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LIMA / Pérou : manque cruellement d'eau !
megmatii a posté un sujet dans Climat - Changement climatique
Le réchauffement climatique touche durement la capitale péruvienne, Lima. Considérée comme étant la ville la plus étendue sur un désert (avant Le Caire), la métropole de dix millions d'habitants est l'une des plus "sèches" au monde. Le jardin d'enfants de Santa Rosita a l'air d'une oasis de couleur parmi les bâtiments gris et bruns de Huaycan, un bidonville de Lima, au pied des collines andines poussiéreuses. Derrière cette vitrine, la seule eau de Santa Rosita est celle qui est acheminée dans des seaux par les parents des 30 enfants, âgés de 3 à 5 ans, gardés ici. Cette eau, ils l'utilisent pour boire, se laver les mains et tirer la chasse des toilettes. Ces dernières sont en dehors du bâtiment, derrière leur salle de classe, dans un cabanon fait de planches de bois et d'un toit en tôle. Une partie de l'eau est traitée : elle est amenée par certains parents qui ont l'eau courante à la maison. Le reste ne l'est pas. Ici, on ne s'étonne pas de voir que certains des jeunes sont d'une maigreur alarmante. Ils souffrent de malnutrition causée par les parasites de leur système digestif, qui les empêchent d'assimiler les nutriments qu'ils mangent. "L'un des enfants a la tuberculose, un autre a contracté une hépatite A deux semaines avant ma visite", déplore Elisa Riberto Guia, une enseignante de la crèche. Ces deux maladies sont directement liées aux conditions d'hygiène précaires. Tous les trois mois, les enfants doivent être dépistés pour les parasites et l'anémie. "La SEDAPAL [l'autorité municipale liménienne pour l'eau] ne fait pas son travail", s'indigne Judy Simon Tolentino, dont la fille de quatre ans Adriana fréquente le jardin d'enfants. "Comment peut-on ne pas donner la priorité au traitement de l'eau pour ces enfants ?". La réponse se situe peut-être dans l'histoire de Huaycan, 200.000 habitants, dont les premiers résidents, des immigrants venus des Andes, se sont installés ici dans les années 1980, en "squattant" les lieux. Dès lors, l'État péruvien, dont la SEDAPAL, s'est débrouillé comme il pouvait pour rattraper le retard de développement et fournir des services de base à la communauté. Mais tout cela est également lié aux conditions arides qui sévissent le long de la côte péruvienne, bordant l'un des déserts les plus secs au monde. Lima reçoit en moyenne moins de 10 millimètres d'eau de pluie par an. L'eau est une ressource rare et ce sont les personnes les plus pauvres, comme les résidents de Huaycan, qui en sont le plus affectées, dans un secteur où la demande est bien supérieure à l'offre. Aujourd'hui, Lima doit faire face à une vague croissante de consommation, au moment où la fonte des glaciers andins et l'intensité des précipitations se sont quelque peu taries : un impact du réchauffement global. Avec ses 10 millions d'habitants - dont un million qui n'a pas l'eau courante -, Lima est la deuxième ville construite sur un désert la plus peuplée, après Le Caire. Alors que le Nil traverse la capitale égyptienne avec un débit de 2.830 mètres cube par seconde, le Rio Rimac, la rivière polluée qui traverse Lima, fournit 80% de l'eau de la métropole, pour un débit d'environ 30 mètres cube par seconde… Dans le même temps, les précipitations annuelles qui arrosent les affluents du Rimac ont chuté pour atteindre 4.4 millimètres par an depuis 1970. Si ce niveau se maintient, le Rio Rimac sera à sec à la fin du XXIe siècle. "Cela pourrait être un cycle naturel", commente l'hydrologue Waldo Lavado, du service météorologique national du Pérou, interrogé par GlobalPost. "Mais le changement climatique est l'une des principales hypothèses qui pourraient expliquer ce tarissement". À l'heure actuelle, la demande en eau à Lima est de 23,45 mètres cube par seconde, selon la municipalité. Elle pourrait atteindre 47,43 mètres cube par seconde en 2040, du fait de la croissance économique et démographique. "Le changement climatique est un aspect très important dont nous devons tenir compte", déclare Yolanda Andia, chef de la production de la SEDAPAL. "Nous n'avons plus les 'nevados' [sommets enneigés] que nous avions avant, et qui aidaient à maintenir le niveau de l'eau durant la saison sèche". Pour changer les choses, la SEDAPAL a investi près de 2 milliards de dollars dans de nouveaux projets. Elle prévoit de construire un réservoir géant, Huascacocha, à plus de 4.000 mètres dans les Andes qui devrait permettre à Lima d'augmenter sa capacité de stockage de l'eau d'1,5 million de mètres cubes. Néanmoins, de nombreux Liméniens mettent en doute la SEDAPAL et critiquent leur incompétence et la corruption qui semble y sévir. Susana Villaran, maire progressiste de Lima, a vu ses tentatives pour saisir devant la justice deux des cinq membres du bureau de la SEDAPAL avortées au congrès, par le groupe de droite, à majorité fujimoriste (ndlr. de l'ancien président péruvien Alberto Fujimori, champion du néolibéralisme dans les années 1990). Gunther Merzhal, du département municipal de l'environnement, souligne que Villaran n'a que peu de marge de manoeuvre pour faire accélérer les choses dans des endroits comme Huaycan : "nous avons les mains liées", confie-t-il. Ainsi, alors que les riches résidents liméniens s'abreuvent d'eau courante potable, ceux qui vivent dans les bidonvilles, sans connexion au réseau d'eau, paient vingt fois plus - environ 10 dollars par mètre cube (8 Euros) - pour de l'eau non traitée, livrée par des camions citernes privés, hors du contrôle étatique. Au bout de la chaîne, Santa Rosita, ce jardin d'enfant, propriété de l'État, fait partie du programme PRONOEI destiné aux jeunes en situations d'extrême pauvreté. La réalité est toute autre. Presque l'ensemble du jardin d'enfant, dont le bâtiment lui-même, a été créé par les parents. L'enseignante, Mme Ribero Guia gagne un salaire mensuel de 332 soles (100 Euros) - autrement dit, comme elle le qualifie elle-même : "un pourboire". Le Président Ollanta Humala a pris le pouvoir au Pérou l'an dernier, avec la promesse de renforcer la structure étatique pour ses concitoyens, laissée à l'abandon par ses prédécesseurs. Mais jusqu'à lors, à Huaycan, à 90 minutes du centre de Lima, bien peu d'habitants peuvent respirer à nouveau. Mme Ribero Guia a tenté de nombreuses fois d'obtenir une conduite d'eau pour Santa Rosita. Mais sans un titre de propriété du terrain, elle ne peut rien obtenir. Les autorités locales requièrent la preuve légale de l'occupation des lieux : un magma bureaucratique qui problématise l'occupation illégale de ceux qui ont précédé les habitants actuels. Pour obtenir aujourd'hui une reconnaissance de l'État, les habitants devraient faire dessiner des plans de leurs bâtiments par un bureau d'architecte, à un coût de 600 dollars (environ 500 euros) : une somme exorbitante pour les résidents de Huaycan. Comment sommes nous censés payer cela ?" demande l'enseignante. "Nos enfants tombent malades, les frais de soins ne sont-ils pas déjà assez chers ?" Pendant ce temps-là, de nouveaux arrivants affluent des Andes vers Huaycan, occupant le terrain de plus en plus haut sur la colline, de plus en plus loin du système hydrologique." Les sources d'eau de Lima diminuent, et avec la SEDAPAL qui lutte déjà pour satisfaire la demande actuelle, il y a peu de chances que les habitants de Huaycan obtiennent un jour de l'eau courante, traitée. Maxisciences 21/07/2012 -
C'est l'idée originale de 6 étudiants d'une école française de design. Ils ont imaginé une sorte de gros cylindre motorisé et sous-marin qui serait capable de récolter les sacs plastiques et autres déchets qui polluent les océans. Après les camions, voici le drone-poubelle ! Cet engin cylindrique a des dimensions imposantes : environs 5 mètres de profondeur pour 3,6 mètres de diamètre - moteurs compris. Des mensurations encore théoriques : le projet n'existe encore que dans les ordinateurs de 6 étudiants de l'Institut Supérieur de Design (Valenciennes). Un projet du designer français Elie Ahovi www.elieahovi.com Leurs noms : Elie Ahovi, Adrien Lefebvre, Philomene Lambaere, Marion Wipliez, Quentin Sorel et Benjamin Lemoal. De futurs designers qui voient dans ce drone une solution originale pour récupérer les sacs plastiques et autres déchets qui polluent les océans. "L'appareil est équipé de trois moteurs, commente Elie. Ils permettent au drone de se déplacer en position horizontale, sous l'eau, jusqu'à 15 ou 20 mètres de profondeur. Comme un sous-marin, le drone est équipé de ballasts pour le faire plonger ou remonter en surface". Crédit Elie Ahovi Une fois le drone-poubelle rempli, il faut évidemment le récupérer pour le vider... comme une vraie poubelle. L'idée est alors d'utiliser des sortes de docks circulaires flottants, dans lesquels viendraient se placer les drones en attendant que des bateaux, équipés de grues, viennent les récupérer. "Les ballasts et les bouées du drone permettent de modifier la position de l'appareil: en pleine mer, il patrouille à l'horizontale puis remonte en position verticale à l'intérieur du dock", reprend Elie. Crédit Elie Ahovi Sur l'écran d'ordinateur, le projet a de l'allure. Alors à quand une réalisation? "Nous sommes en discussions avec différents organismes environnementaux et espérons décrocher un financement pour essayer de concrétiser le projet", reprend Elie. Affaire à suivre ! Sciences et Avenir 20 juillet 2012
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Sécheresse, guerres, en Afrique (ou ailleurs) : l'ONU et ONG appellent à l'aide alimentaire
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Climat - Changement climatique
La nuit dans le désert, la température baisse, produisant une fraîcheur naturelle idéale pour conserver et stocker fruits et légumes. A partir de ce constat très simple, un Français a développé une technologie de production de froid pour alimenter des "greniers du Sahel". "La nuit, la température baisse par le phénomène du rayonnement vers l'espace, et la rosée au petit matin n'est finalement qu'une condensation de la température atmosphérique", explique à l'AFP Pascal Fayet, créateur d'ITerrae, société pionnière du refroidissement radiatif. "Restait à trouver un moyen de capter cette condensation", dit-il. Il raconte la genèse de son projet, pour contribuer à lutter contre la grave crise alimentaire qui frappe plus de 18 millions de personnes dans les huit pays du Sahel, selon le dernier bilan de l'Onu. Après leur voyage de noces en 2006 dans la région de Niayes (Sénégal), Yasmina, ancienne chanteuse, et Pascal, ex-officier supérieur de la marine marchande, décident d'aider les communautés villageoises à améliorer leurs conditions de vie. "Le problème numéro 1, c'est la faible disponibilité des denrées alimentaires, à l'origine d'une grande mortalité infantile", souligne Pascal, qui s'est converti en chercheur. Des projets étaient en cours mais le maillon faible restait la production de froid. Se plongeant dans les publications sur le "refroidissement radiatif sur la voûte céleste", appelé aussi "effet de serre inverse", il imagine un procédé permettant de capter la fraîcheur de la nuit dans une réserve thermique spéciale pour la restituer de jour dans un local où seraient entreposés des graines et produits frais. Aidé gracieusement par deux laboratoires de spectrométrie du CNRS, Pascal Fayet réussit à réaliser des plans pour son prototype de "grenier du Sahel", au Burkina Faso. Le hangar en pisé, une terre crue séchée au soleil, est construit en forme de voûtes de 3m de haut avec un toit de 100 m2 sur lequel trois panneaux solaires fournissent l'énergie nécessaire à l'éclairage et la ventilation. Le réservoir thermique est, lui, intégré au bâti. "La température à l'intérieur est stable autour de 20° alors que dehors il fait plus de 40°, et en jouant sur la vitesse de circulation de l'air, on peut descendre à 15°", indique Pascal Fayet. A l'intérieur, les productions locales, oignons, aubergines, pommes de terre et carottes, sont entreposées sur des claies en eucalyptus recouvertes de paille. En guise d'isolant, l'inventeur utilise la typha, une plante aquatique invasive. Mieux encore, il récupère les milliers de sacs plastiques poussés par le vent dans les arbres autour des villages. "Ces sacs comprimés fournissent un bon isolant à bulles d'air". Ces "greniers" affichent une consommation d'énergie zéro ainsi qu'une absence d'émission de gaz à effet de serre et de rejet de chaleur, à la différence des systèmes traditionnels de réfrigération. Lauréat du concours du ministère de la Recherche en 2008, Pascal Fayet a testé son invention à plus grande échelle au Niger. "Une structure de 900 m2 avec un faîtage de 12m et des murs en terre de 5m d'épaisseur", se souvient-il. Mais la dégradation de la sécurité des étrangers dans ce pays contraint les Fayet à se replier au Sénégal. Avec l'aide de la Fondation Albert II de Monaco, le projet peut finalement aboutir à un "grenier pilote" installé en avril dernier dans l'éco-village de Mbakombel, à 80 km au sud de Dakar. L'objectif ultime serait de pouvoir doter chacun des 14.000 éco-villages du Sénégal d'une telle structure, pour réduire les pertes après les récoltes. Sciences et Avenir 20 juillet 2012 -
Les métropoles européennes ont dans leur majorité déjà pris des mesures pour combattre le changement climatique et s'y adapter, selon une étude présentée mardi par le Carbon Disclosure Project, une organisation spécialisée dans la publication de données sur le CO2. Se basant sur les données fournies par 22 métropoles, dont Madrid, Amsterdam, Berlin, Copenhague, Paris, Varsovie, Milan, Londres, Istanbul, Moscou ou Rome, ce panorama estime que les villes européennes, plus qu'ailleurs dans le monde, "affichent une connaissance significative et une expérience de terrain sur la façon de faire face au changement climatique au niveau local." Sur ces 22 métropoles, représentant 60 millions d'habitants, la moitié mesure et publie chaque année leurs émissions de gaz à effet de serre (GES). Deux d'entre elles affichent même déjà des progrès avec une baisse des émissions pour Londres (-3,6% entre 2008 et 2010) et Copenhague (-5,9% entre 2009 et 2010), selon ce rapport. Si cette publication annuelle n'est pas encore la norme, une grande majorité des villes -- 18 sur 22 -- ont en revanche des objectifs affichés de réduction. Certaines ont même adopté des cibles très ambitieuses comme Copenhague (objectif de réduction de 100% en 2025) ou Stockholm (qui entend se passer totalement des énergies fossiles d'ici 2050). Au-delà des efforts contre le CO2, dix-sept villes ont par ailleurs déjà mené ou mènent une évaluation des risques qu'elles encourent face au réchauffement. Et quatorze métropoles affirment disposer d'un plan d'adaptation, selon cette étude comparative. Parmi les exemples mis en avant: Berlin anticipe les pics de chaleur plus fréquents attendus en augmentant par exemple la végétalisation en ville. Paris a également adopté des mesures pour mieux se préparer aux vagues de chaleur et aux risques d'inondation. "Ce sondage est le plus important en volume" sur les agglomérations, a indiqué à l'AFP Benoît Prunel en charge des questions de développement durable chez Accenture, société de conseil ayant co-piloté cette étude. Le "bénéfice de ce type de reporting", déjà assez généralisé dans le monde des entreprises, est de "créer une émulation entre les villes", estime-t-il. Sciences et Avenir 3 juillet 2012
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La Convention de Ramsar sur les zones humides ajoute 9 sites japonais à sa liste, ce qui porte maintenant à 46 le nombre de zones reconnues dans le pays. Le Traité international, adopté en 1971 à Ramsar en Iran, sert de guide pour la conservation et la gestion durable des zones humides et de leurs ressources. Les 9 sites ont été enregistrés officiellement en prélude à une réunion des pays signataires débutant vendredi à Bucharest, en Roumanie. Les sites incluent Onuma de Hokkaido, dans le nord du Japon, Watarase-yusuichi, qui se situe à cheval sur 4 préfectures au nord de Tokyo, Tateyama Midagahara et Dainichidaira dans la préfecture de Toyama, sur la côte de la Mer du Japon, et enfin Yonaha-wan, dans la préfecture d'Okinawa, au sud du pays. Une fois qu'une zone humide est ajoutée à la liste de conservation, les autorités locales doivent fournir tous les 6 ans des rapports détaillant les conditions du site. Les communautés voisines aux zones humides s'attendent à ce que ce nouveau statut fasse venir plus de touristes et stimule leurs économies locales. NHK 03/07/2012
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JAPON : Prévention, information, gestion des désastres
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Séisme et tsunami au Japon spécial 2011
Le premier ministre japonais Yoshihiko Noda a annoncé la tenue d'une conférence onusienne sur la prévention des catastrophes naturelles, en 2015 au Japon, en vue de partager les enseignements tirés du séisme et du tsunami de mars 2011. Le projet a été annoncé ce mardi par le premier ministre, lors d'une conférence de 2 jours sur la résistance aux cataclysmes. Les représentants d'environ 80 pays participent à cet événement organisé à Sendai, une ville du nord de l'Archipel durement touchée par la double catastrophe du 11 mars 2011. M. Noda a déclaré que le Japon allait débloquer près de 3 milliards de dollars, dans les 3 années à venir, pour aider les pays concernés à mieux se préparer aux catastrophes naturelles. Il a par ailleurs indiqué qu'il n'oublierait jamais la sympathie et la solidarité de la communauté internationale, au lendemain du 11 mars. M. Noda a demandé à ses interlocuteurs de constater par eux-mêmes l'avancée de la reconstruction dans les zones sinistrées. "Les leçons apprises doivent être mises en commun pour qu'ensemble nous construisions une société apte à faire face aux catastrophes naturelles", a-t-il précisé. Le premier ministre a ajouté que le Japon s'efforcerait d'oeuvrer en faveur de la communauté internationale, pour lui exprimer toute sa reconnaissance. NHK 3 juillet 2012 -
États-Unis : 3,5 millions de malades à cause de la pollution des plages
megmatii a posté un sujet dans Divers - Insolite
Il ne fait pas toujours bon se baigner aux États-Unis. Un rapport épingle la qualité des plages outre-Atlantique, accusant la pollution d’être à l’origine de 3,5 millions de malades chaque année, présentant des troubles parfois graves. En France, la qualité de l’eau de baignade est surveillée toutes les semaines et chacun peut se renseigner sur les sites qu’il fréquente régulièrement. La qualité de l'eau de baignade laisse à désirer sur les plages américaines, où près de 3,5 millions de personnes contractent chaque année une maladie du fait de la pollution, a révélé mercredi une organisation écologiste. Natural Resources Defence Council, qui analyse la qualité des plages des États-Unis depuis 22 ans, constate que le problème ne s'arrange pas : l'année dernière était l'une des trois pires pour les avertissements et les fermetures de plages du fait de la pollution. «C'est un véritable fléau. L'eau de nos plages présente un niveau élevé de bactéries, de déjections humaines et animales», a déclaré Steve Fleischli, un responsable de l'association qui a étudié la qualité de l'eau sur 3.000 plages. La qualité des eaux de baignade préoccupante Les intempéries sont principalement à l'origine de la dégradation de l'environnement sur le littoral, relève l'association dans un rapport. «Quand il pleut, une grande quantité de produits chimiques, d'huile, d'excréments et de détritus sont emportés par les eaux et se déversent en fin de compte sur nos plages», a expliqué M. Fleischli. Les symptômes et maladies recensés à la suite de contacts avec une eau polluée sont nombreux : grippe intestinale, problèmes au nez, à la gorge et aux oreilles, dysenterie, hépatite, troubles respiratoires et neurologiques ou autres maladies graves. Les plages de Louisiane les moins fréquentables l'an passé Le groupe à l'origine de cette étude appelle l'Environmental Protection Agengy (Epa) à renforcer les critères de qualité des eaux sur les plages, ainsi qu'à prendre des mesures adéquates en cas de pollution soudaine. Actuellement, un nageur sur 28 encourt un risque de gastroentérite suite à une baignade. «C'est inacceptable. C'est un vrai problème de santé publique », a dénoncé Steve Fleischli. La Louisiane réunit à elle seule 29 % des plages dont les taux de pollution dépassaient l'an dernier les niveaux autorisés. Cet État riverain du golfe du Mexique a été durement touché en 2009 par la marée noire de la plateforme Deepwater Horizon. En France, il existe un site mis en place par le ministère de la Santé qui fait état de la qualité de l’eau sur les plages de l’ensemble du territoire. Pour cela, il suffit de se rendre sur le site gouvernemental de la qualité des eaux de baignade. Maxisciences 2 juillet 2012 -
Body Shop rejoint la campagne mondiale pour la fin de l'expérimentation animale.
megmatii a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Expérimentation animale
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Trafic d'un nouveau genre : des foetus humains...
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans TRAFIC / BRACONNAGE
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Le gouvernement japonais laisse mourir ses citoyens C'est une honte! comment peut on laisser toutes ces personnes à leur sort! et que dire pour tous ces enfants à qui l'ont sert des produits contaminés à l'école des environs! Plusieurs tests ont déjà démontré des traces de matériaux radioactifs dans l'urine des enfants! comment aider? parlez-en le plus possible et laissez des commentaires sur les videos!... Bien qu'une nouvelle loi au Japon soit passée afin de "nettoyer" internet de toutes les "fausses" informations sur Fukushima! J'aime énormément ce pays! malheureusement jamais je ne pourrais accepter ce comportement irresponsable du gouvernement japonais! C'est une honte! les japonais restent bien trop civilisés devant l'ampleur de la catastrophe nucléaire et les conséquences qu'elles auront sur tous ces enfants dans le futur! Ils ont besoin de l'aide de tous pour faire valoir leur droit de vivre!
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Un nouveau venu inattendu...
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les histoires d'animaux
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Les animaux aussi ont été touchés par la catastrophe au Japon, certain d'entre eux sont toujours vivants et sont en ce moment même toujours dans l'attente d'être sauvés!!!! Ils n'ont pas de voix et ne peuvent demander de l'aide!!! PARLEZ POUR EUX ET AIDEZ CES ASSOCIATIONS!!!!!!!!!!!!!!!! http://www.lifewithdogs.tv/2011/03/world-vets-prepares-first-responder-team-for-deployment-to-japan/ Traduction : Les animaux déplacés par les catastrophes naturelles au Japon ont désespérément besoin d'aide. "Monde vétérinaires" suit la situation en ce qui concerne l'impact du tremblement de terre et du tsunami et travaillent actuellement pour coordonner les efforts de secours pour les animaux victimes touchés par ces catastrophes naturelles. Vétérinaires du monde est en contact permanent avec l'US Army "vétérinaires associates" stationné au Japon ainsi qu'avec des organismes basés au Japon s'occupant de protection animale et bénévoles vétérinaires vétérinaires du monde qui restent en attente. Dès maintenant, les fournitures sont prêtes à partir et vétérinaires du monde prépare le déploiement d'une équipe de premier intervenant pour effectuer une évaluation « sur le terrain"et fournir une aide d'urgence. Vos dons sont urgent pour coordonner les aides pour les animaux au Japon. Tout montant aidera - Veuillez faire un don maintenant ! Veterinary supplies and/or medicines that are being requested are the following: De-worming medicines, vaccinations, fluid replacements, wound treatments, and cages. Donations of these items can be shipped to: World Vets headquarters, 802 1st Ave N, Fargo ND 58102 Fournitures de vétérinaire ou de médicaments qui sont demandés sont les suivantes : vermifuge, des médicaments, la vaccination, les remplacements de fluides, traitements pour soigner les blessure et cages. Des dons de ces articles peuvent être expédiés à : siège social : World Vets headquarters, 802 1st Ave N, Fargo ND 58102
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Japon : SOS pour les animaux, actualités et informations
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans SOS - Coup de pouce
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megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans SOS - Coup de pouce
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megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans SOS - Coup de pouce
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tous mes chats ça fait beaucoup hein!
megmatii a posté un sujet dans Photos, vidéos de nos compagnons
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Tigres : les tigres en liberté dans le monde
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les tigres
En réalité il y a déjà une loi très stricte en Chine interdisant le commerce du Tigre, mais elle n'est pas appliquée par tous. Il y a de très nombreuses associations Chinoises qui militent en ce sens et ont obtenu la fermeture de plusieurs laboratoires et usines. Le pays est grand et cela prend du temps de changer la mentalité de tout un peuple : Rome ne s'est pas fait en 10 jours!!!!. Des pétitions venant de l'étranger massivement influencent grandement les pays Asiatiques qui n'aiment pas la mauvaise "PUB". Cela aiderait que les média relaient ce type d'informations plus fréquemment.... Voilà pour la fourrure les clients ne sont pas Chinois mais Anglais, Allemand, Américain, Français et oui choquant n'est ce pas.......... -
ça c'est un sacré arbre à chat!!!
megmatii a posté un sujet dans Photos - vidéos insolites ou rigolotes d'animaux
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Stop aux massacres des Globicéphales - (îles Féroé)
megmatii a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Pétitions : Monde aquatique
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kim junsu angora et bengal !!! magnifique et adorable!!!
megmatii a posté un sujet dans Photos, vidéos de nos compagnons
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Je m'appelle Fox... Monsieur Fox !
megmatii a répondu à un(e) sujet de megmatii dans Photos, vidéos de nos compagnons
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