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BelleMuezza

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Tout ce qui a été posté par BelleMuezza

  1. Vidéo pour mobiliser les japonais sur le sort des dauphins
  2. Vidéo : Opération sauver les dauphins en Allemagne Certaines scènes peuvent heurter les personnes sensibles et le jeune public. Spoiler:
  3. Une vidéo particulière sur les dauphins : no comment Ames sensibles et jeune public s'abstenir Spoiler:
  4. Le projet titanesque du démantèlement de la centrale japonaise de Fukushima Le Premier ministre japonais Naoto Kan a affirmé jeudi 31 mars 2011 que la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi devait être démantelée. Il a par ailleurs exclu dans l’immédiat l'élargissement de 10 kilomètres de la zone d’évacuation autour de la centrale. Une demande initialement formulée par Greenpeace. Mais le travail de démantèlement de cette centrale s’annonce colossal. Il faudra du temps, au moins 30 ans selon Thierry Charles, le directeur de la Sûreté à l'IRSN, l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire. Et malgré cette échelle, tout est urgent. Car il est impossible de commencer le travail tant que la situation n'est pas stable à Fukushima. C'est-à-dire tant que le refroidissement des réacteurs, toujours en panne, soit rétabli. Autre priorité urgente elle aussi : vider les piscines sur le toit des réacteurs qui contiennent les combustibles usés, c'est à dire des gravats radioactifs. Actuellement, elles sont exposées aux vents, et contribuent à la pollution de l'environnement. En parallèle, il faudra cartographier la radioactivité du site, identifier les zones les plus radioactives, trouver le moyen d'y accéder, probablement avec des robots. Il est aussi Important de construire un bâtiment de confinement autour de la centrale pour protéger l'eau, l'air, le vent, contaminés par les fuites radioactives, et permettre de reprendre un travail de refroidissement du cœur avant. Enfin, il faudra démonter pièce par pièce la centrale. Restent bien sûr en suspens toutes les questions parallèles à un démantèlement : qui embaucher pour travailler là-bas ? Où et comment stocker autant de déchets radioactifs ? Où et comment traiter l'environnement contaminé ? Source : RFI 02/04/2011
  5. A Fukushima, de l'eau radioactive s'écoule directement dans la mer On peut reprendre ici des termes utilisés par Paris-Match : Le poids des mots, le choc des photos Un employé de la centrale de Fukushima montre une fissure dans le béton à proximité du réacteur n°2, le 2 avril 2011. REUTERS/TEPCO Le Premier ministre japonais Naoto Kan a visité ce samedi 2 avril 2011 le nord-est du Japon, première visite depuis le séisme et le tsunami dévastateur du 11 mars. Tandis que la situation autour de la centrale nucléaire de Fukushima demeure alarmante ce samedi. Les autorités japonaises ont annoncé avoir repéré une fissure sur une structure en béton du réacteur numéro 2. C'est une brèche d'environ 20 centimètres qui a été repérée sur l'un des puits se trouvant en dessous du réacteur. Et c'est par cette fissure que les éléments hautement radioactifs s'échappent vers l'extérieur. On comprend donc mieux pourquoi le taux de radiation est aussi élevé sur place et autour de la centrale. L'eau qui est déversée en grande quantité pour refroidir le réacteur s'accumule dans ce puits au sous-sol, puis elle passe directement dans la mer. Injecter du béton pour boucher la fissure Le taux de radioactivité est environ 4 400 fois plus élevé que la normale à 300 mètres au large de la centrale. Et autour du réacteur numéro 2, la radioactivité mesurée est inimaginable : 10 millions de fois au dessus de la normale. Les équipes sur place sont obligées d'interrompre souvent les travaux en raison de cette forte contamination. Pour l'endiguer, une seule solution : il faudrait injecter du béton et boucher la fissure. Par ailleurs, les plus grandes machines au monde permettant de réaliser cette opération sont déjà en route vers la centrale nucléaire, par voie maritime, en provenance d'Allemagne. Naoto Kan dans le nord du Japon Le Premier ministre Naoto Kan est arrivé par hélicoptère dans le petit port de Rikuzentakata. Dans cette ville de 23 000 habitants, il ne reste que des ruines baignant dans la boue, laquelle dégage une odeur de produits chimiques et de cadavres en décomposition, car tous n’ont pas encore été récupérés. Rikuzentakata a perdu 2 300 de ses habitants. Naoto Kan est plus impopulaire que jamais, en raison de l’incapacité de son gouvernement et de sa bureaucratie à rendre la vie des survivants plus supportable. A cause aussi de la responsabilité de l’Etat japonais dans l’accident de la centrale de Fukushima. Après sa visite à Rikuzenakata, Naoto Kan s’est approché de la centrale de Fukushima où se retrouvent dans une base les équipes de secours. Il a rencontré certains de ses ingénieurs et techniciens, lesquels ne parviennent toujours pas à empêcher des rejets radioactifs dans l’eau et dans la mer qui contaminent les produits alimentaires. Source : RFI 02/04/2011 - correspondant à Tokyo Frédéric Charles
  6. Naoto Kan visite un centre d'évacuation à Iwate Le premier ministre japonais Naoto Kan a offert le soutien entier du gouvernement aux survivants du séisme et du tsunami qui ont frappé le nord-est du Japon le 11 mars. M. Kan a survolé ce samedi matin en hélicoptère la ville de Rikuzen-takata, dans la préfecture d'Iwate dévastée par la catastrophe. Le chef du gouvernement s'est rendu à la mairie où il a été informé par le maire, Futoshi Toba, de la situation sur place. M. Kan a incité les secouristes à poursuivre leurs efforts dans ce qui pourrait devenir une opération de longue durée. Il a ensuite visité un centre d'évacuation où il a prodigué des encouragements aux quelque 250 personnes qui s'y étaient réfugiées. S'adressant à la presse, le premier ministre a souligné avoir donné sa promesse que le gouvernement soutiendrait entièrement les survivants jusqu'à ce qu'ils soient en mesure de reprendre une vie normale. M. Kan a également visité un centre où sont basés les techniciens et autres personnels luttant actuellement pour contenir la crise qui touche la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi. Source : NHK 02/04/2011
  7. Les garde-côtes japonais portent secours à un chien sur une maison à la dérive : Les garde-côtes japonais ont sauvé un chien qui se trouvait sur le toit d'une maison dérivant au large de la préfecture de Miyagi. Le chien a apparemment passé trois semaines sur le toit depuis que le séisme et le tsunami du 11 mars ont emporté sa maison. Vendredi après-midi, 01/04/2011, un hélicoptère des garde-côtes a repéré un chien sur une maison flottant sur la mer à 1,8 km au large de Kesennuma, dans le nord du Japon. Deux sauveteurs sont descendus sur le toit, mais le chien, effrayé par le vrombissement de l'hélicoptère, s'est enfui. A bord d'une petite embarcation, les sauveteurs se sont de nouveau approchés de lui. L'un des hommes s'est jeté à l'eau et est parvenu à l'attraper.---> Et pourtant il sait que l'eau est contaminée par les déchets radioactifs. Cet homme devrait être considéré comme un héros ! De taille moyenne, le chien est marron avec des oreilles noires. Il porte un collier. Transféré sur un navire de patrouille, le chien, affaibli, est resté un moment prostré puis est parvenu à se redresser pour manger des saucisses et des biscuits. Il a suffisamment récupéré pour remuer la queue et lécher le visage d'un membre de l'équipage. ---> Ce chien revient de loin... et a vraiment dû considérer ses sauveurs comme un cadeau ! Source : NHK 02/04/2011
  8. Une opération massive de recherche se poursuit dans le nord-est du Japon Les Forces d'autodéfense et l'armée américaine poursuivent leur effort massif pour rechercher les disparus à la suite du séisme et du tsunami du 11 mars. 16 000 personnes n'ont toujours pas été retrouvées. 25 000 militaires des deux pays ont commencé leurs recherches ce samedi, deuxième jour d'une opération de trois. Les garde-côtes et la police leur prêtent main-forte. Quelque 120 avions et 60 navires ont également été mobilisés. Les troupes parcourent les zones côtières dans les préfectures d'Iwate, Miyagi et Fukushima. La zone dans un rayon de 30 km de la centrale accidentée est exclue des recherches. Les autorités japonaises ont annoncé que 34 corps avaient été découverts sur le littoral des trois préfectures vendredi. Source : NHK 04/02/2011
  9. L'AIEA rapporte des taux de radiation en baisse à Iitate L'Agence internationale de l'énergie atomique a annoncé vendredi que les niveaux de radiation dans un village situé à 40 kilomètres de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi étaient tombés au-dessous de ses critères d'évacuation. L'AIEA a effectué des prélèvements dans le village d'Iitate, au nord-ouest de la centrale et à l'extérieur de la zone d'évacuation de 20 kilomètres de rayon décidée par le gouvernement. Selon l'AIEA, la concentration moyenne d'iode 131 radioactif dans le sol d'Iitate était de 7 millions de becquerels au mètre carré entre le 19 et le 29 mars, sur la base de 15 relevés effectués par les autorités japonaises. L'agence précise que ces chiffres sont inférieurs à ses critères d'évacuation. Mercredi, l'agence onusienne avait rapporté un taux de radiation de 20 millions de becquerels sur la même période, toujours en se basant sur des données du gouvernement. L'AIEA avait alors souligné que cela représentait le double du niveau justifiant selon ses critères l'évacuation de la population locale. Source : NHK 02/04/2011
  10. Tepco : la restauration des systèmes de refroidissement pourrait prendre un certain temps L'opérateur de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi s'efforce de restaurer et stabiliser les systèmes de refroidissement des réacteurs en y faisant circuler un important volume d'eau. Actuellement, de l'eau douce est déversée directement dans les réacteurs et les piscines de stockage de combustible irradié, pour les refroidir. Mais Tepco souhaite restaurer les systèmes de refroidissement qui assurent la circulation de l'eau à l'intérieur des réacteurs et des piscines de stockage. Hier vendredi, la compagnie a installé des pompes provisoires pour les réacteurs 1 à 4. Elles seront utilisées pour capturer l'eau de mer qui servira à refroidir l'eau douce circulant dans le système. Mais il est possible que les tuyaux et les pompes utilisés pour refroidir les réacteurs aient été endommagés par le séisme, et les niveaux de radiation à l'intérieur des bâtiments des réacteurs sont encore trop élevés pour permettre leur inspection par des techniciens. Tepco précise que la restauration des systèmes de refroidissement pourrait prendre un certain temps. Source : NHK 02/04/2011
  11. Le gouvernement étudie la possibilité de stocker l'eau radioactive dans une barge géante Le gouvernement japonais devrait bientôt se prononcer sur la faisabilité du stockage temporaire de l'eau fortement contaminée de la centrale de Fukushima dans une barge géante en acier ou à bord de navires de la marine américaine. Des substances radioactives ont été détectées dans l'eau sur le site de la centrale. La Compagnie d'électricité de Tokyo, Tepco, envisage d'utiliser des citernes à eau pour entreposer l'eau radioactive, mais leur capacité est limitée. La ville de Shizuoka a offert à Tecpo une plate-forme creuse et flottante en acier, pour y stocker l'eau. Cette barge géante fait 136 mètres de long sur 46 mètres de large. Le gouvernement négocie également avec l'armée américaine la mobilisation éventuelle de deux barges pour entreposer provisoirement l'eau radioactive. Ces barges ont été utilisées pour transporter de l'eau douce qui servira à refroidir les réacteurs de la centrale. Tepco et le gouvernement s'efforcent d'élaborer des méthodes concrètes pour transporter et stocker en toute sécurité l'eau contaminée. Source : NHK 02/04/2011
  12. La Thaïlande va envoyer au Japon une installation de production d'électricité La Thaïlande va envoyer au Japon une installation de production d'électricité complète avec deux générateurs à turbine à gaz pour aider à restaurer l'alimentation dans la centrale de Fukushima. Une fois opérationnelle, cette installation pourra produire 240 mille kilowatts d'électricité, une quantité suffisante pour alimenter entre 80 mille et 240 mille foyers, en fonction de la demande. Le propriétaire de ces équipements, la Compagnie thaïlandaise de production d'électricité, ou EGAT, et la firme japonaise qui les avait construits, ont étudié les moyens de transporter cet énorme système. Un seul des deux générateurs, et ses équipements associés, pèse plus de 500 tonnes. Le groupe thaïlandais indique qu'il démantèlera l'installation à partir de samedi et l'expédiera au Japon en pièces détachées fin avril. Source : NHK 02/04/2011
  13. Analyse de la situation à la centrale Fukushima Dai-ichi Les efforts pour relancer l'électricité à la centrale Fukushima Dai-ichi stagnent en raison de la présence d'importantes quantités d'eau hautement contaminée. Cela fait trois semaines que l'installation nucléaire a été durement touchée par le tremblement de terre et le tsunami. Dans notre commentaire d'aujourd'hui, nous nous entretenons avec Hironobu Unesaki, professeur et expert en ingénierie des réacteurs à l'Institut de recherche sur les réacteurs à l'université de Kyoto. Il évoque la situation à la centrale endommagée. Hironobu Unesaki:"La situation de chacun des réacteurs nucléaires n'a pas vraiment changé depuis le 20 mars. Les travaux pour relancer les systèmes de refroidissements stagnent. La découverte de plutonium et l'analyse des substances radioactives dans l'eau contaminée montrent qu'une partie du combustible est endommagée ou a fondu. Si les barres de combustible conservent leur forme initiale, l'eau peut circuler à une certaine vitesse entre elles et donc éliminer la chaleur. Cependant, il semble qu'une partie de l'espace entre les barres est bouché par du combustible fondu, ce qui empêche une bonne circulation de l'eau. En outre, seule une petite quantité d'eau est injectée dans les réacteurs. Il semble que son efficacité pour éliminer la chaleur reste très limitée. Les réacteurs sont maintenus avec difficulté dans leur état actuel. Le plus important est de relancer le système de refroidissement le plus vite possible et d'augmenter le refroidissement des réacteurs." Radio-Japon:Quel est le point le plus important dans le processus à venir? Hironobu Unesaki:"Je craignais que de nouveaux problèmes surviennent au moment de la relance de l'électricité dans les réacteurs. De fait, un problème supplémentaire est apparu, celui de l'eau contaminée qui doit être retirée. Je pense que nous ne pourrons pas le résoudre sans une forte augmentation des efforts en termes de moyens et de personnel. Je pense que le Japon doit s'ouvrir et envisager la création d'un projet international en coopération avec les entreprises étrangères qui détiennent certains savoir-faire, mais également avec les gouvernements et les instituts de recherche d'autres pays." Radio-Japon:C'était Hironobu Unesaki, de l'Institut de recherche sur les réacteurs à l'université de Kyoto. Il évoquait la situation actuelle à la centrale Fukushima Dai-ichi. Source : NHK 02/04/2011
  14. General Electric défend ses réacteurs Le président de General Electric Jeff Immelt a déclaré que les réacteurs construits par son entreprise à la centrale de Fukushima n'avaient pas de problèmes de structure. Au micro de la NHK et d'autres médias jeudi, M. Immelt a évoqué les déclarations de certains observateurs, selon lesquelles les réacteurs 1 et 2, les plus anciens, avaient des problèmes de conception. Il a rappelé que les réacteurs de General Electric étaient en service depuis plus de 40 ans. Selon lui, ils ont été bien contrôlés, bien conçus et régulièrement améliorés. Aux Etats-Unis, il y a plus de 20 réacteurs en service qui sont de structure similaire à celle des réacteurs de Fukushima. Source : NHK 02/04/2011
  15. Exode des ressortissants étrangers après la catastrophe La NHK a appris qu'au moins 20 mille ressortissants étrangers avaient quitté le Japon depuis le séisme du 11 mars et les premières fuites de radiation de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi. La NHK a effectué cette semaine une enquête sur l'impact de la catastrophe sur les missions diplomatiques au Japon. Les missions de 46 pays et territoires ont répondu. L'enquête révèle que parmi les ressortissants qui ont quitté le Japon figurent 9 mille Chinois, plus de 2 mille Australiens et 2 mille Français. Les Etats-Unis ont évacué plus de 7 400 membres des familles de militaires stationnés au Japon. L'enquête montre aussi que 15 pays, dont les Etats-Unis et la Grande-Bretagne, ont distribué des tablettes d'iode pour la prévention des cancers de la thyroïde pour leurs citoyens vivant au Japon. La Belgique et Taïwan s'apprêtent également à distribuer ce médicament. Entre-temps, le gouvernement japonais explique au public qu'il n'est pas nécessaire de prendre des tablettes d'iode, les niveaux peu élevés de radiation rendant inutile cette mesure. Source : nhk 02/04/2011
  16. Le soulèvement du fond de la mer a provoqué les tsunamis géants Des chercheurs japonais ont annoncé avoir découvert que le fond marin s'était soulevé de plus de 5 mètres à proximité du foyer du puissant séisme qui a frappé le nord-est du Japon le 11 mars. L'équipe scientifique était dirigée par Ryota Hino, maître de conférences au Centre de recherche pour la prédiction des séismes et des éruptions volcaniques de l'Université du Tohoku. Les chercheurs ont analysé les données prélevées sur une jauge de mesure de la pression de l'eau installée sur le fond de la mer à 5 800 mètres de profondeur et à un point situé à 200 kilomètres au large du littoral de la préfecture de Miyagi, près du foyer du séisme. La zone du foyer s'étend sur une distance de près de 450 kilomètres du nord au sud. Les données montrent que le fond marin s'est soulevé d'environ 5 mètres lors du séisme. Les chercheurs ont expliqué que les tsunamis géants avaient été provoqués par ce soulèvement sur une large étendue. Ils pensent également que les vagues sismiques ont pris de l'ampleur en se rapprochant des côtes, lorsqu'elles ont atteint des hauts-fonds. Le tsunami a alors dépassé 10 mètres de haut sur une grande partie du littoral. Source : NHK 01/04/2011
  17. Le PDJ veut que le gouvernement désigne les cinq prochaines années de période de reconstruction Le Parti démocrate du Japon, le PDJ au pouvoir, va demander au gouvernement de désigner les cinq prochaines années de période de reconstruction intensive des zones dévastées par le séisme et le tsunami du 11 mars. Le parti et le gouvernement discutent des mesures à inclure dans un projet de loi pour soutenir les efforts de reconstruction de cette région. Les démocrates considèrent que le gouvernement doit nommer un ministre chargé de superviser ces efforts et de travailler avec les compagnies d'électricité pour prendre des mesures afin d'assurer une alimentation stable. Le parti et le gouvernement doivent également discuter comment financer les projets de reconstruction, soit en adoptant des budgets supplémentaires, soit en émettant des bons spéciaux du gouvernement sOURCE : NHK 02/04/2011
  18. Le combat se poursuit pour contenir la crise nucléaire Des opérations urgentes sont menées sur plusieurs fronts pour contenir la crise dans la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi. Les efforts visant à refroidir les réacteurs se poursuivaient vendredi. Une péniche fournie par la marine américaine s'apprête à pomper un important volume d'eau douce en direction d'un réservoir proche du réacteur numéro 1, via un tuyau. Les techniciens sur place remplacent actuellement l'eau de mer par de l'eau douce pour refroidir les réacteurs et les piscines de stockage de combustible irradié. Cette décision a été prise car les responsables s'inquiétaient de la possibilité que le sel contenu dans l'eau de mer ne s'accumule dans les équipements des réacteurs, interrompant le flux de l'eau de refroidissement. Près du réacteur 4, 400 litres de solution de résine synthétique ont été projetés pour voir s'il serait possible de solidifier la poussière et éviter la dispersion dans l'air des substances radioactives. L'opérateur de la centrale, la Compagnie d'électricité de Tokyo, devrait tester la solution pendant deux semaines pour confirmer son efficacité. Source : NHK 02/04/2011
  19. Naoto Kan veut soumettre un projet de budget supplémentaire pour la reconstruction Le premier ministre japonais Naoto Kan a annoncé que son gouvernement allait présenter un projet de budget supplémentaire au Parlement avant la fin avril. L'objectif est d'offrir une aide et un soutien à la reconstruction aux régions sinistrées par la catastrophe du 11 mars. M. Kan a pris cet engagement en conférence de presse vendredi, trois semaines jour pour jour après la catastrophe qui a dévasté le nord-est du pays, et au premier jour du nouvel exercice fiscal. Il a précisé que l'argent servirait à couvrir les frais de collecte des débris, la construction de logements provisoires, la sécurisation des emplois et le redémarrage des entreprises touchées par la tragédie. Source : nhk 02/04/2011
  20. Japon: 40.000 spectateurs à unmatch de foot à Osaka pour les victimes du séisme "A notre tour de vous soutenir": avec émotion, Makoto Hasebe, le capitaine de la sélection japonaise, a donné le ton mardi soir à Osaka (ouest) d'un match amical de football au profit des victimes du séisme et du tsunami du 11 mars qui ont ravagé le nord-est de l'archipel. Près de trois semaines après l'une des pires catastrophes de l'histoire du pays, qui a fait environ 28.000 morts et disparus, et alors que l'accident dans la centrale nucléaire de Fukushima continue d'inquiéter, le stade Nigai d'Osaka avait fait le plein pour cette rencontre de bienfaisance. Il s'agissait pour les spectateurs de montrer leur solidarité envers les sinistrés, mais aussi de revoir pour la première fois les "samouraïs bleus" après leur victoire en Coupe d'Asie, la 4e de leur histoire, en janvier au Qatar (1-0 en finale contre l'Australie). "C'est votre soutien qui habituellement nous donne la force quand nous sommes sur le terrain. Maintenant c'est à notre tour de vous soutenir", a lancé au micro, avant le coup d'envoi, le capitaine Hasebe, milieu de terrain du club allemand de Wolfsburg. "En croyant en la puissance du football, nous y mettons tout notre coeur", a-t-il ajouté. "Il n'y a aucune difficulté insurmontable", assurait pour sa part, Yuji Nakazawa, joueur de Yokohama, et capitaine de la sélection du championnat japonais, la J-League. Puis, visages graves, les joueurs entonnèrent "Kimigayo", l'hymne japonais, interprété par une jeune chanteuse de pop nippone, Mai Kuraki. S'ensuivit une minute de recueillement. La victoire (2-1) des "Samouraïs" pouvait ensuite être anecdotique. Les champions d'Asie ont ouvert le score par Endo, puis Okazaki a marqué le second but. Les jaunes de "l'équipe unie" pour le Japon ont réduit le score en toute fin de match sur une action de l'ancien meilleur joueur asiatique Kazuyoshi Miura. L'essentiel était cependant ailleurs: dans les banderoles clamant que "le football sauve le Japon" ou "l'on ne vous oubliera jamais", et dans l'élan de solidarité des 40.613 spectateurs qui s'étaient rués sur les billets vendus entre 1000 et 5000 yens (entre 8,70 et 43,50 euros). La recette du match, ainsi que 15 millions de yens de dons (130.000 euros) iront aux sinistrés de la région du nord-est du Japon, à travers la Croix-Rouge japonaise, ont indiqué les organisateurs. Alors que le calendrier sportif japonais a été fortement perturbé par la catastrophe, et la J-League suspendue jusqu'au 23 avril, le sélectionneur national, l'Italien Alberto Zaccheroni, rentré en Europe après le séisme, était là pour diriger l'équipe mardi soir. Douze des joueurs japonais évoluant en Europe avaient en outre tenu à être présents à Osaka. "Je ne suis pas sûr que ce soit bien de jouer (au football) dans ces circonstances. Mais je crois qu'il est important d'agir", avait déclaré avant la rencontre Keisuke Honda (CSKA Moscou/RUS). "Nous voulons tendre la main aux victimes du désastre." Parmi les autres internationaux japonais figuraient également le défenseur Yuto Nagatomo (Inter Milan/ITA), le joueur de Hiroshima, Tadanari Lee, unique buteur lors de la finale de la Coupe de l'Asie ainsi que l'ancien attaquant du Mans et de Saint-Etienne (1re div. française) Daisuke Matsui, 28 ans, qui porte désormais les couleurs de Grenoble (D2 française). Cette rencontre avait été programmée après l'annulation des matches amicaux contre la Nouvelle-Zélande et le Montenegro prévus en fin de mois. D'autres matches au profit des sinistrés de la catastrophe du 11 mars sont prévus au Japon. Source : RFI 29/03/2011
  21. ASN : Communiqué de presse n°23 du 1er avril 2011 à 18h30 01/04/2011 19:44 Accident à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi : l’ASN fait le point sur la situation au Japon et les conséquences en France. I. Situation de la centrale de FukushimaL’injection en eau douce se poursuit dans les cuves des réacteurs n°1 à 3 et les piscines des réacteurs 1, 2, 3 et 4 à un niveau qui est a priori suffisant. C’est un refroidissement en circuit ouvert, c’est-à-dire que l’eau apportée s’évapore ou se répand dans l’enceinte de confinement ou dans d’autres bâtiments, essentiellement les salles des turbines. L’exploitant Tepco réalise des opérations en vue de collecter cette eau et de l’isoler. L’objectif à terme est de passer à un refroidissement en circuit fermé : eau circulant en boucle dans un circuit de la centrale de façon à ce que l’eau contaminée ne s’échappe pas. La remise en fonction des matériels nécessaires à cette fin s’avère difficile car ils ont pu être détériorés. En outre, la présence d’eau contaminée dans certains bâtiments complique les interventions humaines. Il est probable que ces difficultés substituent et que la situation évolue peu dans les prochains jours. II. Conséquences radiologiques de l’accident a. Conditions de travail sur le site et dans ses alentours Les rejets de radioactivité dans l’atmosphère sont inférieurs à ceux observés les premiers jours de l’accident. Les débits de doses relevés sur le site de la centrale restent élevés mais sont à la baisse. Les conditions de travail des intervenants sur le site restent très difficiles. Depuis le 12 mars 2011, une vingtaine travailleurs auraient été exposés à des doses supérieures à 100 millisievert (mSv). Par ailleurs, les prélèvements d’eau de mer montrent des concentrations de radioactivité toujours en augmentation. b. Situation dans la région de TokyoLes mesures disponibles dans la région de Tokyo réalisées par les autorités japonaises et par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) ne montrent pas d’évolution significative et demeurent faibles. La tendance est à une décroissance lente, confirmant l’absence de nouveaux rejets atmosphériques importants. III. Les conséquences en Francea. Les masses d’air en France Les concentrations en radionucléides artificiels (iode 131, césium 134 et 137) mesurées dans les différents milieux surveillés sont très faibles et ne présentent aucun danger sanitaire et environnemental. Les réponses aux principales questions du public sur les enjeux sanitaires et la circulation des masses d’air sont en ligne sur le site Internet www.asn.fr, rubrique « Questions fréquentes ». b. Qualité radiologique des denrées en provenance du Japon Un règlement européen1 a été publié au Journal officiel des communautés européennes le 26 mars 2011 pour imposer des conditions particulières pour l’importation de produits alimentaires et pour l’alimentation animale en provenance du Japon. Il prévoit, d’une part, des contrôles systématiques au départ pour vérifier le respect des normes admissibles en césium 134 et 137 et en iode 131 et, d’autre part, un contrôle par échantillonnage à l’arrivée. c. Retour d’expérienceL’ASN considère qu’il est fondamental de tirer les leçons de l’accident survenu au Japon, comme cela a été le cas après d’autres grands accidents nucléaires, notamment ceux de Three Mile Island et Tchernobyl. Le retour d’expérience approfondi sera un processus long s’étalant sur plusieurs années. Il s’agira notamment de vérifier si des améliorations sont nécessaires dans la prise en compte des risques liés à la perte des alimentations électriques ou de la source froide ainsi qu’au séisme. Les cumuls de tels risques devront également être réévalués. En outre, des leçons devront être tirées dans le domaine de la gestion des situations d’urgence. Sans attendre, l’ASN va engager des actions en toute transparence. Elle mettra en œuvre la mission d’audit des installations nucléaires françaises demandée par le Premier ministre. Par ailleurs, le Commissaire européen chargé de l’énergie a annoncé le principe de tests de résistance à réaliser dans toutes les centrales nucléaires européennes. L’ASN insiste sur la nécessité d’assurer une cohérence entre l’audit français et la démarche européenne. Ce travail va mobiliser d’importantes ressources à l’ASN. Les premières échéances interviendront cette année. Les centrales nucléaires françaises sont conçues pour résister à des contraintes sévères (inondation, séisme, perte d’alimentation électrique…). Il s’agit dès lors d’étudier comment elles se comporteraient dans des situations encore plus dégradées, de faire une analyse des marges et d’en déduire le cas échéant des modifications. Cette analyse portera sur les centrales en exploitation, en construction et en projet. 1 Le règlement est disponible à l’adresse : http://eur-lex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=OJ:L:2011:080:0005:0008:FR:PDF Source : ASN spécial Japon
  22. RFI 01/04/2011RFI 01/04/2011 Vols annulés vers le Japon Le danger que représente la centrale nucléaire de Fukushima suite au séisme et au tsunami qui ont frappé cette région du Japon, avaient amené l’Association des tour-opérateurs français, CETO, à suspendre les vols à destination du Japon jusqu’au 20 mars 2011. Après consultation des principaux opérateurs, le CETO a annoncé la prolongation de cette annulation des voyages jusqu'à la fin du mois d’avril. - Les conseils du ministère des Afaires étrangères aux voyageurs vers le Japon - La situation des centrales nucléaires au Japon, rapport établi par le ministère de l'Industrie Source : RFI 01/04/2011
  23. Les ingénieurs japonais poursuivent leur opération sauvetage à la centrale de Fukushima Trois semaines après le tremblement de terre et le tsunami qui a frappé le nord-est du Japon, le Premier ministre japonais Naoto Kan a annoncé ce jeudi 31 mars 2011 le démantèlement de la centrale nucléaire de Fukushima fortement endommagée. Mais les équipes de techniciens poursuivent leurs efforts pour tenter de limiter au mieux les dégâts dus à la radioactivité, dont les mesures indiquent une augmentation de son taux. Un pétrolier mouillant en face de la centrale pourrait être utilisé pour évacuer le liquide hautement radioactif, ce qui permettrait aux ouvriers de retravailler dans les bâtiments abritant les turbines, où d’importantes quantités d’eau contaminée ont été découvertes. La présence de cette eau met en évidence le fait que les enceintes contenant les réacteurs ne sont plus étanches. Les ingénieurs envisagent encore de recouvrir les bâtiments endommagés de trois des six réacteurs d’une bâche fabriquée dans un matériau spécial, lequel pourrait limiter les dégagements de vapeur radioactive. Le gouvernement japonais n’envisage pas d’étendre la zone d’exclusion autour de la centrale, de vingt à quarante kilomètres. On peut en déduire que les autorités japonaises ont confiance en la capacité des ingénieurs à refroidir les réacteurs surchauffés. Source : RFI 01/04/2011
  24. La police japonaise refuse de récupérer les corps des victimes du tsunami Trois semaines après le séisme et le tsunami qui a dévasté l’île de Honsu, située au nord-est du Japon, des milliers d’hommes de l’armée japonaise et américaine ont été déployés ce vendredi 1er avril 2011, pour rechercher les corps des victimes dont le chiffre est évalué à un millier. Mais la police nippone refuse de récupérer les corps des victimes. La police hésite à se rendre dans la zone d’exclusion, autour de la centrale de Fukushima, où un millier de cadavres attendent d’être récupérés, en raison des niveaux élevés de radioactivité. Avec des explosions d’hydrogène, des fuites radioactives dans la centrale, les cadavres ont été exposés à des niveaux de rayonnement post-mortem très élevés. La police décide donc de ne pas récupérer ces corps. Les décontaminer sur place, rendrait leur identification ultérieure plus difficile. Et les rendre tels quels aux familles, poserait un autre problème lors de leur incinération. Cela risquerait en effet, de causer des dangers de pollution aérienne radioactive assez sérieux, lors de leur crémation. Face à ce danger, la police japonaise choisit de ne pas prendre de risques. Source :rfi 01/04/2011
  25. Envoyez "ELCHE" par SMS au n° 81038* 230 SMS pour parrainer ELCHE pendant 1 mois ! L'histoire d’ELCHE est celle d’un sauvetage hors norme qui a mobilisé beaucoup d’amoureux des chevaux. ELCHE, cette jument de 18 ans, partageait une pâture avec sa compagne de toujours NEPTUNE. La propriétaire de ces deux juments, une dame âgée qui ne pouvait plus s’occuper de ces animaux, a malheureusement été démarchée par une personne qui souhaitait exploiter ELCHE et NEPTUNE dans son entreprise de transport en calèche. Malheureusement, laissées sans soins trop longtemps, les deux juments étaient fourbues et ne pouvaient, dans le triste état qui était le leur, être attelées. Abandonnées à leur sort, ELCHE et NEPTUNE seraient mortes de faim sans l’intervention d’une voisine qui a pris contact avec plusieurs associations de défense des animaux. L’association Réflexe Adoption a répondu à l’appel, mais il était déjà trop tard pour NEPTUNE. La pauvre est morte d’épuisement avant d’avoir pu être transportée au refuge… La colère et l’émotion passées, les bénévoles de Réflexe Adoption ont œuvré toute une nuit pour transférer ELCHE, désormais seule, vers le refuge. Très apeurée, ELCHE a du mal à surmonter son traumatisme. Elle doit reprendre du poids et surtout, reprendre confiance en l’être humain afin de pouvoir être adoptée et espérer, enfin, une vie à nouveau sereine et heureuse. Nous lançons un appel à la solidarité afin de pouvoir offrir à ELCHE la nourriture et les soins jusqu'à l'adoption qu’elle mérite tant ! ELCHE compte sur vous... Nous savons que nous pouvons compter sur vous ! 230 SMS et vous parrainez ELCHE pendant 1 mois en lui offrant de la nourriture, de la paille et du foin ! 690 SMS = 3 mois de parrainage pour ELCHE ! Merci d’avance pour votre aide, ELCHE a besoin de vous ! *3€/SMS + prix d'un SMS Réflexe Adoption est une association de protection animale et d’aide à l’adoption basée dans la région de Lille. L'équipe est composée de bénévoles s’impliquant au quotidien sur le terrain, et bénéficie du savoir de professionnels du monde animalier (vétérinaires, comportementalistes). Réflexe Adoption aide tous les animaux : chiens, chats, rongeurs, chevaux, mais aussi les NAC. Un réflexe, c'est quoi ? Oser bousculer les comportements préconçus, les automatismes dépassés ! Une adoption, c'est quoi ? Un don d'amour, une œuvre de respect ! Source : Newsletter ClicAnimaux 01/04/2011
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