Poussinette1111

Sur ce point-là, ptiteblue n'a pas tort. Je pense qu'on peut faire de la compétition (et faire des résultats) et en même temps tenter de monter en légèreté et dans le respect du cheval. Un véritable écuyer est, je suppose, capable de choisir un cheval de talent et, ce qu'il choisira, privilégiera, ce sera ce que recherche un cavalier de compétition : équilibre, cadence, disposition au rassembler. Là, on m'opposera sans doute la question des allures, qu'il faut de l'allongement mais, l'allongement, c'est sans coefficient! c'est parfois maximum trois notes sur une reprise! Il y a tout le reste à côté. Et un cheval en équilibre, avec une aptitude au rassembler a de forte chance d'avoir aussi des allures très acceptables. Le soucis est que l'on ne prenne pas le temps de tenter ou que l'on se borne qu'à certains airs. La compétition exige une réalisation de mouvements divers qui mobilisent le cheval dans des attitudes et équilibres divers, ce qui n'est pas très éloigné du dressage dit "artistique". Je ne vois pas en quoi devoir combiner pirouette au galop-transition au trot rassemble-transition trot allongé-reprise du trot rassemblé puis passage ne peut pas être fait en légèreté en compétition, si le tout est bien réalisé, les points suivront. Le tout est de prendre son temps et de ne pas utiliser les chemins raccourcis qui permettent de dresser un cheval vite et pas si bien et aussi de savoir accepter que celui qui est devant nous ne monte pas académiquement, qu'il a acheté un cheval plus cher et qui fait plus "ferrari" que le vôtre et qui fait de l'équitation de compression. Le dressage est une question d'humilité. En tout cas, il est dommage que je ne vois que très peu de ces personnes sur des carrés de dressage car c'est là que les cavaliers intéressés vont : en concours. Les férias, fêtes baroques... ne montrent pas non plus pour autant cet idéal de légèreté, de travail correctement mené, on y voit des choses bien mais aussi bien des choses qui valent ce que l'on reproche aux concours avec parfois des dérives ou des méthodes que l'on n'aurait pas vu en concours (on m'a rapporté par exemple le cas d'un cheval monté en bride ET en gogue à la féria ibériqua de Namur Expo - c'est pas plus reluisant que le rollkur). Il ne faut pas oublier aussi que chaque couple cavalier-cheval a ses points forts et ses points faibles et que du coup tel exercice sera toujours moins bon que le reste. Le souci se pose si le cheval exécute tout son répertoire dans une attitude qui semble belle mais qui est totalement fausse pour la simple et bonne raison que le cheval présente de fabuleuses dispositions et ce, que ce soit dans un carré de dressage ou dans une représentation baroque : il n'y a pas que le passage/piaffé qui est en jeu. Je suis donc pour que l'on ait un peu plus de personnes qui présentent leur travail en concours. Pas besoin d'avoir pour autant un "esprit de compétition" et cela ferait avancer beaucoup les choses car le cavalier lambda aurait l'occasion de découvrir quelque chose et pourrait prendre pour modèle autre chose que des cavaliers qui compriment leur cheval.

Tout le problème se résume au terme "équitation parfaite", vu que rien ne sait être "parfait" indéfiniment. Il y a des moments parfaits et d'autres qui le sont moins. Là où cela devient interpellant, c'est quand il y a accumulation de moments imparfaits. Regarde sur les pages précédentes, tu verras que certains ont montré leurs préférences avec des liens mais pour des choses évidemment précises. La question posée au départ portait sur l'attitude du dos d'un cheval qui, dans cet exercice précis, doit être très rassemblé et sur les hanches et qui, sur cette photo faisait "cheval à bascule" et pas sur qui est critiquable et qui ne l'est pas.

Encore des photos!

C'est vrai que je n'ai pas vraiment l'impression que cela suit derrière en comparaison à ses gestes et son attitude de l'avant-main.

Tes photos sont superbes, en aurais-tu d'autres concurrents qu'elle? parce que là, ça m'horrifie. Elle est pendue aux rênes, la bride à fond (cf. photos 6, 9 et 14 qui sont les plus flagrantes), le cheval ruisselant de sueur avec de l'écume jusque sous sa muserolle - sorry de te donner cela comme commentaire mais j'ai vraiment du mal. Tes photos et leur qualité n'ont évidemment rien à voir avec ce qui me dérange ici. Ajout :Ce n'était pas une critique exclusive d'Anky parce que c'est Anky ni une volonté de débat mais juste le constat de quelque chose qui me semblait flagrant, n'importe qui peut le voir, il suffit d'avoir des yeux pour regarder. Désolée donc d'avoir un avis sur le contenu des photos en dehors de leur esthétique et de ne pas suivre le troupeau bavant d'admiration juste parce que l'on parle d'une médaillée (ceci dit, je ne suis visiblement pas la seule sur ce forum à le penser (cf. mp reçus en ce sens)). Belles photos, beau cheval, dommage... Et puis, manifestement, ce n'est pas que la tête qu'on a dû oublier de raser! Merci de ne pas répondre à cet ajout, la parenthèse est close.

Super intéressant, merci!

Le soucis pour les antérieurs concernent les chevaux qui ont une fragilité à cet endroit car ils sont plus sollicités vu qu'on les charge. S'ils n'ont rien alors pas de soucis. Par exemple suite à une tendinite d'un des antérieurs, il faut être prudent et en faire très peu. C'est un vétérinaire qui me l'a appris, cela me semble logique.

1000 EUR? C'est cher payé le kilo ça, non? Le prix de l'abattoir, j'ai dans l'idée 25 000 fr belges donc environ 500 à 600 EUR mais je me trompe peut-être, cela a dû augmenter (le mieux c'est de tel à un abattoir pour savoir + demande-leur aussi si tu peux racheter sur place si jamais). Avec un acompte? (pas oublier le reçu!!) En tout cas, si tu l'achètes, fais bien un contrat de vente (un simple papier signé détaillant un peu le cheval!) Vermifuge-le, il pourra pas être abattu avant plusieurs jours!

[/quote] Je ne vois pas trop qui est contre (ou alors j'ai mal compris????). Le travail long et bas est essentiel à la musculature et à la tonicité des muscles d'un cheval. Cependant, comme pour tout, il ne faut pas en abuser, surtout avec des chevaux qui ont des soucis ou des faiblesses d'antérieurs car cela charge les épaules (si si!) dans la mesure où l'encolure ne va être portée que par l'avant-main (et c'est lourd, très lourd une encolure+la tête) et c'est justement ce qui va permettre aux postérieurs de bien fonctionner et de se préparer à recevoir le poids de la suite du travail. Cependant ce travail ne doit pas constituer l'essentiel des séances de travail : il sert d'échauffement, sauf pour certains cas (dûes à des pathologies physiques, apprentissage de l'extension d'encolure, récompense, étirrement après un travail contraignant) où il est maintenu plus longtemps. Cependant, je pense qu'une fois le cheval échauffé, étiré... il faut tout doucement le reprendre un peu et travailler déjà vers l'équilibre du rassembler tout en conservant la tension acquise, on prépare ainsi la suite et ce qui constituera l'essentiel des leçons plus tard. Pour ce qui est de l'obtenir, sur un cercle, les rênes assez lâches, je plie, je rends, je pousse puis je laisse faire, je plie, je rends, je pousse... avec les rênes qui se rallongent progressivement jusqu'à ne tenir plus que la couture. Mais dans cet exercice, je tiens à ce que le cheval ne s'enferme pas, il faut qu'il "s'allonge" et non qu'il rompe la tension au garrot en s'encapuchonnant. La liaison doit passer par un travail des psoass (rein) qui se voussent, ce qui ne se produit pas quand il y a encapuchonnement, le cheval se coupe en deux (même si c'est moins visible en position d'étirement qu'en position de travail préparant le rassembler). Voilà, je viens de résumer un peu, comme ça c'est plus clair.

C'est exactement ce que j'allais dire. C'est quand on commence à voir cela sur tous les chevaux et dans tous les exercices d'un même cavalier que cela devient douteux. Même les professionels ont des moments où ça ne va pas, où là c'était pas terrible, où on a un peu été déséquilibré ou... qu'un sale défaut a pris le dessus et qu'on ne s'en est pas rendu compte. Je pense que si elle devait tirer comme un boeuf pour juste le trotter rassembler, il n'aurait pas les débuts de piaffer dans l'attitude dans laquelle il les présente. Pour la prochaine fois, ce sera vers février-mars-avril j'espère mais cela risque de ne pas être pendant les vacances et d'être pendant la semaine. Mais je te préviendrai!

C'est malheureusement très courant comme attitude. Sur un cheval de cette qualité, cela se reflète moins sur sa locomotion, son équilibre ou ses allures que si on le faisait sur un cheval lambda. Le cheval est ramené, sort une belle encolure qui fait impression, un chanfrein ramené comme il faut mais il est en position cheval à bascule. Si on ne regarde que l'avant, c'est très joli, ça impressionne mais si on regarde ce qui se cache sous le cavalier, cela l'est moins. En tout cas, sur cette photo son rein est nettement creux. Cela offrirait-il une explication du fouaillement perpétuel de cette jument? Donnons-lui le bénéfice du doute : peut-être cette photo n'est-elle pas représentative? Cela arrive des jours où cela se passe mal, même en compèt. Il faudrait voir sur plusieurs vidéos si cela confirme. En plus, je vois pas trop ce qu'il fait comme exercice car si c'est du passage ou du piaffer, son postérieur ne semble pas être en accord avec l'élévation de son antérieur (il semble se poser alors que l'autre semble être au beau milieu de son mouvement).

Non, dans une hanche en dedans, le cheval regarde dans la direction où il va. Dans la contre-épaule, c'est comme une épaule en dedans mais orientée vers l'extérieur du manège (donc il ne regarde pas vers où il va et son postérieur externe (externe au pli donc à l'intérieur du manège, sur la photo, le gauche) va sur une piste intérieure. + Chris, ces K7 sont super bien faites, rien avoir avec leur DVD qui est vraiment, mais alors vraiment, pas terrible. N'hésitez pas à tenter ce genre d'expérience chez eux ou ailleurs, on y apprend énormément! Et puis, monter des chevaux d'école, ça vous fait comprendre les bonnes aides et sentir ce que vous devrez obtenir après chez vous sur votre cheval.

Personne ! Et classé 6ème le bonhomme avec +- 54% ! Super brave et quasi pas à l'oeil. pour sa première sortie, un Eden exemplaire. Super!!!!

Oui, ils ne le mettent plus en bride pour éviter des problèmes d'ajustage des rênes de bride avec certains clients.

Très plaisant pour les yeux. Cela m'a permis de voir des sauts d'école en vrai! Dommage cependant, comme je le disais, qu'il n'y ait pas eu plus de solos car du coup, tous les chevaux se règlent sur la cadence la moins brillante ou faisaient des fautes (ex: un des chevaux dans le carroussel de Saumur qui n'arrêtait pas de trotter passagé car son trot était trop ample par rapport à celui des autres). Beaucoup de pirouettes au galop escamotées, ça c'était un peu bof. Sinon super organisation, belle piste, aides invisibles, cavaliers qui carressent, le fameux galop chaaaaargé d'Invasor qui s'achève sur une pirouette au piaffer. Et l'ensemble, c'était magique. J'ai vraiment passé un chouette moment. Un truc hors sujet qui m'a fait rire, c'est le programme (15 pages environs, trois demi-articles, l'explication des différents airs (piaffer, passage...) vendu (et c'est ça qui est drôle) 15 euros!!!!

Voilà la suite de ce petit week-end à Paris (cf. post sur Bercy) : trois jours de stage chez les Henriquet. -------------------------- * Vendredi : Arrivée en fin d'après-midi, premier cours avec Michel Henriquet depuis presque... 5 ans (ben oui, les études, ça prend du temps). Il m'a fallut 20 minutes d'adaptation et puis... plus que du plaisir! Epaule en dedans, contre épaule, appuyers, travers, revers, contre-galop sur un cheval très sensible, très fin (il exige une parfaite indépendance main-jambes sinon on a droit à, au choix, un simulacre de pas espagnol ou trot passagé atroce), hyper léger et adorable. ---------------------------- * Samedi : Arrivée d'Alvaro Domecq (fondateur de l'école de Jerez) et de Richard Hendricks (qui possède une école baroque en Allemagne (???)) venu voir Catherine monter. Elle a présenté ses 4 chevaux actuels : deux lusitaniens (immenses!! 1m 70 au moins au garrot!) qui ont, si je me souviens (?) bien 8 mois de dressage : Vandaval et Olympe Suivi de ses deux chevaux de Saint-georges (immenses aussi!) (23 mois de travail) : Laissez Faire et Paradies Zauber Les photos (sorry pour la qualité de certaines) : * Vandaval (qui a beaucoup impressionné Alvaro Domecq, monté ici par Awal): Seule photo presque non floue de ce cheval: * Olympe (mon préféré des quatre!) : - En épaule en dedans sur la ligne du quart: - Qui se stresse un peu à cause du "clic clic" répétitif de l'appareil photo: * Laissez-Faire (beaucoup de floues aussi malheureusement): - Et on étire tout : - Début de la consolidation du passage : - Début de l'apprentissage des pirouettes : - Début de la consolidation du piaffer : - Trot moyen (ben vi, paraît que ce cheval est incapable d'allonger pour le moment parce que son piaffer n'est pas encore abouti): * Paradies (cheval magnifique d'1m82 (!), ils espèrent l'amener au Grand Prix prochainement - tout comme Laissez Faire) : - On étire : - Les photos dehors car il commence enfin à faire un peu plus chaud (chouette! elles seront moins floues et moins sombre et puis ça vous donne un peu une idée du cadre) : - Epaule en dedans ligne du 1/4 : - Epaule en dedans le long de la piste : - Appuyer : - Apprentissage de l'allongement : - Apprentissage du piaffer (mobilisation en place) : - Apprentissage des pirouettes : - Apprentissage du passage : Après cela, j'ai eu droit à ma leçon (avec Catherine cette fois) (filmée également => pas de photos) où j'ai eu droit à expérimenter le piaffer d'Emulo, un de leurs chevaux d'école (le même que la veille). Autant dire que ce fut une super leçon, de celles dont on descend avec des étoiles dans la tête. ------------------------- * Dimanche : Leçon avec Michel Henriquet et Gabacho, un autre de leurs chevaux d'école (peu de photos car on a filmé et que la plupart sont floues) : - Une petite contre-épaule : - Une épaule en dedans : - Gapacho qui attend son sucre de fin de leçon : - Les explications et réponses aux questions (pour les mauvaises langues qui le disent hautain et indisponible ) : Et pour finir la carte mémoire de l'APN, Laissez Faire au travail dehors : Voilà, j'espère que cela vous donnera envie de tenter l'expérience chez eux (ou chez d'autres cavaliers professionnels) car cela en vaut vraiment la peine + Vous pouvez toujours faire un saut jusque là-bas si vous êtes une fois à Paris, rien qu'en regardant, on apprend et puis, il y a aussi le plaisir des yeux...

Bon que ce soit épaule ou contre épaule, une fois que l'on décide, cela ne change pas puisque... c'est le même exercice (il y a juste l'orientation du cheval qui change : vers le manège ou vers le mur). Pour ce qui est de l'exécution, jambe intérieure (au pli) à la sangle, jambe extérieure légèrement reculée. Si on fait l'inverse (jambe intérieure reculée et jambe extérieure à la sangle), on fait une cession à la jambe le long du mur ou, si l'on préfère, un chassé de hanches vers l'extérieur avec, généralement, un pli que l'on tente de conserver avec une rêne contraire interne. D'apparence, si on est pas trop regardant, cela ne fait pas de différence mais en réalité, seule une épaule en dedans réalisée autour d'une jambe intérieure à la sangle (coin/volte/épaule en dedans, même mécanisme) fait céder le cheval et engager le postérieur interne. Le chassé de hanches, fait "fuir" les hanches dehors. C'est, disons, une défense contrôlée

Et toi Maga, Eden a dévoré qui?

En effet, pour les flash en tout cas, j'ai pas capté parce qu'il n'y avait vraiment pas besoin, j'ai tout fait sans flash (puis pauvres chevaux, des lumières qui giclent partout, bof!). Quand le reste est chargé, je vous les mets.

Pour moi, un travail bas se fait : 1) sur un cheval qui n'a pas de problèmes aux antérieurs car l'encolure provoque un chargement important des épaules (=- 2/3 du poids = une partie de celui du cavalier) qui se répercute sur l'avant. 2) le nez en avant de la verticale ou sur cette verticale mais pas en arrière. 3) pendant un moment (6 mois parfois 1 an) sur un jeune cheval, un cheval à remuscler ou pour des raisons thérapeutiques. Après, il se borne à l'échauffement et à la récompense (après un exercice contraignant/en fin de travail). Oban n'a pas de problème au antérieure, son nez est en avant de la vertical et il faut qu'elle se remuscle... Ben alors pas de souci.

Je viens de passer un petit week-end équestre avec pour toile de fond Paris (ce qui est toujours bien plaisant) et j'ai pu assister au spectacle donné à Bercy par les 4 écoles d'art équestre (Vienne, Saumur, Jerez, Lisbonne). Chouette spectacle, très magique. Le point négatif, c'est que les carroussels "étouffaient" un peu les chevaux les plus brillants et que j'aurais bien eu envie d'en voir travailler quelques uns plutôt en solo (ben oui, pour être en même temps que les autres, un cheval avec de belles allures et de l'amplitude sera contraint de "trottiner" pour s'adapter à celui qui n'a pas les mêmes qualités que lui). Je vous mets (lol pour vous allécher) quelques photos, suivra... Les écuyers en chef (il manque celui de Saumur, Faure, qui n'est pas sur la photo): L'écuyer en chef de Lisbonne (Filipe Figueiredo (Graciosa)):

Pour moi, un travail bas se fait : 1) sur un cheval qui n'a pas de problèmes aux antérieurs car l'encolure provoque un chargement important des épaules (=- 2/3 du poids = une partie de celui du cavalier) qui se répercute sur l'avant. 2) le nez en avant de la verticale ou sur cette verticale mais pas en arrière. 3) pendant un moment (6 mois parfois 1 an) sur un jeune cheval, un cheval à remuscler ou pour des raisons thérapeutiques. Après, il se borne à l'échauffement et à la récompense (après un exercice contraignant/en fin de travail).

C'est hors sujet, je sais mais... Juste pour la petite anecdote sur ce cheval de Catherine, il faut savoir qu'il est arrivé chez eux quand il avait 14 ans et... il trottait passager continuellement. Je l'ai vu travailler les premières semaines après son arrivée, le proprio était désespéré parce que ce cheval qualiteux au départ avait été plus ou moins fichu en l'air (il avait été de professionels en professionels). Ils l'ont travaillé et ensuite acheté et après environ 10 mois de travail, Catherine le sortait en Grand Prix avec des participations internationnales, maintenant, il a pris sa retraite. Je comprends que Karl aie hurlé (surtout que le débat avait surtout en arrière fond des questions de marketing et de rapport dressage artistique-dressage compétition parce que Karl ne sort pas en concours). Tout cela pour dire que ben derrière chaque cheval, il y a une histoire et qu'elle est rarement reluisante et que certains défauts (fautes du cavalier, morphologie ou passé) ne savent pas être totalement gommés. L'évidence est que je préfère aussi ce genre de piaffer même pas académiquement rigoureux au vu du règlement FEI que des piétinnement plus ou moins brillants où le cheval est agressé et comprimé. Pour ce qui est du DVD, je l'ai pas trouvé terrible non plus, je préfère de loin leur coffret VHS qui est nettement plus représentatif de leur travail.