Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Admin-lane

Membres
  • Compteur de contenus

    20 146
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Admin-lane

  1. Un anaconda était utilisé par des trafiquants argentins pour protéger une cargaison de cocaïne et cannabis afin de dissuader la police en cas de perquisition, mais le reptile n'a pas eu l'effet escompté. Des policiers ont fait irruption dans une maison de Gonzalez Catan, une banlieue de l'ouest de Buenos Aires, et ont mis la main sur plusieurs kilos de cocaïne et de cannabis après avoir déplacé le serpent, qui dormait sur la drogue, selon la police argentine. (Photo un anaconda (Eunectes murinus, le grand anaconda) Soerfm BY-SA 3.0) "Nous savions qu'il y avait de la drogue provenant du Paraguay à cet endroit, mais la présence du serpent nous a obligés à recourir à des experts en reptiles pour le maîtriser", a témoigné un policier. L'anaconda n'est pas venimeux, il étouffe sa proie en s'enroulant autour d'elle. Il peut atteindre 10 mètres de long et peser 200 kg. Le point 4/6/2014
  2. Face à la sécheresse qui menace les élevages de reptiles ou d'amphibiens domestiques, des éleveurs du Nicaragua ont décidé de se lancer dans la production d'araignées destinées à l'exportation, ont annoncé jeudi des professionnels du secteur. "Si d'autres pays se consacrent à ce domaine (l'exportation d'araignées), nous aussi pouvons le faire. Ce dont nous avons besoin, c'est des capacités et de spécialiser nos techniques", a affirmé au site officiel www.el19digital.com Jessenia Talavera, représentante de l'exportateur Exoticfauna. Il existe au Nicaragua, l'un des pays les plus pauvres d'Amérique centrale, une douzaine d'élevages légaux d'animaux comme des serpents, des lézards ou des grenouilles, sous la supervision du ministère de l'Environnement et des ressources naturelles (Marena). Le secteur a proposé de développer également l'élevage d'araignées lors de réunions avec le gouvernement pour évaluer les mesures à prendre pour atténuer les conséquences de El Niño, un phénomène climatique s'accompagnant de baisse des précipitations et de hausse des températures. "Nous avons demandé augouvernement qu'il nous accorde de l'importance. Et la vérité est que notre production a énormément d'importance, car en outre, nous prenons soin de notre faune sylvestre", a expliqué Ramon Mendieta, patron d'un élevage de grenouilles et lézards depuis six ans dans le département de Carazo (sud). Le vice-ministre de l'Environnement, Augusto Flores, avait affirmé en mai que la production en captivité d'animaux pour l'exportation avait suscité l'intérêt de nombreux entrepreneurs. Il avait ajouté qu'un groupe d'entre eux avait lancé en début d'année un projet de reproduction de papillons, d'amphibiens et de reptiles aux abords du lac de Apanas (nord). Le Marena estime que le Nicaragua exporte plus de 15.000 reptiles et 25.000 amphibiens chaque année, principalement à destination des Etats-Unis, d'Europe et d'Asie, destinés notamment à un usage domestique. Le point 4/6/2014
  3. Paris - La ministre de l'Ecologie et de l'Energie, Ségolène Royal, présentera le 11 juin en conseil des ministres les grandes lignes du projet de loi de programmation sur la transition énergétique, avant une conférence de presse sur ce texte très attendu qui a pris beaucoup de retard. A l'issue de cette communication au gouvernement, le texte sera soumis aux différentes commissions consultatives - Conseil national de la transition énergétique (CNTE), Conseil économique, social et environnemental (CESE) et Conseil d'Etat - chargées de l'examiner avant une présentation officielle en conseil des ministres courant juillet. La ministre doit aussi présenter le plan d'action qui accompagnera le projet de loi et qui doit détailler la mise en oeuvre des mesures prévues dans le texte pour remplir les objectifs que la France s'est fixés en matière de développement des énergies renouvelables, de réduction des émissions de gaz à effet de serre et d'économies d'énergie. Le gouvernement entend notamment réduire de 75 à 50% la part du nucléaire dans la production d'électricité du pays à l'horizon 2025. D'ici là, la ministre poursuit les consultations autour du texte, avec plusieurs réunions prévues à son agenda afin de procéder aux derniers arbitrages, et notamment la question du financement de la transition énergétique en période d'économies budgétaires. Après sa présentation officielle en conseil des ministres, et des amendements éventuels, le projet de loi sera étudié en commission parlementaire, son examen en séance plénière à l'Assemblée nationale étant annoncé à l'automne pour une adoption avant la fin de l'année. Initialement attendu en juin 2013, le projet de loi sur la transition énergétique avait été repoussé à plusieurs reprises. EELV Ile de France 7/5/2014 Romandie 4/6/2014
  4. Paris - Le Conseil supérieur de l'énergie (CSE) a approuvé mercredi le projet d'arrêté tarifaire sur le rachat de l'électricité issue de l'énergie éolienne, a indiqué le Syndicat des énergies renouvelables (SER), membre de l'instance, qui se félicite de cette décision. La filière est sur le point de retrouver un cadre économique stable, a commenté le SER. L'arrêté, qui fixe le tarif de rachat de l'électricité issue de l'éolien terrestre à 82 euros le mégawattheure, doit désormais être publié au Journal officiel pour entrer en vigueur. Saisie mi-mai la Commission de régulation de l'énergie avait elle aussi rendu un avis positif sur ce nouvel arrêté. Il viendra remplacer le précédent, datant de 2008 et annulé le 28 mai dernier par le Conseil d'État pour non respect de la procédure de notification à la Commission européenne pour une aide publique, après un recours de l'association anti-éolien Vent de colère. romandie 4/6/2014
  5. "Paris a la Tour Eiffel, Rome le Colisée. Zurich a maintenant son parc à éléphants." Par ces mots teintés d'ironie, le président du Zoo de Zurich Martin Naville a présenté mercredi l'imposant espace. Pionnier en Suisse, le nouveau parc permet aux pachydermes d'avoir une vie sociale. Le parc Kaeng Krachan offre six fois plus de place aux six éléphants du zoo. Les animaux peuvent donc se mouvoir plus librement, dans des conditions plus proches de celles qu'ils connaissent dans la nature, a expliqué mercredi devant les médias le directeur de l'établissement Alex Rübel. Zoo Zürich 26/5/2014 Parmi les nouveautés, l'eau figure en bonne place. Six bassins sont répartis sur l'ensemble de la surface. Bons nageurs, les pachydermes apprécient la baignade, ne serait-ce que pour réguler la température de leur corps ou préserver la bonne santé de leur peau. Cette proximité avec les animaux caractérise l'ensemble du concept. Les visiteurs pourront, dès l'ouverture prévue samedi, les côtoyer de près. Le parc Kaeng Krachan, du nom du parc national de Thaïlande où le zoo soutient un projet de préservation des éléphants, veut offrir une meilleure qualité de vie aux principaux intéressés. "Zurich figure souvent en haut du classement en ce qui concerne la qualité de vie des humains. Maintenant, c'est aussi le cas des éléphants", s'est félicité Martin Naville, président du conseil d'administration. Ce "jalon" de l'histoire du zoo se traduit dans la facture finale. Estimée à 41 millions de francs au début, elle s'est portée à 57 millions (soit plus de 46.562.000€), a reconnu Martin Naville. "Mais cela en valait la peine." romandie 4/6/2014
  6. Windhoek, 13 mai 2014 (AFP) - La vague de braconnage des éléphants et rhinocéros qui dévaste l'Afrique touche à présent la Namibie, pourtant épargné jusqu'à présent et considéré comme un pays modèle en matière de lutte contre les braconniers, selon les derniers chiffres officiels. Eléphants dans le parc d'Etosha - Photo etoshanationalpark Alors que deux éléphants avaient été tués dans le pays entre 2005 et 2011, 121 l'ont été depuis deux ans et demi, a indiqué le ministère de l'Environnement. Et alors qu'aucun rhinocéros n'avait été braconné en Namibie entre 2005 et 2010, onze ont été abattus depuis, un en 2011 et déjà quatre depuis le début de cette année. "Nous ne voulons pas que les chiffres augmentent davantage", a assuré à l'AFP le vice-ministre de l'Environnement Pohamba Shifeta. "Il y a une forte probabilité que l'attention se déplace vers la Namibie comme nous l'avons vu récemment", a-t-il regretté, ajoutant que Windhoek avait l'intention de s'attaquer sérieusement au problème. "Dans l'immédiat, il faut contrôler le braconnage commercial de l'ivoire qui émerge dans la partie nord-est du pays, et éviter la propagation vers l'ouest du braconnage des rhinocéros et des éléphants dans le parc national d'Etosha et au-delà", a notamment détaillé M. Shifeta dans une réunion de policiers et de rangers en début de semaine. La Namibie a 79 parcs et réserves couvrant plus de 100.000 kilomètres carrés et peuplées de quelque 300.000 personnes. Le parc national d'Etosha (nord-est), le plus vaste du pays, est l'un des plus célèbres d'Afrique. 30 millions d'amis 13/5/2014
  7. Hong Kong, 15 mai 2014 (AFP) - Hong Kong a commencé jeudi à détruire près de 30 tonnes d'ivoire saisies auprès de trafiquants, une opération présentée comme la plus importante de ce genre dans la lutte contre le commerce illégal des défenses d'éléphant. L'ancienne colonie britannique est un lieu de transit du trafic illégal d'ivoire, qui arrive le plus souvent d'Afrique pour être acheminé vers la Chine. 2013 a été une année record pour la saisie d'ivoire dans le territoire, avec 8 tonnes récupérées. Kortel 15/5/2014 La demande croissante d'ivoire en Asie est la cause principale des massacres d'éléphants en Afrique, selon les ONG de défense de la faune sauvage. Face aux braconniers et trafiquants qui ne laissent pas de répit aux éléphants africains, au point de menacer à terme la survie de l'espèce emblématique du continent, les destructions d'ivoire se multiplient dans le monde. En 2013, des destructions ont eu lieu aux Philippines, en Inde, au Gabon et au Kenya. En novembre, les Etats-Unis réduisaient en fumée cinq tonnes d'ivoire, appelant d'autres pays à les imiter. En janvier 2014, c'est la Chine, plus gros consommateur mondial d'ivoire illégal, qui en a détruit six tonnes. L'opération visait à redorer l'image de Pékin, qui a entre ses mains la survie des éléphants africains puisque la plus grande partie de l'ivoire braconnée lui est destinée. La France a elle aussi, pour la première fois, broyé trois tonnes d'ivoire en février dernier, au pied de la Tour Eiffel. Les deux principaux marchés sont la Chine, où les objets en ivoire sont associés à un statut social supérieur, et dans une moindre mesure la Thaïlande, selon le comité de la Cites (Convention internationale régissant les espèces protégées).Il ne reste plus que 500.000 éléphants en Afrique, soit moitié moins qu'au début des années 80. Au rythme d'abattage actuel (entre 20.000 et 25.000 par an), leur survie n'est plus assurée. 30 millions d'amis 15/5/2014
  8. Digne-les-Bains, 16 mai 2014 (AFP) - Après 10 mois d'enquête judiciaire, un important réseau de braconnage a été démantelé dans les Hautes-Alpes et les Alpes de Haute-Provence, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie. Maxpp/Alejandro Moreno de Carlos Beaucoup de chamois ont été braconnés dans les Alpes du sud. Au moins neuf personnes âgées entre 19 et 38 ans ont déjà été interpellées à Sisteron, La Javie, Forcalquier et dans la Vallée de l'Ubaye (Alpes de Haute-Provence) mais aussi sur le secteur d'Embrun (Hautes-Alpes) dans le cadre de plusieurs trafics de viande sauvage présumés. Selon l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage (ONCFS), le préjudice de ce trafic démantelé et calculé sur les trois dernières années est estimé à 60.000 euros. Au moins 150 animaux, essentiellement des chamois, ont été abattus illégalement. Au total, dix sociétés de chasse ont déposé plainte pour "chasse en période prohibée et non réglementée". Selon la gendarmerie, sept personnes mises en cause seront prochainement jugées devant le tribunal correctionnel de Digne-les-Bains. Deux chasseurs âgés de 25 et 26 ans ont déjà été condamnés à 2 mois de prison avec sursis et 1.500 euros de dommages et intérêts pour les sociétés de chasse. Lors des investigations et des opérations de surveillance menées conjointement depuis juillet 2013 par la gendarmerie et l'ONCFS, une trentaine d'armes, équipées de silencieux et lunettes de visée, ont été saisies ainsi qu'une trentaine de "trophées", têtes et cornes d'animaux sauvages. "A Embrun, les gendarmes ont par exemple découvert chez deux chasseurs un registre démontrant l'étendue du trafic", indique le Major Michel Igoa, commandant en second de la compagnie de Barcelonnette (Alpes de Haute-Provence). "Lors des perquisitions menées dans les vallées de l'Ubaye et de la Blanche, nous avons pu constater que les chasseurs n'ont pas hésité à transformer une pièce d'habitation en salle d'abattage", poursuit le major Higoa, expliquant "que ces braconniers avaient un réel sentiment d'impunité" avant d'ajouter "les sociétés de chasse et les chasseurs honnêtes sont pour leur part conscients de l'importance des dégâts sur le gibier occasionné par ces actes de braconnage". "Ce qui est significatif dans cette affaire, c'est le nombre d'animaux tués et le nombre de personnes poursuivies en justice. Les investigations ont été menées en parfaite synergie avec l'ONCFS, chacun apportant ses compétences techniques et juridiques", a souligné le colonel Christophe Brochier, commandant le groupement de gendarmerie des Alpes de Haute-Provence. 30 millions d'amis 16/5/2014
  9. Johannesburg, 16 mai 2014 (AFP) - Un éléphant a été tué par des braconniers dans le célèbre parc national Kruger, dans le nord de l'Afrique du Sud, le premier depuis plus de dix ans, a déploré vendredi SANParks, l'agence gouvernementale chargée des parcs nationaux du pays. eNCAnews 16/5/2014 : Les rangers du parc national Kruger pensent que les braconniers peuvent être en train de changer de tactique. Pour la première fois en une décennie, un éléphant a été tué pour ses défenses. Une carcasse en décomposition a été découverte jeudi dans la région de Pafuri, au nord du parc, à proximité des frontières du Mozambique et du Zimbabwe. Alors que les rhinocéros du parc Kruger sont décimés par les braconniers, les éléphants étaient jusqu'à présent épargnés. "Les éléments de preuve suggèrent que cet éléphant mâle a été abattu pour ses défenses, qui lui ont été arrachées et emportées par des braconniers présumés", a annoncé SANParks dans un communiqué. Selon le porte-parole de SANParks Ike Phaahla, l'éléphant a été abattu dans une région reculée du parc, probablement début mai. Des rangers du parc ont été guidés jusqu'à sa carcasse par des vautours. L'Afrique australe abrite plus de la moitié des éléphants d'Afrique, estimée à un demi-million. A l'exception du Mozambique et du Zimbabwe, la région est jusqu'à présent restée relativement à l'abri du braconnage qui fait des ravages ailleurs sur le continent et qui est même devenu une source de financement du terrorisme. Tous les spécialistes affirment cependant que la région sera la prochaine cible des braconniers. "Notre hypothèse, c'est que les braconniers cherchaient des rhinocéros. Ils n'en ont pas trouvé et ont abattu un éléphant", a indiqué M. Phaahla à l'AFP. Selon des chiffres diffusés jeudi par le ministère sud-africain de l'Environnement, 245 rhinocéros ont été tués par des braconniers depuis janvier dans le parc national Kruger, et 376 dans l'ensemble de l'Afrique du Sud, un rythme pour l'instant moins élevé qu'en 2013, année noire avec 1.004 rhinocéros tués (dont 606 dans le parc Kruger). Le dernier recensement effectué en 2012 dans le parc Kruger faisait état de 16.700 éléphants, sur environ 23.000 dans l'ensemble de l'Afrique du Sud. Le pays abriterait aussi environ 20.000 rhinocéros, pourchassés pour leur corne, revendue sous forme de poudre miracle en Asie, mais les autorités ont cessé de communiquer sur leur population. Le trafic d'ivoire est lui tiré par une forte demande en Chine et dans une moindre mesure en Thaïlande, malgré un moratoire sur son commerce international décidé en 1989. 30 millions d'amis 16/5/2014
  10. Bruxelles, 19 mai 2014 (AFP) - Quatre lions adultes ont été saisis lundi dans un cirque français installé en Belgique, une première depuis l'entrée en vigueur il y a deux mois d'une loi interdisant la présence d'animaux sauvages dans les "cirques et expositions itinérantes", ont indiqué les autorités compétentes. Le propriétaire du Festival Circus Show, anciennement Cirque Franco Canadien, ne respectait non seulement pas la nouvelle législation, mais les félins étaient "logés dans des conditions ne respectant pas leur bien-être", a expliqué dans un communiqué le Service d'inspection pour le bien être animal du ministère de la Santé. Le cirque avait été averti "il y a deux mois" de ses manquements par les autorités, qui avaient à l'époque laissé les animaux sur place "à la seule condition que leur bien-être soit amélioré", selon le ministère, qui avait posé comme date butoir le 16 mai. Mais, "aucune solution" n'ayant été trouvée, le service d'inspection a procédé lundi matin à l'enlèvement des animaux, avec l'appui de la police. L'opération s'est déroulée à Fléron, près de Liège (est), où le cirque était en représentation. Les quatre lions ont été transférés vers un refuge spécialisé situé dans la province du Limbourg (nord-est de la Belgique)."Une solution est activement recherchée pour ensuite placer les animaux dans un parc ou un sanctuaire africain où ils pourront finir paisiblement leurs jours", ajoute le ministère. Depuis le 10 mars, les cirques, belges ou de passage en Belgique, ne peuvent plus détenir que des "animaux domestiques": bovins, buffles, porcs, lamas, dromadaires, chameaux, furets, lapins, chiens, chats, pigeons, oies, gallinacés, perroquets, perruches, canards, chevaux, ânes, poneys, moutons et chèvres. Les responsables de cirques avaient, lors de l'adoption de la loi par le parlement en décembre, dénoncé l'interdiction des lions, tigres et autres éléphants, qui constituent "la base du cirque traditionnel". Mais un rapport officiel avait pointé le "manque d'espace, l'absence de possibilité de baignade pour certaines espèces ou de congénères pour les espèces grégaires, ainsi que le non-respect des exigences de température, notamment dans les camions". Les animaux sauvages sont également interdits en Autriche, tandis que d'autres pays européens ont mis en place une interdiction partielle (Allemagne, Hongrie, Danemark, Suède). 30 millions d'amis 19/5/2014
  11. Johannesburg, 20 mai 2014 (AFP) - Un groupe de défense des animaux a porté plainte contre un parc sud-africain proposant des promenades à dos d'éléphant après avoir mis la main sur une vidéo montrant des éléphanteaux torturés, mais le parc mis en cause a démenti mardi toute responsabilité dans cette affaire. Knysna Elephant Park 27/5/2014. Réponse en vidéo par le parc incriminé : Cette vidéo est dédié à ces éléphants - les controversés "Sandhurst orphelins», qui ont été illégalement et inhumainement enlevés à leur mère. Pour un peu de clarté et de perspective sur la question, les gens doivent être conscients de l'histoire et des faits derrière ce qui devient une crise prolongée et injustifiée à Elephant Park Knysna pour ses propriétaires. Les faits sont qu'ils venaient d'un ranch de chasse et devaient être abattus. Avec la permission des autorités compétentes, les autorisations légales ont été accordées pour que ces quatre jeunes éléphants soient placés au lieu d'être abattus. Suite à des allégations de mauvais traitements, de traitements inhumains et de détention dans des espaces confinés, "nous avons estimé, plutôt que de tenter d'expliquer avec des mots, montrer l'environnement dont ces éléphants jouissent en postant une vidéo les montrant" Et comme on dit : une image vaut mille mots ! Le parc de Knysna (sud), directement mis en cause, a rejeté ces accusations et répondu que la vidéo avait été tournée en 2008. Si l'incident s'est effectivement produit dans les installations du parc, les éléphants avaient été vendus à un particulier, et le personnel de cet acheteur en avait alors la charge. Le Knysna Elephant Park accuse à son tour cet acheteur d'avoir monté l'histoire six ans après les faits: il n'a pas payé toute la facture des éléphants et sa propre réserve est actuellement en liquidation, note-t-il. Le parc a soigné les animaux quand sa direction a découvert l'affaire à l'époque, assure-t-il. Il reconnaît tout de même avoir licencié deux employés de ses installations --qu'il a cédées depuis--, situées à 350 km de Knysna. Dans un long communiqué, le Knysna Elephant Park s'est étonné de ce que la SPCA n'ait pas vérifié cette information avant de lancer ses accusations --pas plus d'ailleurs qu'une bonne partie de la presse sud-africaine qui n'a pas cherché à le contacter. 30 millions d'amis 20/5/2014
  12. Toulouse, 22 mai 2014 (AFP) - Un chevreuil qui errait dans les rues de Toulouse a été pris en chasse par les policiers et s'est réfugié chez les gendarmes dans une caserne où il a fini par être capturé, a-t-on appris jeudi de source policière. Le chevreuil a été pris en chasse par la police pour éviter un accident. PHOTO ARCHIVES ISABELLE LOUVIER Les policiers ont été alertés vers 04H30 jeudi de la présence sur la voie publique de l'animal qui divaguait dans une rue de l'est de Toulouse. A leur vue, le chevreuil a pris la fuite, aussitôt poursuivi par les véhicules de police tous gyrophares dehors parce qu'il fallait éviter un accident. L'animal s'est retrouvé dans une caserne de gendarmerie proche. C'est là que les équipages de la Brigade anticriminalité (BAC) ont réussi à le coincer dans un couloir à l'aide de deux barrières. Une fois capturé, l'animal a été pris en charge par un vétérinaire et les services compétents. La caserne Courrèges où s'est réfugié le chevreuil. PHOTO GOOGLE STREET VIEW 30 millions d'amis 22/5/2014
  13. Moscou, 22 mai 2014 (AFP) - Une femme russe était interrogée jeudi après avoir introduit dans un train couchettes un lionceau qu'elle affirmait être un chat, a annoncé la police. Le félin, qui pesait dans les 50 kilos, a été découvert jeudi matin dans un train entre Moscou et Ekaterinbourg, à 1.420 km à l'est de la capitale russe. Today World News 22/5/2014 "Quand l'animal, qui voyageait sans muselière, a commencé à se comporter de façon agressive, sa propriétaire n'a pas pu le contrôler", a expliqué la police, "elle l'a enfermé dans son compartiment et a demandé au personnel du train de l'aider". Sur les documents de voyage de sa propriétaire, l'animal, âgé de neuf mois, "était enregistré comme... chat domestique", a précisé la police."Le lionceau était d'abord dans une cage, puis la femme qui l'accompagnait l'a laissé sortir pour une raison ou une autre", a-t-elle précisé. La police va aussi interroger le personnel du train qui n'a pas effectué les vérifications nécessaires et qui a permis que le lionceau monte à bord, alors qu'il représentait un danger pour les autres passagers. 30 millions d'amis 22/5/2014
  14. Bruxelles, 22 mai 2014 (AFP) - Des dizaines de cadavres de salamandres ont été découverts récemment en Belgique, laissant planer la menace d'une expansion à toute l'Europe d'un mystérieux champignon fatal à ces amphibiens, mettent en garde les experts. Salamandre tachetée (salamandra salamandra) - Étang de la Maourine, Toulouse, France.Didier Descouens CC BY-SA 3.0 Signalée pour la première fois au Pays-Bas en 2008, cette mycose y a tué près de 96% des salamandres terrestres du pays, contraignant les autorités à isoler des spécimens sains dans des zoos, selon l'association belge Natagora, de protection de la nature. Jusqu'il y a peu, le foyer des Pays-Bas semblait toutefois isolé. Mais la découverte en avril de dizaines de salamandres mortes dans une forêt du sud de la Belgique, après le signalement d'un premier cas fin 2013, près de la frontière néerlandaise a sonné l'alerte. D'autant que des informations alarmantes, en voie de confirmation par la communauté scientifique, arrivent aussi du sud de l'Allemagne, non-loin de la frontière belge. "La situation est inquiétante pour la salamandre terrestre européenne", estime pour l'AFP Francks Pasmans, professeur en mycologie vétérinaire à l'université de Gand, parmi les spécialistes de l'agresseur, le batrachochytrium salamandrivorans. Il juge notamment qu'une contagion à la France "est une question de temps". Connue sous le nom de salamandre de feu, pour sa peau noire tachetée de jaune, l'espèce menacée, salamandra salamandra, est la star de sa famille d'amphibiens. La capacité de pouvoir traverser le feu sans se brûler que lui ont longtemps prêtée les croyances populaires lui ont notamment valu d'être élue comme emblème royal par François Ier. Le champignon qui la cible ne laisse aucune chance à ses victimes, dont il ronge la peau, les conduisant sous deux semaines à la mort par étouffement. Un mal venu d'Amérique ou d'Asie? Selon le directeur de Natagora, Philippe Funcken, le mal, qui se transmet par contact entre batraciens ou dans l'eau, "progresse de quelques dizaines de km chaque année". Pour agir, les scientifiques manquent encore de données, notamment sur l'origine de cette maladie et ses capacités de nuisance envers d'autres espèces. Alors que le commerce international des batraciens est propère, notamment pour la recherche en laboratoire, "une hypothèse serait qu'elle soit arrivée des Etats-Unis ou d'Asie, où elle ne faisait pas de dégâts du fait de l'adaptation des spécimens locaux", indique M. Pasmans. Une autre mycose tueuse de batraciens, le Batrachochytrium dendrobatidfis, est tenu responsable depuis des années de l'extinction de quelque 200 espèces, essentiellement en Amérique centrale et Australie. Mais si elle a gagné l'Europe, elle semble y avoir perdu en nocivité, au delà de la zone pyrénéenne, où elle est apparue il y a une quinzaine d'années, selon M. Pasmans. Dans l'immédiat la seule parade préconisée par les experts est de désinfecter ses semelles après une promenade dans les sous-bois, pour ne pas propager le champignon. Mais selon M. Pasmans, il faut désormais envisager une mobilisation à l'échelle européenne. 30 millions d'amis 22/5/2014
  15. Toulouse, 26 mai 2014 (AFP) - Les Toulousains sont invités depuis lundi 27 mai à recenser les papillons qui volent dans les jardins afin de rassembler le maximum de données sur ces insectes qui servent d'indicateurs précieux de la qualité des milieux, a-t-on appris auprès de la ville de Toulouse. Richiebits / ggallice / domaine public. Deux images fusionnées de lépidoptères plexippus Danaus et Actias luna. "Les scientifiques ne disposent pas de suffisamment de données sur les papillons", explique Laurence Berasategui, chargée d'études biodiversité à la ville. Le projet relève du principe des "sciences participatives qui permettent de faire des observations en très grand nombre tout en sensibilisant les citoyens" à la biodiversité. Le comptage s'inscrit dans le projet d'Observatoire des papillons des jardins, lancé en 2006 par l'association de protection de la biodiversité Noeconservation et le Muséum national d'histoire naturelle de Paris. L'idée est de constituer des réseaux d'amateurs susceptibles d'alimenter les scientifiques en données. A Toulouse, le Muséum d'histoire naturelle fera office de relais local pour cette opération qui a permis au total de suivre 4.000 jardins, pour 200.000 papillons comptés chaque année, selon les données de Noeconservation. Il s'agit pour les particuliers d'observer, chaque année entre mars et octobre, le passage des papillons dans leurs jardins et balcons ou dans n'importe quel jardin public et de rentrer ces données sur le site de l'association (www.noeconservation.org). Celui-ci met à disposition des fiches pour faciliter l'identification des espèces, a ajouté Mme Berasategui. A Toulouse, cette opération est le prolongement en direction du public d'une opération similaire lancée en 2013 auprès des agents des espaces verts de la Ville rose. D'après Noeconservation, les papillons sont source de nourriture pour de nombreuses espèces d'oiseaux, de chauves-souris et autres grenouilles et font office de pollinisateurs. Ils participent à l'équilibre des milieux naturels et sont des indicateurs de la qualité des milieux naturels et de la biodiversité. Et si les habitats naturels se réduisent, les jardins qui couvrent plus d'un million d'hectares ont un rôle à jouer dans la conservation de ces insectes, souligne l'association. Cliquez ICI pour voir la fiche d'identification des papillons et LA pour la liste complémentaire des 18 espèces de papillons(pdf). ICI pour les planches de détermination Piérides (pdf). Et ICI pour la planche de détermination Thecla. (pdf). 30 millions d'amis 26/5/2014
  16. Sydney, 28 mai 2014 (AFP) - La malnutrition pourrait expliquer la forte augmentation des échouages de baleines à bosse sur les côtes occidentales de l'Australie, ont avancé mercredi des scientifiques lors d'une conférence à Perth. L'autopsie des carcasses, pour la plupart des baleineaux ou de jeunes spécimens, a montré que les baleines échouées souffraient de malnutrition, a relevé Carly Holyoake, de l'université Murdoch. Photo en gros plan d'un krill de l'Antarctique (Euphausia superba). Biopics CC BY-SA 3.0 "Des examens post-mortem et l'analyse de la quantité de graisse dans des échantillons de chair ont montré que la plupart des jeunes étaient dans un état de grave malnutrition", a ajouté la chercheuse. "La plupart avait un niveau très faible de graisse, indispensable pour l'énergie, la régulation thermique et la capacité à flotter". De 1989 à 2007, deux à trois baleines à bosse s'échouaient chaque année sur la côte occidentale de l'Australie, notamment dans la moitié sud. Le nombre a grimpé à 13 en 2008, puis à 46 en 2009. 2010 et 2011 ont vu respectivement 16 et 17 baleines s'échouer. Sur les 17 de 2011, 14 étaient des baleineaux et trois des jeunes. Les causes de la malnutrition peuvent être l'intensification de la pêche commerciale au krill (pour les élevages d'aquaculture) et l'influence, encore mal connue, du réchauffement climatique sur les quantités de krill dans les eaux. La flambée des échouages ​​de baleines à bosse en Australie occidentale pourrait être liée à la mauvaise alimentation des animaux, selon des vétérinaires chercheurs. Les autopsies de la plupart des carcasses des veaux et des jeunes ont montré que les baleines étaient mal nourries. NEWS OF THE WORLD 28/5/2014 Le krill est un élément clé du régime alimentaire des baleines. Les baleines à bosse voyagent tous les ans entre l'Antarctique et la côte australienne, où elles mettent bas pendant l'hiver de l'hémisphère sud. Mais des baleines femelles échouent à arriver à temps au large de la partie nord de la côte australienne et plusieurs donnent donc naissance dans des eaux très éloignées des endroits traditionnels."Il est possible qu'une moindre abondance de l'alimentation dans l'Antarctique nécessite un allongement du temps dédié à la recherche d'aliments pour les baleines, d'où un retard dans la migration et un manque de réserve de graisse chez les femelles pleines", a ajouté la scientifique. 30 millions d'amis 28/5/2014
  17. Parc national Kruger (Afrique du Sud) (PNK), 28 mai 2014 (AFP) - Deux policiers du parc national Kruger en Afrique du Sud, soupçonnés d'avoir été corrompus par un braconnier découvert dans leur véhicule de service après avoir abattu un rhinocéros noir, ont été arrêtés, a indiqué la police. Ces deux policiers, arrêtés mardi soir, font partie du commissariat de Skukuza, base principale du parc. Des rangers venaient de découvrir mardi matin une carcasse de rhinocéros noir lorsqu'ils ont eu la surprise de tomber sur un véhicule de police avec à son bord le braconnier présumé équipé de son arme et de munitions. Parc national Kruger 28/52014 : C'est juste une courte vidéo de la façon dont un Guide Safari a gâché l'observation d'une rare interaction entre deux rhinocéros et un éléphant du parc Kruger. Cela aurait pu être évité en montrant un peu de patience et une meilleure compréhension du monde animal. Dans une autre opération, dans les premières heures de mardi 27 mai 2014, les gardes se sont confrontés, à Pretoriuskop, avec un groupe de braconniers présumés. Lors de l'incident, un des suspects a été mortellement blessé mais les deux autres ont réussi à s'échapper sous le couvert de l'obscurité. Le matériel de braconnage, un fusil de chasse et 458 munitions ont été récupérées lors de l'opération. Ces succès surviennent peu après une semaine d'opérations très réussie menées conjointement pas les SANParks et les SAPS tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du Kruger. Trois ressortissants chinois ont été arrêtés dans le Gauteng, le 22 mai en possession de cornes de rhinocéros, tandis que six braconniers présumés ont été arrêtés dans les zones environnantes, juste en dehors de PNK, deux autres arrêtés et deux mortellement blessés à l'intérieur du parc. L'Afrique du Sud, pays au monde abritant la plus grande population de rhinocéros, est depuis cinq ans la cible d'un braconnage croissant, en particulier dans le parc national du Kruger, réserve qui s'étend sur près de 20.000 km2, comparable à Israël ou au Pays de Galles. Les rhinocéros sont pourchassés pour leur corne, revendue sous forme de poudre miracle en Asie. Plus d'un millier ont été tués l'an dernier, victimes du braconnage organisé. Depuis le 1er Janvier 2014 le parc national Kruger a perdu 272 animaux par les braconniers et 52 personnes ont été arrêtées. Un total de 419 rhinocéros ont été braconnés en Afrique du Sud jusqu'à présent cette année. Sur le nombre total de rhinocéros braconnés, 48 rhinocéros ont été tués dans le Limpopo, 41 dans le KwaZulu-Natal et 26 dans le Nord-Ouest. Un total de 119 personnes ont été arrêtées dans le cadre de braconnage de rhinocéros. Maj Gen (ret) Jooste a rappelé aux Sud-Africains que la bataille sera gagnée en dehors des réserves, quand les barons du trafic seront traduits en justice. Il a exhorté ceux qui ont des informations à faire usage des lignes "Tip-off" 0800 205 005, 08600 10111 32211 ou contacter les autorités en ligne où ils peuvent garder l'anonymat, ou, encore, le poste de police le plus proche de l'information. Il a également remercié son équipe pour leur engagement et leur dévouement à la lutte pour sauver le patrimoine naturel de l'Afrique du Sud. Pour information : statistiques du braconnage SA20102011201220132014KNP (SanParks)146252425606272MNP (SanParks)06330GP159183LIM52745911448MP1731289214NW5721778726EC4115710FS34044KZN3834668541WC06201NC10000TOTAL3334486681004419 30 millions 28/5/2014 - News du parc Kruger
  18. Le doyen du mois est un magnifique croisé berger allemand. Son nouveau maître, Dominique, évoque sa nouvelle relation avec son chien, adopté dans le cadre de l’opération de la Fondation 30 Millions d’Amis qui favorise l’adoption des chiens âgés. Photo : Dominique Richard Pow Wow patientait depuis le décès de son maître, en décembre 2012, au refuge de Jouvence situé à Messigny-et-Vantoux (21). Ce beau croisé berger allemand de 10 ans, est repéré par Dominique et sa fille sur une plateforme d’adoption en ligne: « Nous avons eu un gros coup de cœur, explique ce résident de Montbard, une petite commune bourguignonne. A l’époque, j’étais en arrêt de travail, et j’avais besoin de compagnie ! » Après deux visites au refuge, sa décision est prise, et Pow Wow découvre enfin sa nouvelle maison. Cela fait deux mois maintenant que Pow Wow vit au sein de sa nouvelle famille. « Il est très gentil, bien élevé, et passe sa journée à jouer, confie son maître. Et il adore se promener ». Il se montre également très câlin avec la fille de Dominique, âgée de 17 ans. « C’est aussi un très bon chien de garde » explique-t-il. Cela ne l’empêche pas d’être bienveillant avec les amis de la maison, qu’il accueille systématiquement la balle dans la gueule. Pow Wow n’a qu’un travers : il ne supporte pas les autres chiens. Chaque semaine, le dimanche matin, il assiste à un cours d’éducation canine. « Il est déjà très obéissant, mais cela lui permet de faire de petits exercices en présence de ses congénères » poursuit Dominique. Si Pow Wow est très en forme pour son âge, son adoption a tout de même été accompagnée d’une aide financière de la Fondation 30 Millions d’Amis : à tout maître qui adopte un chien âgé de 10 ans et plus dans l’un des 120 refuges participant à cette opération, la Fondation s'engage à régler les éventuels frais vétérinaires de son nouveau compagnon - à hauteur de 600 euros - sur présentation de factures. « Cela nous a permis de régler le vétérinaire pour une patte blessée, et mettre tous ses vaccins à jour » précise Dominique. Les animaux âgés sont aujourd’hui nombreux dans les refuges à attendre une famille. « Pow Wow est un chien extra, et j’espère profiter de sa présence encore de longues années » conclut Dominique. Un témoignage de plus qui rappelle que ces vieux toutous sont d’excellents compagnons ! En savoir plus sur l’opération Doyens 30 millions d'amis 22/5/2014
  19. La Fondation 30 Millions d’Amis a alloué une aide exceptionnelle au Centre d’Accueil de la Faune Sauvage d’Alfort (94), qui recueille, réhabilite et relâche dans la nature les animaux blessés ou orphelins. Ce centre d'accueil est intégré à la clinique vétérinaire de Maisons Alfort adhérente de l’Union Française des Centres de Sauvegarde (UFCS). Le CEDAF est ouvert 365 jours par an de 8h à 18h en semaine et 18h à 8h en semaine, week-ends et jours fériés (adresse CEDAF - Bâtiment Letard, Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort, 7 avenue du Général de Gaulle 94704 MAISONS-ALFORT Cedex - [url=cedaf@vet-alfort.fr]cedaf@vet-alfort.fr[/url]). Photo : CEDAF En Ile-de-France, hérissons, renards et faucons en détresse peuvent compter sur l’équipe du CEDAF, le Centre d'Accueil de la Faune Sauvage d’Alfort, situé dans le Val-de-Marne. « Nous accueillons 2 000 animaux chaque année, dont 85 % d’oiseaux et 15 % de mammifères appartenant à une cinquantaine d’espèces différentes » précise le professeur Jean-François Courreau, responsable du centre. Créé en 1987 par un groupe d’étudiants de l’ENVA* qui se passionnaient pour la sauvegarde des animaux sauvages, le CEDAF a commencé par s’occuper en priorité du faucon crécerelle et la chouette hulotte, espèces très fréquentes dans le département. Aujourd’hui, ce sont surtout des pigeons qui sont accueillis et pris en charge par le centre. « Beaucoup d’oisillons tombent du nid, explique le scientifique. Et les pigeons sont aussi victimes d’animaux domestiques, comme les chats ». Autre habitué des lieux : le hérisson. « Il est très présents dans les zones résidentielles, et au printemps, il est victime des tondeuses et des débroussailleuses utilisées dans les jardins ». Blessés, ils sont pris en charge et soignés ; dès que leur état le permet, ils sont relâchés dans la nature. Parmi les autres pensionnaires amenés régulièrement par les particuliers, des écureuils, des renards, des merles, des moineaux, des cygnes et même des cervidés, témoins de la biodiversité de la région parisienne. « Ce sont le plus souvent des promeneurs, des passants et des jardiniers qui découvrent un animal en détresse et grâce au bouche à oreille, ils ont appris l’existence du centre et ont le réflexe de venir nous voir pour que nous dispensions les soins adéquats » se réjouit Jean-François Courreau. Parallèlement au sauvetage d’animaux, le CEDAF dispense un enseignement facultatif pour former les étudiants-vétérinaires : « Le cursus obligatoire ne forme pas les vétérinaires à l’entretien et aux soins de la faune sauvage, explique le professeur. Ainsi, beaucoup de professionnels refusent de les accueillir ou prodiguent des soins inappropriés, par ignorance ». En 2013, 110 étudiants de l’école ont bénéficié de la formation dispensée par le CEDAF, ainsi qu’une quarantaine de stagiaires venus de tous horizons : vétérinaires praticiens, soigneurs ou encore étudiants en licences et masters scientifiques, tous passionnés de faune sauvage. Alors que l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort, en proie à des difficultés financières, a stoppé sa subvention en 2014, la Fondation 30 Millions d’Amis vient d’allouer au CEDAF une aide exceptionnelle de 10 000 euros. « Les soins sont gratuits, c'est pourquoi les dons sont nécessaires pour nous permettre de fonctionner » conclut Jean-François Courreau. L’aide de la Fondation 30 Millions d’Amis permettra de financer un poste de vétérinaire à mi-temps. 30 millions d'amis 23/5/2014
  20. Le TGI de Lorient (56) a reconnu un éleveur coupable d’abandon et l’a condamné à une peine de prison ferme (3/4/2013). Une sévérité rare saluée par la Fondation 30 Millions d’Amis, qui s’était constituée partie civile dans cette affaire. Vache et son veau (photo d'illustration) 4028mdk09 CC BY-SA 3.0 Poursuivi pour mauvais traitements commis sur ses bovins, un éleveur a été reconnu coupable par le TGI de Lorient (56) et condamné à 5 mois de prison ferme (3/4/2013). Cette peine, dont la sévérité mérite d’être saluée, n’a cependant pas assortie de la confiscation définitive des animaux, au grand regret de la Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile dans ce dossier aux côtés d’autres associations de défense des animaux. En revanche, l’interdiction d’exercer une activité agricole impliquant la détention d’animaux pendant 5 ans a été prononcée. Gestionnaire d’un cheptel depuis le mois de janvier 2009, le propriétaire avait laissé ses animaux - une centaine de bovins, onze moutons et deux chevaux - sans soins ni nourriture pendant une durée indéterminée. Les gendarmes chargés de l’enquête, avaient découvert en février 2013 la majorité d’entre eux en état de cachexie, ainsi qu’une dizaine de cadavres de vaches et de moutons dans un état de composition avancée. Des animaux, à l’agonie, avaient dû être euthanasiés par un vétérinaire. De nombreuses autres anomalies, comme l’absence d’identification, avaient été notées par les autorités. Le prévenu avait été présenté au tribunal de grande instance de Lorient dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate mais l’audience avait été repoussée au 6 mars 2013 afin qu’il puisse organiser sa défense. La Cour d’appel de Rennes (35) a confirmé le jugement rendu par le TGI de Lorient (56), en se montrant toutefois plus sévère à l’encontre de l’éleveur mis en cause (24/4/14). Celui-ci a finalement écopé de huit mois de prison ferme - au lieu des cinq prononcés en première instance. L’interdiction d’exercer une activité professionnelle en lien avec les animaux pour une durée de 5 ans a été confirmée et la confiscation définitive des animaux au profit de la Fondation 30 Millions d’Amis a également été prononcée. Les bovins ont été pris en charge par l’OABA*, tandis que les ovins ont été acheminés vers le refuge « Bêtes de Scène », situé à Saint-Jacques-de-la-Lande (35). * Oeuvre d'Assistance aux Bêtes d'Abattoirs 30 millions d'amis 22/5/2014
  21. Dans le cadre de la réforme du statut juridique de l’animal, la Fondation poursuit son action et invite chaque Français à interpeller le député de sa circonscription. L’objectif : faire reconnaître définitivement le caractère d’être vivant et sensible de l’animal dans le Code civil. Mobilisée depuis de très nombreuses années sur la question du statut juridique de l’animal, la Fondation 30 Millions d’Amis poursuit son combat en incitant aujourd'hui les députés français à faire preuve de courage politique en adoptant - à titre définitif - le caractère vivant et sensible de l’animal. Pour convaincre les 577 membres de l’Assemblée nationale de soutenir cette réforme indispensable, elle invite chacun à télécharger et à remplir une lettre type puis à la renvoyer - par voie postale - au député de sa circonscription. Photomontage 30 millions d'amis / Getty Images Le 15 avril dernier, l’Assemblée nationale a adopté provisoirement un amendement reconnaissant la qualité d’« être vivant doué de sensibilité » de l’animal dans le Code civil, lors de l’examen du projet de loi de modernisation et de simplification du droit. Cette avancée a été saluée par bon nombre de nos concitoyens interpellés par l’obsolescence du Code civil : ce pilier du droit français, qui n’a pas évolué depuis 1804, considère encore les animaux comme de simples « biens meubles », alors que le Code pénal et le Code rural reconnaissent déjà depuis des années leur nature d’êtres sensibles. La réforme du Code civil permettra d’harmoniser notre droit et de mettre fin à une incohérence qui rend aujourd'hui la protection des animaux imparfaite. Car la Fondation constate qu’il y a encore un immense décalage entre les dispositions protectrices des animaux et leur application effective. Aujourd'hui, les procureurs ne poursuivent pas systématiquement les auteurs de maltraitances et lorsqu'ils le font, l’application des textes par les tribunaux est partielle et les sanctions prononcées mineures, les animaux restant considérés comme de simples biens meubles. Une nouvelle rédaction du Code civil, reconnaissant pleinement le caractère d’être vivant et sensible de l’animal, permettra ainsi aux magistrats d’appliquer la règle pénale avec une audace nouvelle. Cette réforme est réclamée par plus de 700 000 personnes signataires de la pétition lancée par la Fondation, approuvée par 9 Français sur 10 et soutenue par 24 intellectuels ayant cosigné son manifeste. Mais alors qu’un vote définitif est prévu au Parlement dans les prochains jours, de nombreux opposants se mobilisent pour faire échouer l’adoption finale du nouveau statut juridique de l’animal dans le Code civil. La poursuite de votre mobilisation, par ce geste et sous forme de lettre à l’attention de votre député(e), est essentielle afin d’assurer que notre démarche commune aboutisse à la reconnaissance définitive du caractère vivant et sensible de l’animal dans le Code civil. Plus nous serons nombreux à écrire à nos élus, plus nous aurons de chances de faire définitivement adopter cette réforme de progrès. COMMENT PARTICIPER ? 1) Je recherche le nom de mon député le site de l'Assemblée nationale. 2) Je télécharge le courrier au format PDF. 3) J'imprime, je remplis le courrier avec les coordonnées de mon député et l'envoie. A savoir : chaque courrier envoyé à un député est enregistré par les services de l'Assemblée nationale assurant ainsi sa traçabilité. 30 millions d'amis 3/6/2014
  22. Pour sauver ce tatou, un groupe de biologistes exige la création de 1000 hectares de zones protégées par but marqué lors de la Coupe du monde au Brésil ! Fuleco est un tatou à trois bandes (Tolypeutes tricinctus) qui ne vit que dans les forêts sèches du nord-est du Brésil. L’animal s’est aisément imposé comme mascotte. Quand il se sent menacé, il se met en effet en boule et prend exactement la forme d’un ballon de football, car contrairement aux autres espèces de tatous, il est incapable de creuser des galeries dans le sol. La caatinga dans le Pernambouc. Sergio Sertão FAL Problème : c’est une espèce hautement vulnérable selon l’Union internationale de conservation de la nature (UICN). La Caatinga, la région forestière où il vit, a vu sa surface réduite de 53%, soit près de 400.000 km2 de zones naturelles détruites par l’agriculture et l’avancée de l’élevage intensif. Il est par ailleurs chassé par les populations locales. Les effectifs de ce petit mammifère sont donc en chute libre d’autant que ce tatou ne bénéficie d’aucune réserve de protection. Lors du choix de la mascotte, les organisateurs du Mondial n’ont pas pris la peine de prendre contact avec les ONG environnementales. Seule une filiale commerciale du comité d’organisation a versé une somme forfaitaire de 100.000 reais (33.000 euros) à l’association des protecteurs de la Caatinga. Une obole pour les biologistes : "protéger la Caatinga devient extrêmement urgent, estime ainsi José Alves Siqueira, professeur à l’Université fédérale de la vallée de Sao Francisco. Nous voulons que le choix d’un des animaux les plus représentatifs de cette forêt comme mascotte soit plus que symbolique". D’où l’idée exprimée dans un article de la très sérieuse revue Biotropica de lier l’habilité des buteurs (et la maladresse des gardiens de but) à la création d’une réserve forestière. Pour chaque but marqué, 1000 hectares seraient préservés. Soit, à l’aune des coupes du monde précédente, la création d’une zone protégée de 170.000 hectares (1700 km2). La balle est dans le camp de Dilma Rousseff, présidente du Brésil, et du comité d’organisation. Lequel a bien du mal à verdir la manifestation. La compensation carbone des déplacements des supporters ne décolle pas comme le montre la liste des donateurs et la faiblesse de leurs dons. Par ailleurs, le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) vient de publier un "Passeport Vert" pour inciter les supporteurs à fréquenter les bars et restaurants étiquetés "développement durable". Seulement, la liste des bistrots écologiquement fréquentables est bien courte… SCIENCES ET AVENIR 3/6/2014
  23. La qualité de l'air intérieur des écoles sous surveillance La qualité de l'air intérieur est une problématique à laquelle s'intéresse de plus en plus les autorité publiques. Facteur allergisant voire cancérogène, la pollution intérieure devrait être surveillée pour éviter l'exposition trop longue ou trop importante à certaines particules nocives pour la santé. Le ministère du Développement durable a décidé de s'attaquer à la qualité de l'air intérieur des écoles. D'ici le 1er janvier 2015 deux campagnes de mesure de la qualité de l'air devront avoir été effectuées. La première lorsque les bâtiments sont chauffés et la seconde lorsqu'ils ne le sont pas. D'ici le 1er janvier 2015 deux campagnes de mesure de la qualité de l'air devront avoir été effectuées dans quelque 26.000 établissements. (CLOSON DENIS/ISOPIX/SIPA) Déjà conduite entre 2009 et 2011, une précédente enquête avait été menée dans 310 établissements. Elle avait révélé que 3 enfants sur 10 étaient exposés à des niveaux de polluants atmosphériques supérieurs aux valeurs guides recommandées par l'OMS et l'Anses. Une exposition associée à une augmentation de l'asthme et des rhinites chez les enfants scolarisés, et plus particulièrement des enfants allergiques. Cette fois-ci l’enquête prendra une toute autre envergure puisque ce sont environ 17.000 écoles maternelles, et 9.000 établissements dédiés à l'accueil collectif des enfants de moins de 6 ans qui seront soumis au contrôle de l'air. Il devra se faire sous l'autorité des exploitants ou propriétaires de ces lieux. Le tour des écoles élémentaires viendra en 2018 puis, progressivement, celui d'autres types d'établissements. Bien que des données américaines soulignent une pollution de l'air intérieur accrue dans les écoles, les relations entre cette qualité de l'air intérieur des écoles et la santé allergique et respiratoire des enfants scolarisés n'ont été que peu explorées. Atlantic France 27/4/2012 Principales sources de formaldéhyde dans l'air intérieur de nos maisons : les panneaux de particules et autres dérivés du bois qui utilisent dans leur fabrication des colles thermodurcissables à base de formol, un produit très réactif et peu coûteux. Benzène : Le benzène est un solvant inflammable et toxique. Très volatil et l’exposition se produit principalement par inhalation. Il a été classé cancérogène par l'Union européenne. En effet, entre 5 et 18% des leucémies seraient dues à une exposition professionnelle au benzène. Les employés les plus exposés sont ceux travaillant dans la fabrication, le transport ou l’utilisation de benzène, dans l’utilisation de carburants automobiles, et ceux manipulant du benzène pur dans les laboratoires notamment. Le benzène est issu de la combustion. En intérieur, il peut donc provenir du chauffage, de la cuisine ou de la consommation de tabac. CO2 : Le CO2 enfin, ou dioxyde de carbone, est lui aussi issu de la combustion et le plus connu des gaz à effet de serre. Surtout il est un indice de la qualité du degré de confinement des locaux. SCIENCES ET AVENIR 2/6/2014
  24. C'est un animal microscopique, une sorte de polype à tentacules, qui vit de façon commensale ( en interaction biologique) dans les tubes calcaires de certains vers marins tubicoles. Vue d'artiste de Protulophila sur un tube d'un ver marin. NIWA On retrouve sa trace dans des fossiles en Europe et au Moyen-Orient dont les plus vieux datent de 170 millions d'années, une période correspondant au Jurassique moyen. Les spécialistes pensaient que cet animal avait disparu il y a environ quatre millions d'années. Mais une équipe de Nouvelle-Zélande a découvert des indices indiquant que les Protulophilas existent toujours ! C'est en travaillant sur des fossiles dans l'île Nord de la Nouvelle-Zélande que des biologistes marins ont découvert des Protulophilas dans une roche formée de tubes calcaire de vers fossilisés et datée de moins d'un million d'années. Cette découverte les a alertés sur le fait que l'animal pouvait être encore en vie aujourd'hui en Nouvelle-Zélande. Image au microscope électronique de trous formés par des protulophilas sur la paroi d'un tube calacaire d'un ver tubicole. Paul Taylor, Natural History Museum, London. Les scientifiques ont donc examiné des échantillons de vers tubicoles stockés dans la collection d'invertébrés de la NIWA (l'Agence scientifique de Nouvelle-Zélande) à Wellington et découvert des Protulophilas qui avaient échappé aux observations précédentes. Les vers tubicoles ont été collectés en 2008 dans 20 mètres d'eau. L'intuition des chercheurs est donc confirmée : l'animal qu'on croyait disparu depuis quatre millions d'années vit toujours, très loin de son habitat antique ! Ils ont pu examiner les quelques spécimens retrouvés et confirmé le lien phylogénétique entre Protuphila et les coraux et les anémones de mer. "C'est très excitant. Notre travail de détective a également suggéré la possibilité que Protulophila peut être le premier stade de vie de certaines méduses planctoniques" estime Dennis Gordon, un des découvreurs du polype. Cavités et trous formés par des prtotulophilas sur un ver tubicole, vus au microscope électronique. Paul Taylor, Natural History Museum, London. De nombreuses espèces d'hydraires ont en effet un cycle de vie en deux étapes (une sous forme de polype et une sous forme de méduse) et souvent les deux étapes ne sont pas identifiées. "Notre découverte pourrait donc dire que nous résolvons deux énigmes à la fois" se réjouit le chercheur. Il espère prochainement retrouver des échantillons "frais" de protulophilas, une campagne de prélèvement est prévue autour de la Nouvelle-Zélande, on en saura plus alors. Sciences et avenir 3/6/2014
  25. Une nouvelle espèce de blatte a été identifiée, grâce à un spécimen parfaitement conservé dans l'ambre. C'est dans un morceau d'ambre de la Baltique vieux d'environ 45 millions d'années que cette blatte a été retrouvée. Ce n'est pas la première fois qu'on découvre des inclusions d'intérêt dans cette zone. Formée d'une résine de conifère fossilisée, l'ambre de la Baltique représente le plus grand gisement d'ambre du monde. Il est exceptionnellement riche et de nombreux morceaux d'ambre abritent des pièces botaniques ou zoologiques, en particulier des arthropodes. Femelle Aradus macrosomus, piégée dans l'ambre. Stefan Heim. Cette fois c'est donc une espèce de blatte, inconnue jusqu'ici, qui a été découverte et nommée Aradus macrosomus. C'est la plus grande représentante du genre Aradus. Avec une taille de 9,2 mm et des caractéristiques qui diffèrent des autres espèces, elle a retenue l'attention des chercheurs qui publient sa description dans la revue allemande Deutsche Entomologische Zeitschrift. C'est la 14ème espèce retrouvée dans de l'ambre de la Baltique, nombre d'entre elles avaient pour habitat l'écorce des arbres morts ce qui pourrait expliquer le grand nombre de spécimens retrouvés figés dans l'ambre. Sciences et avenir 3/6/2014
×
×
  • Créer...