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Poussinette1111

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Tout ce qui a été posté par Poussinette1111

  1. Otto Schumacher, bof. Cette selle fait un peu le bas de gamme des "bonnes" selles. La isjel, je pense que je l'ai essayée en sellerie, j'ai bien aimé, mais je doute que le rembourrage soit fiable. Kieffer, ce sont des selles "dures" et avoir en-dessous de soi une Kieffer molle et presque moelleuse à l'assise, c'est douteux (enfin, c'est mon point de vue). A mon avis, le rembourrage du siège va fortement se tasser rapidement et on va retrouver la spécialité de Kieffer : une selle "dure". Enfin, ce n'est que mon avis et je ne l'ai testée qu'en sellerie sur un cheval de bois. Passier, pas vu, pas essayée. Pour les mêmes environs de prix, tu as aussi l'euroriding et certaines KN. + Si tu as besoin d'une vraiment petite taille, Prestige fait de bonnes selles adaptées aux poney (taille 16").
  2. Poussinette1111

    oeil qui coule

    Euphrasia pour humain, les larmes artificielles? Ou un autre?
  3. Poussinette1111

    Conseil svp?

    Parler beaucoup aussi, pour le rassurer.
  4. Ben vi, si tu sers ton genou, comment veux-tu coller au cheval et arriver à employer correctement tes aides?
  5. Poussinette1111

    Conseil svp?

    A mon avis, il doit le faire dans un manège et c'est le prof du manège qui lui a demandé d'être le premier cavalier du poney. Je ne pense pas qu'il se soit improvisé apprenti-débourreur. Mon conseil, c'est détends-toi, respire et ne fais rien qui puisse surprendre ou effrayer le cheval et... écoute ton moniteur.
  6. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Bon, voici ma petite synthèse du chapitre "jambes" du livre de Karl. Thème : l'utilisation des jambes (on l'aurait pas deviné). Thèse : redéfinir le rôle impulsif des jambes dans une démarche respectueuse de la logique du cheval (tant physique que psychologique). Premier constat : le cheval ne raccourcit pas sa base et n'engage pas ses postérieurs lorsqu'il exécute un rassembler "en mouvement" (il le fera dans un rassembler en place (arrêt rassemblé, piaffer, pesade, galop en place et pirouette au galop)). Deuxième constat : Karl distingue le Schwung allemand de l'impulsion. Le schwung, c'est l'arrondi du geste, son brillant, sa cadence ; l'impulsion, c'est la réactivité du cheval et sa capacité à se maintenir le plus longuement de la même façon sans que le cavalier n'aie à intervenir. => l'impulsion ne s'obtient pas en utilisant constamment ses jambes ni en réclamant des aides plus fortes ou plus appuyées. => le rôle de la jambe fait partie d'un apprentissage : la leçon de jambe. Citation : Troisième constat : L'incurvation de l'entièreté du cheval sur une courbe régulière n'existe pas, elle est physiquement impossible. Quatrième constat : Demander un ralentissement avec une main qui agit en frein VA nécessiter un soutien des jambes pour pallier ses effets négatifs (à la différence d'une main qui rééquilibre). Du côté de l'assiette, surcharger les ischions en se tirant vers l'arrière va contracter le dos du cheval et le creuser. La solution qui reste alors au pauvre cavalier pour ne pas s'arrêter camper et le cheval creux, c'est d'utiliser ses jambes. Solution qui n'en n'est pas une car * on apprit au cheval le rôle impulsif de la jambe lors de son débourrage, * donc, si on met les jambes depuis l'arrêt, le cheval part au trot. Donc, il associe jambes à "je dois avancer". * mais, quelques foulées plus tard, on revient à l'arrêt en mettant en prime les jambes => le cheval comprend "aller en avant", mais les mains qui le freinent et l'assiette qui l'écrase vont l'en dissuader et... s'il n'obéit pas, on le punit => le cheval vient de comprendre, avec anxiété que jambes, en fait, cela signifie "arrête", * quelques secondes après, redépart au trot et... on réutilise les jambes! => si en prime le cheval hésite, là aussi, on le punit. Conclusion : les jambes sont devenues énigmatiques pour le cheval et, il finit par ne plus vraiment y réagir ou alors maladroitement. On obtient un cheval contracté et un cavalier dont les jambes battent la mesure.
  7. Tu te tiens déjà clairement plus droite! La fixité de tes mains et de tes jambes viendra quand tes hanches suivront mieux le cheval, mais pour ça, il faut vraiment que tu relaxes tes jambes plutôt que de tenter de t'accrocher avec, surtout au trot assis.
  8. Poussinette1111

    Travail vers le bas / haut

    Peux-tu un peu décrire ton travail vers le bas? Voire mettre une photo?
  9. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Quant à D'Orgeix, c'est une assez grande figure du CSO. http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_d'Orgeix
  10. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Les vibrations, les rênes qui respirent, les multiples façons de jouer avec les doigts : vite lent, insistant, léger, l'arrondi des poignets... La main, c'est toute une palette de communication qui permettra, grâce à sa subtilité, de faire comprendre le rôle du corps, des imperceptibles mouvements d'épaules, de pesées, de rotation de bassin, d'ouverture d'assiette... Tout cela se met en place pendant des années de dressage à partir du moment où l'on pourra mettre en place sans créer de surprise ou de contractions chez le cheval l'effet d'ensemble qui, lui, tient en un emploi simultané de la main et des jambes. Autant vous dire que quasiment personne n'atteint ce stade, à moins d'être un grand écuyer... Et à ce stade (et à ce stade seulement), l'éperon revêt aussi un effet calmant. Sinon, moi non plus, je ne vois rien de plus pour les jambes ; jambes = en avant, quelque soit la direction. Mais peut-être a-t-elle encore des fonctions que j'ignore. Pour la descente d'aide, tout est dit.
  11. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Quelles significations donnes-tu aux jambes et peux-tu les détailler?
  12. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Peggy, je partage plus que ton avis sur le rollkur! Voici deux extraits, le premier sur l'arrêt avec le jeune cheval (par un cavalier de dressage qui a formé une cavalière olympique), le second sur l'emploi des jambes (par un cavalier d'obstacles qui a été cavalier olympique (il gagnait en moyenne un inter sur 4) et qui a mené l'équipe de France à la médaille d'or olympique en CSO quand il l'entraînait). Deux disciplines différentes, deux logiques très proches. Je ferai aussi un petit résumé de la position de Philippe Karl sur la question de l'utilisation main/jambes dans les transitions descendantes.
  13. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    [quote="BouffyJe m'atelle à taper quelques paragraphes et je reviens[/quote] Lol, je suis occupée à scanner des extraits de bouquins
  14. Et bien, elle en jette, plus que sur les autres photos ce que j'ai déjà vu d'elle sur le forum. Elle semble avoir bien évoluer et, l'attitude qu'elle a, on voit qu'elle est vraiment dedans!
  15. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Rollkur (source : recherche images Google avec le mot "rollkur") : Pour y arriver : mains+jambes ensembles (non dissociées) et (au début) rênes allemandes (après, la puissance du mors de bride suffit). Le rollkur, c'est la caricature, mais les chevaux fonctionnent aussi : ceux qui ne cassent pas sont tellement talentueux qu'ils déroulent un Grand Prix.
  16. Ben vi, ils le boufferaient et seraient malades! Bon rétablissement à elle, c'est pas joli comme type de blessure .
  17. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Si jambes, pas de main. Mais ne pas se méprendre, la main n'agit pas non plus en continu. Utiliser sa main, ce n'est pas être pendu dessus ; mais pour savoir utiliser correctement sa main, il faut savoir employer correctement ses jambes. Note : un cheval apprend tout : on peut s'arrêter carré en tirant sur l'oreille droite, il suffit de l'apprendre. Donc oui, un cheval peut s'arrêter carré avec main et jambes ensemble, mais comprimer un cheval, ce n'est pas ce qui va le rendre heureux ni vous permettre de dépasser le niveau M (sauf si vous avez la chance de bénéficier d'un cheval au physique d'enfer). Tout dépend des objectifs que l'on se fixe et de la valeur que l'on donne aux moyens à utiliser. Même le rollkur fonctionne... Ne vouloir monter qu'avec ses jambes en se pasant totalement de la main est un non-sens, la jambe n'est capable d'aucune nuance et elle signifie... "en avant". La jambe est et reste impulsive, si on la considère autrement, on finit avec des éperons à molettes et des jambes qui battent la mesure. La légèreté, c'est celles DES aides : pas de main, pas de jambes. La clé pour arriver à cela, c'est justement une bonne utilisation des mains (et non pas un comportement à la "vade retro satanas" vis-à-vis d'elles) qui sont capables de : 1) décontracter, 2) canaliser l'impulsion donnée (avant, pas en même temps) par les jambes, 3) indiquer une direction, 4) donner un pli, 5) maîtriser les hanches... Or, la jambe n'est pas capable de ces nuance car jambe = en avant. Pour l'employer dans un autre sens (pour peu qu'elle puisse avoir un autre "sens"), il faut au minimum des aides diagonales ou latérales main-jambe, c'est à dire : soit 1 main et 1 jambe de côté opposé, soit 1 main et 1 jambe du même côté, JAMAIS JAMAIS les mains et les jambes en même temps, jamais, même pour arrêter et encore moins pour rassembler ou reculer. Donc, quand on arrête, impulsion (celle dont le cheval est capable selon son niveau de dressage) avant même de penser à l'arrêt, puis c'est le buste et le jeu des doigts. Quand on est arrêté, on relâche, immédiatement. Pour apprendre au cheval l'arrêt dit "régulier" (= carré), il faut : 1) lui apprendre à être régulier dans ses allures et 2) l'arrêter en mouvement de 2 pistes. C'est lui qui s'arrête carré de lui-même parce qu'il est en équilibre et qu'il était suffisamment en impulsion avant et non le cavalier qui se penche pour tapoter avec sa cravache la jambe qui traîne, car ça, c'est du cirque, pas du dressage ni un cavalier qui compresse car compresser, désolée de choquer ceux que cela choquera, mais cela relève de la maltraitance psychologique . Evidemment, apprendre à compresser entre main et jambes, c'est facile, même mon voisin qui ne monte pas à cheval peu le faire en 10 leçons. Apprendre à coordonner ses aides de manière à ce qu'elles ne soient pas contradictoires et qu'elles soient fines, c'est autre chose car mon voisin mettrait alors des années et de nombreuses heures de mise en selle avant d'y arriver, mais le dressage de ses chevaux, quand il aura enfin acquis l'expérience pour avoir une utilisation irréprochable de ses aides, il ira plus vite et sera rapidement "léger". Quand vous utilisez vos jambes et vos mains selon le "main sans jambes, jambes sans main", vous intervenez en fait très peu avec vos aides et celles-ci sont claires pour le cheval : vous ne touchez le cheval avec les jambes que lorsque l'impulsion se perd et vous ne vibrez dans les doigts que quand la décontraction se perd. Quand le cheval est bien et ben... vous lui fichez la paix : pas d'effet de main, pas d'effet de jambes et il continue tout seul dans son attitude, dans son impulsion sans avoir besoin d'avoir le bide tambouriné ou d'être rappelé à l'ordre toutes les cinq secondes. Quel confort!
  18. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Avec les rênes ou les jambes?
  19. Lol, toujours amusant d'acheter ce genre de chose au magasin du coin, surtout à la caisse
  20. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Le déséquilibre (en tout cas, en ce qui me concerne) ; le but est que le cheval sente son confort dès qu'il est en équilibre => silence des aides. S'il ne réalise pas, je redemande, et s'il réalise, je le laisse faire. Maintenant, à cheval, je fonctionne moins sur le mode confort/inconfort, je suis plus dans le sentiment, dans le ressenti de ce qui se passe sous la selle, à ma position, à mes aides, à la rectitude de l'exercice. J'ai constamment mon idée du confort à l'esprit (ce à quoi je veux arriver) et pas vraiment à la notion d'inconfort (qui pour moi est l'exercice mal fait, le rythme inégal, la précipitation... bref, tout ce que je ne recherche pas).
  21. Poussinette1111

    Professeur de dressage

    En effet, ce qui coûte, ce ne sont pas les kilomètres, mais le temps perdu à ne pas pouvoir faire autre chose.
  22. Vaseline? Pour que cela glisse lorsqu'il se gratte?
  23. Poussinette1111

    refus de l'arrêt

    Alors, tout d'abord, quand tu parles d'un dessin de Baucher (peux-tu le scanner ou mettre un lien ici, ce serait intéressant, ou dans un nouveau post pour ne pas polluer celui-ci), à quelle manière se rattache-t-il? Parce que si c'est la première => compression; si c'est la seconde => piaffer en descente d'aides : ni main NI jambes n'agissent : le cheval fait, c'est tout, le cavalier est totalement effacé, il a demandé et ne fait plus rien. En ce qui concerne son enseignement, si on regarde bien, Beudant, un des derniers bauchéristes les plus talentueux, il a écrit un livre intitulé "main sans jambes" (donc, sans reprendre le "jambes sans main" et concluait qu'un cheval parfaitement dressé se menait par la main seule). Comment comprends-tu Baucher, qu'as-tu lu de lui ou de ses élèves? Michel Robert, non, je n'ai pas encore lu. Maintenant, parlons de Nuno. Nuno, c'est l'écuyer qui a fait le lien entre l'équitation de Versailles (La Guérinière) et celle de Baucher. Or qu'a-t-il repris de Baucher? Et oui, dans le mille : le "main sans jambe, jambe sans main". Si on lit ce que des élèves ont écrit sur lui, que lit-on? Leur admiration pour son utilisation des jambes! Des jambes relâchées qui touchent subtilement et lâchent immédiatement. Que cela donnait-il? Des chevaux qui ont le feux dans les jambes et qui sont légers. Si on lit Nuno maintenant, que peut-t-on découvrir? Son horreur pour les jambes plaquées (=collées). Son idée que les fautes ressenties par la main dans la bouche sont dues... à des fautes de jambes. Que lit-on encore? Dans "Principes classiques de l'art de dresser les chevaux", on y lit... un chapitre, certes court, qui parle de l'utilité d'une jambe légère (et attention, quand il dit "près", cela ne veut pas dire en contact, cela signifie sans contact avec le flanc, mais pas à 5 km non plus car il ne faut pas faire un effort qui prend 15 minutes (et qui surprend le cheval) avant de toucher le cheval (toucher puis lâcher). Si je me souviens bien, dans ses notes sur l'art équestre, on retrouve aussi beaucoup de pistes sur l'utilisation légère de la jambe. Sur les descente d'aides aussi. Si nous passons aux élèves d'Oliveira => ils reprennent son utilisation des jambes (ben vi, ils admiraient cela). On retrouve donc cela chez quasiment tous ses élèves! On retrouve donc cela chez Alvaro Domecq, chez Michel Henriquet et sa femme Catherine (je mets d'ailleurs ici une retranscription de Michel Henriquet parlant du "main sans jambes, jambes sans main" dont je m'étais servie pour mon mémoire): En effet, ces deux livres ne peuvent pas faire de mal et j'en profite pour en conseiller d'autres : - Les oeuvres complètes d'Oliveira, - A la recherche de l'art équestre, de Michel Henriquet, ce livre retrace toute la matrice et l'analyse de l'équitation d'Oliveira, - La main du Maître, de Franchèt-d'Esperey, cher et technique, mais il en vaut la peine, - La main et autre non-dits de l'équitation, de D'Orgeix (je ne l'ai pas lu, mais vu sa tradition et un autre livre que j'ai pu lire de lui, cela devrait être très éclairant sur le rôle ESSENTIEL de la main), -Et surtout, avant tous les autres, pour son côté synthétique et pédagogique autant que pour la réflexion (voire la remise en question), je conseille vivement : - Dérives du Dressage Moderne, de Karl, car bien que tout le monde en parle, il me semble que bien peu l'ai lu en réalité. Il fait une très bonne synthèse de tout ce qui s'est dit depuis des siècles en équitation et y propose une analyse prenant pour maître le cheval et non ce qui se dit ou se fait gratuitement. Maintenant, je ne dirai jamais à personne de s'en aller de ce forum ou d'un post s'il n'est pas d'accord avec moi. Au contraire, reste. J'ai lu attentivement ce que tu as écrit, et je peux te dire que... c'est ce que je faisais avant, oui, avec un certain résultat, oui mais depuis, j'ai eu un cheval. Un cheval fin, chaud, détruit par l'homme et monter main et jambes ensemble, avec lui, c'était du suicide. Non, là, pas de cheval conciliant, mais un cheval qui avait été monté en bride à 4 ans, les éperons enfoncés dans les flancs (avant que je ne l'ai, je précise). Un cheval qui m'a permis une belle remise en question de mon équitation de l'époque car... j'ai du chercher autre chose. Et ce que j'ai pu découvrir, c'est une manière simple (! je n'ai pas dit facile) de dresser les chevaux, une manière rationnelle, à l'écoute de leur psychologique, de leur agencement physique. J'ai vu des chevaux moyens qui n'avaient pas grand chose pour eux exécuter quasiment naturellement des airs compliqués sous le cavalier. J'ai vu les résultats que cela a donné sur mon cheval (sans le récupérer totalement car un cheval, cela n'oublie jamais) et j'ai pu découvrir des chevaux dressés subtilement et où le cavalier doit surtout apprendre à... disparaître plutôt qu'à intervenir. Cette manière de faire s'appuie sur des principes comme celui du "main sans jambes, jambes sans main". Donc, non, ne t'abaisse pas, personne n'a dit que tu avais tort (en tout cas, pas moi), mais je trouve dommage de passer à côté d'une manière de faire plus subtile. Donc, si je ne peux pas t'offrir le "déclic" pour t'ouvrir (ne fut-ce que t'ouvrir, je n'ai pas dit adhérer) à autre chose, à quelque chose que l'on n'enseigne pas car cela demande trop de temps avant que l'élève ne soit "opérant" à cheval par rapport à la compression (et comprimer, ça, tout le monde est capable de faire), lis au moins l'un ou l'autre livre que j'ai renseigné ci-dessus et réfléchis-les, annote-les, fais-en la critique (positive ou négative), argumente intérieurement, teste mentalement ce qui y est dit, je pense que, quoi que ce soit que l'on y découvre, si cela est fait de manière intelligente, cela apporte toujours quelque chose.
  24. Poussinette1111

    Un miraculé

    En tout cas, chez les humains, cela se fait clairement! Je pense qu'il vient d'avoir son autorisation pour participer à Pékin. Maintenant, pour un cheval, quid en effet de ce qui se passe quand il se comporte en cheval?
  25. La cession fait dévier les hanches, l'épaule en dedans prend les hanches. Dans la cession, le croisement est dû à une jambe (isolée) qui chasse vers l'extérieur l'arrière-main. Le postérieur interne croise mais n'engage pas sous la masse en se chargeant d'un peu de poids car pour cela, il faut que les hanches soient dans le prolongement des épaules, les suivent et soient maintenues (comme c'est le cas dans l'épaule en dedans). La cession à la jambe est utile pour : - apprendre l'effet de la jambe isolée aux jeunes chevaux, - pour entreprendre l'apprentissage de l'appuyer avec des chevaux très raides ou très émotifs. Au point de vue souplesse, musculation et travail, elle n'apporte quasiment rien, juste de l'obéissance. Si vous voulez travailler l'ensemble du corps du cheval, c'est par l'épaule en dedans, avec une incurvation où le cheval sera "droit" dans son incurvation, pas dans une marche tordue où les hanches partent vers l'extérieur (même si c'est voulu). Personnellement (et cela n'engage que moi), je ne fais pas de cession à la jambe et je ne l'apprend même pas ; par contre, j'use de l'épaule en dedans, des demi-diagonales en épaule en dedans, de la contre-épaule en dedans... Donc, si tu as des problèmes dans la cession à la jambe, tu peux vraiment t'en passer et aussi penser que les problèmes que tu as sont peut-être dus à la teneur de l'exercice en lui-même (la colonne vertébrale du cheval étant très rigide, surtout vers la fin, demander une forte sortie des hanches risque de provoquer, selon la morphologie du cheval, un pli prononcé pour pouvoir obéïr aux injonctions du cavalier).
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