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Poussinette1111

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Tout ce qui a été posté par Poussinette1111

  1. Sans critiquer ni insinuer quoi que ce soit, un des moyens c'est aussi d'employer ses jambes autrement quand la manière habituelle ne fonctionne pas, ce qui peut être utile à d'autres cavaliers ayant des marques d'éperons. Tif ou Fantasiaa, vous pouvez ouvrir un nouveau post reprenant les propos sur l'engagement des postérieurs et sur le rôle de la jambe pour ne plus polluer ici?
  2. Des images, pour se rendre compte : RASSEMBLER EN MOUVEMENT VERS L'AVANT : I. Werth au passage (=> cheval rassemblé EN MOUVEMENT) (source Scandinavian dressage): Postérieurs même en arrière de la verticale. Même chose ici : C Henriquet (source dodington) : EXTENSION DE L'ALLURE DANS LE MOUVEMENT VERS L'AVANT : On voit nettement la mobilisation des postérieurs SOUS le cheval : (source : cheval-haute-ecole) : I. Werth (scandinavian dressage) : C Henriquet (attelagepéda) : LES MOUVEMENTS RASSEMBLES EN PLACE (il n'avance pas vers l'avant) : OU LE CHEVAL RACCOURCI SON CADRE MAIS... where is the engagement des postérieurs????? Cherchez Charlie... Piaffer : (source cheval-haute-ecole pour les 2 photos) : Quand on demande le piaffer à renfort d'aides => toujours pas d'engagement et en plus... pas de raccourci du cadre... (source : scandinavian) : La levade ; cheval hyper raccourci mais... les postérieurs sous les hanches et non sous le nombril : (source autoposture : ) (source cheval haute école) : (source : idem) : Donc ne pas confondre engagement des postérieurs et flexion des hanches ni croire que dès que le cheval est rassemblé, son cadre se raccourci (cf. les photos du passage, qui sont très parlantes).
  3. Ok, d'accord, je comprends mieux, mais l'engagement, ce n'est pas l'impulsion. Un cheval qui, physiquement, est incapable de se méjuger (voire de se juger) peut avoir une bonne impulsion (celle-ci étant le désir de se porter vers l'avant). La présence ou l'absence d'engagement ne peut pas dire si le cheval est ou non en impulsion. On peut juste voir s'il se juge, méjuge ou déjuge. Comme il s'agit ici d'un cheval de manège ("retapé" en plus!), il est très possible que ce cheval n'ait pas un engagement naturel, voire que ses années de manège lui aient détruit la poussée naturelle de ses postérieurs, mais qu'avec un cavalier équilibré dans ses aides, il se porte de bon coeur vers l'avant (malgré des postérieurs vite au sol ou se "traînant" car il n'a pas encore de cadence).
  4. Et, avant la tête au mur, c'est mieux de commencer par l'épaule en dedans. Mais : il a 4 ans, donc y aller doucement, faire des pauses quand sa croissance se met en route. Cela veut dire, mettre en place les aides, lui apprendre à pouvoir mobiliser son cheval d'abord sur des exercices d'une piste, sur des transitions et puis seulement aborder le 2 pistes et la réelle recherche de mise en main. Au galop, rênes flottantes, le laisser galoper pour éviter de dénaturer son allure en le chipotant devant. Un jeune cheval, cela doit aller vers l'avant et non se bloquer sur le main. Le laisser étendre son encolure aussi, que les muscles sollicités plus tard se mettent tout doucement en route.
  5. Poussinette1111

    sorties printannières

    Ta petite Nell a du adorer! :cheers:
  6. Calisto, je t'invite quand tu veux venir me voir travailler (Maud aussi, hein, pas de jalousie ). Tu peux déjà avoir un avant-goût sur les posts où j'ai mis quelques photos de mon cheval au travail. Regardes-y bien la mobilité des postérieurs, leur "engagement", l'attitude du cheval, son garrot, la tension de mes rênes et le nombre de fois où ma jambe agit... je pense qu'il n'y en a qu'une, en contre épaule, où ma jambe le soutien fort, ce qui est une erreur que l'analyse des photos m'a permise de voir. Ma manière de travailler est très éthique et mes nombreux posts vont dans ce sens-là. Mon seul but est le bien-être du cheval, donc de chercher une manière sensée de COLLABORER avec lui, de lui faire adorer de bosser avec moi et, pour cela, il faut connaître beaucoup d'éléments vétérinaires et ostéopathiques, mais aussi de psychologie équine et de principes de dressage classiques. Lire trois livres dans sa vie (dans l'ordre : les manuels des étriers et du 1er degré, un livre du les soins du cheval et un livre picoré écrit par un éthologue) sont bien insuffisants pour avoir une approche biomécanique et/ou éclairée du cheval. Je confirme donc ce que j'ai déjà dit ici : non les jambes ne servent pas à faire engager les postérieurs sous la masse mais à rétablir le mouvement en avant. Donc oui, un piaffer s'exécute sans les jambes, elles n'interviennent que s'il y a perte d'impulsion, alors, elles rétablissent le mouvement vers l'avant, main passive (=qui n'agit pas). Et le piaffer s'apprend par un balancement rapide de transitions trot-arrêt-reculer et par un rassembler du pas (or, au pas : main+jambes ensemble => cheval amble, ne diagonalise pas), pas à coup de cravache avec un aide à pied (ça, c'est apprendre à un cheval à piétiner). De même, c'est le cheval qui monte son garrot, pas tes jambes et il le remonte parce que : 1° ses abdos en ont la force, 2° la base de son encolure en a la force (ce qui s'est obtenu, dans un premier temps, en mettant le cheval SUR LES EPAULES (si si et j'ajouterais même qu'il ne doit, dans ce cas là, surtout pas engager trop ses postérieurs sous la masse, sinon, on perd le bénéfice de l'exercice) par le biais de l'extension d'encolure et, dans un second temps, par un travail nuque au niveau du garrot et là, on laisse le cheval mettre ses postérieurs là où il en a besoin pour répondre aux exigences de l'allure demandée => moins engagés dans le trot de travail que dans le trot étendu par exemple), 3° par les exercices et non par insistance/assistance continuelle des aides. On peut piquer autant qu'on veut, si le cheval ne le veut pas, il ne se "remontera" pas. Pour cela, il faut l'y inviter intelligemment, de manière à ce qu'il le fasse de lui-même. La main, c'est une réaction directe sur le cheval : action de main => j'écrase la langue et les barres et, selon le mors, je pince le palais. Cela agit de façon cause (main) => effet (gêne directe, souffrance -> le cheval ralentit ou... s'encapuchonne). Les jambes, c'est un stimulus que l'on a APPRIS au jeune cheval (on aurait pu lui apprendre cela avec une autre aide ; je connaissais une jeune fille qui avait appris à son poney à ralentir à chaque coup de cravache), il peut très bien le désapprendre, en opposant simplement la main aux actions de jambes, le cheval réagira toujours à la main plutôt qu'à la jambe, et lorsqu'il le désapprend, on est en train de le rendre rétif. Note : ce que je dis ici est loin d'être nouveau, toute l'histoire et la pratique de l'équitation sont fondées là-dessus, mais bien souvent, les cavaliers ne connaissent que ce qui sort de la bouche de leur entraîneur qui, bien souvent, n'a pas une formation trois étoiles. Mettre les jambes pour engager les postérieurs, c'est forcer le cheval, lui imposer de l'extérieur ; le rassembler, cela vient du cheval lui-même et là, on parle de flexion de hanches, pas d'engagement des postérieurs. Les postérieurs, cela s'engage chez... un cheval de course. Libre à toi de me rendre visite (si d'autres veulent, ils sont aussi les bienvenus) ou de me poser d'autres questions, elles sont également les bienvenues.
  7. Une question : à quoi voyez-vous l'impulsion sur une photo?
  8. Beau travail de retappe en tout cas! :cheers:
  9. Non... la jambe dit au cheval "avance" et pour avancer, le postérieur à l'appui doit passer à l'arrière de la verticale => il se désengage. Du coup, jambes = appuie sur ton postérieur au sol pour aller vers l'avant ; en d'autres mots, jambes = désengage ton postérieur à l'appui. + Physiquement, quand le cheval "avance"(=pas en place, mais en mouvement), les postérieurs ne s'engagent que lors de l'allongement des allures (cheval qui se méjuge) et non lors de leur raccourcissement. Le seul moment où un cheval va se "raccourcir", c'est au piaffer et aux allures en place (=pas en mouvement vers l'avant) comme le galop sur place qui prépare aux pirouettes ou même la pirouette elle-même. Même au trot très rassembler, le cheval n'est pas plus court : ses foulées sont plus courtes et plus suspendues, les hanches plus fléchies. Illusion d'optique mais pas engagement des postérieurs sous la masse. Chercher à mobiliser les postérieurs du cheval en vue de rassembler, c'est en clair tirer et pousser en même temps, mais dit de manière déguisée.
  10. Je m'en doute, mais pour le trotting du cheval bac à sable? + Question : le talc, intéressant pour les chevaux portant des guêtres en carrière?
  11. Il s'est blessé à quel moment à Hagen?
  12. Bon port de queue (non non, ce n'est pas un commentaire "bête"). Avant de mettre le moteur, je pense qu'il devrait décrisper un peu plus sa bouche, on dirait qu'il la contracte le plus qu'il peu sur le mors (ancien cheval de manège, il doit y avoir pas mal de boulot à ce niveau-là), pour éviter qu'il ne finisse par coller à la jambe. Comment réagit-il sans le noseband de la muserolle?
  13. A user et abuser! Elle a une attitude idéale ici => la détendre comme cela et revenir de temps à autre en cours de séance à cela, va te permettre de l'avoir encore mieux quand tu la reprendras.
  14. La Makila, je me la commande d'ici 2 semaines. Je te dirai quoi dans... 3 mois Sinon, renseigne-toi sur les Belloir (selles utilisées à Saumur), les KN (selles employées à Vienne, top! j'en ai une) et les Aulion (selle de C. Henriquet, bien qu'elle change fréquemment de marque) aussi...
  15. Poussinette1111

    Placer/ramener/mise en main

    Pourquoi pas, mais là, les traditions risquent de se faire la guerre...
  16. Poussinette1111

    Allergie...au soleil

    J'ai une collègue qui a cela, elle met de l'anthélios de la roche-possay. Hyper efficace ; depuis, j'en met aussi (peau fragile au soleil), dès qu'il fait beau les jours d'été, même couverts, sur les endroits où ma peau n'est pas protégée par un vêtement.
  17. Je pense que ce mode est vraiment l'idéal, peux-tu la mettre plusieurs fois sur la journée là où tu es?
  18. Je peux me permettre de te poser une question, si marty veut bien...?? Pour rassembler tu ne mets donc pas les jambes? Tu utilises quelles aides? Non, pas de jambes en contact ni plaquées. Les jambes, c'est juste pour dire "en avant", point. Elles agissent de temps en temps et, dans la mesure du possible, quasi jamais. Pour rassembler, cela doit venir de "l'intérieur" du cheval, de sa tête. Il faut lui suggérer et lui il exécute. Pour ça, je mise d'abord sur la totale décontraction, même si mon cheval se "traîne". Ensuite, une fois que sa bouche est "tendre", c'est-à-dire réceptive, on commence à équilibrer : extension d'encolure et nuque au niveau du garrot, chanfrein ouvert. Puis, une fois décontraction et prémisses d'équilibre obtenus, là, impulsion injectée peu à peu pour ne pas perdre la décontraction (je ne sacrifie rien à la décontraction du cheval, il doit être "avec" moi et non "malgré" moi). A partir de là, vient l'acheminement vers le rassembler : -> les aides sont en place (cheval souple à la bouche ; réactif à la touche des jambes) -> le cheval "m'accepte" (décontraction). Pour y arriver, 1) JAMAIS d'ordres contradictoires (quand ma main agit, ma jambe est décollée et quand ma jambe agit, ma main laisse passer - cela implique totale indépendance des mains et des jambes et de ne pas employer la jambe ni pour ralentir, ni pour s'arrêter ni pour reculer), 2) une progression rationnelle des exercices : cercles->épaule en dedans->appuyers->perfectionnement du trot (mobilisation en place, travail du piaffer)->travail du galop. Ce sont les exercices et la souplesse qu'ils vont donner progressivement au cheval qui va lui permettre de se rassembler ; un exercice est un MOYEN et non une fin : on piaffe parce que cela va asseoir le cheval et non parce que le cheval est assis, mais à force de piaffer, le cheval s'assoira mieux et plus vite => il piaffera mieux. Et s'il piaffe mieux, il s'assoit mieux et s'il s'assoit mieux, il piaffe mieux, etc. 3) toujours garder en tête la totale décontraction et d'agir le moins possible (descente des aides, il faut monter en pantoufles, l'équitation n'est alors plus un sport où on sue les jambes serrées). Ainsi, on arrive à un cheval qui se rassemble de lui-même et non par le fait du cavalier.
  19. Sorry, je ne voulais pas t'embarrasser. Le talc, je ne connaissais pas ; mais un (très bon) cavalier de complet m'a confirmé ce qui est dit ici, il conseille surtout beaucoup de terrain varié, ce qui semble évident. Je lui demanderais pour le talc ; j'imagine que c'est parce que les chevaux vont dans l'eau.
  20. Lealoutan, ton avis d'étudiante en véto?
  21. Poussinette1111

    zeel homéo

    Parfois, il faut du temps à une boiterie. Certaines prennent des mois, d'autres non. Seul ton véto sait dire si cela évolue ou non et dans quelle direction.
  22. Une bonne leçon de jambes à répéter si nécessaire et ne les utiliser que pour aller vers l'avant. La jambe ne mobilise pas les postérieurs, ça c'est malheureusement un joli conte de fée. Ne pas les utiliser pour reculer ni toutes les foulées ni pour les transitions. Jambes = propulsion et non rassembler ni "tension" du cheval. On ne pousse pas un cheval sur le mors. Et quand elles agissent, on avance la main sinon, le cheval se retrouve confronté à main = arrête et jambes = avance et... il choisit toujours "arrête". Le cheval "sent" ta jambe (la peau d'un cheval est trèèèèès sensible), mais il ne la comprend pas => il n'y réagit pas et tu dois ponctuer chaque foulée d'un coup d'éperon. Il vaut mieux prendre le problème à la racine et lui réapprendre que jambes = avancer et tu ne rencontres pas ma main. Dans une leçon de jambe, il faut rendre quasiment toutes les rênes, quitte à partir au triple galop. Surtout ne pas retenir en se disant "aïe, il va avancer". Parfois, il faut plusieurs séances pour que le cheval comprenne que la main ne réprime plus sa "fuite" vers l'avant.
  23. Pour mon véto, avec qui j'ai déjà débattu longuement de cette question, un cheval qui se touche est un cheval qui n'est pas droit ou pas en équilibre puisqu'il cafouille et se blesse. Pour lui, seule l'équitation - adaptée au cas du cheval en question - permet de remédier au problème en redressant le cheval. Forcément, lol, je pensais au cas du jeune cheval ; mais en attendant l'équilibre : mycose ou atteinte au tendon? Au cas par cas ; les retirer dès que le jeunot s'emmêle moins les gambettes. Par contre, quid du cheval habitué aux bandes de travail? (en supposant qu'il n'aille pas dans l'eau, évidemment)
  24. Intéressant la question des guêtres => quid avec un cheval qui se touche? On surchauffe alors car risque d'atteinte pas terrible non plus...?
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