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BelleMuezza

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Tout ce qui a été posté par BelleMuezza

  1. Elle est trop mignone cette petite boule de poils. C'est attendrissant en diable... ces petits félins de salon. Petit c'est craquant, plus grand c'est toujours aussi craquant... Les chats ont la particularité de faire confiance et d'accorder leur amitié à tous ceux qui sont sincères à leur égard. Ca peut paraître curieux de lire ça je sais, d'autant plus quand on n'est pas pas habitué à eux. Mais vous découvrirez vite qu'un chat, s'il a un comportement différent du chien, il est tout aussi fidèle. L'angora turc est un chat vif et intelligent qui a souvent l'idée de vous suivre un peut partout, et de vous piquer soit votre stylo, soit tout objet que curieusement vous avez besoin... C'est un chat familier qui aime bien sauter sur les genoux quand ce n'est pas sur les épaules... souvent quand on s'y attend le moins. C'est un chat facétieux qui sait se faire pardonner en vous regardant de son petit air innocent en vous faisant un concert de ronrons et en sollicitant les caresses. Il a aussi ses moments d'indépendance et entend qu'on respecte sa tranquillité. Attention à ne pas faire devant lui certaines choses qui pourraient lui paraître curieuses... il serait capable de vous imiter car son intelligence est doublé d'un sens de l'observation hors pair ! Même si ce sont plus ou moins des généralités, on retrouve ces traits de caractère chez la plupart des angoras turcs. J'ai eu à m'en occuper d'un pour rendre service à une mamie hospitalisée... Au départ il m'observait puis en quelques jours il a compris que je venais pour m'occuper de lui et rien que de lui et m'a adoptée non sans me jouer des tours pendables... comme m'embarquer mon briquet ou mes lunettes et une fois mon trousseau de clefs... Les deux ou trois premières fois, je n'avais pas compris que c'était le chat qui m'avait embarqué mes affaires... Quand j'ai compris j'ai éét prise d'un fou rire mémorable ! Longue et belle vie en compagnie de votre belle petite Isis qui sera bientôt auprès de vous et de votre famille et qui aura aussi pour amie, le temps de faire connaissance, d'une autre quatre pattes : Tina ! Excellente fin de soirée, toute mon amitié accompagne ce message.
  2. Commentaire : contamination de l'océan par les substances radioactives Le commentaire est aujourd'hui consacré à l'impact des substances radioactives sur la faune et la flore marines. Nous avons interrogé le professeur Jota Kanda, océanographe à la Faculté des sciences marines de l'Université de Tokyo. Jota Kanda : Il semble que beaucoup de gens s'alarment des informations évoquant des taux de radiation plusieurs milliers de fois supérieurs à la normale dans des échantillons d'eau de mer prélevés aux abords de la centrale de Fukushima. Toutefois, sur notre planète, l'eau se trouve essentiellement dans les océans, où la radioactivité se dilue rapidement en raison des courants et l'immensité de l'univers marin. Je pense donc qu'en dehors des zones proches de la centrale, il y a peu de chance, à ce jour, de voir le danger se propager. Les Japonais consomment beaucoup de poisson et nous sommes particulièrement sensibles aux éventuelles contaminations de l'eau et de la faune marines depuis l'accident de Tchernobyl. Depuis bien des années, le Japon procède à ses propres contrôles selon des critères qui me paraissent globalement fiables. A la lumière de ces informations, on se rend compte que les substances radioactives ont peu de chance de se répandre dans l'océan, même si la situation devait perdurer plusieurs mois. Les poissons n'ayant pas été contaminés par l'accident de Tchernobyl, je pense qu'il est inutile de nous inquiéter outre-mesure. Pour autant, l'eau irradiée de la centrale continue de se déverser dans la mer et les algues qui poussent aux abords de la centrale risquent d'être contaminées. C'était le commentaire du professeur Jota Kanda, océanographe à la Faculté des sciences marines de l'Université de Tokyo. Source : NHK 31/03/2011
  3. Réaction japonaise aux recommandations de l'AIEA La Commission japonaise de surveillance de la sûreté nucléaire ne voit aucune raison de revenir sur les consignes concernant la zone située entre 20 et 30 km autour de la centrale, où les riverains sont invités à rester calfeutrés à domicile ou à évacuer de leur propre initiative. L'organisme indépendant s'est manifesté ce jeudi devant la presse, suite à l'annonce par l'Agence internationale de l'énergie atomique, de niveaux de radiation deux fois plus élevés que ceux justifiant un ordre d'évacuation, dans un village situé à l'extérieur de la zone en question. Selon Seiji Shiroya, membre de la commission de surveillance, les critères japonais reposent sur le nombre de victimes éventuelles et non sur les niveaux de radiation détectés dans le sol. "Les données de l'AIEA ont valeur de référence mais les décisions que nous avons prises pour cette zone restent pertinentes", a-t-il déclaré. M. Shiroya a ajouté que la commission considérait plusieurs facteurs, notamment les niveaux de radiation dans l'air et la quantité de substances assimilées par le corps via l'ingestion ou la respiration. Il a précisé que l'AIEA avait probablement effectué ses relevés sur une surface herbeuse, avec les capteurs disponibles, mais que les données japonaises étaient mieux à même de signaler les effets de la radioactivité locale sur la santé humaine. sOURCE : NHK 31/03/2011
  4. Révision probable de la politique nucléaire du gouvernement nippon Par ailleurs, Naoto Kan aurait évoqué une éventuelle révision en profondeur de la politique nucléaire du gouvernement japonais. Ce jeudi, le leader du Parti communiste Kazuo Shii s'est entretenu avec M. Kan de la situation qui prévaut à la centrale Fukushima Dai-ichi. A l'issue de la rencontre, le chef du parti de l'opposition a déclaré à la presse que le premier ministre ne souhaitait pas encore se prononcer sur l'avenir de la centrale. En 2010, le gouvernement a évoqué un projet de construction d'au moins 14 centrales nucléaires d'ici une vingtaine d'années. Toujours selon Kazuo Shii, M. Kan placerait désormais la sécurité au centre des préoccupations, concernant notamment les barres de combustible irradié. sOURCE : NHK 31/03/2011
  5. Japon : Onagawa, cette autre centrale qui inquiète plus au nord La centrale d'Onagawa, située à 120 kilomètres au Nord de Fukushima, inquiète les riverains et les rescapés qui y ont trouvé refuge depuis les ravages du tsunami dans le nord du Japon. La population redoute un manque de transparence de la part de Tepco. Pour ne rien arranger, les dosimètres de contrôle des autorités locales sont soit hors service, soit ralentis. À Onagawa, le tsunami du 11 mars dernier (voir notre dossier sur le séisme au Japon) a fait des ravages avec des vagues de plus de 15 mètres de haut. Si bien qu'environ 200 personnes rescapées ont trouvé refuge à l'intérieur de la centrale. Or l'inquiétude monte parmi ces derniers ainsi que parmi les riverains qui ont conservé leur habitation. Car si la centrale d'Onagawa ne fonctionne plus depuis le séisme et la crise nucléaire au Japon qui s'en est suivie, un manque de surveillance indépendante alimente les peurs. Contrairement à la centrale de Fukushima-Daiichi où les autorités sanitaires nucléaires des autres pays tels que la France et les Etats-Unis livrent régulièrement les résultats de leurs contrôles, ici le taux de radioactivité est surveillé uniquement par le groupe électronique japonais Tepco. Les dégâts ont été limités avec un début d'incendie vite éteint et l'exploitant assure qu'à Onagawa, il n'y a pas de risque. Les trois réacteurs de la centrale ne seraient pas dangereux et il n'y a aurait rien d'anormal dans l'air. Mais l'image de Tepco a pris un vilain coup depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima et depuis qu'elle a avoué avoir faussé des données de contrôle sur celle-ci avant le séisme. Fuir, mais pour aller où ? Avant le tsunami, les autorités locales disposaient de sept dosimètres pour détecter le taux de radioactivité mais, depuis, quatre ont été mis hors service et les trois restants sont perturbés par des coupures de courant répétées. Les responsables municipaux d'Onagawa ont demandé à la centrale de renforcer ses digues anti-tsunami et d'observer la plus grande transparence dans sa communication, afin de rassurer la population. Mais dans la confusion et devant ce manque de données indépendantes, certains réfugiés envisagent donc d'abandonner les lieux. Pour aller où ? À Onagawa, la puissance de la vague du tsunami a pulvérisé les habitations et a fait dérailler les trains. Par S.V. --> Ce qui me paraît hallucinant c'est que plus de 200 personnes rescapées du tsunami se sont réfugiées à l'intérieur de la centrale d'Onagawa légende de la photo : À Onagawa, au nord du Japon, plus de 200 rescapés du tsunami ont trouvé refuge à l'intérieur de la centrale nucléaire. SIPA Source : France soir.fr 31/03/2011
  6. Le Japon cherche des solutions inédites pour écarter le danger à Fukushima Le Japon étudiait mercredi toutes les options pour réduire les émissions radioactives et évacuer des tonnes d'eau contaminée à la centrale Fukushima Daiichi (n°1), y compris recouvrir les réacteurs d'une bâche spéciale ou utiliser les réservoirs d'un tanker. L'opérateur du site, Tokyo Electric Power (Tepco), a accepté l'aide du groupe nucléaire français Areva, dont la présidente, Anne Lauvergeon, est arrivée mercredi à Tokyo avec des experts, dans le but de prêter techniquement main forte aux équipes nippones, notamment pour le traitement des eaux contaminées Le ministère américain de l'Energie a également mis à sa disposition des robots résistant aux radiations, capables de recueillir des informations sur les réacteurs dans des endroits où la radioactivité est trop élevée. Critiqué pour son absence remarquée depuis le début de la crise nucléaire la plus grave depuis Tchernobyl, le PDG de Tepco, Masataka Shimizu, 66 ans, a été hospitalisé mardi soir, pour hypertension artérielle, a confirmé lors d'une conférence de presse le président honoraire du groupe, Tsunehisa Katsumata. Ce dernier a jugé inévitable le démantèlement des réacteurs 1 à 4 de la centrale Fukushima Daiichi, construite il y a plus de 40 ans sur la côte du Pacifique, à 250 km au nord de la mégapole de Tokyo et de ses 35 millions d'habitants. Ce site, qui compte six réacteurs, n'était pas conçu pour résister au tsunami de 14 mètres qui l'a endommagé le 11 mars après le plus puissant séisme jamais enregistré au Japon. L'alimentation électrique des circuits de refroidissement des réacteurs a été brutalement interrompue. Privé d'eau, le combustible nucléaire a commencé à chauffer et à entrer en fusion, provoquant une série d'explosions et d'importantes fuites radioactives. Toutefois, ce processus infernal, qui pourrait déboucher sur un accident nucléaire majeur, semble pour l'instant avoir été enrayé. "Les informations actuelles dont nous disposons laissent penser que la centrale connaît un lent rétablissement après l'accident", a dit Peter Lyons, sous-secrétaire américain par intérim chargé du Bureau de l'Energie nucléaire au ministère de l'Energie. "Il y a encore un grand nombre d'obstacles à surmonter pour que la centrale nucléaire retrouve une stabilité, mais je pense que les choses vont dans la bonne direction", a confirmé William Borchardt, un haut responsable de la Nuclear Regulatory Commission (NRC), la commission américaine de régulation nucléaire. Des milliers de tonnes d'eau de mer, remplacée récemment par de l'eau douce à cause des effets corrosifs du sel, ont été déversés jour et nuit sur les réacteurs afin de les refroidir et de stopper la fusion. Mais cette énorme quantité d'eau, contaminée par les radiations, s'est infiltrée dans les salles des machines et dans les galeries techniques souterraines, puis a ruisselé jusqu'à l'océan Pacifique tout proche, où le taux d'iode radioactif atteint plus de 3.300 fois la norme dans l'eau de mer. Les techniciens, qui luttent depuis bientôt vingt jours, sont confrontés à un cercle vicieux : il est vital de refroidir les réacteurs, mais plus ils utilisent d'eau, plus les nappes radioactives augmentent. Et moins ils injectent d'eau, plus la température augmente dans les réacteurs. L'Agence de sûreté nucléaire japonaise a estimé mercredi que le moment était venu de chercher des solutions inédites. "Nous sommes face à une situation sans précédent et nous devons donc réfléchir à des stratégies différentes, au-delà de ce que faisons habituellement", a déclaré un responsable à l'AFP. Tepco pourrait utiliser un bateau-citerne en face de la centrale pour évacuer le liquide hautement radioactif, et étudie la possibilité de recouvrir les bâtiments endommagés de trois des six réacteurs avec une bâche fabriquée dans un matériau spécial, capable de limiter les dégagements de vapeurs radioactives. Les intervenants doivent en outre commencer jeudi à tapisser le site d'une résine afin de réduire la propagation de matières radioactives. La découverte de plutonium dans cinq prélèvements de terre à la centrale et l'accumulation d'iode radioactif et de césium dans l'eau de mer font craindre une grave pollution de l'environnement et de la chaîne alimentaire. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a annoncé qu'elle avait mesuré dans le village d'Iitate, situé à 40 kilomètres au nord-ouest de la centrale, des radiations dépassant les niveaux recommandés. "Nous avons conseillé à nos interlocuteurs (japonais) d'évaluer la situation avec précaution, et ils ont indiqué que l'examen de la situation était déjà en cours", a déclaré à Vienne, siège de l'AIEA, un responsable de l'agence, Denis Flory. Le ministère de l'Industrie a ordonné mercredi aux neuf compagnies d'électricité régionales et aux deux entreprises qui exploitent des réacteurs nucléaires au Japon de contrôler rapidement leurs installations et de prendre des mesures pour réduire leur vulnérabilité aux tsunamis Source : France-Soir.fr 30/03/2011 - afp
  7. Le tsunami vu d'un bâteau Les Garde côtes japonais ont filmé l'instant où leur bateau rencontre le tsunami, avec ses énormes vagues, le 11 mars 2011. Heu franchement je n'aurais pas aimé être à la place des marins... Ils ont dû certainement croire leur dernière heure arriver!!!
  8. Japon : départs suspendus jusqu'au 31 mars 2011La Rédaction | Mardi 15 Mars 2011 Le CETO a revu ses recommandations concernant les voyages au Japon, et annonce la suspension des départs jusqu'au 31 mars 2011. Compte tenu des dernières évolutions de la situation au Japon, le CETO (Association de Tour-Opérateurs), recommande de suspendre les départs vers le Japon jusqu’au jeudi 31 mars 2011 inclus. "Les clients concernés peuvent reporter leur voyage sans frais à une date ultérieure sur le Japon ou toute autre destination programmée et aux conditions en vigueur du tour-opérateur. En ce qui concerne les clients à destination les tour-opérateurs renforcent leur assistance et se tiennent à la disposition de leur clientèle afin de répondre aux interrogations relatives à la situation locale.", indique un communiqué de presse. Source : TourMagazine 25/03/2011
  9. Japon : à Fukushima, la situation reste extrêmement critique Le Premier ministre japonais a assuré mardi 29 mars que le gouvernement était «en alerte maximum» pour éviter que la centrale accidentée de Fukushima ne provoque une catastrophe écologique. Naoto Kan a même fait un mea culpa en déclarant que l'évaluation des risques au moment de l'installation de la centrale avait été mal faite. Jour après jour, la situation tourne au cauchemar. Désormais le risque vient aussi de l’eau, déversée en urgence, par milliers de tonnes, pour refroidir les réacteurs. Le réchauffement de 4 des 6 réacteurs, lié à la panne des mécanismes de refroidissement, menace toujours de faire exploser leurs enceintes de confinement, ce qui provoquerait un dégagement extrêmement toxique d’uranium et de plutonium dans l’environnement. Mais l’eau a envahi la salle des machines de 4 réacteurs et bloque les travaux pour tenter de reprendre le contrôle au sein de la centrale de Fukushima Daichii. De l’eau de mer, pour partie, et l’eau douce qui fait fonctionner les réacteurs en temps normal ont envahi les tunnels techniques et les puits de la centrale. Une fois contaminée en iode et en césium elle est allée à son tour contaminer la mer, toute proche, et le sol. Entreprise particulièrement complexe et dangereuse Des traces de plutonium ont été trouvées à proximité de la centrale. Elles sont « sans danger » pour la santé selon le vice-président de TEPCO. Pourtant la fuite vient probablement du réacteur 3 de la centrale, le seul qui utilise du plutonium dans son combustible. Une preuve qu'au moins une des enceintes de confinement est rompue. Malgré les inondations les équipes de Tepco, l’exploitant de la centrale, aidées par les militaires et les pompiers continuent de travailler au rétablissement des systèmes électriques des réacteurs, à l’intérieur de la centrale. Une entreprise particulièrement complexe et dangereuse puisque le niveau de radioactivité de l'eau dans laquelle ils pataugent est mortel. Et on cherche, aussi, maintenant à évacuer l'eau contaminée pour pouvoir reprendre le refroidissement, avec de l’eau douce, des réacteurs qui fument toujours. sOURCE : RFI 31/03/2011 par Marion Wagner
  10. Les ingénieurs japonais poursuivent leur opération sauvetage à la centrale de Fukushima Trois semaines après le tremblement de terre et le tsunami qui a frappé le nord-est du Japon, le Premier ministre japonais Naoto Kan a annoncé ce jeudi 31 mars 2011 le démantèlement de la centrale nucléaire de Fukushima fortement endommagée. Mais les équipes de techniciens poursuivent leurs efforts pour tenter de limiter au mieux les dégâts dus à la radioactivité, dont les mesures indiquent une augmentation de son taux. Un pétrolier mouillant en face de la centrale pourrait être utilisé pour évacuer le liquide hautement radioactif, ce qui permettrait aux ouvriers de retravailler dans les bâtiments abritant les turbines, où d’importantes quantités d’eau contaminée ont été découvertes. La présence de cette eau met en évidence le fait que les enceintes contenant les réacteurs ne sont plus étanches. Les ingénieurs envisagent encore de recouvrir les bâtiments endommagés de trois des six réacteurs d’une bâche fabriquée dans un matériau spécial, lequel pourrait limiter les dégagements de vapeur radioactive. Le gouvernement japonais n’envisage pas d’étendre la zone d’exclusion autour de la centrale, de vingt à quarante kilomètres. On peut en déduire que les autorités japonaises ont confiance en la capacité des ingénieurs à refroidir les réacteurs surchauffés. Source : RFI 31/03/2011 - correspondant à Tokyo, Frédéric Charles
  11. Séisme - Accident nucléaire : Point de situation Mercredi 30 mars à 12h00 Le point de situation tel qu’il était mis en ligne jusqu’à présent est remplacé par un message à la communauté française, réalisé par l’Institut de radioprotection et de sureté nucléaire (IRSN) et davantage centré sur les recommandations quant à la conduite à tenir pour ceux de nos compatriotes qui ont fait le choix de rester au Japon. Lire le message pour les Français présents au Japon du 29 mars. Il s'agit du même message qu'hier. Ce message sera actualisé en tant que de besoin. Un exposé sur l’état détaillé des centrales est toujours disponible sur le site de l’IRSN. Source : Ambassade de France au Japon - Service de Communication et d’Information (30 mars)
  12. Commentaire : Fukushima et l'énergie nucléaire dans le monde Le commentaire d'aujourd'hui est consacré à la centrale de Fukushima et aux centrales nucléaires dans le monde. Voici l'heure de notre perspective sur l'actualité. Aujourd'hui, nous allons évoquer avec notre commentateur Atsuyuki Suzuta la centrale de Fukushima et ses implications pour les autres centrales nucléaires à travers le monde. Radio Japon : Depuis que la série d'accidents a commencé à la centrale de Fukushima, nous entendons parler d'annulations et de reports dans les centrales nucléaires du monde entier. M. Suzuta : Oui, les exemples sont nombreux. En Allemagne, d'abord, la chancelière Angela Merkel a ordonné l'arrêt temporaire de l'exploitation de sept centrales nucléaires. La Suisse a suspendu jusqu'à nouvel ordre la construction de nouveaux réacteurs. Aux Etats-Unis, le programme d'implantations en cours va vraisemblablement se poursuivre mais des voix commencent à demander le réexamen des questions de sécurité. La France, la Russie et d'autres pays ont également entamé une révision de leurs normes. L'onde de choc la plus forte se fait sentir dans les nouveaux pays industrialisés. Le 24 mars, le premier ministre thailandais Abhisit Vejjajiva a donné pour consigne à la suite de l'accident de Fukushima d'envisager une alternative qui ne passerait pas par l'énergie nucléaire pour répondre aux besoins d'électricité du pays. Des positions réservées se font aussi entendre dans des pays tels que la Malaisie et l'Indonésie. Radio Japon : Et le Japon, n'avait-il pas prévu de nouvelles centrales ? M. Suzuta : C'est exact. Dans le nouveau plan directeur sur l'énergie, élaboré en juin 2010, il a été prévu d'augmenter la part de l'énergie nucléaire, la faisant passer de 26% aujourd'hui à 50% dans le mix énergétique d'ici 2030. Il est évident que cet objectif devra être réexaminé. Radio Japon : C'était notre perspective sur l'actualité. Source : NHK 30/03/2011
  13. Bilan provisoire du séisme et du tsunami : environ 28 000 morts et disparus Le bilan provisoire des victimes du séisme et du tsunami du 11 mars s'élève désormais à près de 28 000 morts et disparus. Ce mercredi, à 10h00, l'Agence nationale de la police dénombrait 11 232 morts et 16 361 disparus. Le bilan devrait toutefois s'alourdir car les opérations de recherches ont été interrompues dans un rayon de 20 km autour de la centrale Fukushima Dai-ichi. Source : NHK 30/03/2011
  14. Le Japon ne souhaite pas subir d'embargo déloyal sur ses produits agricoles Le Japon demande à ses partenaires commerciaux de ne pas lui imposer un embargo déloyal sur ses produits agricoles, en raison des craintes liées aux éventuelles contaminations radioactives. L'appel a été lancé par les délégués nippons présents à une réunion informelle d'une commission spéciale de l'OMC, l'Organisation mondiale du commerce, ce mardi à Genève. Les Japonais ont assuré aux pays membres que leur gouvernement prenait toutes les mesures qui s'imposent, concernant notamment le contrôle des produits agricoles et laitiers dont le niveau de radioactivité serait supérieur à la norme. Ils ont insisté pour que les pays importateurs n'imposent pas de restrictions déloyales et scientifiquement injustifiées sur les produits nippons, s'engageant à communiquer toutes les informations utiles dans les meilleurs délais. Source : NHK 30/03/2011
  15. Des experts français au Japon pour aider à retirer l'eau radioactive La France enverra trois experts du nucléaire supplémentaires au Japon pour aider à retirer l'eau hautement radioactive de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi endommagée. Deux autres experts français sont déjà au Japon et discutent avec l'opérateur de la centrale, la Compagnie d'électricité de Tokyo. Les cinq ingénieurs sont envoyés par AREVA, une des plus importantes compagnies d'énergie nucléaire du monde. Leur objectif sera d'aider à éliminer l'eau polluée qui gêne les efforts de restauration des fonctions de refroidissement de la centrale. C'est la première fois que la France, deuxième opérateur mondial de centrales nucléaires dépêche des experts au Japon. Peu après l'accident survenu à Fukushima, la France a exprimé sa volonté d'aider le Japon, en fournissant des véhicules pour la surveillance de la radioactivité et des vêtements de protection. Le président français Nicolas Sarkozy sera jeudi au Japon, en tant que président du G20. Il rencontrera le premier ministre japonais Naoto Kan pour discuter de la possibilité d'offrir une assistance technique plus étendue au Japon afin de résoudre la crise nucléaire en cours. Source : NHK 30/03/2011
  16. Niveau de radiation élevé au large de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi L'Agence de sûreté nucléaire et industrielle annonce avoir relevé mardi après-midi une concentration d'iode radioactif plus de 3 300 fois supérieure à la limite acceptable, dans l'eau de mer, à proximité de la centrale nucléaire Fukushima Dai-ichi. C'est le niveau le plus élevé enregistré à ce jour au large de la centrale. Le taux d'iode 131 radioactif à 330 mètres au sud d'une sortie d'eau de la centrale était 3 355 fois supérieur aux normes officielles mardi, à 13h55. La sortie sert à évacuer l'eau des réacteurs 1 à 4 de la centrale. Un responsable de l'agence a souligné ce mercredi matin en conférence de presse que les personnes habitant dans un rayon de 20 kilomètres de la centrale avaient reçu un ordre d'évacuation et que l'isotope radioactif sera suffisamment dilué dans l'océan avant que les produits de la mer soient consommés. Il a ajouté que des efforts sont nécessaires pour prévenir l'écoulement de l'eau contaminée dans la mer. Source : NHK 30/03/2011
  17. Un cat café : qu'est-ce que c'est ? Au japon, et peut-être dans d'autres pays?, il existe des lieux comme celui-ci. N'y voyez pas une simple exploitation de l'animal... Ce n'est pas du tout le but ! C'est un "café" dans lequel il y a des chats... Cela permet aux gens qui aiment les chats de pouvoir, mais qui ne peuvent en avoir chez eux, d'en côtoyer, voire de s'en occuper quelques instants, de jouer avec eux... Cela amuse les chats mais permet aussi aux gens de se détendre en compagnie de leur animal préféré. Tout le nécessaire pour faire les chats est bien entendu sur place... et l'intérieur de l'établissement est conçu de manière à ce que les chats aient tout leur confort. Nos amis à 4 pattes viennent vers les gens uniquement s'ils en ont envie... C'est une idée qui pourrait être creusée en France ... Qu'en pensez-vous ?
  18. Voilà une vidéo hilarante... Monsieur chat boit... au robinet... mais à sa manière bien sûr !
  19. Une autre vidéo d'un chat qui se désaltère... drôle de position !
  20. Chat qui boit au robinet : il a de la suite dans les idées ce matounet... Attention, avec lui, risque d'inondation presque garanti si on n'y prend pas garde...
  21. Des nouvelles de l'Ile des Chats (île de Tashirojima) Aux dernières nouvelles, hommes et chats sont tous sains et saufs ainsi que deux touristes qui étaient de passage le jour du séisme et des tsunamis qui ont ravagé certaines régions du Japon. L'ile et ses habitants ont été secourus le 22 mars dernier par hélicoptère. Impossible de s'approcher en bâteau tant il y a de débris qui jonchent les abords... Ils ont pu être ravitaillés en eau et denrées de première nécessité qui faisaient le plus défaut. Des téléphones satellites ont également été fournis pour faciliter la communication... C'est d'autant plus important que 80% de la population est âgée de plus de 65 ans ... ! Cette île, est connue pour abriter les fameux chats sans queue (en fait beaucoup ont une toute petite queue). Les habitants s'en occupent fort bien, ce sont tous des "amoureux" de la gent féline... La preuve, lorsque les pêcheurs reviennent, ils commencent d'abord à nourrir ces adorables petites boules de poils. Une vidéo faite avant la catastrophe : Photo après la catastrophe : "網地島から送られて来た写真です。15:43に撮影されたもののようです Exifの情報を見たところ、11 mars (la photo vient de Ajishima. Selon les informations Exif, semble avoir été prise le 3/11 à 15 : 43) Photos de chats prises avant la catastrophe : Source : LoveMeow Une autre vidéo de l'ile aux chats : le paradis des chats...
  22. Des News fraîches sur la situation des animaux au Japon après le séisme et les tsunamis du 11 mars 2011 Association ARK - Animal Refuge Kansai Cette page est en anglais, mais via le traducteur c'est extrêmement compréhensible. Je vous fais un petit résumé. Il semblerait, selon les sauveteurs de cette association qu'aucun animal errant n'ait été observé dans le Tohoku... Ils pensent, hélas, qu'il y aurait de nombreux animaux morts suite aux tsunamis ou par l'état de choc, stress ou traumatismes en résultant. Il a également été observé qu'il n'y avait pas d'animaux domestiques dans le centre (ou les centres) d'évacuation de la préfecture de Miyagi, les animaux étant apparemment abrités à l'intérieur de voitures. Beaucoup de personnes évacuées veulent garder leurs animaux et non les laisser partir à Osaka dans un refuge car il leur serait difficile d'aller leur rendre visite. Un vétérinaire s'est joint à l'Ark, il est venu aider une clinique vétérinaire locale à Ishinomaki, la préfecture de Miyagi. Les premières constats montrent qu'il y a suffisamment de nourriture pour les animaux. Des places dans d'autres centres seraient encore disponibles pour accueillir d'autres animaux. l'ARK s'est également rapproché d'une "animalerie?" dont le propriétaire travaille 24h/24 pour s'occuper d'environ une centaine de chiens mais dans des conditions difficiles : sans eau ni électricité. Une trentaine de chiens pourraient être confiés à l'ARK.
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