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trinette222

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Tout ce qui a été posté par trinette222

  1. C'est une super idée Noulane, on pourrait porter ce badge à chaque expo que l'on fait. Vous ètes d'accord ? Qui nous ferait un super logo ? l'appel est lancé.
  2. Eh bien , le japonais et un pays près de Lux. .)) PAS UN ALLEMAND NI UN JAPONNAIS
  3. Ah ok, je le fais, l'été pour mes oiseaux de volière avec des branches fraîches mais j'ignorais que cela portait un si joli nom . Le bain de rosée, c'est très poétique Merci Jeannot
  4. trinette222

    Poids

    C'est pas enorme mais pas inquietant (tu connais leurs dates de naissance ?) . Un rat de petit gabarit, tu as beau le nourrir, il restera petit. Tant qu'il est bien proportionné, pas maigre, pas gros et vif, c'est bon. Pourrais-tu nous dire ce que tu leur donnes et dans quelle quantité, sinon c'est dur de dire si c'est suffisant ou pas ?
  5. trinette222

    avortement

    ce soir la chienne à enlevé sa perf, donc le véto est passé la lui remettre pour continuer jusqu'a demain midi environ !! Elle lui a fait la fête, lui à prise le bras pour l'enmener dans la salle a manger comme elle nous fait quand elle est contente, c'est une sauveteuse avant tout notre upsy et elle à sa dans la peau même quand on est pas dans l'eau !!! a demain pour les nouvelles bcp nous dise de la faire avorter mais on garde espoir tant qu'elle mange, pas de fièvre on essai encore sinon on le fera c'est clair on préfère la garder elle avant tout !!!
  6. je vous met ça en petit mais je vous connais ! ... y'a des malins qui vont prendre une loupe et trouver tout de suite !
  7. Le sang il a coulé d'ou ? de la pointe du bec ou de ses "narines" ?
  8. Trop marrant Yuki qui joue les stars devant la caméra, en venant même voir de près l'objectif Sa chaise elle dérouille dur dur non? Et j'aime beaucoup sa façon de dire coucou tout doucement c'est mimi comme tout Tu as un chien ou c'est celui du voisin?
  9. trinette222

    clair de lune

    Bien sûr que tu peux participer, aucun soucis
  10. Quelle taille pour un gros chien? En fait, je n'ai jamais eu le cas avec mon gros (golden) mais avec le petit spitz de ma fille... gougouttes partout... La solution : il a été castré, ce n'est pas un chien destiné à la reproduction!!!!!
  11. je ne dit pas que j'etais d'accord excatement a son jugement...loin de la. moi je trouve que dalmatien rime bien avec elegance...mais bon je m'incline je ne peux vraiment pas lutter contre vous...rien ne vous convient sauf la ou vous tournez bien( comme disait labrador plus haut )
  12. j'ai eu le même cas mais c'était la première fois pour le mâle et pour la femelle, il ne voulait pas rester coller et quand le chien arrivait presque a éjaculer a l'interieur la femelle sans allait et le male éjaculait a l'exterieur. alors nous les avons maintenus 1/4 heures une demi heures une fois la pénetration faite pour etre sur qu'il y ait des spermatozoides a l'intérieur et la derniere fois nous avons voulus les laisser faire tous seul, et il sont rester coller mdr... la chienne Betty- Boop doit faire les bébés dans un mois.
  13. Tout simplement AHURISSANT ! Ne serait il pas intéressant de créer une Black-list qui regrouperait les infos concernant de tels personnages, vous voyez ce que je veux dire, afin de mettre en garde les éleveurs et de diffuser cette liste aux autres forums que nous fréquentons les uns et les autres ; ça ne les arrêterait pas mais ça leur mettrait un peu des bâtons dans les roues ? Je suis consciente que c'est dangereux mais dans ce cas-ci il est indéniable qu'elle va recommencer.
  14. J'ai eu un couple d'inséparables qui ont fait de petits. Ca n'arrête pas....j'ai été obligée d'enlever le nid et de retirer les oeufs au fur et à mesure de crainte que la femelle s'épuise. Oui c'est en effet des oiseaux très bruyants
  15. j'ai eu ce genre de souci avec mon boxer: hyper nervosité et hyper sensibilité digestive. il était trop maigre avec une ration normale et dès que j'augmentais les doses: grosse diarrhée. maintenant il est sur du perfo. j'ai changé 3 fois de croquettes, toujours sur du perfo, et plus de problème
  16. Nous sommes rassurés quant à la santé de Miko qui cicatrise et celle de Kiwi qui est guérie. Par contre pas de nouvelles de Eliot, j'espère qu'il va bien? On s'inquiète Melusine, n'oublies pas de nous tenir au courant car ce n'est quand même pas rien une fracture du bec, je suppose que c'est très long à se remettre. Est ce que le morceau de bec cassé va repousser?
  17. le seul avantage des sondes génétiques à mon avis sera que l'on aura une idée avant de faire un mariage du potentiel génétique de la future portée, si les deux parents sont sondés. je vous mets ici un texte du professeur Quiénnec, j'ai déjà mis le début mais pas la fin. " Variabilité génétique et sélection "I Définition du problème 1) Sélectionner revient à choisir un couple de géniteurs pour les apparier en vue d’obtenir un progrès, soit par rapport à la moyenne de la population de la population concernée, soit par rapport à la fraction déjà la plus améliorée. La première méthode intéresse une population entière comme la race, la seconde concerne un élevage donné. L’amélioration génétique comprend 3 étapes successives - un choix des géniteurs - une méthode d’accouplement - un contrôle des résultats 2) Deux données sont nécessaires à tout programme : a – les caractères souhaités sont-ils transmissibles héréditairement, autrement dit ont-ils une base génétique ? b – Comment peut on mesurer le progrès, ou tout au moins apprécier les résultats obtenus, ce qui signifie que l’on ait défini avec précision le but à atteindre. Ces deux questions apparemment simples, n’offrent pourtant pas de réponse évidente. Le fait de savoir si un caractère isolé, voire un groupe de caractères ont ou non un support génétique va être déjà très délicat. D'une part, presque tous les éléments repérables procèdent de l'inné, c'est à dire d'une base génétique, mais laquelle ? D'autre part leur manifestation est presque toujours soumise à l'environnement, donc à l'acquis. Dans quelles proportions, avec quel déterminisme voilà déjà ce qu'il faudrait savoir. Mais la nature affective de l'élevage canin, les facteurs psychologiques qui sous tendent la plupart des éleveurs, empêchent habituellement des essais expérimentaux et limitent l'information sur les résultats complets obtenus. Beaucoup de données sont biaisées, quand elles ne sont pas purement affirmées sans aucune preuve. Même si l'on a des données sérieuses, il n'est pas simple de savoir quoi faire. S'il s'agit de facteurs positifs, ce n'est pas difficile on cherchera à les concerter. Mais s'il s'agit de facteurs négatifs, défauts ou mêmes tares, la réponse devient nuancée. Le profane ou pire encore le néophyte informé vont réagir simplement en décrétant l'élimination. Mais de qui : les touchés, les porteurs, leurs parents, etc. On peut décapiter une race pour la sauver. Le rejet d'un géniteur taré élimine avec lui les qualités qu'il pouvait avoir. C'est souvent sans importance, parfois pire que la nuisance qu'il créait. La connaissance sérieuse des lois de la génétique, beaucoup plus complexes que celles que nous sommes conduits à énoncer par simplification pédagogique doit inviter à la prudence scientifique. Enfin, qui peut affirmer que tel défaut, voire telle tare est toujours nuisible, qu'elle n'a pas d'effets positifs marquants encore ignorés de nous ? Nous en connaissons de multiples exemples chez l'homme comme l'anémie falciforme qui permet de résister au paludisme. Chez les bovins, notre laboratoire a beaucoup étudié une anomalie chromosomique, la translocation 1.29. L’INRA suivant l’avis des suédois décrète qu’elle nuit à la reproduction et propose de l’interdire aux porteurs. Mais la race corse en est envahie, nous l’avons trouvée au Tchad, ne serait-elle pas un facteur de robustesse ? la race blonde d’Aquitaine, hautement performante en contient beaucoup. D’importants moyens viennent d’être fournis pour tenter de savoir si cette anomalie, visible au microscope doit être éliminée ou sélectionnée. Pensons à la complexité d'une décision chez le chien qui conduit à un premier conseil : chercher à améliorer les qualités, à promouvoir les bons géniteurs plutôt qu'à éliminer des insuffisances réels ou potentiels sans recours possible. Ne confondons pas le progrès génétique avec le pouvoir génétique. Certes cette démarche est contraire à la logique administrative qui sévit en France et nous a conduit à des structures monopolistiques, simples, coercitives car il est plus commode d'interdire que de développer, mais elle doit à notre sens rester le guide de l'éleveur de qualité. II RAPPELS UTILES 1) Génétique Tout caractère visible d’un individu fait partie de son phénotype. Il est dû tantôt à un seul caractère génétique (un allèle), tantôt à une combinaison de plusieurs. Dans la quasi-totalité des cas, il entre à la fois une part d’origine génétique, donc transmissible, et une part due aux conditions d’élevage, à l’environnement donc non transmissible. Il faudra tenter d’évaluer la part de l’un et de l’autre. La partie d’origine génétique est toujours composée de la juxtaposition et non du mélange de 2 séries de 39 filaments appelés chromosomes, qui portent chacun des centaines de caractères isolés. l’une des séries vient obligatoirement du père et l’autre de la mère. Deux d’entre eux, appelés X et Y, les gonosomes, vont induire le sexe. Donc tout individu est déterminé par la juxtaposition de 39 chromosomes paternels et 39 chromosomes maternels. Chacun des géniteurs a autant d’importance génétique. Il faut être prudent avant qu’une particularité recherchée ou redoutée est ou n’est pas d’ordre génétique. On n’a pas le droit pour affirmer la puissance des généticiens de provoquer la disparition de races ou de lignées sur de simples hypothèses, ni de se réfugier derrière des arguments de médecine de Molière en invoquant des polygènes à expressivité et pénétrance variables, ce qui veut dire en clair que le phénomène est sélectionnable mais on ne sait pas pourquoi. Seuls des essais expérimentaux d’accouplements avec résultats statistiques concordant avec les observations courantes peuvent nous éclairer. D’où la nécessité de recherches d’Etat, car quel éleveur va délibérément accepter de créer des tares ? A défaut, il y aura des incertitudes. Seule l’amélioration des études, la comparaison de programmes d’action et de leurs résultats permettra d’avancer. Il faut se garder d’une part d’admettre tous les laxismes, d’autre part d’éviter les simplismes brutaux. La conduite d’un élevage demande à la fois fermeté et tolérance avec beaucoup de continuité réfléchie. La génétique ne nous permet pas de prévoir les résultats d’un accouplement, seulement de comprendre après coup ce qui s’est passé. L’élevage reste un art où la connaissance des animaux est indispensable. Avant de commencer l’amélioration génétique, il faut donc savoir la repérer, puis analyser le patrimoine génétique des reproducteurs ou l’homogénéiser. 2) Influence de l’environnement Un élément de qualité peut être saccagé par les conditions d’élevage. Ainsi une mauvaise alimentation, mal équilibrée, avec des suppléments vitaminiques à l’aveuglette va provoquer des déformations du squelette qu’un œil peu averti pourra confondre avec des déformations d’aplomb. Des carences réduiront la hauteur au garrot, les dimensions de la poitrine, alors que les descendants mieux nourris n’exprimeront pas ces défauts. Un poil génétiquement long pourra rester court si l’alimentation ne fournit pas assez de matériaux pour fabriquer du poil. Les dents sont aussi des organes sensibles au milieu. Au cours de leur formation les bourgeons dentaires pourront être attaqués par des virus d’où manque de dents, dédoublements, mal dispositions, etc...De multiples carences minérales, des troubles fœtaux vont pouvoir affecter la dentition. 3) Organisation de la sélection Savoir quoi chercher dans un géniteur suppose que qualités et défauts soient clairement définis et que l’on connaisse ceux d’entre eux qui ont bien un support héréditaire. Le chien ou le chat de race pure peuvent se comparer à un modèle de référence qui est le standard, description technique précise de l’animal idéal, description qu’il faudra souvent affiner par des mensurations et des commentaires explicatifs. Faute de standard assez clair et d’une interprétation homogène entre les pays et les juges, il n’y aura pas de sélection rationnelle positive. Tout est fonction des goûts de chacun. On verra tel animal remporter des qualificatifs prestigieux avec tel juge, infâmants avec tel autre. Cela n’est aucunement inéluctable, mais dû aux inconséquences du système et des méthodes de référence. Telles qu’elles fonctionnent les expositions canines n’ont guère de fonction de sélection, faute de cohérence et de justificatifs techniques. Ce sont par contre des manifestations utiles, probablement nécessaires, pour l’information, l’éducation, la confrontation. Elles permettent de montrer au public de beaux animaux de pure race, donc de contribuer au développement de l’élevage. Par contre elles ne répondent habituellement pas aux conditions de la sélection raisonnée, qui impliquent une mesure de progrès. Pourtant les épreuves de sélection morphologique existent de puis longtemps, et sont parfaitement compatibles avec la rigueur zootechnique, le prix de revient d’une exposition, le temps disponible. Elles impliquent d’une part d’avoir des juges plus soucieux de compétence zootechnique que de convivialité, employant un langage commun et précis, et d’autre part des méthodes rationnelles d’analyse de la conformation. Aucune sélection sur la morphologie ne sera donc possible tant que les responsables de race n’auront pas fourni un modèle de référence rédigé dans le vocabulaire approprié, et assorti de barèmes d’appréciation avec hiérarchisation des éléments à rechercher. Jusque là on continuera à entendre toutes les controverses sur les résultats et leurs motifs. Il y a donc une absence de modèle de référence utilisable eu égard aux incohérences des jugements. En revanche le système actuel a le mérite de sauvegarder la variabilité génétique et de limiter les abus dirigistes des Associations de race. Le fait qu’une seule Association soit agréée et que la SCC n’autorise aucune autre à travailler le sujet nuit à la variabilité génétique, contraint les éleveurs à subir sans discuter les vues de certains ou à chercher à les renverser ce qui suscite d’innombrables conflits. Un club de race ne doit pas donner d’ordres impératifs. Il serait indispensable que soient autorisées plusieurs associations par race, contrairement à la pratique actuelle. Au moins que les éleveurs sérieux qui ont la malchance d’aimer une race dont les dirigeants ont une conception purement conviviale de leur tâche, ou pis encore sont inactifs, puissent travailler en commun sans polémiques ni querelles personnelles. Que le sort d’une race ne soit pas irréductiblement limité aux concepts même utiles et judicieux d’un groupe unique d’éleveurs, mais que d’autres conceptions, limitées par le standard puissent se pérenniser. La race pourra en avoir besoin demain." Vous comprendrez pour ceux qui ont déjà lu mes posts que je suis moi même un peu réfractataire aux clubs de race et aux statistiques.
  18. je vais essayer de la réduire différemment car on perd la netteté comme ca.
  19. trinette222

    chien blanc

    L'entretient d'un pcl c'est facile, rien à voir avec le maltais, bien sur je fais un peu plus attention aux chiens qui font des expos, style un bon bain lorsque l'ont rentre du bonne promenade dans les marais, et vi le pcl adore ce prendre pour un chien d'eau ! Ceux qui ne tourne plus en expos je coupe plus court, ainsi un coup de brosse de temps en temps, tous 15/20 jours ça suffit. la même en coupe lion courte et les voilà à la belle saison, pcl d'expos ou pas leur plus grand plaisir c'est de ce couché dans l'herbe, mieux de ce rouler dans la terre! c'est des chiens qui doivent avoir une vie de chiens ! blanc ou pas!
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