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Tout ce qui a été posté par Sting_4_sWo
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Bon anniversaire Sting !
Sting_4_sWo a répondu à un(e) sujet de Lucrèce-soscolliesyorkies dans Les anniversaires, les fêtes, les voeux
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Qu’est-ce qu’un bonsaï ? Définition Terme japonais signifiant "Arbre en plateau". Le nom "bonsaï" vient de l’idéogramme chinois "pen sai" dont la traduction littérale est "planter". A l’origine, toutes les plantes en pot étaient donc des "bonsaï". En français, c’est un nom masculin invariable. Le bonsaï est un arbre décoratif conservé de petite taille dans des proportions et des dimensions respectant certaines règles grâce à une technique de taille et de ligature inventée en Chine et développée ensuite au Japon. Pour certains, l’art du bonsaï consiste à imiter et s’inspirer le plus possible de ce que l’on peut voir autour de soi dans la nature de son pays sans forcément suivre les standards japonais. Il est très important de ne pas oublier qu’un bonsaï est un arbre identique à ceux que l’on rencontre dans la nature, la seule différence étant la taille. Création d’un bonsaï Il n’existe pas d’espèce spécifique pour les bonsaï. De nombreuses espèces de nos forêts peuvent faire de très beaux bonsaï même s’il existe des espèces à éviter en bonsaï pour différentes raisons techniques. Pour créer un bonsaï, on pourra procéder de différentes façons : le semis : c’est la façon la plus lente mais également celle qui donne les meilleurs résultats. le bouturage le marcottage le prélèvement ou yamadori le travail sur pre-bonsaï acheté en pépinière. Les points-clés L’art du bonsaï est un processus horticole qui consiste à traiter un arbre de telle manière qu’il reste petit tout en ressemblant à un arbre âgé et développé. Quand le bonsaïka est bon, ce processus peut se perpétuer pendant des décennies et un bonsaï bien entretenu peut survivre à son propriétaire. La difficulté consiste à maintenir l’arbre dans un environnement très favorable d’air à la bonne température, de luminosité, d’eau, d’humidité, d’engrais et de lutte contre les parasites en évitant dans le même temps une trop grande croissance. Pour cela, il faudra bien maitriser les notions suivantes : Substrat Arrosage Fertilisation Rempotage Le but est d’évoquer la nature et il faut se rendre à l’évidence que tous les arbres ne se développent pas directement vers le haut ; on en vient alors aux différents styles (voir aussi la rubrique esthétique pour faire ressembler l’arbre à ceux exposés au vent régulier de la mer ou en cascade en bas d’une pente. Pour réaliser ces formes, les bonsaïka emploient des fils de ligature pour orienter les branches jusqu’à ce qu’elles restent dans la forme choisie par le bonsaïka. Les petits arbres doivent normalement avoir de petites feuilles afin que les proportions soient respectées. Pour cela, on peut parfois pratiquer une défoliation qui provoque la pousse de nouvelles feuilles dont la taille est plus réduite. L’art du bonsaï est une passion où l’on ne cesse jamais d’apprendre
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L’arbre perd ses dernières feuilles et avec elles l’activité chute également. L’arbre a accumulé un maximum de réserves. Besoins de l’arbre : tant qu’il subsiste des feuilles, il est en activité et a donc besoin d’éléments pour renforcer ses réserves et ses protections hivernales (P et K). Automne => maturité des fruits, consolidation du bois et bourgeons Taille très "légère" Continuer l’apport en engrais : faible à nul en azote, fort en phosphore et potassium. Faible en azote afin d’aider l’arbre à emmagasiner des réserves et ne pas l’inciter à pousser pendant l’hiver. Surveillance de l’arrosage ... Sevrer certaines marcottes et les mettre à l’abri du gel, Après la chute des feuilles, un petit traitement au soufre, en prenant soin de ne pas en mettre sur le substrat afin d’éradiquer les champignons et leur spores qui pourraient attaquer les arbres l’année prochaine Ne pas oublier de traiter avec un systémique les arbres dont on suspecte la présence d’un insecte mineur, avant la chute de feuilles ! Pour les jeunes arbres "balais", penser à les ficeler en fuseau dès la chute des feuilles. Coniferes : Pincement de genevriers à poursuivre Taille d’entretien et éclaircissement (pas de tailles lourdes) Ligature légère sur rameaux Désaiguillage et rééquilibrage des forces (bourgeons et chandelles) Nettoyer jin et shari Feuillus : Légère taille sinon attendre chute des feuilles pour plus lourde taille Mise en forme des persistants Suppression des bourgeons mal placés Ne plus effeuiller pour ne pas contrarier la mise en reserve Nettoyage du tronc et bois mort (saba miki) Rempotage possible apres la chute des feuilles (protection hors gel) A fleurs : Taille des branches fortes (boutons floraux a conserver) A fruits : Taille possible mais egalement pas trop court pour conserver les bourgeons à fleurs Enlever les fruits trop nombreux de la saison passée Et puis aussi : Commencer a reflechir sur la taille de fin d’hiver : noter les structures retenues pour les arbres en formation (et prendre eventuellement des photos) ! Ramassage des graines qui vont bientôt être mûres pour ensuite les stratifier.
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Tout ce qu’il faut savoir sur les substrats d’après un sujet du forum ParlonsBonsaï développé par Patrice Bongrand avec la participation de Thierry Font Introduction Y a t-il des différences fondamentales entre un arbre et un bonsaï ? Les principes de fonctionnement sont les mêmes il y a de grandes différences entre : la culture d’un plant de pépinière le but est de faire pousser vite avec beaucoup de feuillage. d’un arbre en pleine terre il faut que l’arbre grandisse et grossisse le plus vite possible la culture d’un bonsaï : Un bonsaï doit être sain, bien raciné, avoir une masse foliaire jeune et en pleine forme, ramifiée, dense, petite. Les racines doivent donc elles aussi être jeunes, ramifiés Le mélange dépend donc de ce que l’on doit faire sur l’arbre. Si l’on cultive bien nos arbres, dans un bon substrat, et qu’on les engraisse bien, ils vont bien répondre à toutes nos interventions et notamment à une taille sévère (parfois nécessaire pour reconstruire ces arbres complètement). Pour bien pratiquer le bonsaï, il faut connaître les étapes de ce travail et le temps nécessaire pour les réaliser. Le mélange dépend donc de ce que l’on doit faire sur l’arbre. les trois principes de base sont donc : Bon substrat drainant Engrais organique adapté , engrais de fond. L’eau, elle doit être LA PLUS PURE POSSIBLE. Le substrat à l’étape de la culture du bonsaï Si l’on en est à l’étape de la culture d’un arbre (soit les 5 à 10 premières années), nous avons intérêt à avoir un sol drainant Qualités principales du substrat Les deux premières qualités indispensables d’un bon substrat de bonsaï sont donc : drainant et aéré. Ce qui veut dire que terres de jardin, terreaux fins, sables fins sont à proscrire comme substrat de bonsaï. Les racines d’un arbre destiné à être cultivé en bonsaï ont besoin : d’oxygène pour être efficace et ne pas pourrir. Que l’eau apporte toutes les bonnes choses, et mieux ça circule, meilleur c’est pour l’assimilation des substances nutritives par les racines. L’autre raison essentielle pour laquelle un bon substrat à bonsaï doit être drainant et aéré, est que les petits espaces entre les grains du substrat sollicitent l’émission de nouvelles petites radicelles. La division racinaire peut se faire. Tout ce qui se passe au niveau des racines se retrouve au niveau de la masse foliaire. Si vous avez une grande division de radicelles, vous obtiendrez une meilleure ramification, des entrenoeuds plus courts, des feuilles plus petites. C’est pourquoi on entend parfois des amateurs dire qu’ils ont beau pincer leurs arbres et tailler les feuilles, l’arbre se ramifie mal. C’est parce que, fréquemment, le substrat n’est pas adapté pour un bonsaï Il doit aussi être : rétenteur : Bien que drainant et aéré, un substrat doit être constitué de matériaux qui retiennent l’eau (et les matières nutritives) surtout pour ceux qui habitent une région sèche. Mais la rétention en eau n’est pas la qualité majeure d’un substrat, loin s’en faut. Car plus on arrosera un arbre avec de l’eau claire, plus on amène oxygène et hydrogène indispensables aux racines et à la vie des mycorhizes. Plus le substrat est rétenteur, moins on doit arroser. L’eau stagne, est mal assimilable par l’arbre favorise la pourriture des racines (certaines espèces de genévriers y sont très sensibles, comme le communis). Stable : Si l’on veut que les autres qualités précédemment mentionnées soient effectives, le substrat ne doit pas se déliter, ni se réduire en poudre, comme c’est souvent le cas avec de l’akadama de mauvaise qualité non tamisé. Sain et propre : Nous ne réutilisons pas un vieux substrat, il faut tamiser, et lessiver à grande eau ses substrats avant de les utiliser. Tout ceci afin de ne pas transmettre microbes, parasites et autres maladies. chauffant : à chaque fois que l’on arrose, on refroidit le mélange. On freine donc la pousse des racines, ce qui ralentit la croissance. En revanche, il ne doit pas être nutritif, car il est préférable de partir sur un substrat neutre afin de mieux gérer l’apport d’engrais en fonction des besoins de l’arbre. L’adaptation à l’étape de travail Au début du travail, on plante dans un mélange drainant, quel qu’il soit. L’arbre a besoin de faire des branches charpentières, de constructions etc. Les racines poussent d’autant plus fort et vite que le mélange sèche vite. Il faut donc arroser souvent, favorisant la pousse des branches et racines. Schématiquement, le mélange sèche, on arrose, ça pousse et ainsi de suite. Au fur et à mesure du temps les branches s’établissent, les racines aussi, et le sol sèche moins vite car le mélange se compacte un peu plus chaque année. Avec le temps l’arbre fait des pousses de plus en plus petites, et des racines de plus en plus fines. Au bout d’une dizaine d’années, temps qu’il faut (théorique) pour former un arbre correct, on rempote l’arbre dans "son pot" de présentation et dans un mélange plus fin, car on n’a plus besoin de faire pousser fort l’arbre, mais de le maintenir, en vue d’expos etc. Quand cet arbre montre des signes de ralentissement trop évident, 2 à 3 années maximum, on recommence, surtout au niveau racinaire et des ramifications fines. La boucle est bouclée. Un substrat est adapté à l’étape de travail où nous sommes C’est ainsi que : L’akadama, sorte "d’argile volcanique" (et ce qu’il faut retenir ici, c’est volcanique) est un substrat excellent pour nos bonsaï installés en pot depuis plusieurs années (je dis bien bonsaï, pas arbre, car cela veut dire que on en est aux étapes finales des fines ramifications). Il faut absolument le tamiser à 4-5 mm avant l’emploi. La kanuma est adaptée aux azalées Les mélanges Une formule unique de substrat est une erreur. Il y a l’espèce et l’étape de travail qui entrent en jeu, et tout ceci en fonction des 5 ou 6 qualités nécessaires dont nous avons parlé plus haut. Suivant notre climat, nous allons modifier le pourcentage des éléments qui constitue ce substrat. Si on habite une région humide, alors le substrat sera plus drainant (plus de gravier, moins de pouzzolane, de pumice ou d’akadama). La granulométrie moyenne, dans l’état actuel des choses (c’est à dire au niveau ou nous en sommes actuellement en France sur nos bonsaï) est 4-5 mm. Tamiser tous les substrats avec un tamis de 5 et je les nettoie à grande eau (sauf l’Akadama). Attention à la poussière Voici les éléments que l’on trouve fréquemment en Europe : Pouzzolane rouge ou noire La pouzzo est aérée, microporeuse, une bonne rétention et quelques oligo-éléments (fer),pour les conifères (30 à 70%). Pumice La pomice est très aérée et plus légère, elle a une bonne rétention, bonne pour les juniperus et les feuillus Graviers ronds Faussement appelé sable. Le rond est bien pour les pins en pot à bonsaï (entre 30 et 60%). Graviers concassés provenant de carrière. Le concassé est bon pour les yamadori (y compris les arbres achetés), car ses angles coupants favorisent la division racinaire. Rétention quasi-nulle, pouvoir drainant Ecorce de pin compostée favorise la mycorhization du système racinaire, l’apparition d’humus (ajoutée 5 à 10% au mélange). Attention il faut aussi la tamiser à 4-5 mm. Terreaux grossier (prudence, avec parcimonie) Tourbes à fibre longues (prudence aussi) Il faudra remplacer le gravier concassé par du gravier rond quand l’arbre sera en pot de bonsaï et quasi fini depuis quelques années. Il n’est pas utile de mélanger pomice et pouzzolane. Par contre l’une ou l’autre avec du gravier est bien, mais cela dépend des espèces cultivées. On ne fait pas le même substrat pour un pin, un hêtre ou une azalée. Il est adapté à l’évolution et l’étape de travail où nous en sommes sur l’arbre. exemple de melanges préconisés par Thierry Font Pour les arbres en pot. Genévrier : 6 vol. akadama moyenne (dépoussiérée) 4 pumice (4/6 tamisée). Ou Genévriers : 4 à 8 pomice, 2 à 5graviers concassés, un peu d’écorce. Pins : 5 vol. sable granitique pulvérulent, 3 akadama moyenne, 2ecorce Ou Pins, ifs, épicéa : 3 à 4 pouzzolane, 4 à 6 graviers concassés, 1 écorces de pins compostées. Plus le climat sera humide, plus il y aura de graviers ; plus ce sera sec, plus il y aura de pouzzolane et d’écorces (pas plus de 15%). Prunus : 5 akadama (idem) 4 pumice (idem) 1 écorce ou compost chêne vert. Hêtres et érables, autres feuillus : 3 à 8 pomice, 1 à 3 pouzzolane, 0 à 2 terreau grossier tamisé. Pour les prélèvements, tout pumice, avec un peu de secret personnel. Pour genévriers, prunus et pins : granit + écorce. Exemples de mélanges préconisés par Patrice Bongrand les conifères : Pins, ifs, épicea : pouzzolane 30 à 40% graviers concassés, 40 à 50% écorces de pins compostés 10%. plus c’est humide plus on y mets de graviers plus c’est sec, plus on y mets de pouzzolanne et écorces(pas plus de 15%). genévriers : pomice 40 à 80% graviers concassés 20 à 50% un peu d’écorce. les feuillus : Hètres et érables, autres feuillus : Pomice 30 à 80% Pouzzolane 10 à 30% Terreau grossier tamisé 0 à 20%. les arbres à fleurs : Azalée : kanuma ou un mélange pomice/ tourbe blonde à fibres longues tamisée. Prunus : Pomice 60 à 100% gravier 0 à 40%. Donc en résumé, le pourcentage de chacun des ces composants de votre mélange dépendra du climat local. Par exemple : il pleut beaucoup chez vous, c’est très humide : il faut augmenter le pourcentage de graviers. Vous habitez un pays sec et venté, il faut augmenter le pourcentage de pomice ou de pouzzo (pas celui d’écorce ou de terreau) Nutrition, terreau et humus, mycorhizes... ??? Il est préférable de partir sur un substrat non nutritif (neutre), afin de mieux gérer l’apport d’engrais en fonction des besoins. Utiliser un substrat nutritif est une erreur de culture car on ne maîtrise absolument pas l’amendement des bonsaï. Comment savoir alors le NPK [1] que l’on donne à l’arbre. Les Japonais ont plusieurs générations de culture de bonsaï et nous enseignent l’utilisation des substrats drainant non nutritif. Substrat non nutritif, drainant et aéré veut dire bonne gestion des apports d’engrais et de l’arrosage. Ces trois aspects sont indissociables. Les apports seront différents en fonction de ce que l’on souhaite obtenir. Supposons que l’on veuille faire du bois (ce qui veux dire allonger des branches) ou créer la ramification tertiaire ou quaternaire, ou encore chercher la réduction de la dimension des feuilles. Les apports seront bien différents. En fonction des étapes de travail, il faut donner un engrais au NPK (+oligoéléments, + acides animés) correspondant, un arrosage et un ensoleillement correspondant. Si le but est juste de maintenir en vie un arbre (j’ai bien dit un arbre, pas un bonsaï, c’est volontaire) dans un pot, alors il est possible d’utiliser de la terre et tout ce que l’on veut : Plus le mélange est composé de terre (terreau tourbe etc..) moins nous aurons de réponses, car il est très difficile de maîtriser l’arrosage. Exemple : nous taillons sévèrement un olivier (ou autre feuillu). Nous arrêtons d’arroser jusqu’à ce que l’arbre demande de l’eau c à d qu’il rebourgeonne. Dans un mélange aéré, c’est facile et cela sèche vite. Par contre avec "la terre", c’est plus long, donc plus risqué (maladies, affaiblissement, "noyade » de l’arbre etc.) l’humus C’est important C’est pour cela qu’en ajoutant 5 à 10% d’écorce de pin composté, d’une part (qui a d’autres qualités), nous activons la venue de l’humus. Et d’autre part, par l’apport important (3 ou 4 boulettes n’est pas suffisant) et régulier d’engrais organique, par sa décomposition, l’humus sera là très vite (grâce aux mycorhizes). Le peu d’écorce de pin compostée que l’on peut mettre dans le mélange du substrat favorise naturellement l’arrivée des mycorhizes sur les conifères, et les japonais, sur les érables, ne gardent presque rien de l’ancien substrat et plantent l’érable dans de l’akadama pur, a vous de déduire. Granulométrie et division racinaire La grosse granulométrie est surtout pour des arbres jeunes en travail. Le problème est de garder ses arbres humides pour qu’ils ne meurent pas, mais nous n’obtiendrons pas une division racinaire (donc une ramification fine, un feuillage petit) aussi bonne avec un substrat composé de trop gros grains et d’écorce de pins. En effet le substrat drainant et aéré, tamisé à 4-5 mm, d’un mélange de pouzzo, ou pomice, ou gravier, ou même akadama, n’est pas seulement pour l’oxygène apporté aux racines, mais aussi pour la division des radicelles (qui sera beaucoup moins importante avec du terreau et avec de trop gros grains). Les engrais Il faut gérer après les apports d’engrais au niveau du sol et au niveau du feuillage. C’est la sève élaborée, qui, venant du feuillage grâce à la photosynthèse (d’où l’importance d’avoir un feuillage bien actif et d’effectuer une pulvérisation foliaire), redescend vers les racines et va permettre l’émission de nouvelles radicelles (qui vont trouver oxygène et eau dans un bon substrat drainant et aéré). En dehors de toutes ces considérations théoriques, si vous avez des doutes, faites des essais sur quelques sujets et vous verrez bien, c’est l’expérience en la matière qui compte. Mais ces conseils ne sont adapté que sur un bon substrat. Toute théorie n’est valable que si elle est appliquée dans la pratique. Pour continuer un peu , juste un mot, l’engrais organique (type boulette) est un engrais de fond , très important pour alimenter dans le temps , ou pour "la finalisation" d’un arbre. Pour "pousser fort", en cours de formation, il lui faut plus, et plus vite. Chacun à sa recette ( il n’en existe pas de miraculeuse) du moment que cela fonctionne. Merci à Patrice Bongrand et Thierry Font.
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Les 10 Commandements de l'entretien du bonsaï (ou les erreurs a eviter)
Sting_4_sWo a posté un sujet dans Le bonsaï
1 - Dans un bon substrat ton bonsaï tu planteras La qualité essentielle d’un bon substrat est qu’il doit être drainant, c’est-à-dire ne pas retenir l’eau plus que nécessaire afin que les racines ne pourrissent pas et que l’arbre puisse en profiter. Généralement, les terreaux « spécial bonsaï » ne remplissent pas cette fonction. La plupart du temps, les bonsaï vendus ne se trouvent pas dans de bons substrats. Il conviendra donc de procéder à un rempotage dès que possible. 2 - Un bon arrosage de ton bonsaï tu assureras Ni trop ni trop peu. L’arrosage est un des points essentiels de la culture du bonsaï. Certains vendeurs recommandent de tremper le pot jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de bulles, d’autres de vaporiser régulièrement, d’autres encore d’arroser plusieurs fois par jour...... Oubliez tout ça ! L’arrosage doit se faire en pluie fine au dessus du feuillage. Le substrat devra sécher légèrement en surface avant l’arrosage suivant. 3 - Beaucoup de lumière à ton bonsaï tu donneras Le meilleur emplacement est bien entendu à l’extérieur, plein soleil, mi-ombre ou ombre en fonction des espèces. Si cela n’est pas possible, l’installer le plus près possible d’une fenêtre. Plus il recevra de lumière, mieux il se portera. 4 - De l’air à ton bonsaï tu fourniras Attention ! Il ne s’agit pas que l’arbre soit exposé à des courants d’air ! Il faut simplement que l’air puisse circuler autour de lui en évitant de l’installer dans un endroit trop confiné. Le vent sera à éviter pour certaines espèces plus sensibles comme par exemple les érables. 5 - De l’engrais à ton bonsaï tu donneras Chaque bonsaï a des besoins différents qu’il conviendra d’apprendre à reconnaître et à connaître. Il faudra être très prudent dans l’utilisation des engrais chimiques, un mauvais dosage pouvant entraîner une brûlure des racines. L’engrais organique sera donc à favoriser. L’apport d’engrais sera à suspendre pendant certaines périodes de l’année en fonction de l’arbre. Très important : ne jamais donner d’engrais à un arbre malade ou faible. 6 - Les parasites sur ton bonsaï tu élimineras L’attaque d’un bonsaï par des parasites (araignées rouges, pucerons, cochenilles, ...) peut rapidement l’affaiblir voire même le tuer. Une inspection régulière est donc nécessaire pour pouvoir éradiquer les vilaines bestioles avant qu’elles ne commettent des dégâts irréparables. 7 - Une bonne taille de ton bonsaï tu feras Mieux vaudra tailler peu que trop. Il faut du temps pour apprendre comment et où utiliser les ciseaux sur votre arbre. Certaines espèces ont besoin d’interventions plus fréquentes que d’autres. Il faudra aussi faire attention à choisir la meilleure période en fonction de l’arbre. Avec le temps et l’expérience acquise au fil du temps, cette opération deviendra plus facile et permettra de donner une forme au bonsaï. 8 - Les ligatures sur ton bonsaï correctement tu installeras La ligature peut devenir nécessaire afin de corriger ou de mettre en forme la structure d’un arbre. Il faudra être très prudent, certaines espèces marquant très facilement, ces traces inesthétiques pourront mettre plusieurs années à disparaître. 9 - Un pot adapté à ton bonsaï tu fourniras Le choix du pot est un élément important aussi bien pour l’esthétique que pour la vie du bonsaï. Certains arbres demandent des pots profonds, d’autres préfèrent les pots plats.... Les pots seront différents selon l’espèce et selon le style envisagé. 10 - Beaucoup de patience il te faudra Patience est le maître mot dans la pratique de cet art. Il faut plusieurs années, voire même des dizaines d’années pour obtenir un résultat. Surtout, ne pas se laisser décourager ! Même si la mise en forme d’un arbre demande du temps, chaque saison apporte du plaisir à regarder l’évolution de ces arbres. -
un bonjour des pyrénées atlantiques!
Sting_4_sWo a répondu à un(e) sujet de leroy1111 dans La présentation
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Et bah dans l'ensemble ça va y'a pas a rougir quelques petits travaux de taille couper la vilaine coupe sur l'érable 3 a gauche, on dirait un morceau de branche cassé ensuite faut voir avec la végétation aussi Les 4 cotés des arbres auraient été intéressant a voir L'orme de 20 ans est bien vert dis donc pour la saison ^^contrairement a l'orme de 2 qui a pas l'air du tout d'avoir la pêche Pour le pin j'aurai vu une coupe plus basse il me parait haut mais bon ils sont en vie c'est déjà ça lol Et pour ton pin qui perds ces aiguilles c'est le quelle ?
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Jeudi 13 Novembre
Sting_4_sWo a répondu à un(e) sujet de Lucrèce-soscolliesyorkies dans Les discussions
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Comment tu le sais J'avoue que ce n'est pas facile tous les jours, mais en ce moment c'est encore pire... La pleine lune arrivant... :évanoui:: Elle se transforme en loup garou ?? Tu comprends mieux pourquoi on doit revenir aussi vite pour les croquettes :petitmdr: En effet quel budget, tant que t'arrives a la maintenir au croquettes ça va ...
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Généralités Famille : Rubiaceae Genre : Serissa Espèce : Serissa japonica (synonyme Serissa foetida) Nom commun : Serissa, Arbre aux milles étoiles, Neige de juin Observations générales Le genre Serissa n’est composé que de 2 espèces mais vient d’une famille énorme composée de 4500 à 5000 espèces. Cet arbuste originaire de Chine est très fréquent en grandes surfaces. C’est un arbuste à feuilles persistantes ovales, vert-foncé, plutôt fines qui ont une odeur fétide quand on les froisse ou qu’on taille l’arbre (d’où le nom de l’espèce). A l’état naturel, le Serissa dépasse rarement les 80 centimètres de hauteur. Il est apprécié pour ses petites fleurs blanches en forme d’entonnoir et pour son tronc rugueux et gris qui tend à devenir plus clair avec l’âge. Un Serissa en bonne santé fleurit pratiquement toute l’année mais plus particulièrement de la fin du printemps jusqu’à l’automne. Ses fleurs apparaissent au bout des nouveaux rameaux et tombent généralement au bout de 24h. Des cultivars avec de doubles fleurs ou feuilles variées sont également disponibles. ’La Rose des neiges’ a des fleurs roses pâles et des feuilles au contour blanc. Zone climatique Zone USDA 8a, 0° à 15° en hiver. En France, on peut le laisser passer toute l’année en extérieur à condition de le placer sous abri lumineux hors gel car il a absolument besoin d’un repos hivernal. Dans ce cas, son feuillage devient un peu terne, jaune et caduc mais il repart en pleine forme au Printemps. A 20° l’hiver, il s’épuise en végétation forcée et ne vit que deux ou trois ans avant de dégénérer. L’idéal serait d’avoir une serre entre 5 et 15°C pour l’hiver et au moins 18° en été. Obtention Bouture : Très facile à propager. Bouturer en février-mars ou octobre-novembre en plaçant de petites branches (d’au moins 10 cm et diamètre juqu’à 5 mm) dans un substrat pour bouturage au chaud (serre ou bouteille en plastique) avec un peu d’hormone de bouturage. Culture Le Serissa est un arbre d’origine subtropicale. En intérieur comme en extérieur, il a donc besoin de beaucoup de lumière et d’humidité. Le Serissa n’aime ni être déplacé, ni les changements de températures brusques. L’acclimatation suivant son achat peut donc parfois être un peu difficile. Le passage de l’intérieur vers l’extérieur au printemps, un rempotage ou parfois même un simple courant d’air peuvent faire apparaitre des feuilles jaunes sur le Serissa sans que cela soit inquiétant. Paramètres généraux Difficulté : Moyenne Vitesse de croissance : Rapide Exposition : Lumineux mais pas plein soleil Ventilation : N’apprécie pas du tout les courant d’airs. Evitez de le placer près d’une porte mal isolée par exemple sinon il perdra ses feuilles. Hygrométrie : Très humide Plage de température : De 0° à 25°C Observations On pourra planter le Serissa en pleine terre pendant la saison chaude afin de favoriser l’épaississement du tronc qui autrement se fera très lentement. Soins On veillera à enlever, avec une vieille brosse à dents par exemple, la mousse qui se développe souvent sur les racines de surface ou à la base du tronc... En effet, celle-ci provoque la pourriture de l’écorce et entraîne la mort de l’arbre. Arrosage : L’arrosage doit être abondant et fréquent mais il faudra tout de même impérativement laisser sécher en surface entre 2 arrosages. Le Serissa apprécie des vaporisations régulières sauf pendant la période de floraison. Rempotage : Rempoter tous les deux ans au printemps, manipuler les racines avec précaution lors du rempotage et de la taille des racines, les racines sont très fines et fragiles comme du verre. Substrat : Le substrat comme l’eau d’arrosage doivent être de préférence neutres. Le Serissa n’apprécie pas le calcaire. Utiliser un substrat très drainant, le Serissa a horreur d’avoir les pieds dans l’eau et est sensible à pourriture des racines, qui est la cause principale de mortalité chez cette espèce. Utiliser donc de l’Akadama pur ou en mélange avec du sable grossier, de la pouzzolane ou de la pumice et limiter l’apport de matière organique au maximum à 10-15% du mélange sous forme de terreau tamisé (rejeter tout ce qui passe à travers un tamis de 2mm). Il ne faut pas oublier non plus que le choix du substrat dépend aussi de l’étape de culture et de la région dans laquelle l’arbre est cultivé. Pour les débutants, un substrat composé à 100 % d’akadama sera parfait, le temps d’en apprendre un peu plus. Fertilisation : Le Serissa a absolument besoin d’une fertilisation très régulière pour fleurir. Sur fin Février et Mars, NPK 7-5-5 ou approchant puis d’Avril à l’autome NPK 3-5-7 ou approchant. En été, tous le 15 jours. Une fois par mois en hiver + oligo-éléments dont fer une fois par trimestre. On peut également utiliser un engrais organique. Taille : Tailler au printemps quand de nouvelles pousses se sont développées à plusieurs noeuds. Laissez au moins 4-5 feuilles. La croissance de l’arbre est rapide sauf pour son tronc qui s’épaissit lentement. Ne plus tailler ensuite car les fleurs apparaissent au bout des rameaux de l’année. Sur un arbre en bonne santé, on pourra rabattre tout l’arbre jusqu’au bois pour obtenir une forme plus compacte lors de la repousse. Dans les régions ou l’hiver est doux, on pourra également tailler après la floraison en automne. La formation constante de bourgeons à la base du tronc constitue une des caractéristiques du Serissa. Ce sont des gourmands, mieux vaut les enlever pour ne pas épuiser l’arbre. Ligature : Le serissa doit être manipulé délicatement lors des ligatures et rempotages car son bois et ses racines sont très cassants et son écorce fragile. On pourra le protéger avec du raphia et ne pas laisser les ligatures trop longtemps pour éviter les marques. On peut l’assoiffer prudemment quelques jours avant ces opérations pour attendrir son bois. Phytosanitaire Son feuillage est fin et donc sensible. Eviter les traitements et s’ils deviennent indispensables préférer les produits naturels : Rotenone hors soleil, contre les insectes, fongicides en arrosage au sol plutôt que sur les feuilles. La chute ou le jaunissement des feuilles peut etre dûe soit au manque de lumière, aux courants d’air, aux changements d’emplacement ou au manque d’humidité ambiante. Le Serissa peut être affecté par la pourriture des racines et le mildiou. Il est peu sensible aux insectes grâce à sa sève malodorante, il peut tout de même être victime de l’araignée rouge lorsque l’atmosphère de la maison est trop sèche. Dans ce cas, on vaporisera pour faire fuir l’araignée rouge. Les cochenilles sont aussi à surveiller. Pour de plus amples renseignements, se reporter à la rubrique Mon arbre est malade. Esthétique Styles : Le Serissa se prête à tous les styles, sauf peut-être à la forme à tronc droit en balai. Des questions ??
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