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BelleMuezza

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  1. IFAW appelle l’Union Européenne à s’engager dans la lutte contre le trafic d’espèces animales alors que 40 kg d’ivoire ont été saisis à Paris Les Douaniers français ont saisi 40kg d’ivoire chez un particulier à Paris le 8 mars 2011. Les 40 kilos d’ivoire comprenaient plusieurs statuettes représentant des guerriers, des figurines religieuses, des Bouddhas mais aussi des défenses d’éléphants. IFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) salue cette prise mais rappelle qu’il s’agit juste de la partie émergée de l’iceberg. "Chaque année des milliers d’éléphants sont braconnés pour leur ivoire. Ce que l’on a constaté à Paris n’est qu’un aperçu d’un des plus grands trafics au monde" a déclaré Lesley O’Donnell, Directrice du bureau européen d’IFAW." Ce trafic prend son origine en Afrique où des milices organisées et des gangs se livrent au braconnage d’éléphants et revendent l’ivoire pour financer leurs activités illicites qui le mènent en Chine, au Japon, et incontestablement en Europe." Le coût humain du trafic d’ivoire en Afrique est considérable. Chaque année de nombreux rangers des parcs nationaux périssent en tentant de protéger les éléphants des braconniers équipés d’armes de guerre. Les éléphants sont une espèce centrale de l’écosystème, dont l’importance est vitale pour protéger l’intégrité de la biodiversité d’une région. L’évolution du braconnage indique qu’ils pourraient bien être rayés de la carte dans certaines régions. Bien qu’IFAW a déjà formé plus de 10 000 agents de protection de la faune sauvage dans le monde, il reste beaucoup à faire. "L’Union Européenne doit s’impliquer encore plus dans le combat contre le commerce global d’espèces animales," poursuit Lesley O’Donnell. "Nous avons besoin d’une meilleure application des législations en matière de commerce de la faune sauvage en Europe, nous demandons instamment à l’Union Européenne de prendre la tête d’un mouvement international qui condamne tout assouplissement des législations relatives au commerce de l’ivoire et d’aider les pays africains qui demandent de l’aide dans cette guerre contre la contrebande de la faune sauvage." Source : IFAW 20/03/2011
  2. Un massacre sanglant tue 30 éléphants en quatre jours au Tchad Une tragédie vient de frapper le Tchad où 30 éléphants ont été retrouvés morts en début de semaine, dépourvus de leurs défenses, celles-ci ayant été retirées par les braconniers. Ces derniers auraient aussi abattu un militaire qui tentait de protéger les éléphants. Ces éléphants ont été tués entre samedi dernier et mardi en début de semaine. Ce nouveau massacre porte au moins à 150 le nombre d’éléphants tués pour leur ivoire dans la région du Logone oriental au sud du Tchad au cours des 12 derniers mois. On estime que la population d’éléphants du Tchad s’est effondrée de près de 40% passant de 4 000 individus en 2006 à environ 2 500 d’après le plus récent dénombrement effectué en 2010. Ces animaux ont principalement été braconnés pour leur ivoire. Céline Sissler-Bienvenu, directrice de la région Afrique francophone pour le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW – www.ifaw.org) souligne que des groupes de braconniers très bien armés et organisés traversent régulièrement la frontière Sud du Tchad (laquelle est partagée avec le Cameroun, la Centrafrique et le Soudan) en quête d’éléphants. “L’ivoire est exporté illégalement hors d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest pour alimenter les marchés en Asie et en Europe, et très souvent, l’argent récolté aide à financer l’achat d’armes qui serviront dans le cadre de conflits régionaux, à l’image de ce qui se passe dans la région du Darfour, au Soudan et en Centrafrique,” précise Sissler-Bienvenu. La lutte contre le braconnage est un défi permanent pour le Tchad qui est l’un des pays les plus pauvres et les plus corrompus au monde, la majeure partie de sa population vivant sous le seuil de pauvreté. Sissler-Bienvenu considère que la seule réponse permettant de mettre fin à ces attaques sanglantes contre les éléphants du Tchad et les autres éléphants menacés d’Afrique, est de réduire la demande pour l’ivoire, notamment en Chine, et s’assurer que les rangers des pays de l’aire de répartition de l’éléphant reçoivent la formation adéquate et l’équipement nécessaire pour affronter les braconniers professionnels. “Depuis 2009, IFAW finance des projets d’appui à la lutte anti-braconnage (évaluation des besoins, formation pratique, équipement) auprès des rangers et autorités en charge de la conservation dans les pays d’Afrique centrale qui rencontrent d’importantes difficultés à mettre fin à ce trafic sanglant et cruel qu’est celui de l’ivoire,” déclare Sissler-Bienvenu. “Désormais, ce dont ont besoin ces pays, c’est que la communauté internationale s’engage durablement à soutenir financièrement ces rangers formés et motivés afin qu’ils parviennent efficacement à protéger leurs éléphants.” Compte tenu des problèmes de sécurité au Tchad, à ce jour, IFAW n’a pas encore été en mesure d’apporter son appui à la lutte contre le braconnage qui y sévit. Dès que la situation le permettra, IFAW se rapprochera du gouvernement tchadien afin de lui proposer son aide. Il y a deux semaines, les douaniers thaïlandais ont saisi plus de deux tonnes de défenses d’éléphants africains représentant la prise d’ivoire illicite la plus importante de ces dernières années – les 247 défenses, estimées à 2,8 millions d’euros étaient cachées dans une cargaison de poissons congelés en provenance du Kenya. Une analyse ADN est actuellement en cours afin d’identifier l’origine réelle de cet ivoire. Source : IFAW 8/05/2011
  3. Un chien survit en dépit de graves brûlures infligées Souffrant d’importantes lésions à la tête et au cou, un croisé teckel reçoit depuis une semaine des soins intensifs. Le refuge de l'Etang bleu (55), soutenu par la Fondation 30 Millions d’Amis, se bat pour le sauver. Une plainte contre X va être déposée pour tenter d’identifier l’auteur de cet acte d’une cruauté inouïe. Ce sont des ouvriers en bâtiment qui ont découvert (8/3/11) un jeune croisé teckel visiblement brûlé, au petit matin dans une cité de Verdun, dans la Meuse. Après avoir essuyé un refus de soin dans une clinique vétérinaire - le chien ne sera pas soigné si personne n’accepte de régler la facture (!) - ils emmènent l’animal au refuge de l'Etang bleu, situé à Thierville-sur-Meuse (55), qui prend immédiatement en charge cet animal en grande détresse. Placé en soins intensifs dans une clinique vétérinaire spécialisée en dermatologie, ce petit mâle âgé seulement de 6 mois a été, selon, les premières constatations médicales, atteint par de l’huile bouillante, brûlé au 3e degré à la tête, au cou, au flanc et à une patte. « Les oreilles sont particulièrement touchées, précise Martine Schmitt, présidente du refuge de l'Etang bleu. A ce stade, nous ne savons pas encore s’il pourra les conserver, ou si l’amputation sera nécessaire. » Cette dame, très touchée par l’état dans lequel se trouve l’animal, a pourtant une certitude : selon elle, « ces blessures ont été causées volontairement. » « Bébé », c’est le nom provisoire donné au petit chien, vient de quitter le service vétérinaire (15/3/11) et vit à présent en chambre stérile, au domicile de Martine : « Nous avons la chance de compter parmi nos bénévoles deux infirmiers urgentistes et une assistante vétérinaire, explique-t-elle. Ils vont se relayer chaque jour pour lui apporter des soins très spécifiques. » Une formidable chaîne de solidarité pour ce jeune chien, décrit comme « câlin, très sociable avec les chats, qui manifeste une très forte envie de vivre et de se battre ». Pour autant, tous les soins prodigués ne permettent pas encore de parier sur une guérison définitive : « La moindre infection peut le tuer, explique Martine. Pour l’instant, nous faisons tout pour qu’il s’en sorte. » Les mois qui attendent le pauvre animal ne seront pas de tout repos. Bains, changement des pansements, visites hebdomadaires chez le vétérinaire… Et si les conditions sont réunies, des greffes de peaux seront envisagées. Quelle que soit l’issue de ce drame, Martine tentera le tout pour le tout. Très émue par cette histoire, la Fondation 30 Millions d’Amis a souhaité prendre en charge la totalité des soins vétérinaires que nécessite l’état du petit croisé. Par ailleurs, souhaitant que toute la lumière soit faite sur cette dramatique affaire, la Fondation se constituera dans les prochains jours partie civile auprès du tribunal de grande instance de Verdun (55), aux côtés du refuge de l'Etang bleu et une plainte contre X pour actes de cruauté envers animaux sera déposée auprès du commissariat de Verdun. Parallèlement, un appel à témoin* est lancé afin d’identifier le ou les responsables de cet acte barbare infligé à « Bébé ». « Dans quelque temps, nous lui donnerons un vrai nom, conclut Martine Schmitt. Nous ne pourrons pas l’appeler "Bébé" toute sa vie ! » s’exclame-t-elle dans un élan d’optimisme. *Toute personne susceptible d’apporter un renseignement utile peut contacter Martine Schmitt au 06 86 50 70 18. Source : Fondation 30 millions d'amis 20/03/2011
  4. Cellule zoé : l’antidote à la cruauté La cruauté n’a pas de limites. Et si, ensemble, nous relevions le défi de lui en mettre, et, bien au-delà, de l’éradiquer ? C’est ce défi que le regard de la petite chienne Zoé, victime de barbarie dans un élevage savoyard, nous a amenés à relever à travers la « Cellule Zoé ». Pour One Voice, cette structure est une « réponse immunitaire » à la violence que subissent les animaux. Le regard de Zoé, petite chienne recroquevillée au fond de son tonneau lors de son sauvetage le 28 janvier 2011, en a marqué plus d’un. Le sien et celui de ses nombreux compagnons d’effroyable infortune, survivant attachés sur un site que l’on n’ose nommer « élevage ». Une décharge plutôt. Après cette intervention, pour One Voice, il n’était pas question d’en rester là. Zoé – aujourd’hui, choyée, sereine - pointait tous les autres animaux, souffrant en des lieux qu’il faut débusquer comme ce le fut pour son chenil. C’est ainsi que la « Cellule Zoé » s’est imposée à l’Association, pour aller porter secours à tous les animaux martyrisés, même les plus cachés. « Zoé » signifie « la vie » en grec, et c’est bien la vie qu’il s’agit de faire triompher des pulsions mortifères dont sont victimes les animaux. La violence n’est pas une fatalité. Il faut lui opposer des systèmes de défense efficaces et cela passe simplement par la vigilance de tous, que la Cellule entend favoriser. Comme toutes les actions de l’Association, elle est animée par la volonté d’œuvrer pour une société paisible, qui place l’humanisme, et donc tous les êtres vivants, au cœur de ses préoccupations. Structure polyvalente, la Cellule intervient tant au niveau de la sensibilisation des citoyens que sur le terrain. Il est fondamental d’informer le public. Mettre au grand jour des actes de cruauté et tirer de l’ombre leurs auteurs devraient tempérer les ardeurs cruelles de ces derniers, une forme de prévention. Dans l’urgence, selon les situations, la Cellule assure la logistique, les liens avec les refuges, la coordination avec d’autres associations, l’appel à bénévoles, la gestion des frais engagés... Au quotidien, elle se consacre aux dossiers de cruautés sur les animaux suspectées ou avérées. Elle suit les actions en justice en cours. Elle se compose de quatre réseaux, dont une cellule de veille assure la coordination, les échanges, voire l’activation si nécessaire : - Un réseau d’informateurs, à la source de tout sauvetage, couvre tout le pays, - Un réseau d’enquêteurs prend ensuite le relais pour les investigations et surveillances, - Un réseau de représentants des autorités compétentes, services vétérinaires, gendarmerie, voire services sociaux avec lesquels la responsable de la Cellule est en contact permanent, - Un réseau de refuges partenaires se tient prêt à accueillir les animaux sauvés. Déjà, plusieurs dossiers sont en cours, celui notamment d’un piégeur de chats, massacrant littéralement les félins dans l’Aisne, et, celui, sidérant, d’éleveurs ayant laissé périr leurs vaches en Côte-d’Or. La Cellule Zoé a été imaginée comme une véritable synergie entre One Voice et ses partenaires. L’association met toutes ses forces à la disposition de la Cellule et en tant que partenaire vous en garantissez la pérennité et le développement. Ce partenariat se décline en trois actes : vos dons, pour aider aux investissements qu’implique le soin apporté aux actions menées pour sauver les animaux. Votre collaboration au réseau d’informateurs. Et votre participation aux opérations de sauvetage. Faire barrage à l’escalade de la cruauté, c’est le défi que nous pouvons relever ensemble. Source : One Voice 08/05/2011
  5. Corse : les animaux interdits dans les cales des ferries Deux compagnies de transport maritime ont accepté de modifier leur réglementation suite à la mort accidentelle de chiens voyageant en cale. Une victoire pour les usagers qui ont eu la douleur de perdre leur compagnon et pour la Fondation 30 Millions d’Amis. Révélée par le quotidien Nice-Matin (8/7/10), la mort de deux chiens voyageant dans la cale d’un bateau de la compagnie Corsica Ferries entre Nice et Calvi avait alerté la Fondation 30 Millions d’Amis. Après quelques semaines d’enquête, il s’avère que d’autres usagers étaient touchés par le même drame : à leur arrivée dans les ports corses, ils avaient l’immense et douloureuse surprise de trouver leurs animaux morts. La chaleur étouffante avait été alors incriminée (les animaux voyageaient dans l’habitacle des véhicules transportés en cale, NDLR), les compagnies rejetant toute responsabilité, au grand désarroi des propriétaires. La SNCM et Corsica Ferries, les deux sociétés mises en cause, avançaient que des panneaux « Dangereux » visibles dans les cales étaient suffisamment explicites. Face aux arguments des défenseurs des animaux, elles ont finalement préféré interdire purement et simplement la présence d’un animal de compagnie dans une voiture pendant une traversée. Désormais, les animaux devront être laissés au chenil situé sur le pont du bateau, ou voyager en restant aux côtés de leurs maîtres, comme cela est désormais précisé dans les règlements respectifs des compagnies de transport maritime. La Fondation 30 Millions d’Amis se réjouit d’une telle décision et conseille à chacun, et ce quelque soit le mode de transport utilisé, de demander conseil à son vétérinaire afin de prendre toutes les mesures appropriées au bien-être de son animal lors des voyages. Source : 30 millions d'amis 10/05/2011
  6. C’est à l’initiative d’une parlementaire qu’un texte obligeant les propriétaires de félins à identifier leur animal a été définitivement adopté (6/4/11). La Fondation 30 Millions d’Amis salue cette mesure qui contribuera à réduire le nombre de chats errants, mais aussi les erreurs de fourrière qui conduisent parfois à leur euthanasie. Bonne nouvelle : le texte visant à rendre obligatoire l’identification - par tatouage ou puce - des chats en France, a été adopté par les députés puis en seconde lecture par le Sénat (6/4/11). L’idée en revient à Nicole Bonnefoy, sénatrice et conseillère générale de la Charente (16). Il concerne les chats nés après le 1er janvier 2012 et âgés de plus de 7 mois. La loi de 1999 relative aux animaux dangereux et errants et à la protection des animaux précise que tout chien de plus de quatre mois et né après le 6 janvier 1999 doit être identifié. Une mesure qui ne concernait pas les félins jusqu’à aujourd’hui. Selon l’article 214-5 du code rural, seule l’identification pour tous les chats - mais seulement dans le cadre d’un transfert de propriété - est obligatoire. « Sur les 9,9 millions de chats dénombrés en France, plus de 80 % - soit 4 félins sur 5 - ne sont pas identifiés. De ce fait, trop d'animaux sont perdus et placés en refuge avant d'être euthanasiés faute d'identification et ce, parfois par erreur », précise Nicole Bonnefoy. Un véritable drame pour les propriétaires d’animaux lorsqu’ils perdent leurs compagnons. Sans compter les milliers de chats abandonnés par des maîtres irresponsables qui attendent dans les refuges sans que l’on puisse retrouver et sanctionner leur propriétaire. C’est ce vide juridique qu’a souhaité combler la sénatrice de Charente : compléter la loi pour que les chats soient eux aussi concernés par l’identification et non plus « livrés à eux-mêmes, dans des conditions sanitaires parfois déplorables ». En d’autres termes, un amendement pour les protéger et lutter plus efficacement contre les abandons. Une solution « humainement plus respectable et responsable que celle qui consiste à envoyer des chats à la fourrière », plaide la parlementaire. La sénatrice espère une rapide mise en application de cet amendement, qui sera effectif dès le 1er janvier 2012. Une position entièrement partagée par la Fondation 30 Millions d’Amis qui aide de nombreuses Ecoles du Chat libre - en finançant les opérations de stérilisation - permettant ainsi de réduire le nombre de portées abandonnées en pleine nature et la prolifération des chats errants, parfois menacés de mort du fait de décisions expéditives des collectivités. Stérilisation et identification sont aujourd’hui les moyens les plus efficaces de réduire, sans leur nuire, la prolifération des chats. Une priorité lorsque l’on sait qu’un couple de chats peut engendrer à lui seul jusqu’à 20 700 descendants en l’espace de 4 ans ! « Les chats peuvent vivre une vingtaine d’années, conclut Nicole Bonnefoy. Les identifier et les protéger, c’est le moins que l’on puisse faire pour ces animaux qui nous tiennent compagnie si longtemps. » Source : Fondation 30 Millions d'amis 26/04/2011
  7. Une sénatrice rend l’identification des chats obligatoire C’est à l’initiative d’une parlementaire qu’un texte obligeant les propriétaires de félins à identifier leur animal a été définitivement adopté (6/4/11). La Fondation 30 Millions d’Amis salue cette mesure qui contribuera à réduire le nombre de chats errants, mais aussi les erreurs de fourrière qui conduisent parfois à leur euthanasie. Bonne nouvelle : le texte visant à rendre obligatoire l’identification - par tatouage ou puce - des chats en France, a été adopté par les députés puis en seconde lecture par le Sénat (6/4/11). L’idée en revient à Nicole Bonnefoy, sénatrice et conseillère générale de la Charente (16). Il concerne les chats nés après le 1er janvier 2012 et âgés de plus de 7 mois. La loi de 1999 relative aux animaux dangereux et errants et à la protection des animaux précise que tout chien de plus de quatre mois et né après le 6 janvier 1999 doit être identifié. Une mesure qui ne concernait pas les félins jusqu’à aujourd’hui. Selon l’article 214-5 du code rural, seule l’identification pour tous les chats - mais seulement dans le cadre d’un transfert de propriété - est obligatoire. « Sur les 9,9 millions de chats dénombrés en France, plus de 80 % - soit 4 félins sur 5 - ne sont pas identifiés. De ce fait, trop d'animaux sont perdus et placés en refuge avant d'être euthanasiés faute d'identification et ce, parfois par erreur », précise Nicole Bonnefoy. Un véritable drame pour les propriétaires d’animaux lorsqu’ils perdent leurs compagnons. Sans compter les milliers de chats abandonnés par des maîtres irresponsables qui attendent dans les refuges sans que l’on puisse retrouver et sanctionner leur propriétaire. C’est ce vide juridique qu’a souhaité combler la sénatrice de Charente : compléter la loi pour que les chats soient eux aussi concernés par l’identification et non plus « livrés à eux-mêmes, dans des conditions sanitaires parfois déplorables ». En d’autres termes, un amendement pour les protéger et lutter plus efficacement contre les abandons. Une solution « humainement plus respectable et responsable que celle qui consiste à envoyer des chats à la fourrière », plaide la parlementaire. La sénatrice espère une rapide mise en application de cet amendement, qui sera effectif dès le 1er janvier 2012. Une position entièrement partagée par la Fondation 30 Millions d’Amis qui aide de nombreuses Ecoles du Chat libre - en finançant les opérations de stérilisation - permettant ainsi de réduire le nombre de portées abandonnées en pleine nature et la prolifération des chats errants, parfois menacés de mort du fait de décisions expéditives des collectivités. Stérilisation et identification sont aujourd’hui les moyens les plus efficaces de réduire, sans leur nuire, la prolifération des chats. Une priorité lorsque l’on sait qu’un couple de chats peut engendrer à lui seul jusqu’à 20 700 descendants en l’espace de 4 ans ! « Les chats peuvent vivre une vingtaine d’années, conclut Nicole Bonnefoy. Les identifier et les protéger, c’est le moins que l’on puisse faire pour ces animaux qui nous tiennent compagnie si longtemps. » Source : Fondation 30 Millions d'amis 26/04/2011
  8. Je me suis personnellement trouvée dans une situation d'urgence : un incendie. Je ne m'étendrai pas sur les circonstances de l'incendie. Je vais juste dire ce que j'ai fait pour mes trois chats... Cela s'est passé il y a 6 ans maintenant. J'ai été réveillée par un bruit inhabituel... : Ma fille venait d'éjecter de sa chambre, son fils âgé de 3 ans... Je ne voyais rien, beaucoup de fumée... ai est vite compris ce qui se passait. J'ai fait couler de l'eau dans la baignoire, pendant ce temps, j'ai mis à l'abri sur un balcon deux des chats qui allaient et venaient... Dès qu'il y a eu suffisamment d'eau, j'ai pris un seau et ai arrosé la chambre, à l'endroit d'où semblait parvenir la fumée... Pendant ce temps ma fille est partie chez des voisins pour mettre mon petit-fils à l'abri. A son retour, nous avons continué à arroser... Nous avons mis dans la baignoire tout ce qui était sans trop de danger pour nous en train de se consumer. Les secours ont été appelés par des voisins. C'était le futon qui était en train de se consumer... ainsi que du linge qui était dessus. Ma fille a lutté contre les flammes (petites) avec des serviettes mouillées... Elle a dû arrêter car elle a été brûlée sous les pieds... J'ai continué à arroser... Quand plus de flammes j'ai descendu par les escaliers tout ce qui était susceptible de prendre ou reprendre feu (6 étages par les escaliers)... Quand les secours sont arrivés, le feu était éteint, plus aucun danger ne subsistait. Avant l'arrivée des pompiers, une voisine a coupé le compteur électrique par sécurité (j'avais oublié)... Avant d'être évacués à l'hôpital car nous avions inhalé de la fumée, j'ai cherché mon troisième chat qui était introuvable... La minette s'était réfugiée sous un canapé du salon... Elle a été rejoindre les autres sur le balcon... Je ne dis pas que j'ai bien fait et bien pensé les choses : j'ai agi dans l'urgence pour nous sauver... Mais aussi pour sauver mes chats. En la circonstance j'ai agi impulsivement... pas de manière réfléchie... Cette aventure m'a énormément marquée et maintenant j'ai très peur de la moindre odeur suspecte pouvant signaler un départ de feu ou du feu... Quand je dis peur, c'est vraiment peur... Je tremble de tous mes membres et mon cerveau se déconnecte de tout pour se focaliser sur la fumée ou le feu... L'hiver dernier des imbéciles ont mis le feu à une voiture sur le parking... J'étais au 6ème étage... Mais j'ai paniqué au point de piquer une crise de nerfs. J'ai dû descendre car je ne pouvais rester enfermée
  9. Se préparer à une évacuation avec ses animaux Ce message s’adresse aux personnes ayant des animaux et vivant dans des régions ou pays soumis ou susceptibles d’être soumis aux caprices des éléments naturels : autrement dit faire face à une catastrophe naturelle ! Les animaux, comme les hommes, ne sont pas à l’abri des cataclysmes naturels. Les animaux, s’ils peuvent pressentir le danger et même alerter les humains : les sauvant parfois, voire souvent, d’une fin tragique, sont les grands oubliés dans les plans de sauvetage… Il est temps de prendre conscience qu’eux aussi ont le droit d’être secourus et surtout, pour leurs propriétaires, de préparer un plan d’urgence pour les mettre à l’abri ou s’organiser, le mieux possible pour assurer leur sécurité… au même titre qu’à la leur !!! En effet les chats, les chiens et autres animaux, ne sont pas mieux lotis en cas de : séisme, incendie, tempête, ouragan, cyclone, tsunami, inondation, etc… Les propriétaires des animaux (qu’ils soient de compagnie ou de la ferme) devraient réfléchir à la situation, afin de mettre en œuvre des mesures de protection selon les fléaux naturels auxquels la région ou le pays est soumis ou risque d’être soumis. En effet, certaines régions ou pays sont régulièrement touchés par des événements répétitifs, donc connus et identifiés. La seule chose qui ne peut être prévue avec précision : la date de la survenue des dits événements ET leur puissance. Mettre en place un ou plusieurs plans d’urgence pour les humains de la part des gouvernants est une mesure élémentaire de bon sens… Bien que dans certains pays, ils soient inexistants ou l’information mal ou pas communiquée. Malheureusement, rares sont les pays qui prévoient des plans d’urgence ou d’évacuation comprenant les animaux, notamment de compagnie… C’est donc, selon moi, à leur propriétaires de s’organiser pour offrir de meilleures chances de survie à leurs animaux. La première chose est de tout faire pour éviter de laisser un animal à son triste sort, de fuir le danger soi-même, sans se soucier comment il va survivre. Je sais, parfois il y a des événements tellement subits que nul ne peut les prévoir… Je ne parle pas de ces cas-là… Animaux et Humains étant dans ces cas-là, si l’on peut dire, à égalité… En revanche ce que l’on sait pour les événements, disons prévisibles, c’est si les abris d’urgence acceptent ou non les animaux… Il faut se rendre à l’évidence, presque tous les plans d’urgence oublient les animaux quand il n’est pas interdit de les prendre avec soi. La plupart du temps les abris refusent la présence des animaux (essentiellement pour des questions d’hygiène). Comme on l’a vu récemment lors de la catastrophe survenue au Japon, les compagnies aériennes refusent également l’emport des animaux…Donc il faut prévoir des solutions pour faire face, le mieux possible, à l’urgence pour nos compagnons à 2 ou 4 pattes… Ce qui pourrait être fait : - Construire de petits abris le plus sûrs possible, facile d’accès. Munis d’un système d’aération étanche, dans lequel il faut mettre de l’eau et de la nourriture pour plusieurs jours. Cet abri peut être prévu pour pouvoir flotter… - Equiper son animal (ou ses animaux) avec un émetteur GPS (c’est encore cher pour le moment, mais cela existe… certains colliers en sont dotés)… - Identifier l’animal : tatouage ou micro-puce. Si l’animal se perd, il sera ainsi identifiable et il sera plus facile de le rendre à son propriétaire… - S’assurer que l’animal est facilement identifiable, grâce à une médaille portant son identité ou plaque solidement fixée sur le collier ou sur un vêtement de protection… - Avoir toujours sous la main un trousse de secours prête à être emportée si nécessaire : boîte de transport (pour les petits animaux notamment), laisse, collier, bol, nourriture pour plusieurs jours, eau..., carnet de santé ou passeport, médicaments (si nécessaire), un bac à litière jetable (pour les chats…), - Si vous avez l’équipement de survie pour animaux (mettre le lien), mettre votre animal dedans si vous avez le temps et en cas de nécessité absolue…et seulement si l’animal peut vous accompagner. - Mettre dans un sac plastique imperméable les documents de votre animal (carnet de vaccination ou passeport, nom du vétérinaire habituel, noms de personnes à contacter, y compris vous... Possible aussi de mettre dedans d’autres documents personnels importants. Il n’y a aucune possibilité de vous sauver avec votre animal : - Prévoyez d’avoir une réserve de nourriture et d’eau pour au moins 10 / 15 jours (croquettes), remplir d’eau tous les récipients disponibles (les prévoir : étant empilables ça ne prend pas beaucoup de place), - Mettre un collier portant l’identification de l’animal : son nom, un numéro de téléphone, votre nom et vos coordonnées habituelles, - Remplir un maximum de récipients d’eau et de nourriture sèche, - Confiez votre animal à une personne de confiance… Donc il vous aura fallu penser à faire cette démarche au préalable, - Disposez directement sur le sol, ou dans plusieurs bacs, de la litière pour chats (qui peut servir à d’autres animaux également… - Pensez aussi à faire un signe distinctif sur vos portes ou fenêtres pour indiquer qu’un animal est à l’intérieur : par exemple : ICI chats, chiens, furets… ou autres… Il sera plus aisé aux équipes de sauvetage de pouvoir localiser et certainement pouvoir le sauver… Ces quelques conseils devraient permettre à un plus grand nombre d’animaux d’être sauvés ou de s’en sortir… Comme ses amis humains… D'autres suggestions : n'hésitez pas à les formuler....
  10. Forte radioactivité dans la piscine de stockage du réacteur 3 L'opérateur de la centrale endommagée de Fukushima a détecté de hauts niveaux de substances radioactives dans la piscine de stockage des barres de combustible irradié à l'intérieur du bâtiment du réacteur 3. Tepco a analysé des échantillons d'eau prélevés dimanche dans la piscine. Ils contiennent 140 mille becquerels de césium 134 radioactif par centimètre cube, 150 mille becquerels de césium 137 et 11 mille becquerels d'iode 131. Selon Tepco, il est possible que ces substances se soient libérées des barres de combustible endommagées dans le réacteur et qu'elles soient entrées dans la piscine en adhérant à des débris. Source : NHK 10/05/2011
  11. Développement de l'énergie éolienne au nord-est du Japon Le ministre japonais de l'Environnement a indiqué que le gouvernement encouragerait le développement des énergies renouvelables, maintenant que la Compagnie d'électricité du Chubu avait accepté de fermer la centrale nucléaire de Hamaoka, au centre du pays. L'opérateur a déclaré lundi qu'il fermerait temporairement la centrale, à la demande du premier ministre Naoto Kan. Le ministre de l'Environnement Ryu Matsumoto a expliqué à la presse mardi que cette décision allait avoir un impact important sur les politiques environnementales et énergétiques du gouvernement. Il a ajouté que la côte Pacifique au nord-est du Japon se prêtait à la production d'énergie solaire et éolienne et que le gouvernement allait équiper les maisons des survivants du tsunami de systèmes idoines. Selon M. Matsumoto, le potentiel de production d'électricité éolienne sur la côte nord-est, portée à son niveau maximal, est susceptible de dépasser la production d'énergie nucléaire du pays. Source : NHK 10/05/2011
  12. Les évacués de Fukushima visitent brièvement leur domicile Les évacués de la zone de 20 km autour de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi sont retournés brièvement chez eux. 92 personnes des 54 foyers que compte le village de Kawauchi ont été les premières parmi les habitants des 9 municipalités concernées à recevoir l'autorisation de visiter leur domicile. Le gouvernement a instauré une zone inerdite de 20 km autour de la centrale le 22 avril, à la suite de l'accident survenu à la centrale nucléaire. Les évacués, âgés de 21 à 85 ans, ont revêtu des combinaisons de protection et se sont équipés de dosimètres et de talkies-walkies dans un gymnase avant de pénétrer dans la zone interdite répartis en 5 bus. Pendant leur visite, ils ont collecté quelques effets et vérifié l'état de leur bétail. Puis ils sont retournés au gymnase où ils ont subi des tests de radioactivité. Des visites similaires se dérouleront jusqu'à la fin du mois de mai, excepté dans un périmètre de 3 km autour de la centrale. Source : NHK 10/05/2011
  13. Ajustement d'instruments de mesure dans le bâtiment du réacteur 1 Des ouvriers de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi ont commencé à ajuster des instruments de mesure destinés au réacteur numéro 1, une étape préparatoire à l'injection d'eau dans son enceinte de confinement pour assurer la stabilité de son refroidissement. Neuf techniciens ont travaillé à ces réglages dans le bâtiment du réacteur ce mardi matin, en dépit du fait que des mesures destinées à bloquer les fortes radiations sur le site n'aient guère eu d'effet. Tepco, l'opérateur de la centrale, veut que les instruments fonctionnent correctement de manière à pouvoir mesurer exactement le niveau de l'eau à l'intérieur de l'enceinte. Tepco envisage de porter à 18 mètres de haut le niveau de l'eau dans l'enceinte en question. sOURCE NHK 10/05/2011
  14. Le GIEC veut promouvoir davantage les énergies renouvelables Un groupe des Nations unies sur le climat estime que les sources renouvelables d'énergie pourraient fournir près de 80 pour cent des besoins en électricité dans le monde vers les années 2050. Le Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat ou GIEC a publié ces prévisions lundi dans un rapport, approuvé par les délégués des pays membres lors de discussions à Abou Dhabi. Le GIEC estime que les énergies renouvelables, telles que le solaire et l'éolien, pourraient assurer jusqu'à 77 pour cent des besoins en énergie dans le monde d'ici la moitié du 21e siècle. A l'heure actuelle, les énergies renouvelables comptent pour seulement 12,9 pour cent de la production d'électricité. Selon le GIEC, une transition vers les sources d'énergies renouvelables aurait aussi pour effet de réduire de quelque 560 milliards de tonnes les émissions de dioxyde de carbone d'ici 2050. De son côté, le World Wildlife Fund appelle à redoubler d'efforts pour promouvoir l'emploi des énergies renouvelables dans le monde. A son avis, le rapport soumis par le GIEC montre que le réchauffement du climat peut être atténué sans avoir recours à l'énergie atomique. Source : NHK 10/05/2011
  15. Tepco sollicite l'appui du gouvernement pour l'aider à payer ses indemnisations Le président de la Compagnie d'électricité de Tokyo a sollicité l'aide financière du gouvernement pour lui permettre de payer les indemnisations, rendues nécessaires par l'accident de la centrale de Fukushima. Masataka Shimizu, le président de Tepco, a remis cette requête ce mardi au secrétaire général du gouvernement, Yukio Edano, et au ministre de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie, Banri Kaieda. Selon ce document, Tepco devra dépenser pendant l'année fiscale en cours l'équivalent de 12,5 milliards de dollars pour la production d'électricité thermique et environ 9,3 milliards de dollars pour racheter ses obligations et s'acquitter de ses dettes. Tepco craint que de telles dépenses ne lui permettront pas d'offrir des dédommagements rapides et équitables, tout en garantissant des approvisionnements stables en électricité. Source : NHK 10/05/2011
  16. La politique énergétique du Japon sera tournée vers les renouvelables Le premier ministre japonais Naoto Kan a indiqué qu'à partir de maintenant, le gouvernement allait orienter sa politique énergétique vers les renouvelables et les économies d'énergie, de préférence au nucléaire. Lors d'une conférence de presse mardi, M. Kan a remercié la Compagnie d'électricité du Chubu d'avoir accepté rapidement de fermer sa centrale nucléaire de Hamaoka, dans le centre du pays, à la suite de la demande du gouvernement. M. Kan a précisé que la pénurie d'électricité redoutée pourrait être évitée en utilisant la production d'autres centrales et en économisant l'énergie, tant au niveau des entreprises que des particuliers. Le premier ministre a déclaré que le Japon avait misé sur l'énergie nucléaire et sur les énergies fossiles, mais que désormais, le gouvernement mettrait l'accent sur les renouvelables, éolien, solaire et biomasse. Il a ajouté qu'il souhaitait créer une société utilisant l'énergie plus efficacement. M. Kan a reconnu que le gouvernement avait sa part de responsabilité dans l'accident de Fukushima pour avoir encouragé le développement de l'énergie nucléaire. Il a également mentionné la responsabilité de l'exploitant de la centrale, Tepco, la Compagnie d'électricité de Tokyo. Source : NHK 10/05/2011
  17. 23 animaux sauvés en avril 2011 et près de 29.000 repas grâce aux clics solidaires et achats dans la boutique CLIC Animaux et les partenaires. La nouvelle version Clic Animaux devrait permettre d'en sauver davantage dans les prochains mois....
  18. Qui a dit que les chats étaient incapables d'être fidèles ? A ceux qui ne connaissent pas ou mal les chats, au point de dire qu'un chat était incapable de fidélité, voici une histoire, parmi tant d'autres, qui prouve le contraire ! Quand la maîtresse de Grisouille a été placée en maison de retraite à 40 kilomètres de son domicile, cette chatte de 7 ans, s’est retrouvée seule au monde.... (comme cela arrive trop souvent hélas !). Grisouille qui jusque-là était choyée et aimée s'est retrouvée brusquement seule et très certainement apeurée, voire désespérée, elle a fait la chose qui lui a probablement semblé la plus naturelle et normale : retrouver sa maîtresse... ! Personne ne sait comment cette minette a retrouvé la piste de sa maîtresse... Mais elle a réussi cet exploit ! En 3 semaines, Grisouille a fait les 40km qui sépare La Londe (son domicile) à Belgentier (lieu de la maison de retraite), dans le Var... Comment expliquer que les chats arrivent à "sentir" la présence de leurs "maîtres" à des kilomètres de là ? (de quelques km à plusieurs centaines, voire milliers de km...) ? Aujourd'hui, personne n'est en mesure de l'expliquer... Ce genre d'histoire contribue au fameux mythe du 6ème sens des animaux et des chats en particulier. Comment cette histoire nous est parvenue ? En fait Grisouille a été retrouvée, errante, autour de la maison de retraite par une personne qui se bat contre les abandons d'animaux. Une chance pour Grisouille qui semblait affamée et très maigre. Selon ses propos, elle n'a jamais vu un chat aussi maigre ! Elle ajoute qu'elle n'a eu aucun mal à l'attraper, signifiant ainsi que Grisouille n'était pas sauvage... Lorsque cette femme a constaté le tatouage sur la petite chatte, elle a dû le retracer pour pouvoir le lire correctement. Renseignements pris, elle compris que Grisouillle appartenait à l'un des pensionnaires de la maison de retraite toute proche. C'est ainsi qu'elle a compris ce que cette pauvre minette venait de vivre. Hélas, en dépit des efforts de cette chatte fidèle parmi les fidèles, Grisouille ne reverra pas sa maîtresse ! (soir parce que la maison de retraite en question refuse les animaux de compagnie, soit parce que sa maîtresse est trop mal en point -pas de précision à ce sujet). En attendant, Grisouille est placée dans une famille d'accueil... Touchés par l'histoire de Grisouille, de nombreuses personnes se sont proposées pour l'adopter... Parmi celles-ci : Brigitte Bardot ! Moi aussi j'ai été touchée par cette belle mais triste histoire... Je souhaite à Grisouille de retrouver tout le bonheur paisible du monde !!! Var Matin 23/03/2011 Var matin 18/03/2011Var matin 16/03/2011
  19. Rapport de l'Agence japonaise de la pêche Selon l'Agence japonaise de la pêche, les activités peuvent reprendre en toute sécurité dans les eaux situées au-delà de la zone d'exclusion de 30 km, autour de la centrale de Fukushima. L'agence a adressé une note aux entreprises de pêche et aux municipalités proches de la centrale, suite aux contrôles menés par la Commission de sûreté nucléaire, à la demande du gouvernement. Selon les niveaux de radiation relevés par la commission dans les eaux situées au-delà de la zone de restriction, une personne opérant au large serait exposée à un maximum annuel de 1,13 millisievert. Un pêcheur en activité le long de la côte, à plus de 30 km de la centrale, serait par ailleurs exposé à 1,43 millisievert au maximum. La norme est ordinairement fixée à 1 millisievert mais la Commission de sûreté nucléaire estime que les niveaux relevés ne présentent pas de danger pour la santé humaine. Source : NHK 09/05/2011
  20. Commentaire : difficultés liées au remplissage des enceintes de confinement des réacteurs avec de l'eau L'opérateur de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi, la Compagnie d'électricité de Tokyo, annonce son intention de refroidir de manière stable les enceintes de confinement contenant les cuves des réacteurs 1 et 3, d'ici la mi-juillet. Le plan fait partie du calendrier élaboré par la compagnie pour reprendre le contrôle de la centrale. En ce qui concerne le réacteur 1, Tepco envisage de remplir l'enceinte de confinement avec de l'eau. L'objectif est de refroidir la cuve du réacteur qui s'y trouve en la baignant dans l'eau et d'abaisser ainsi la température à l'intérieur. Pour notre commentaire d'aujourd'hui, nous avons demandé à Tetsuo Ito, directeur de l'Institut de recherche sur l'énergie nucléaire de l'université du Kinki, de nous parler des défis liés à cette stratégie impliquant le remplissage avec de l'eau. Tetsuo Ito La question est de savoir si un refroidissement suffisant de la cuve du réacteur peut être atteint par cette méthode. J'imagine que la température du combustible nucléaire à l'intérieur de la cuve du réacteur gravite entre 400 et 500 degrés Celsius, mais que l'eau autour du combustible est d'environ 150 degrés. La température de l'eau qui sera injectée dans l'enceinte de confinement sera probablement maintenue à une température comprise entre 40 et 50 degrés. Cela veut dire qu'elle sera seulement inférieure de 100 degrés à celle autour du combustible. Si elle était beaucoup plus froide, la cuve du réacteur pourrait être refroidie de manière plus efficace. La question se pose par conséquent de savoir si la différence de température sera suffisamment importante pour produire le refroidissement souhaité. Un autre problème concerne l'épaisseur de la cuve en acier qui peut atteindre 15 centimètres par endroits. On peut se demander si la méthode de remplissage choisie permettra un refroidissement suffisant. Le poids de l'enceinte de confinement, qui va augmenter avec l'eau injectée, est aussi un motif d'inquiétude. La cuve est raccordée par des tuyaux au dispositif de contrôle de la pression qui se trouve dessous. Les tuyaux pourront-ils dans ces conditions supporter le poids élevé de la cuve en cas de puissant séisme ? Si les tuyaux éclataient, de l'eau radioactive s'en échapperait. Les efforts pour colmater les fuites pourraient retarder ceux visant à refroidir de manière stable le réacteur. J'imagine que divers types de jauges seront installées à l'intérieur du réacteur. Des contrôles étendus de certains paramètres tels que la résistance aux séismes et le poids seront nécessaires pendant le remplissage de l'enceinte de confinement avec de l'eau, pour refroidir progressivement et sans interruption la cuve du réacteur. C'était Tetsuo Ito, directeur de l'Institut de recherche sur l'énergie nucléaire de l'université du Kinki. Source : NHK 09/05/2011
  21. Tepco diffuse de nouvelles photos de la centrale de Fukushima L'exploitant de la centrale Fukushima Dai-ichi a diffusé des photographies montrant des techniciens à l'oeuvre dans le bâtiment d'un des réacteurs. Deux photos prises à l'intérieur du bâtiment abritant le réacteur numéro 1 ont été diffusées ce lundi par la Compagnie d'électricité de Tokyo. Sur l'un des clichés, on peut voir les techniciens au deuxième étage du bâtiment, pour la première fois depuis l'explosion d'hydrogène survenue au lendemain du séisme, le 12 mars. Selon Tepco, les taux de radiation y atteignent 40 à 100 millisieverts par heure. Le deuxième cliché montre un technicien masqué qui marche au premier étage du bâtiment. A sa droite, on aperçoit une machine activant les barres de contrôle qui permettent d'ajuster la puissance du réacteur. Source : 09/05/2011
  22. Le président de la Fédération des compagnies d'électricité demande à Naoto Kan de justifier sa décision Le président de la Fédération des compagnies d'électricité, Makoto Yagi, demande au premier ministre de justifier sa demande concernant la centrale de Hamaoka. M. Yagi a formulé sa requête ce lundi au ministre japonais de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie, Banri Kaieda. Makoto Yagi s'est dit surpris par la décision du gouvernement. En tant que président de la Compagnie d'électricité du Kansai, il a précisé qu'elle avait contribué à promouvoir l'énergie nucléaire dans la région, dans le cadre d'une politique menée à l'échelle nationale. Il a également déclaré que les activités des centrales nucléaires, actuellement interrompues pour des inspections de routine, étaient indispensables à la stabilité de l'offre énergétique. M. Kaieda a par ailleurs observé que, selon le gouvernement, toutes les centrales étaient sécurisées à l'exception du complexe de Hamaoka. "Après les inspections, il faudra convaincre les autorités locales d'accepter la réouverture des centrales", a-t-il ajouté. Source : NHK 09/05/2011
  23. Naoto Kan salue la décision de la Compagnie d'électricité du Chubu Le premier ministre Naoto Kan a salué la décision de la Compagnie d'électricité du Chubu de désactiver deux réacteurs dans la centrale nucléaire de Hamaoka. Ce lundi, M. Kan a indiqué à la presse que le gouvernement mettrait tout en oeuvre pour éviter une pénurie d'électricité dans la région. Source : NHK 09/05/2011
  24. Des tests de radioactivité sont en cours pour les gravats à proximité de la centrale Le gouvernement japonais a commencé à examiner les gravats dans plusieurs zones près de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi, pour déceler la présence d'une contamination radioactive. Le ministère de l'Environnement et l'Agence de sûreté nucléaire et industrielle ont commencé les tests ce lundi sur environ 120 sites de la préfecture de Fukushima. Les décombres provenant du séisme et du tsunami du 11 mars pourraient être contaminés par des substances radioactives rejetées par la centrale. Des techniciens ont disposé des détecteurs de radioactivité près de la surface des amas de gravats. Ils ont également prélevé des échantillons qui seront étudiés en laboratoire. Comme aucune loi ne couvre l'élimination des déchets de ce type au Japon, le ministère et l'agence décideront de la méthode à appliquer après avoir analysé les données et consulté des experts. Source : NHK 09/05/2011
  25. Préparatifs en cours pour restaurer les fonctions de refroidissement du réacteur 1 Des travaux préparatoires sont en cours pour restaurer les fonctions de refroidissement du réacteur 1 de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi. Des techniciens de la Compagnie d'électricité de Tokyo ont ouvert la porte du bâtiment du réacteur hier dimanche vers 20 heures. Ils ont mesuré ce lundi matin les niveaux de radiation, à l'intérieur, pendant environ une demi-heure. La compagnie indique s'être attendue dans un premier temps à ce qu'un faible volume de substances radioactives s'échappe du bâtiment pendant environ huit heures, une fois la porte ouverte. Mais selon Tepco, les niveaux de radiation à proximité de la centrale n'ont pas augmenté. Après avoir relevé les taux de radiation, les techniciens sont de nouveau entrés dans le bâtiment du réacteur pour enlever une tente spéciale dressée près de la porte pour purifier l'air et déposer des conduites de ventilation. Ils vérifieront les tuyaux du système de refroidissement et règleront la jauge de niveau d'eau nécessaire pour le remplissage de l'enceinte de confinement et le refroidissement régulier du réacteur. Source : NHK 09/05/20111
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