Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Poussinette1111

Membres
  • Compteur de contenus

    3 089
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Poussinette1111

  1. Un petit peu. Pour les assouplissements, l'épaule en dedans est nettement plus bénéfique car elle joue sur l'engagement du postérieur interne sous la masse.
  2. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Visiblement, je ne prêche pas dans le désert. Je suis assez d'accord avec l'ensemble de ta réponse. La remise en question fut dure, mais visiblement constructive. Sans rancune! Pour en revenir au "main sans jambes, jambes sans main", cette formule a été énoncée par Baucher lors de l'élaboration de sa seconde manière (la seule intéressante). Cette formulation ne fait qu'énoncer ce que La Guérinière faisait déjà à Versailles : quand la main agit, les jambes n'agissent pas et quand les jambes agissent, la main n'agit pas. Si main et jambes agissent en même temps, on dit à la fois "avance" et "arrête", comment le cheval est-il sensé l'interpréter? Selon sa sensibilité, il forcera la main, se blasera ou se mettra à peser. S'il y a bien une chose à retenir de Baucher, c'est bien ce "main sans jambes, jambes sans main" qui dénote d'une équitation subtile, respectueuse de l'animal, de sa compréhension et de sa logique ; à retenir avec son idée de la descentes d'aides : c'est-à-dire du cheval qui sait se passer du cavalier, se meut et se tient seul, sans secours de la jambe et sans secours des rênes. Un cheval libre sur parole guidé par des aides claires et cohérentes. En ce qui concerne le rassembler, vouloir l'obtenir en finesse, c'est passer par le main sans jambes, jambes sans main. Il y a d'autres façons de rassembler, mais, de toutes celles que j'ai pu voir à l'oeuvre, seule celle qui n'oppose pas main et jambes aboutit au dressage de chevaux moyens, ni particulièrement mauvais ni particulièrement exceptionnels, jusqu'à des airs sophistiqués comme les pirouettes, les changements de pied rapprochés, le passage et le piaffer, de manière brillante et sans rencontrer les défenses courantes comme les cabrers, la rétivité, le poids dans les mains... Toutes ces défenses étant dues par des ordres main-jambes simultanés au lieu d'être dissociés.
  3. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Est-ce utile d'avoir une vision dichotomique bon/mauvais? Si on se place selon ce point de vue, tout va dépendre des critères posés. Si l'on vise le résultat, le moyen "bon" sera celui qui marche. Si l'on vise un travail subtil 1) qui permettra l'avancement d'un cheval moyen jusqu'aux airs les plus difficiles et 2) dans un respect absolu de l'intégrité du cheval, alors le "bon" sera celui qui est à l'écoute du bon sens équestre, qui s'appuiera sur des enseignements qui font date, sur des recherches menées par des écuyers talentueux qui se sont avancés sur cette voie et aussi dans la recherche des aides les plus subtiles jusqu'à parvenir à leur absence quasi totale.
  4. Mon cheval ne fuit pas réellement, car je fais toujours attention à ne pas laisser déraper les hanches, en maintenant une légère avance des épaules sur les hanches... mon problème n'est pas la fuite des hanches ou des épaules, mais bien ce pli à l'intérieur... mais je travaille en effet plus les épaules en dedans que les cessions... merci du conseil Le but d'une cession est de faire fuir les hanches; ce n'est pas un défaut d'équitation, c'est ce que l'exercice demande pour être correct. Donc, fondamentalement, cet exercice est plutôt inutile. Tu peux t'en passer largement sans culpabiliser.
  5. Ne plus faire de session à la jambe. C'est un exercice utile pour apprendre au jeune cheval à "fuir" les talons du cavalier et, parfois, à préparer l'apprentissage de l'appuyer, sans plus. Fais plutôt des épaules en dedans à la place qui partent de la ligne du milieu vers le mur, c'est plus bénéfique au niveau du travail. La cession fait fuir/glisser sur le côté les hanches, l'épaule en dedans va avancer/engager le postérieur sous la masse A gauche, les chevaux plient souvent de trop => quasiment pas demander de pli et ils seront déjà trop pliés.
  6. Maintenant que tu le dis, en effet, on voit qu'il agit contre son enrênement et que même quand il prend une attitude placée, l'élastique reste tendu. L'idéal, c'est que quand il est bien, l'élastique n'agisse plus (qu'il pende).
  7. L'idéal est qu'un cheval ne tire pas (=> la solution de Snurfy en est une) ou de s'arranger que s'il tire, cela casse tout de suite (=> cf. la corde à ballot bleue) car le soucis est : 1) la pression sur les cervicales, 2) si l'attache lâche quand il est au maximum de pression, il y a danger que le cheval se renverse.
  8. Ne saurais-tu pas louer un box sur place? La remettre dans le camion? Bref, lui éviter l'attache. Sinon, rester toujours pour la surveiller et mettre une cordelette à ballot.
  9. Ca, je ne crois vraiment pas que ce soit une solution. Il va tirer sur l'élastique et quand tu enlèveras l'enrênement, aïe aïe aïe, ce sera pire car il aura pris de la force. Cela ne fait que cacher le problème sans le résoudre. Je ne pense pas que ce soit un problème d'enrênement mais plutôt de manière de travailler (! je ne dis pas que tu travailles mal, mais plutôt que cela ne semble pas adapté à ton problème), le mieux est donc de remettre en question la façon dont tu t'y prends, ta coordination au niveau des aides et, si tu n'en n'as pas, prendre un prof qui t'aidera à solutionner ce qui fait qu'il "pèse".
  10. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Bon, je sais que je vais faire vieille rombière , MAIS jambes = impulsion. Ce ne sont pas des pressions, actions, vibrations, claques des jambes ou des piqués, des attaques ou des pincés d'éperon qui rassembleront un cheval. Arrêt ou non. C'est le fait de balancer le cheval entre la main et la jambe qui, JAMAIS (à moins d'arriver à un point très très aboutit du dressage où l'on met en oeuvre l'effet d'ensemble" - donc autant dire jamais) n'agissent ensemble mais de manière dissociée, et grâce aux exercices que le cheval se rassemblera et se mettra en main. En ce qui concerne l'arrêt, l'impulsion de l'allure qui le précède DOIT suffire, sinon c'est qu'il n'y avait pas impulsion. Si, au moment de l'arrêt, on ne se sert que de la main (et aussi à mesure de l'avancement du travail), le cheval ne se creusera pas et bénéficiera de tous les bienfaits de l'exercice "arrêt", c'est-à-dire qu'il s'y arrondira, se relaxera, s'y équilibrera, sera prêt à repartir et... (chose souvent ignorée) va être bourré d'une impulsion incroyable juste après. On peut améliorer la qualité et le rassembler de l'arrêt en le faisant souvent en épaule dedans et en appuyer. Que se passe-t-il maintenant si on met la jambe lors de l'arrêt? -> 1) On provoque la confusion chez le cheval car après lui avoir appris que jambe = avance, on lui dit ben non, quand je mets ma jambe, faut que tu t'arrêtes. La jambe étant un simple stimulus appris, il remplacera sa signification première (avancer) par la seconde (ralentir). Résultat : un cavalier tout le temps dedans, une escalade d'éperons et parfois un violent coup de cravache donné toutes les trois foulées. -> 2) Comme il y a confusion, l'arrêt perd toute son utilité. Plutôt que de calmer, rééquilibrer et décontracter, il devient une source de tension et d'énervement à cause de la contradiction qu'il renferme (opposition main-jambes). -> 3) Si on sent que le cheval va être incapable de s'arrêter en équilibre à cause d'un manque d'impulsion et ben... on change ses plans, on remet le moteur et on redemandera l'arrêt quand le souci d'impulsion sera réglé. Donc, l'arrêt se demande sans jambes, ni actives, ni collées ou proches, mais décollée (! elles doivent rester près pour être prompte à intervenir, mais ne doivent pas être en contact avec la peau si on ne demande pas "en avant!"). Ce point n'est pas évident à mettre en pratique car cela va à l'encontre de tout ce que l'on enseigne généralement, des idées reçues, de l'obsession (presque inutile) de l'impulsion. Il suffit de prendre la peine de se mettre le long d'une piste et de regarder le nombre de touchers inutiles donnés continuellement par les jambes des cavaliers. La générale utilisation des jambes tient en une sorte de battement mécanique clac - clac - clac - clac - ... et ce, même au pas rênes longues (on relâche la main, mais... pas les jambes???). Se rendre compte de cela est parfois difficile, se rendre compte que soi aussi on a ce défaut bien ancré est très difficile, arriver à le changer est encore plus difficile (je sais de quoi je parle), mais le jeu en vaut vraiment la chandelle. A côté de cela, il faut aussi prendre son temps pour arrêter et laisser le cheval s'y équilibrer et trouver le temps de poser tous ses pieds. Maintenant, pour le problème donné ici, l'arrêt à recherché, c'est l'arrêt calme, compris, peu importe l'attitude du cheval car à le premier stade de l'arrêt, c'est la simple immobilité.
  11. Je trouve cela pas mal, maintenant, tout dépend aussi de l'intensité des séances : si elle est très soutenue et très exigeante, bof. Mais si c'est surtout de la détente, de l'entretien et de l'habituation/préparation au travail qui l'attend et au cavalier, c'est pas mal. Attention que le week-end repos ne se passe pas cloîtré au box si cela est possible.
  12. En fait, je pense qu'il ne se "place" pas, il se met en défense contre ta main dans une sorte de faux placé et se met alors à peser. Le mors peut être une piste. Une solution pourrait être de le travailler un peu plus ouvert, qu'il ne puisse pas charger ta main et attendre que ce soient les exercices qui le mettent dans ta main. Faire beaucoup d'épaule en dedans, par exemple, pour mobiliser un postérieur puis l'autre, afin que cela génère une mise en main en équilibre et non par volonté de "fuir" la main du cavalier en tirant sur le mors. Pour tirer, il faut être deux et que le cheval puisse prendre la position, ne pas le laisser prendre l'attitude qui lui permet la défense pendant un certain temps (le temps que cela passe, qu'il oublie) peut être une solution possible car elle ne permet pas à la défense de pouvoir se produire. Mais j'imagine qu'il y en a d'autres.
  13. Et le point d'appui est divisé.
  14. Je pensais à la même chose, il paraît que ce type d'attache crée moins d'envie chez les chevaux de tirer au renard (cf. chevaux de courses), mais quid d'un cheval qui le fait déjà? Perso, j'utilise les cordelettes à ballot car un cheval qui a un jour tiré peut recommencer, même si depuis il se laissait réattacher sans problèmes ni défenses.
  15. Il y a aussi les Zaldi, conçues au départ pour des chevaux baroques. Perso, la Isabel Werth chez Wintec, j'en suis vraiment vraiment pas fan du tout. La version Bates, je n'ai jamais essayé.
  16. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Bouffy, rien à ajouter, .
  17. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Oui, l'impulsion, cela se demande avant (+ c'est comme le dis Calisto, une sorte d'état d'esprit que le cheval acquiert avec le temps), au moment de l'arrêt, c'est trop tard + alors on oppose main et jambes => on compresse le cheval.
  18. Donc, si je comprends bien et si le médicament ne joue qu'une fois et puis plus, cela n'a pas pu être efficace le jour de l'essai (ben vi, ils auraient essayé avant puis ça n'aurait plus marché) + il est aussi plus sensible au cavalier.
  19. je ne sais pas. peut etre le fait qu'il reste d'avantage 'figé' sur son mors, en etant plus dur en bouche, j'ai pensé que ça pouvait venir du dos...? j'ai pensé aussi à un problème de dents, mais puisque le dentiste est venu il y a un mois, je pensais que ça serait moin probable... j'appelerais mon veto et/ou dentiste demain Ok, ma question était piège, si tu avais dit qu'il s'était coincé dans son box, était tombé ou avait tiré au renard, là, l'ostéopathe aurait été nécessaire. Maintenant, on n'est jamais là 24h/24 et ils ne nous attendent sûrement pas pour se coincer dans leur box. + D'autres auront sûrement des idées demain.
  20. En effet, s'il n'a fait que limer, je ne pense pas qu'il y ait de quoi avoir un changement au niveau du mors.
  21. Je ne saurais pas te dire car je n'ai pas vu le cheval et que tu es donc le seul à pouvoir juger si cela est nécessaire ou non. Tout est toujours possible. Qu'est-ce qui te ferais penser à un problème de dos (et non d'ailleurs)? + Il ne le fait visiblement pas en promenade (combien de fois as-tu été promener depuis qu'il fait cela?) or si c'est un problème physique, il le ferait tout le temps, non? => Si tu n'es pas sûr, une petite promenade pourrait éclairer et/ou confirmer.
  22. Un cheval qui est habitué à 1 maison (surtout s'il a du sang) peut ne plus être lui-même pendant plusieurs semaines (voire mois) quand on le change. Par contre, ce que tu décris ressemble à un headshaking or, même drogué, il l'aurait fait à la vente aussi et marché en main, voire même dans son box. Donc, j'opterais pour de l'anxiété, tout simplement. L'idéal serait de le laisser prendre ses marques, de faire trois fois rien au travail et... d'attendre. Des chevaux qui changent subitement après une vente, c'est très courant, surtout s'ils n'ont pas été habitués à des changements d'environnement. Je pense pas qu'il faille chercher plus loin. Pour ce qui est de lui trouver un matériel qui pourrait convenir, peut-être voir quel équipement il avait avant. En attendant, du rescue ou des compléments "déstressants" (qu'on trouve en sellerie et que peut conseiller le véto) peuvent aider à gérer le stress du changement. Et reporter les concours s'il y en avait de prévu.
  23. Donc, il n'est ni vieux ni en pleine croissance, ce n'est pas une défense à ta jambe (sinon, il l'aurait fait avant aussi). Pour ce qui est du travail (en attendant de trouver si c'est dû à autre chose (dent, dos...), mais je pense qu'alors ce serait identique en promenade), je dirais vibrer dans les doigts, ne pas mettre trop d'impulsion pour éviter que cela ne le pousse à se contracter encore plus. D'abord la décontraction puis l'impulsion. Varier sans cesse les exercices (toutes les 5 à 10 foulées), pour le forcer à être attentif et ne pas lui laisser le temps de se figer dans une position. Beaucoup beaucoup de pauses rênes longues (la mise en main est souvent plus "fraîche" après). Le laisser trouver l'équilibre, avoir les rênes un peu lâches (quitte à avoir l'impression de l'abandonner un peu) et agir ponctuellement avec de douces vibrations, toujours pour éviter qu'il ne fige sa bouche sur le mors. Une autre solution, c'est qu'après le passage du dentiste, le mors ne lui soit plus adapté.
  24. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    J'aurais plutôt dit "surtout décolle tes jambes et ne le touche pas" tant qu'il n'est pas arrêté et calme (et habitué à l'être). Récompenser (petit bonbon) à l'arrêt peut être aussi un moyen de lui rendre l'arrêt agréable. Et faire de fréquentes pauses rênes totalement lâches en le laissant faire TOUT ce qu'il souhaite lors de ses moments rênes longues (surtout s'il s'arrête de lui-même, pas le remettre en avant alors, mais le laisser arrêté ; tu remets en avant une fois tes rênes ajustées et... pour travailler).
  25. C'est donc une piste à creuser (pas la seule). Donc tu pourrais lui demander si c'est normal, il aura peut-être une idée, peut-être pas du tout, mais demander ne coûte rien. Autres pistes : - Quel âge a-t-il? - Agis-tu différemment avec tes jambes? - Quand est-il dur? Tout le temps? Que d'un côté? Des deux? A quelle allure? Dans quel exercice? - Idem en promenade, à l'obstacle ou c'est juste en dressage qu'il est dur?
×
×
  • Créer...