La Chine

Résultats des mutations très bientôt ... A défaut, ce sera reporté à mai ou au plus tard à la fin de 2015. Et si c'est ce coup-ci, vogue la galère : moins d'un mois pour trouver le lieu où vivre avec au moins un gros volume à déménager. Parce que sauf impossibilité absolue, j'emmène bien sûr mes vieux compagnons à écailles (les jeunes aussi ), qui auront probablement droit à une mise en pension momentanée (merci à la solidarité jamais mise en défaut des lozériens). En attendant, voici ce que sont devenus les jeunes, non vendus ou donnés, de deux dernières saisons. Les deux femelles du printemps 2013. Idaho Cette petite là ... Maintenant. Iggy Avant. Aujourd'hui. URL=http://www.casimages.com/img.php?i=14111105445512740912696353.jpg][/URL] Et 5 de plus de la saison 2014 (cette année- là, une majorité de mâles). Né en janvier 2014, Jimmy (M). Reconnaissable à l'esquisse de la bosse. Toujours un poisson d'hiver (naissance en février), Jin (M), le pas pressé de changer de couleur du lot. Le dernier de l'hiver (février), Jemma (la seule madame de l'année). Et les deux plus jeunes (M) de cet été Junipérus (mai 2014) Enfin, Jumbo (juillet 20014)

Des nouvelles ?

Ils ont tout pour être à leur aise et te donner l'occasion d'observer les particularités de leur comportement, ces petits dragons aquatiques !

Ton bac, plantes et animaux, est une réussite : pas si facile dans de petits volumes. Tu as combien de cory ? Ce qui ne gâche rien, c'est qu'en plus les photos sont, maintenant, elles aussi à la hauteur. Le nymphéa lotus, futur rouge (?), pour le moment bien jaune (ce qui est joli aussi dans tout ce vert). Je ne me souviens pas d'une telle couleur pour les miens à l'achat. Wait and see...

Dommage que l'élevage par les parents tourne si court. Mais, il t'en reste encore un bon paquet à voir grandir.

Jolie réussite, surtout quand on reprend l'historique agité à l'arrivée de tes premiers spécimens.

J'ai toujours eu l'impression d'avoir peu d'oeufs lors de la repro des panda, mais, comme tu le signales, c'est aussi qu'ils pondent un peu partout. Merci pour tes précisions sur le comportement des concolor en période de frai. J'aime bien leur aspect trapu

Bonjour Nicole, Comment ça se passe avec les pontes des panda... Tu as beaucoup de petits ou bien moins qu'avec les aenus ? Et les concolor (jolis !!!), qu'as tu remarqué de particulier les concernant ?

Bon, la relève ne semble pas en danger Toujours une couvée mixte, une semaine plus tard ?

Cela ne doit pas être facile de se séparer de ce petit bijou... Bonne chance pour la suite.

Superbes les parents passés dans le 450 litres. Les survivants du poubellarium aussi ! Tu as contrôlé les paramètres du poubellarium (hors température) ou laissé les choses se dérouler sans intervention aucune ?

Te voilà vacciné contre les retraits non contrôlés de racines ou autres éléments de décor. Encore que ... même en le sachant, on est parfois incrédule devant la capacité de certains poissons à se cacher là où l'on ne penserait pas que ce soit possible. Expérience vécue avec des corydoras et des botias (à l'intérieur de creux inaccessibles à la main), ne reste plus qu'à conserver momentanément le décor retiré à proximité de l'aqua et sans possibilité d'échappement du poisson sous un meuble quand il manquera d'oxygène... Pas toujours facile et stressant (du coup, j'élimine maintenant les décors à risques). Hors ton ancienne, tu as d'autres femelles bientôt en âge de se reproduire ? Assez étrange, cette affaire de nid abritant à la fois les oeufs d'une nouvelle couvée et de précédents alevins... Tu nous diras si cela dure ou si les précédents sont bientôt expulsés (risque de prédation de leur part ?).

Je ne connaissais pas non plus, mais ça promet. Très bonne idée que d'exploiter au maximum les verticales du décor de cette façon pour t'adapter aux dimensions de ton terrarium.

Vu leur propension à se reproduire, ça paraît logique que les parents se permettent de s'en désintéresser assez facilement et même d'en croquer. Si c'est bien également le cas en milieu naturel, survivent les plus malins et/ ou les plus chanceux.

C'est super si tu parviens à élever bientôt des F2. Tout cela à l'air d'aller vite. A quel âge tu as pu les sexer de manière certaine et quel âge exactement pour ton nouveau couple ?

Pas de veine. Les trous dans la tête ne sont malheureusement que le symptôme d'une ou de maladies dont ne sait pas bien identifier la cause principale. On n'est pas sûr que ce soient systématiquement ou principalement des protozoaires flagellés qui en soient à l'origine (idem du côté des bactéries qui causent néanmoins des infections secondaires) et, pour finir de compliquer le tableau, dans certains cas, on a pu associer la maladie à une infection virale. En ce sens, http://www.aqualives.com/encyclopedie-aquarium/maladie-des-trous-maladie-ligne-laterale-449 A partir de là, difficile de traiter efficacement sans savoir réellement ce que l'on combat. Tu ne nous en dis pas assez sur les autres symptômes associés (assombrissement, selles en filaments blanchâtres?) et sur les conditions de maintenance (eau exclusivement osmosée ?, nourriture trop carnée et pas assez végétale ? ...). Je n'ai pas d'expérience en la matière (souvent liée aux cichlidés) mais je constate qu'il y a trois courants d'opinions chez ceux qui proposent des traitements (ce qui exclut d'office les cas impliquant virus ou mycobactérium pour lesquels il n'y a rien que nous puissions faire) : ceux qui traitent la maladie en l'imputant à des parasites flagellés (dont le rôle intervient dans certains cas seulement et pas forcément dès l'origine), ceux qui considèrent que le problème tient à une mauvaise fixation du calcium et de la vitamine D (éventuellement liée à l'usage exclusif d'eau osmosée par ex) et ceux qui associent les deux, la présence de flagellés dans l'intestin entraînant le déficit d'absorption. Les tenants du 1 proposent de traiter au métronidazole, éventuellement couplé à un antibactérien à large spectre type nifurpirinol. Je déconseille l'usage du flagyl, médoc à usage humain qui ne contient pas que la molécule originale : on peut commander du métronadizole chez véto fish qui fournit les indications exactes d'emploi selon le but recherché. Cette substance est utilisée comme antiparasitaire mais est en fait aussi un antibio. N'ayant aucune expertise sur le sujet, je ne sais pas si on peut poser des équivalences ou des comparaisons d'efficacité avec le flagellol ou le fluvermal qui relèvent de la même approche. Du coté du 2, on propose de traiter l'eau et ou la nourriture pour agir sur l'apport de calcium et de vitamine D. Par exemple : http://www.infodiscus.com/discus/spip.php?article34 (& hexamitose), ou encore http://www.bien-debuter-aquario.com/t3479-fiche-la-maladie-des-trous Je pense que je tenterais à ta place cette seconde voie avant d'en arriver en dernier recours au traitement à la métronadizole. Comme les autres, bon courage pour la suite.

Dans l'ordre, je dirais hygrophile, anubia, ludwigia repens et cabomba. Je crois que tu la sais déjà, mais tes chromobotia macracantha (les poissons zébrés oranges et noirs) sont une aussi mauvaise idée dans ton bac que les poissons rouges dans la fameuse boule.

Tu as bien fait avec ton allée et cette bonne taille : cela met ton bac en valeur.

Joli spectacle ! Les poissons ressemblent un peu à des fleurs supplémentaires au milieu de la végétation, les asiatiques ont d'ailleurs élevés ces variétés faites pour le bassin dans cette idée. Sushi, sans être encore un modèle de finesse, paraît déjà plus en forme. Il faudrait que l'été se prolonge un peu maintenant pour compenser un très mauvais démarrage.

Merci à vous Luc, sauf coup dur me contraignant à changer mes projets, j'espère bien pouvoir longtemps encore continuer de maintenir mes mini-baleines, histoire de parvenir à quelques idées claires les concernant (durée de vie moyenne, taille effectivement atteinte, robustesse de la variété). Il me semble déjà à ce stade, mais je n'ai pas encore assez de recul, que la fragilité de mes premiers sujets issus du commerce tenait vraisemblablement plus aux conditions d'élevage de ces poissons qu'à un problème inhérent à la sélection de cette variété, les descendants semblant autrement plus costauds. Ceci dit, si ce sont des poissons qui supportent des paramètres physico-chimiques larges, ils semblent stresser facilement et tomber tout aussi facilement malades quand on contrarie certains besoins comportementaux (vivre en groupe avec suffisamment d'espace pour nager et trouver de quoi s'occuper en cherchant partout quoi grignoter l'essentiel du jour et disposer la nuit de coins tranquilles où se poser sans être dérangés par des cohabitants inopportuns). Roland, l'idée que les poissons rouges ravageraient systématiquement les bacs plantés est largement fausse : ce qui est vrai, c'est qu'il existe un petit nombre de plantes qui, pour eux, s'assimilent définitivement à des friandises qu'il est très conseillé de leur sacrifier régulièrement, non seulement parce cela colle avec leur régime alimentaire mais surtout parce qu'ils en besoin pour ne pas s'ennuyer, autant que de la présence de congénères. Le must en la matière, ce sont les lentilles d'eau, mais ils aiment bien aussi les élodées, la cérato, les racines de pistia et j'en passe. Il faut dire aussi qu'ils raffolent, dans autre registre, de la traque aux petits escargots, ce qui fait que je n'en ai jamais bien longtemps dans leur bac. Du coup avec une part de végétal dans leur alimentation (on peut aussi donner des légumes pochés), ils ne touchent pas à une grosse majorité de plantes (cryptocorynes, aponogetons sauf ulvaceus, la bien-nommée laitue d'eau, echinodrus, hygrophiles, nympheas, nuphars, vallisnerias, etc). Enfin, ceci sous réserve qu'ils trouvent assez d'espace et d'interactions possibles avec leurs congénères pour ne pas s'ennuyer et se venger sur la nourriture, un peu comme d'autres avec le chocolat … Réaction atavique partagée plutôt que lecture anthropomorphique, toujours est-il que chaque fois que je dois, lors de déménagements, les recaser momentanément dans des bacs inadaptés à leur nombre, ils démontrent être capables de boulotter toutes espèces de plantes qui ne les intéressent pas en temps ordinaire. Mais bon, le vrai challenge avec ces poissons en bac planté, c'est de se tenir à l'entretien que cela demande parce qu'une pollution inacceptable pour la croissance des plantes (mais évidemment pas pour celle des algues ) arrive très vite.

Nouvelle série de prises de vue rapprochées. C'est contourner la difficulté (bien plus facile d'éliminer le flou en centrant sur un seul) et profiter du fait qu'à l'heure des repas, ils viennent se coller à la vitre vérifier ce qui se passe de l'autre côté (d'ailleurs, ils sont grassouillets).

Merci à vous deux. Ce bac est mon jardin d'intérieur et, bien sûr, l'espace de jeu des PR. On s'attache beaucoup à ces poissons familiers qui vous accompagnent au fil des ans.

Eh bien, la floraison n'a pas duré longtemps et, comme je m'y attendais, le nymphéa, après avoir atteint la surface, a décidé d'y expédier toutes ses feuilles... J'ai donc sévèrement coupé pour le contraindre à se re-développer à son pied (ce qui a l'air de marcher). Ce coin droit du bac n'étant pas le plus plus esthétique actuellement, quelques photos de la semaine dernière prises à partir du coté gauche. Cela se développe enfin très bien depuis que j'utilise en combiné bio-vert et easy carbo. Les nuphars, les grandes cryptocorynes et les hygrophiles ont déjà beaucoup poussé en 8 jours, ce sera pour la prochaine fois.

Cela te fait de la diversité niveau couleurs. J'adore aussi les trois photos du 9 au matin avec les reflets

Sacrée marmaille, l'effet-masse étant accentué par leur parfaite ressemblance à ce stade.