Muriel14

As-tu déjà consulté un véto ?

La plaie est belle et n'a pas l'air profonde. Continue comme tu fais. Essaie peut-être de bien sécher la zone après nettoyage pour que la Furacine accroche un peu mieux. Après 5 jours de Furacine, tu peux sans problème passer au miel. Les adeptes du miel te diraient certainement que tu peux en mettre déjà maintenant mais moi, j'aime bien une pommade anti-biotique pour commencer, c'est plus sûr.

Pas de sortie pour moi non plus, et pourtant, j'étais en congé hier ! Mais on a remplacé ça avantageusement par une excellente séance dressage dans le manège couvert avec Val et Titi, malgré le vent, le hangar qui craque et la pluie que le vent nous renvoie dans la piste. On annonce la même météo jusqu'à la fin de la semaine. Par contre amélioration prévue pour samedi. Faudra pas louper le coche !

L'as-tu déjà faite voir par un dentiste ?

Ben ça avait commencé par un ptit bout puis ça a évolué... faut voir l'évolution quoi !

Le nettoyage à l'iso-bet et l'application de Furacine c'est parfait. La furacine est une pommade à base d'antibiotique qui évite les infections. Poursuivre avec le Vulkétan dès que ça bourgonne, c'est très bien aussi. (à ce stade-là, le miel est intéressant également). Je n'ai pas vu la blessure, mais par expérience, je sais que si la furacine reste appliquée une petite heure avant de disparaître (par lavage, souillure, léchage ou autre), c'est largement suffisant pour permettre aux principe anti-biotiques d'agir et d'éviter l'infection. Mais, encore une fois, je n'ai pas vu la blessure ...

Si les exercices de bases ont été bien compris et bien assimilés, alors il faut absolument éviter ce revirement en réagissant dès les premiers signes de ralentissement de sa part (juste avant qu'elle ne se retourne) afin de la remettre en avant dans le bon sens. Ce n'est pas facile car il faut réagir avec rapidité mais avec justesse (juste au bon moment et avec la bonne intensité).

Malheureusement, tous les chevaux n'ont pas la chance de naître au sein d'un troupeau et de pouvoir ainsi être sociabilisé correctement avec ses congénères. Pour peu qu'il ait un caractère sensible ou dominant, cela peut engendrer ce type de problèmes. Ce n'est alors pas facile pour un humain de remédier à cette situation. Il faut d'abord créer avec son cheval, une solide relation à pied et ensuite à cheval (une relation dans laquelle le cheval se sentira confortable en présence de son cavalier). Il faut ensuite multiplier les sorties, apprendre au cheval à "être mis à toutes les sauces" (lui faire connaître toutes sortes de situations différentes mais pas stressantes et en étant toujours là pour le rassurer et pour veiller à ce qu'il reste calme). Il faut multiplier les rencontres avec des congénères (en liberté au pré quand cela est possible ou en main, ou monté dans un manège. A ces occasions, il faut toujours bien veiller à ce que le cheval trouve en son cavalier, un allié rassurant et protecteur (il ne faut donc pas avoir peur de "défendre" son cheval face à un congénère un peu agressif ou trop empressé). Il faut ensuite aborder les terrains de concours non pas avec un objectif de performance à atteindre mais simplement comme un exercice visant à ce que le cheval s'habitue à ce type de situation plus stressante et qu'il apprenne à les gérer en votre compagnie (c'est dans le confort et la confiance d'une relation sereine que le cheval acceptera de s'en remettre à vos décisions quelles qu'elles soient). Ce n'est qu'ensuite qu'on peut y ajouter l'adrénaline de la compétition.

Moi, ça fait longtemps que j'ai pris la décision de longer sans le moindre enrênnement. Je trouve qu'au final, ça ne sert à rien. Je longe en licol et j'utilise ma main qui tient la longe pour essayer que le cheval vienne se se placer en douceur et je règle l'impulsion avec l'autre main. Je trouve que l'exercice est bien suffisant ainsi. Je complète ensuite la séance par un travail à pied classique.

Mon vétérinaire homéopathe propose pour les juments dont les chaleurs sont très marquées au niveau du comportement, une piqûre annuelle (petit cocktail homéopathique dont je ne connais pas la composition) à faire au tout début du printemps. Une amie dont la jument était inmontable lors de ces chaleurs a opté pour cette solution et depuis trois ans, tout se passe très bien, la différence est flagrante. Je songe également à cette solution pour ma jument dont la susceptibilité est exacerbée au cours de ses chaleurs.

Quel âge a-t-il ? Comment est sa morphologie : est-il plutôt fait en montant ou en descendant ? Trébuche-t-il plus des antérieurs ou des postérieurs ou des 4 membres ? A-t-il eu des lésions (tendons, muscles, articulations) dans le passé ?

De bons conseils sur le forum, Un bon prof, Beaucoup de travail, te voilà bien partie.

Oh ben dommage. Justement, je trouve ça chouette que ça discute un peu en consistance ! Et ça ne change rien à la liste des participants !

Tyson a déjà eu le fourreau gonglé à plusieurs reprises avant sa castration et c'était dû à une crise de foie (mais comme tu fais actuellement un drainage hépato-rénal, ça ne peut pas être ça, à moins que ce soit un effet secondaire du drainage). Il a aussi eu de la gale de boue à cet endroit. Mais vu ce que tu décris, ça peut aussi être un coup. Quoiqu'il en soit, le Traumeel est un bon début.

idem Moi aussi, n'oublie pas de venir t'exercer au Try. Il y a de chouettes contrastes noir et blanc

Je comprends tout à fait les avis de Cyd et Prune, mais celui de Maud aussi. A mon avis, vous ne parlez pas de la même chose. Avoir un cheval polyvant qui fait un peu de tout à un bon niveau, c'est très agréable, mais certains chevaux affûtés, entraînés et choisis pour un type de compétition particulière de haut niveau et monté par un cavalier qui a des objectifs du même ordre ne peut plus se permettre de participer à n'importe quelle activité. Les sorties d'un tel cheval doivent être bien pensées et réfléchies en fonction des risques. Bien sûr, il y a des risques quoi qu'on fasse à cheval, mais il y en a sûrement plus dans un activité de compétition comme le TREC que lors d'une rando entre copines. Enfin, c'est ce qu'il me semble. Concernant Jill et son adorable comportement, je pense qu'actuellement, elle est à la sortie de l'hiver, calme et pas encore sous la pression de la compétition. A mon avis, elle sera déjà bien différente en fin de préparation de sa saison de course. Voilà, l'avis tout à fait neutre de quelqu'un qui n'a jamais fait une course d'endurance, ni participé à un trec

A mon avis, il faut reprendre certains exercices de base qui n'ont probablement pas été bien compris par la pouliche. Notamment la conduite en main, l'interdiction de dépasser, répondre aux sollicitations gestuelles qui demande de bouger les hanches, les épaules, etc. Commencer en cercle en restant à côté du cheval puis s'éloigner progressivement et surtout, réagir dès les premiers signes de ralentissement de sa part (juste avant qu'elle ne se retourne) afin de la remettre en avant dans le bon sens. Ce n'est pas facile car il faut réagir avec rapidité mais avec justesse (juste au bon moment et avec la bonne intensité). Pour un travail aussi important que celui de l'apprentissage d'un jeune cheval, si le problème persiste, il faut penser à se faire aider par un professionnel.

Ce n'est pas parce qu'un cheval est "un peu fatigué" qu'il a forcément besoin de vitamines. Le problème peut être ailleurs (ou pas, car un cheval a aussi le droit d'être fatigué). Mais pour s'en assurer, il faut prendre l'avis d'un véto.

Avec plaisir Soph, on organise ça tout prochainement.

Ce n'est pas parce qu'un cheval est "un peu fatigué" qu'il a forcément besoin de vitamines. Le problème peut être ailleurs (ou pas, car un cheval a aussi le droit d'être fatigué). Mais pour s'en assurer, il faut prendre l'avis d'un véto.

Je pense que les juments tout comme les étalons sont des chevaux "entiers", dans tous les sens du terme. Il restent entier physiquement ainsi que dans leur tempérament (s'il y a des juments de type plus soumise, il en est d'autre au caractère plus trempé, voire même dominante et cela peut évoluer au cours d'une vie) car le côté entier des juments comme des étalons est aussi guidé par l'influence non négligeable des hormones sur leurs comportements et leurs humeurs. Tandis qu'un hongre, en l'absence de l'influence de ces hormones (que son corps sécrète moins) aura un caractère plus stable tout au long de sa vie (dans des conditions de vie égales).

Je suis d'accord avec Jewel. C'est très difficile d'obtenir une parfaite symétrie du corps humain. Je pense que pour y arriver, il faut d'abord pouvoir bien cerner et prendre conscience de notre posture, de nos contractions et de nos compensations qui ne se trouvent pas toujours là où on les croit. Et je pense que pour y arriver, la consultation ostéo est indispensable.

Comme dit Poussinette, ça peut être dû à des vers résistants. Ca peut aussi être dû à un excès de protéines (vérifier son alimentation).

En cette saison, les chevaux ont facilement des démangeaisons. La fin de l'hiver et la mue de printemps peuvent mettre le foie à rude épreuve et il peut en résulter des démangeaisons. Si le cheval se gratte modérément, ce n'est pas grave. S'il va jusqu'à la pelade ou si un urticaire se manifeste, alors il faut commencer par drainer le foie. La boue peut aussi être la cause de certaines démangeaisons. A ce stade, il faut se contenter d'observer et si ça devient plus sérieux, consulter un véto.

L'épeautre est une céréale générale très proche de l'orge. Je ne vois pas en quoi elle a un effet particulier sur le développement de la musculature. L'avoine non plus d'ailleurs. Le principal intérêt de l'avoine c'est sa haute digestibilité qui en fait un aliment dont l'énergie est rapidement disponible et qui tient chaud l'hiver. Si le cheval se met à maigrir subitement, une prise de sang est indispensable.