit être au premier stade ? moi Walter était au stade 3 !!! il a bien failli perdre l'œil... avec de la patience, c'est à dire 5 fois du collyre dans la journée et ceci pendant un mois, Walter a retrouvé 60 % de sa vue à cet oeil... l'ulcère s'est bien cicatrisé, et revascularisé... je te montre une photo de son oeil qq jours après le début du traitement : ATTENTION A LA PHOTO QUI VA SUIVRE et à la fin du traitement : son autre oeil débutait aussi la même chose mais au stade 1 (uniquement un cratère qui se forme dans le milieu de l'œil), j'ai remarqué cela car depuis son premier ulcère, j'observe attentivement chaque oeil de mes chevaux !! même le vétérinaire, quand il était de passage, n'arrivait pas à le voir mais il m'a conseillé de lui faire des cures de cicatrisant, histoire de refermer ce trou "indésirable", et ça fonctionne Walter n'a jamais rien pris dans les yeux, je pense qu'il est tout simplement sensible en tout cas, bon courage pour les soins, et tu verras tout va s'arranger
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