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Alexandra-chevalfrison

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Tout ce qui a été posté par Alexandra-chevalfrison

  1. sur l'ancienne version du forum, un post était consacré à différentes selles pour frisons c'est le moment de relancer le sujet
  2. tu peux aller voir là, tout est expliqué : /ajouter-des-images-f3/poster-des-photos-t7.htm
  3. je déplace ton post dans la bonne rubrique et, n'hésites pas à lire le règlement du forum, pour que tu saches te retrouver parmi toutes les rubriques
  4. faut pas couper un ballot de paille et de foin non plus je pense qu'un petit tas peut faire l'affaire
  5. à croire qu'on les saoule oui de mon coté, Walter est pourtant resté 5 ans sans pratiquement rien faire, et après tout ce temps il a rien perdu mdr oui et puis pour le fait de mordre, le pb qui va se poser : en général un cheval qui mord, si on ne le corrige pas, on l'évite, ce qui fait que ça le met en position de dominant car on l'évite, tout comme le fait le congénère dominé... et le cheval ne doit surtout pas se trouver à la position de dominant dans une relation humain/cheval....
  6. pour hacher la paille et le foin tu prends simplement une paire de ciseaux plus simplement, je fais des mashs avec du son (1l) et de l'orge aplatie, que je mélange dans un seau, et je laisse dans l'eau bouillante jusqu'à ce que tout ait gonflé, puis je retire le plus gros de l'eau, le temps que ça ait bien refroidi et je donne ça, ils adorent !!! pour la mélasse, aucune idée pour les graines de lin, dans toute coopérative, ou magasin comme jardinerie animale (point vert, gamme vert...), ou sinon des graines de lin cuite et broyées, chez décat***
  7. Les oligo-éléments Ce sont des minéraux essentiels mais en faible quantité. L'alimentation est capable de couvrir les besoins de ces éléments sauf dans des cas particuliers: - Le sol, lui même carencé, ne permet pas aux plantes de fournir l'apport nécessaire. - Les apports en macro-éléments ne sont pas suffisants ou déséquilibrés. - Une activité sportive intense a des besoins plus élevés. - L'apport ponctuel et excessif d'un micro-élément engendre un déséquilibre dans les rapports avec les autres éléments. Le fer Il permet l'élaboration de l'hémoglobine (protéine) qui a pour rôle de transporter l'oxygène vers les centrales énergétiques (mitochondries). Les plus grandes pertes de fers sont dues aux parasites. Les excès sont fréquents, notamment par l'utilisation de complément minéral et vitaminé (C.M.V) pas adapté. Le cuivre Il est un micro-nutriment majeur. On le retrouve dans de nombreuses actions métaboliques qui concernent la peau, les os, les cartilages, l'hémoglobine, le système pileux, l'effort musculaire, l'oxygénation. Le zinc Le zinc est un autre élément majeur du métabolisme (sucres, protéines, lipides). De nombreuses catalyseurs biologiques et hormones dépendent de sa présence. Son rôle dans l'efficacité du système immunitaire est important. Le sélénium Le sélénium est le précurseur (composé initial) du glutathion qui est l’antioxydant majeur des cellules. Il lutte efficacement contre les radicaux libres attaquant les membranes cellulaires. Il protège la vitamine E de l'oxydation et participe à la composition d'acides aminés essentiels. Sa présence est primordiale mais les excès sont aussi à craindre. L'iode L'iode est un oligo-élément essentiel stocké dans la thyroïde. Il sert à fabriquer la thyroxine (hormone thyroïdienne) mais il est aussi indispensable à la régulation du métabolisme de base des protéines, des hydrates de carbones et des lipides. La carence en iode entraîne un retard de croissance physique et mental même chez les chevaux. L'apparition d'un goitre est assez significatif mais c'est un indicateur tardif de l'état de carence ou d'excès. Le manganèse Il agit directement sur les protéines nécessaires à la construction osseuse et sur le métabolisme des lipides et des sucres. Le système respiratoire, le cerveau, les cellules utilisent le manganèse comme régulateur, anti-oxydant... Les macro-éléments Les macro-éléments sont essentiellement des éléments structurants, ce qui implique et explique la nécessité d'obtenir des apports suffisants. Le préfixe "macro" caractérise ce besoin quantitatif. Par essentiellement il faut comprendre "avant tout", ce qui sous-entend aussi qu'ils ont d'autres rôles à ne pas méjuger. Pour tirer parti de ces éléments on doit rechercher à établir des rapports entres les éléments,les ratios, certains sont connus (calcium/phosphore) d'autres sont en cours de définition. Dans tous les cas ils n'agissent jamais seuls et les carences ont des conséquences graves. Le calcium On lui connaît un rôle essentiel dans la minéralisation osseuse, mais il est aussi fondamental dans le fonctionnement musculaire. Le calcium est stocké dans le squelette puis transporté par le sang vers les muscles. En raison de la présence de certaines substances inhibitrices dans les fourrages ou d'autres encore dans les grains, il est souhaitable de garantir un apport minimal de calcium dans la ration du cheval. Le phosphore C'est un élément important de la construction osseuse et de divers synthèses métaboliques comme la fabrication des phospholipides, protéines.... Son absorption est lié à la présence de calcium dans un rapport de 2 (Ca) pour 1 (P) et aussi à la présence de vitamine D directement et naturellement apportée par la lumière et les fourrages. En raison de la présence de sels insolubles dans les graines et les fourrages, il est recommandé de s'assurer d'un apport minimal de phosphore dans la ration. Le potassium Il se situe dans les cellules et agit comme agent régulateur de la pression osmotique et du PH. Son action extracellulaire influence l'influx musculaire. Le potassium est largement présent dans les rations à base de fourrages. Le chlorure de sodium C'est un composé chimique aussi appelé "sel ". Il est composé de deux électrolytes, le chlore et le sodium agissant en harmonie ou séparément afin d'assurer l'équilibre osmotique des cellules et résister au modifications du PH. Ils rentrent dans la composition de certains acides organiques pour permettre la digestion des sucres, graisses ainsi que la division des aliments dans l'estomac. Le sodium à une action significative sur la contraction musculaire. L'apport alimentaire est généralement trop juste, a cela s'ajoute des pertes importantes par la transpiration. Le cheval régule très bien sa consommation de sel s'il dispose d'une vrai pierre à sel et d'eau à volonté. Le magnésium C'est un élément essentiel qui est stocké dans les os, son action est très étendue. Il intervient dans de nombreuses réactions métaboliques importantes (absorption de la vitamine D, transmission de l'influx nerveux et musculaire, régulateur des échanges cellulaires...). L'alimentation "naturelle" peut théoriquement suffire aux besoins mais la disponibilité réelle du magnésium dépend de la présence d'acides organiques inhibiteurs présents dans les fourrages et dans les grains. Il est intéressant d'inclure son apport dans une approche sécuritaire au même titre que le calcium et le phosphore. Le soufre Il est nécessaire à la synthèse d'acides aminés (essentiels ou non), de vitamines, d'hormones et de certains constituants essentiels du cartilage. C'est une combinaison complexe de soufre, oligo-éléments, vitamines et acides aminés qui permet la fabrication de la kératine composant essentiel du pelage et des sabots. L'alimentation couvre les besoins en soufre. source : site cevalino
  8. informations tirées du site : vetocheval.com * Les protéines, elles sont utiles à la réparation et à la construction de l’organisme : 14 % à 16 % pour les poulains et leurs mères, 12 % à 14 % pour tous les autres chevaux. * Les lipides (graisses), elles constituent les réserves : 3 % à 3,5 % pour les jeunes chevaux et les poulinières, 2 % à 2,5 % pour le reste des équidés. * La cellulose (fibres), elle est nécessaires à la digestion : 12 % pour les chevaux nourris avec des fourrages (foin et paille), 16 % à 23 % pour ceux qui en reçoivent peu ou pas. * Le calcium (Ca) et le phosphore (P), ils sont indispensables au bon développement et au bon fonctionnement du squelette : 1,2 % de Ca et 0,6 % de P pour les animaux d’élevage, 1 de Ca et 0,5 de P pour les autres chevaux. * Le zinc (Zn) et le cuivre (Cu), ils sont intéressants pour le système pileux, immunitaire et ostéoarticulaire : 600 mg de Zn et 200 mg de Cu pour tous les chevaux, 800 mg de Zn et 400 mg de Cu pour les poulinières en lactation. * Les UFC (unités fourragères cheval), elles sont la valeur énergétique : 5 à 6 pour les poulains et leurs mères, 9 pour les poulinières en lactation, 6 à 9 pour le reste des chevaux.
  9. quelle drôle de propriétaire (je préfère en rire...) elle ne reconnait même pas son cheval !! pour la valeur sentimentale, dis donc, 350 euros, c'est pas lourd ...
  10. oui, s'il mordille trop (déjà s'il mord tout simplement), ne le laisse pas faire ; si par contre il te frotte du bout du nez, méfie toi qu'il n'aille pas plus loin (le grooming commence en général par le bout du nez et continue avec les dents ) ; pour son baillement, j'ai un certain Walter, qui baille dés qu'on lui passe les rênes autour de l'encolure et ça, depuis des années alors quand vient le moment de lui mettre le mors, faut attendre qu'il ait fini de bailler pour Walter c'est un tic (ou alors me ferait il comprendre que je le fatigue )
  11. pour le baillement, il y a diverses explications (fatigue, digestion, lassitude) ; pour le léchage, s'il a une pierre à sel à disposition, est elle dans sa mangeoire ou suspendue ? pour le pansage, c'est juste du grooming (toilettage mutuel), tu peux faire pareil sur le garrot, tu verras pour la neige je pense qu'il n'y a pas de soucis, elle aura fondu en arrivant dans son oesophage et puis un poulain découvre bcp de choses par la bouche
  12. je comprends tout à fait klaasnoir... en tout cas, toute discussion un peu "règlement de compte" se fera par message privé et non sur le forum
  13. y'en a un peu partout, je ne les connais pas tous, mais je pourrais en recommander (après, je ne suis pas responsable de la vente )
  14. pour information, voici ce que j'ai trouvé sur le net, concernant la méthode de Saint Vaulry, méthode qui m'a bien inspiré pour travailler les chevaux : " Le cheval n'a pas demandé à faire d'équitation. Le premier devoir du cavalier, c'est donc d'essayer de lui faire apprécier ce boulot. Lui parler d'abord dans son propre langage (gestes et distances) pour créer une relation, s'adresser à lui avec douceur (aides affinées, voix) lorsqu'on le fait travailler, le motiver (explications, renforcements, récompenses) pour qu'il ait envie de bien faire, et enfin connaître et respecter ses instincts (peur, grégarité) , surtout en extérieur, pour qu'il se sente bien... Cette démarche n'est pas seulement dictée par l'amour du cheval ou la déontologie! Un partenaire ainsi traité est plus fiable et plus coopératif. Il apprend beaucoup plus vite, il s'applique, il fait de son mieux... et comme il est plus heureux que les autres, il tombe à coup sûr moins souvent malade. Créer une relation Pour qu'il se sente à l'aise avec l'homme, le cheval a besoin de retrouver des repères connus. Si l'homme arrive à se comporter avec lui un peu à la manière d'un équidé, il gagnera sa confiance et pourra devenir digne d'affection : à la clé, plus de calme, d'attention et d'indépendance. 3 axes à suivre : - Pratiquer le langage des gestes, que le cheval comprend naturellement. - S'affirmer hiérarchiquement, en travaillant sur le respect des distances en main - Etre digne de respect : ni coléreux, ni violent, ni mou, ni timoré (facile à dire, je sais !). Seul un cavalier sûr de lui et amical peut inspirer une confiance pleine et durable. Adoucir ses aides Le cheval n'aime pas souffrir. On le comprend. Pour qu'il apprécie son travail, il faut donc s'efforcer de le rendre le moins désagréable possible. L'idée n'est pas d'arrêter la compétition, de demander une moindre performance ou de baisser son niveau d'exigence, mais simplement de rendre ses aides les plus douces possibles. Ainsi la communication s'effectue dans le confort : pas de contractions, pas d'endurcissement, pas de surenchère. Bases à retenir : - Faire précéder chaque indication des aides d'une demande ultra-douce (ordre vocal, pesée d'assiette, ou petit geste), toujours semblable. Très vite, le cheval apprend à la reconnaître et se met à obéir sans attendre la suite. - Mais s'il n'a pas obéi à l'aide douce, il ne faut surtout pas la répéter. Dans la seconde qui suit, faire intervenir des aides plus contraignantes, qui donneront une confirmation claire et efficace de votre volonté. Ainsi l'aide ultra-douce marchera mieux... la prochaine fois ! ...Voir les articles La politesse des aides, La voix Motiver Toute peine mérite salaire. Le cheval n'a pas demandé à travailler. Il a plutôt envie de brouter, de se reposer ou de passer son temps avec ses semblables. Pour lui faire aimer l'équitation, il faut qu'elle lui apporte des satisfactions. En fait, il n'est pas très exigeant : il suffit de quelques petites attentions bien ciblées pour lui apprendre à aimer son boulot en général, et le travail bien fait en particulier : - relâcher les aides dès l'obéissance (quitte à les réactiver peu après). Pas de jambes ou de mains qui agissent en continu pour entretenir le mouvement... - Accorder des mini-pauses à la fin des exercices réussis, très souvent, par exemple, toutes les 2 ou 3 minutes. Un temps d'arrêt ou de pas rênes longues, en félicitant, puis on repart... - Mettre en place un vrai système de récompenses, en associant félicitations vocales, caresses, et sucre. Au début, quand le cheval réussit une tâche, on donne immédiatement les 3, dans cet ordre. A force, quand l'habitude sera prise, la caresse et les félicitations prendront une valeur à elles seules, et le sucre ne sera donné qu'une fois sur 2, puis sur 3, etc.. Voir l'article Motiver son cheval et Savoir dire oui Intérieur/extérieur: trouver l'équilibre... On fait souvent une distinction artificielle entre les activités de manège, considérées comme un vrai travail, et la promenade, considérée comme une détente. On a tort ! D'abord parce que le travail en manège devrait comporter ses moments de repos, harmonieusement répartis d'un bout à l'autre de la séance, pour assurer la relaxation physique et mentale du cheval : motivation et progrès sont à la clé... Ensuite parce que l'extérieur est un lieu de danger, où le contrôle physique et surtout moral de sa monture est indispensable. Le cheval doit non seulement être entraîné à répondre à son cavalier, comme s'il travaillait en manège, mais aussi être formé à respecter, de lui-même, des règlements. Rester immobile, tenir sa droite, marcher au pas rênes longues... Ainsi, on l'intéresse à son travail, et on installe des garde-fous qui fonctionneront en cas d'urgence, panique ou excitation... Voir articles La balade, c’est du sérieux et Les contrats Comprendre et respecter sa peur Animal de proie, le cheval ne sait pas vraiment qu'il évolue dans un environnement civilisé. Le pauvre, il s'imagine que certains d'entre nous mangent encore de la viande de cheval, et il a tendance à se méfier de tout. Que faire pour l'aider à se rassurer ? - Cesser de croire qu'il simule, cesser de le battre pour l'obliger à surmonter sa peur. Car on détruit ainsi la relation de confiance avec le cavalier. Rester calme, doux et assuré... - En prévention, libérer son balancier pour lui permettre d'observer librement son environnement (rênes en guirlandes). Le contrôle de la vitesse et de la trajectoire doit alors s'effectuer par contrat (voir articles Vol d'encolure, et Les contrats). - Chaque fois que c'est possible, procéder à une approche en douceur, en le laissant avancer à son rythme, et libre de baisser le nez pour flairer ce qui l'inquiète... Au fil de ces bonnes expériences, il acquerra confiance et sûreté (voir article La peur). L'équitation éthologique Non, contrairement à une opinion répandue, je ne fais pas partie du courant "chuchoteurs" formé par Parelli ou ses élèves Andy Booth, Ken Faulkner, Sylvia Furer, ni du courant Lyons / Elisabeth de Corbigny... Lorsque ce mouvement a débarqué en France, j'avais déjà un solide bagage, grâce à la pratique de la randonnée, du Trec, des débourrages, du dressage, de l'attelage, de l'éducation des ânes, et à la fréquentation des épreuves de loisir... J'ai donc essayé de comprendre comment tout cela fonctionnait, et retenu de cette approche les exercices qui m'ont paru les plus intéressants (le shaping en particulier), et des outils utiles comme le licol fin, la corde lourde... Certaines pratiques (la mise à distance, le déplacement du cheval sur indication gestuelle, le travail rênes longues, l'habituation) coïncidaient exactement avec mes convictions, et je me suis réjouie que l'équitation dite "éthologique" contribue à leur diffusion plus large. Je ne trouve pas choquant que les formations coûtent cher, à partir du moment où l'enseignement est de qualité. Mais je regrette vraiment certains manques (la voix, les friandises), et encore plus certaines pratiques extrêmes : désensibilisation par immersion ("flooding"), où l'on dépasse le seuil de tolérance du cheval, en l'encourageant à la fuite, "join-up" aux allures vives, excès de flexion. Pour moi, ce ne sont pas des pratiques respectueuses du cheval : je pense qu'elles conduisent à la résignation (comme l'encapuchonnement), et qu'elles font perdre au cheval sa dignité, son esprit d'initiative et son intelligence. J'espère vraiment que les scientifiques vont se pencher sur le sujet..." source : site de véronique de saint vaulry (lien qui suit) et pour les plus intéressés, voici son site : http://pagesperso-orange.fr/saint-vaulry/ bon surf
  15. pocahontas ça a été mon surnom tout le week end car en plus de ça, j'ai gardé la coiffure, les tresses
  16. si tu es speed, donc énervée, ça n'arrangera pas les choses il ne faut pas chercher plus loin, s'il a été trop gaté à son arrivée... meme si nous les adorons nos gros nounours noirs, ils restent avec bcp plus de force que nous, et trop les chouchouter les posent à une place hierarchique qui va les laisser nous dominer... et quand ils grandissent (dans le cas de poulain) le cheval ne connait pas trop ses limites et si on le laisse faire.... le jour où on met ces limites, le cheval n'est pas d'accord, car s'il est adulte, c'est un comportement acquis ! ça peut se modifier mais plus dur pour le cheval, logique, un peu comme s'il était le dominant dans un groupe de chevaux depuis des mois et que d'un coup un autre dominant arrivait au sein du troupe pour lui prendre sa place en qq sorte (grossièrement)... le fait de mordre peut etre pris de deux façons : en général, chez les jeunes, c'est le jeu, il vous prend simplement pour un congénère (il faut vite le remettre à sa place comme si un congénère le ferait ), il peut mordre aussi pour montrer sa dominance (là c'est à vous de reprendre vite votre place) ; pour corriger tout cela, dans votre comportement général il faut à tout prix reprendre votre place de chef, et en plus faire de petits exercices de manipulations (les jeux de parelli sont pas mal pour ça) ; je précise que c'est mon avis et ce que je ferais, après il y a surement d'autres méthodes, selon les personnes ; mais il faut savoir que la théorie est une chose, la pratique est autre chose selon le cheval
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