Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Poussinette1111

Membres
  • Compteur de contenus

    3 089
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Poussinette1111

  1. En effet, en Espagne, c'est très fréquent.
  2. Mais cela ressort de sa responsabilité si elle encourage à maintenir ce système..., non?
  3. Poussinette1111

    Travail du galop

    Maintenant que tu expliques un peu, je me demande si faire venir un ostéopathe ne pourrait pas aider dans la mesure où il se désunit même en liberté. Mais bon, essaye le travail d'abord et qu'elle en parle avec son véto avant mais cela pourrait être une piste.
  4. Poussinette1111

    Une bon(ne) prof ???

    Totalement d'accord. La grande majorité des "grands" cavaliers de dressage sont assez fortunés (la petite majorité a eu, à un moment, de la "chance"). Aucune chance d'espérer acquérir un bon niveau national si on n'a pas les moyens (cheval, coach, installations)! Rien que les tarifs d'inscription sont, à mon sens, hors de prix. En arriver à payer 10, 20 voire 40 Euros pour un passage, aargh!! + Rajouter à cela le prix du transport qui se révèle bien souvent, lui aussi, assez onéreux. Fin de la pollution
  5. Poussinette1111

    Travail du galop

    L'éduquer à la voix, ça le rassurera car il pourra anticiper tes demandes sans stresser et sans que tu n'aies à agir physiquement avec tes aides. Apprends-lui à partir à la voix et à revenir au trot à la voix. D'abord le calme et puis tu verras l'équilibre et les départs sur le bon pied (les mauvais départs trouvant sûrement leur origine dans sa contraction face au galop). S'il ne galope qu'avec toi, cela ne doit pas aider à ce qu'il se sente en "confiance" à cette allure. A l'inverse du pas et du trot, le galop est une allure dissymétrique et donc qui encourage les pertes d'équilibre => en 1) le rassurant et 2) lui apprenant par des transitions à s'équilibrer (mieux vaut 3-4 départs au galop que 5 cercles n'importe comment). Pour le moment, aide-le en partant dans le coin avec 1) la voix suivi de 2) les aides avant de t'essayer aux grands côtés. Demande quelques foulées et revient au trot calmement AVANT qu'il ne chauffe et allonge petit à petit tes temps de galop tout en repassant au trot dès qu'il se met à déborder pour le calmer et repartir ensuite au galop le tour suivant. Commence peut-être aussi tes séances en le longeant 10-15 minutes pour l'éduquer à la voix pour le galop et le laisser s'équilibrer seul avant d'ensuite le monter. Pour ce qui est de la désunion, plusieurs causes sont possibles : - manque d'habitude et donc d'équilibre, en gros, il ne sait pas comment "assumer" cette allure ; - excitation qui provoque un désordre ; - trop de pli ou de traction sur la longe vers l'intérieur au moment du galop car du coup, comme seule l'encolure se plie (elle se "casse" à l'intérieur si tu veux), cela libère l'épaule extérieure et l'aide à partir à faux (soit totalement soit seulement devant). A son stade, ne pas essayer de le forcer à revenir se mettre juste (ce qui perturberait encore plus ses tentatives de trouver son équilibre) mais repasser directement au trot pour repartir correctement tout aussi vite. Visiblement, à mon avis, il n'arrive pas à trouver son équilibre à cette allure => je te conseille de fréquentes transitions et des moments courts de galop (que tu rallongeras peu à peu) demandés à différents moments de ta séance (pas seulement à la fin). + Pourquoi sa proprio ne galope pas + il a quel âge?
  6. Quel âge a ton cheval? Mon dernier cheval était monté en bride à 4 ans... et je ne l'ai monté en bride... que le jour de l'essai, ensuite, je suis passée directement au mors double brisure et il était parfait avec et surtout, ce qui peut se comprendre, moins figé. Par contre, j'ai dû le réhabitué à ne plus "craindre" la main car il en avait vraiment peur (tu m'étonnes!)
  7. Oui, c'est pas faux pour l'épaule en dedans/cercle, faire des kilomètres n'importe comment en espérant que le cheval s'asseye un beau jour... bof. Cependant, je crois que cela reste utile pour les débuts, les compréhensions d'exercices qui vont "modifier" l'équilibre (principalement épaule en dedans et, à la limite appuyers). Pour les autres, certes tu les "prépares" par une sorte de pré-équilibre tout comme ton épaule en dedans est préparée par la volte qui, elle, est préparée par le coin... mais pas l'équilibre ou la cadence "de l'exercice" avant l'exercice. Donc, je pense que je comprenais mal ce "la position précède l'action" appliqué au cheval (pas au cavalier, ça c'est logique) car je comprenais "mon cheval est équilibré comme dans l'épaule en dedans alors qu'on ne l'a jamais entamée et qu'il a 4 ans" et non cette sorte de pré-équilibre, de préparation ou de pré-réglage du cheval à ce qui l'attend (ça me semblait tellement logique que parfois on sur-interprète parce que ça à l'air trop évident). Pour ce qui est du deuxième point, je crois que l'arrêt avec un cheval qui pèse sera assez pénible les premières fois mais qu'à force de transition, de retour à un arrêt où l'on cherche la décontraction avec des doigts vibrants, il s'améliorera et qu'ensuite on partira de ce point "gagné" (si on peut dire) pour l'étendre peu à peu aux autres allures. Les flexions à ce stade (si on sait les faire) sont un plus même si j'ai tendance à leur préférer le travail à pied organisé en mouvement au pas et au trot comme l'enseignait Oliveira. Mais là, on en arrive à des préférences et des inclinations personnelles, ce qui est un autre sujet. Merci, je suis en 3è Bac psycho à l'ULB via le jury central (j'ai fini la philo l'année passée, c'était dans le cadre de mes licences en philo mon mémoire sur l'art équestre - lol, avec des profs qui n'ont jamais vu un cheval de près ). Non non, pas rouiller, non!!!
  8. Ben un peu les trois. J'essaye toujours d'apprendre ou de tirer quelque chose de la rencontre faite avec un professionnel, quel qu'il soit (étho, obstacle, éleveur...). L'équitation s'acquiert en partie par l'expérience et connaître les expériences heureuses ou malheureuses de certains est très instructif. Puis, il faut chercher à cheval. Travailler, analyser ce qu'il ne va pas, réfléchir, se documenter, regarder les "grands", lire, demander, chercher puis tester (je repousse toujours le testing en dernier lieu car je ne veux pas tenter tout et n'importe quoi sur mon cheval). Et tester, cela revient à dix séances de travail, pas deux, avant d'oser tirer des conclusions. Ensuite,il faut admettre qu'on a pu se tromper, qu'on a peut-être mal compris ou que le point de vue de l'autre, s'il ne nous convient pas totalement peut avoir un élément que l'on pourra réutiliser. Et enfin, lire, lire, lire. Comparer, réfléchir, noter ses questions, en parler, lire de tous, des vétos, des encyclopédies, des traités d'élevage, des cavaliers d'hier et d'aujourd'hui. Le problème étant que beaucoup d'ouvrages sont épuisés et que c'est pas toujours facile de s'y retrouver dans tous les écuyers qui ont existé (qui est élève de qui, qui est contre qui, pourquoi, qui se situe dans quel courant...). Ce qui m'a beaucoup aidé et documenté, c'est d'avoir fait mon mémoire d'université sur l'art équestre et j'ai du bosser et analyser des écrits d'écuyers de toutes les époques, les comparer, les confronter... et ça m'a appris beaucoup. Au final, je suis une cavalière moyenne, ni plus ni moins douée qu'un autre. J'ai eu la chance d'avoir rencontré des chevaux extraordinaires (chevaux professeurs ou caractériels implacables qui vous remettent en question en trois foulées), des gens très pédagogues et ouverts. Par exemple, ma première révélation s'est faite à 11 ans quand j'ai pris un prof particulier que ma mère avait eu plus jeune et que son premier cours s'est passé... dans le boxe de mon poney et était basé sur son anatomie, sur l'analyse de ses points forts et faibles morphologiquement, et que de là, on allait déterminer son travail "à la carte." Depuis ce moment-là, c'est une vraie passion de la recherche et de l'envie de partager avec mon cheval la joie qu'il me donnait. Et puis, j'essaie aussi de donner ce que je sais ou je pense avoir compris afin d'aider ceux qui parfois cherchent eux aussi sans en avoir les pistes ou le temps car souvent, les cavaliers autour de moi, les jeunes filles qui forcent leurs poneys ou chevaux, les cravachent sans raison, le font parce qu'elles n'ont pas eu la chance que quelqu'un leur explique ou leur dise dans quelle direction chercher. Si on avait un manuel de culture équestre neutre, sans parti pris (ou alors juste dans la conclusion), qui offrirait un chemin dans la foisonnante histoire de l'équitation, cela éclairerait beaucoup de monde. Le soucis des livres de dressage est qu'on ignore bien souvent la tradition de l'auteur, sa "philosophie équestre" et du coup, on est perdu, on le comprend mal ou on se sent agressé par lui, car à chaque fois, on se retrouve confronté (surtout dans les livres actuels - pas tous mais beaucoup) à une sorte de pamphlet visant à défendre "son" école contre une autre "école" qui, elle, a tout faux. C'est dommage car cela détourne pas mal de cavaliers de base de l'abord des textes. Mais l'avis d'autres ici sont tout aussi intéressant car il complètent des idées que nous ne connaissons pas, suggère des entrées, des pistes ou ont des expériences intéressantes à nous offrir. Les bienfaits d'un forum...
  9. Sorry, je ne parlais pas de Karl mais de ce qui ressort parfois de certains cavaliers voulant revenir (ou prétendant vouloir revenir) à Baucher à tout va! Je pense que les flexions sont un tout et que si on commence, on va jusqu'au bout : de la machoire à la queue (sinon, on assouplit que certains point et d'autres restent non résolus ou même, du coup, en attente de résolution) => nécessité de la bride (que l'on peut toujours enlever après pour monter). Je suis sûre de l'efficacité des flexions mais elles ont aussi leur revers (encolure rendue trop molle, assouplissement incomplet car toutes doivent être menées pour aboutir à un "tout", difficultés sur certains chevaux car les flexions sont un "modelage" du cheval non fait pour la Haute Ecole en vue de lui donner l'attitude de la Haute Ecole et sont basées sur la philosophie bauchériste "remplacées les forces instinctives du cheval par les forces transmises du cavalier"). Je les considère un peu comme l'ostéopathie made in cavalier plutôt que made in osthéopathe et du coup, des erreurs de manipulations peuvent avoir des conséquences non visibles mais réelles. C'est pour cela que je reste mitigée pour ce point. Elles sont positives et donnent de bons résultats bien appliquées mais il faut un minimum de savoir faire et avoir été (ou être) guidé dans ce domaine pour les réaliser. Cela ne s'improvise pas. La torsion de nuque, combien de personnes faisant des flexions de manière "sauvage" (en ayant feuilleté à demi un livre qui en parle ou sur les conseil du voisin de boxe) y font attention ou même le savent? C'est en effet une des plus évidentes et des plus faciles à repérer (et du coup à éviter) mais beaucoup ignorent jusqu'à son existence quand ils "tordent" l'encolure de leur cheval et c'est ça qui m'effraie et me fait clamer "soyez supervisés pour faire cela" car c'est délicat. Si on s'en sent capable et que l'on sait le faire, oui, c'est excellent mais je mets juste en garde celui qui voudrait s'essayer à cela seul chez lui sans être parfaitement informé à ce sujet car c'est jouer à l'apprenti sorcier. Les flexions sont un plus (et apportent énormément, je suis d'accord avec toi) mais à prendre avec sérieux et professionnalisme. Il y moins de risque, à mon sens, si l'on travaille seul, à faire des exercices montés (même pas très bien) et en mouvement qu'à gymnastiquer à l'a peu près en étant les pieds ancrés dans le sable où la force exercée sur un mors est autrement plus forte et contraignante qu'à cheval. Cependant, je reconnais que le retour aux arrêts (décrit plus haut par nous deux) dans le travail monté sera plus bénéfique si le cheval a connu le travail de l'entièreté des flexions d'abord à pied et ensuite monté à l'arrêt. NOTE: L'autre problème des flexions bauchéristes (ou autre principe de Baucher) tient à la rigueur des écrits de Baucher (ce n'est pas lui qui les écrivait mais un élève qui lui plaisait bien et qui n'était pas forcément doué), que sa méthode s'est perfectionnée sur une à deux décennies sans qu'il puisse modifier son texte (à cause de ses éditeurs) et qu'il faut lire tous ses élèves (ou du moins plusieurs) pour espérer bien comprendre et saisir sa méthode (et encore, ils divergent entre eux). Pour cela, Baucher, c'est un peu frustrant et pas toujours clair (ce qui a permis les mauvaises interprétations et dérives actuelles), ce qui est bien dommage car on a du perdre pas mal de nuances et de réflexions intéressantes de cet écuyer incroyable.
  10. Moi je reste plutôt sur une donnée de souffrance ou de coincement quelque part. Vu la violence du rodéo qu'elle t'a infligé, elle peut bien s'être fait mal elle aussi et, avec le froid et l'humidité, ça attise sa douleur. Elle a peut-être envie de rester au pré plutôt que de bosser, c'est une possibilité mais de la à projetter sur elle "un sentiment d'abandon", c'est aller un peu loin. Chez un cheval, le sentiment d'abandon est vécu directement : il déprime, se laisse aller, ne mange plus et non par après style "ha tiens, toi tu ne me montes plus". Un cheval peut garder de l'aigreur face à quelqu'un si cette personne l'a maltraitée, battue, cravachée, torturée... mais pas mis au pré et ensuite travaillé à un rythme moindre!!! Je trouve cette interprétation très culpabilisante. Ce ne poney ne lui fait "payer" rien du tout!!! Un cheval peut parfois faire montre de mauvaise humeur si vous n'êtes pas venu la veille alors que d'habitude vous venez tous les jours mais bon, s'il y a eu coupure mise au pré et remise du travail sur un rythme différent, cela ne ressort pas de cela. Soit elle a mal quelque part, soit elle a pas envie de travailler soit sa dp se laisser dominer. La solution ne se trouve pas dans un quelconque ressentiment à retardement. Essayer de comprendre le comportement d'un cheval à partir de son propre point de vue (humain, forcément vu qu'on est pas un singe), ok mais sur-interpréter, non car là, on verse un peu largement dans l'anthropomorphisme et en plus dans un anthropomorphisme digne d'une femme jalouse de son mari adultère... donc :arrow:
  11. Mais, lol, Zzz, nous restons d'accord pour le fait qu'un cheval qui pèse va se solutionner par des applications du bauchérisme Tyf, peut-être lui demander justement des arrêts en légère épaule en dedans à droite pour tenter de motiver son postérieur droit, sinon cela peut être lié à son âge aussi, sans qu'il n'y ai de véritable raison dans le travail.
  12. La seule chose qui m'effraie avec cela, c'est que les flexions que Baucher a mises au point se font selon une certaine logique, une progression rigoureuse et étudiée et en bride (et qu'ont suivi tous ses élèves jusqu'à Beudant et Oliveira (qui lui les a abandonnées sauf pour certains chevaux bien précis)). La bride est nécessaire car on commence avec la flexion de mâchoire totalement nécessaire avant de faire la suite (nuque et encolure). Passer directement en filet à des "dérivés" de flexions, je suis pas vraiment pour car une torsion de nuque se produit 9/10 quand c'est quelqu'un de peu aguerri qui s'y frotte sans avoir un écuyer qui contrôle. Je préfère alors le travail à pied en mouvement, moins contraignant même s'il faut conserver, là aussi, une certaine habilité et expérience, les chances de réussites sont plus élevées et le risque d'erreur est moindre par rapport aux flexions. Revenir à Baucher n'est pas en soi une mauvaise idée mais le radicaliser ou se le réapproprier (= le moderniser) me fait un peu peur quand on considère les abîmes rencontrés (et reconnus) par ses élèves les plus proches et les plus doués. Une mauvaise compréhension du bauchérisme mêlée aux déficiences de D'Aure ont menées au "mauvais" dressage actuel (ramener outré, reconstruction et mécanisation du cheval, saussinonage par flexions "améliorées"), le Rollkur est un descendant dénaturé de tout cela. Alors, revenir à Baucher (et surtout ses élèves), oui mais sans ouvrir la porte à de nouvelles dérives. Enfin, ce n'est que mon point de vue et je ne suis pas l'incarnation de la Vérité donc peut-être que je me trompe lourdement... mais pour moi, si l'on revient à pratiquer les flexions de Baucher, il faut les faire "comme" Baucher et ne pas prendre de raccourcis.
  13. Pour peser (tirer), il faut être 2! S i vous le laisser se porter, vous renforcez la solution malheureuse qu'il a trouvée pour tenter de gérer son déséquilibre. Je ne conseillerais pas vraiment de mors car pour moi, le problème ne se situe pas dans la bouche mais dans sa manière de se maintenir. Recherchez beaucoup d'allègement dans le pas dans des exercices tels que cercles, spirales, épaule en dedans et contre epaule et dès que vous le perdez, arrêt. Travaillez beaucoup les transitions et revenez vers l'allure inférieure dès que l'équilibre se désagrège jusqu'à se ré-arrêter s'il le faut. A l'arrêt, jouez délicatement, doigts vibrants, jusqu'à l'allègement. Si vous n'y arrivez pas, demandez vos arrêts en légère épaule en dedans, pour mobiliser un peu son équilibre avec un postérieur qui engage sous la masse. C'est une solution bauchériste mais je vous éviterais le conseil des flexions que pratiquait Baucher car il faut être 1) en bride et 2) cavalier très accompli pour les réaliser (et encore!). Pensez aussi à le laisser travailler un peu au-dessus de la main. Un cheval tendu n'a pas forcément, comme on le croit, le chanfrein exactement à la verticale! Certains ont besoin (ganaches importantes, niveau de travail trop récent) d'être un peu ouverts et si vous leur demandez de se "ramener" (comme le ferait un cheval abordant le rassembler), vous le déstabilisez en lui demandant de prendre une attitude qu'il ne peut pas (encore) assumer => sa solution, c'est de peser. Sa "mise en main" avec chanfrein vertical viendra avec le travail et les exercices, progressivement. Le demi-arrêt, je proscrirais car c'est une méthode qui solutionne que les deux foulées suivantes et on se retrouve pour finir à faire des demi-arrêts tous les 5 mètres!
  14. Poussinette1111

    pk il hennit?

    lol! Surtout la gourmandise!
  15. Poussinette1111

    besoin de votre avis....

    Totalement louche. Elle en pleurera si elle l'achète car ce sera soucis sur soucis ou écrasement de son gamin de huit ans sous une jument qui a tiré au renard, au choix... La dame de vendredi a peut la prendre si elle existe. Ce genre de cheval, il faut l'acheter, le retaper (teingne) et... le mettre au pré. Il y a de l'arthrose, cela ne se soigne pas réellement, cela peut se ralentir (soins => frais) mais pas guérir. Elle aura un coup de coeur avec un autre cheval qui lui conviendra mieux.
  16. Quand as-tu fait venir l'osthéo la dernière fois, peut-être son rodéo l'a-t-il coincée elle aussi?
  17. Poussinette1111

    Bluebird FLyring

    Difficile de vraiment se prononcer sur les photos. Tu veux en faire quoi? Promenade, loisir, compèt obstacle ou dressage? Pour ce qui est de l'âge, la visite véto réglera le problème car TOUJOURS visite véto!! De toute façon, des papiers pour un tachu, difficile de falsifier, c'est pas comme un bai ou un alezan avec juste une balzane et une étoile où on en croise treize à la douzaine (+ pas oublier la puce) Pour ce qui est de la robe, ben, comme tu peux le voir, les pies, c'est toujours controversés! Moi j'ai une petite ponette pie (blanche maintenant) et soit on aime soit on aime pas Moi, je pense qu'il peut être intéressant comme cheval de loisir mais si tu espères la compétition plus tard, je te conseillerais d'attendre et de miser sur un cheval avec un minimum de potentiel pour éviter d'entendre après un an de travail que ton cheval est limité. Mais si tu as le coup de coeur, c'est encore une autre histoire... Pour celui de l'abattoir, c'était après l'hiver.
  18. C'est lui qui a dressé le cheval ou il était déjà dressé?
  19. Lol, je suis encore au stade lecteur cd De la musique classique, des compilations achetées style 10 euros les 3 cd. Chopin, Vivaldi, les adagios de Bach, Lully et Arvo Part (j'ai amélie poulain et énaudi en projet). Je prends d'office des musiques douces parce que du rock, pour le cheval, c'est un peu limite. Par contre, cela couvre les bruits parasites du manèges et nous met tous les deux dans une "bulle". J'ai remarqué qu'il y a des musique que mon cheval aime plus que d'autres.
  20. Bon, lol, je me suis trompée, je cherchais celles du concours de Loncin. Je suis méga blonde et alors?
×
×
  • Créer...