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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
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900 singes sauvés in extremis
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
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Une asso qui viens en aide aux animaux en Ontario auite....
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Annonces
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Ceux qui se trouvent en arrière de la première rangée n'ont aucune vue, à part la niche de plastique qui est en face d'eux ! ... Et si vous regardez bien, vous remarquerez qu'il y a sur chaque niche, une fenêtre qui pourrait être ouverte, mais elles sont toutes fermées ! Je trouve que c'est encore plus cruel que d'attacher un chien à une chaîne près de sa niche (lorsqu'il en a une) !!!
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Il y avait une ferme délabrée de dimension moyenne à l'arrière de ces niches. Juse à côté de ces niches, se trouvait une maison familiale. Je présume que les vaches étaient gardées dans l'étable et on avait placé leurs veaux pour l'engraissement, près de la maison. Quant aux oies mortes (ou peut-être des canards Mulards (?) élevés pour le foie gras), il s'agissait d'une petite ferme mal entretenue... À côté du hangar dans lequel étaient gardés ces oiseaux, se trouvait également une fosse à purin, donc ils faisaient également l'élevage de cochons. Oui hop c'est tout-à-fait ça ! J'ai fait une recherche ce matin et j'ai trouvé ce genre de niche dont on fait l'éloge. Elles se vendent aussi en Europe !
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Bonjour les filles, Aujourd'hui, nous sommes allés dans le bout de Acton Vale et de Whickham, dans les terres, derrière des fermes: ça se trouve à environ 40 kilomètres de St-Hyacynthe et à environ 30 kilomètres de Drummondville. L'horreur était encore au rendez-vous comme en font foi ces photos prises aujourd'hui... Il y avait une puenteur terrible sur cette route. Une odeur forte de purin et de pourriture à m'en donner mal au coeur. À l'arrière de cette ferme (sur le 11ième rang près de Saint-Théodore d'Acton), j'ai vu un gros conteneur à déchets. De loin, on aurait dit qu'il était rempli de sacs de plastique. Mais en m'approchant de plus près, j'ai constaté qu'il était rempli d'oies mortes. Cet éleveur fait visiblement l'élevage d'oies mais aussi de cochons. En revenant sur la même route, en fin de journée, une brouette remplie d'oies mortes avait été rajoutée derrière cette même ferme. La brouette de plus près. Nous avons été sur l'autoroute pour tenter de trouver le nom de cette ferme, mais il n'y en avait pas. Me voici en face d'une énorme fosse à purin. Il y a des fermes porcines gigantesques tout le long de cette route On pouvait entendre les cris stridents de milliers de cochons prisonniers à l'intérieur de cette ferme porcine, pourtant complètement fermée (sans aucune fenêtre). L'odeur de purin était suffocante. Une ferme identique se trouvait à ma droite, en face de l'autre... Sur le bord de l'autoroute 116 (à Upton, à 5 kilomètres environ d'Acton Vale), quelle ne fut pas ma surprise de voir des rangées de dizaines de boîtes de plastique allignées les unes-à-côté des autres. De loin, on aurait dit des ballots de foin recouverts de plastique blanc comme on en voit beaucoup ailleurs à l'arrière des fermes, mais il s'agissait de pauvres petits veaux enfermés chacun dans une boîte de plastique. Attachés, ils ne pouvaient pas sortir de leur caisson. Quelle tristesse ! J'avais les larmes aux yeux lorsque j'ai prise ces photos Les caissons sont en plein soleil, sans aucun arbre pour les protéger de la chaleur... p.s.: Si nous utilisons éventuellement ces photos pour notre site ou notre bulletin, nous mettrons un copyright dessus.... Avec celle de la vache morte, on aura de belles «images» pour parler de nos «belles fermes du Québec »!
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En cherchant une info sur la levure alimentaire, je suis tombée sur cette petite recette pratique ... + info intéressante concernant la levure alimentaire .... ---------------------------------------------------------------- Poudre pour bouillon végétalien à saveur de poulet 1½ t. Flocons de levure alimentaire Red Star 3 c. à table Sel 1 c. à table Poudre d’oignon 1 c. à table Paprika 2 c. à thé Poudre d’ail 1 c. à thé Flocons de persil séché ½ c. à thé Curcuma ¼ c. à thé Thym séché ¼ c. à thé Marjolaine séchée ¼ c. à thé Feuilles d’aneth séchées ¼ c. à thé Poivre Combiner tous les ingrédients. Idéalement, passer au mélangeur ou au robot culinaire pour réduire en poudre fine uniforme. Se conserve assez longtemps à la température de la pièce, dans un contenant hermétique. Donne environ 2 t. de mélange si non réduit en poudre ou environ 1¼ t. si réduit en poudre. Pour faire le bouillon : pour chaque tasse d’eau, ajouter 2 c. à thé de mélange non-moulu (ou 1½ c. à thé si réduit en poudre), ou plus ou moins au goût. Dans mes recettes sur ce blogue, je donne toujours les proportions pour la poudre non-moulue. Le mélange peut aussi être utilisé comme assaisonnement en poudre. Valeur nutritive pour 1 c. à thé de mélange réduit en poudre : 9 calories, 2g protéines, 0g lipides, 1g glucides, 2 mg calcium, 321 mg sodium. Traduit et adapté de : STEPANIAK, Joanne. 2003. “All-Season Blend”, p. 52 in The Ultimate Uncheese Cookbook: Delicious Dairy-Free Cheeses and Classic “Uncheese” Dishes, Book Publishing Company, Summertown, Tennessee, 191 p. (contient un index), et présenté ici avec leur aimable autorisation. Le blog http://estomac.blogspot.com/2006/04/la-levure-alimentaire.html
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Thursday » June 28 » 2007 Bear meets its match in 87-year-old woman Long story short: 'I thought he was dead ... Then he moved, so I shot him in the head' KEN MEANEY CanWest News Service Thursday, June 28, 2007 When she suspected a bear was coming around her cabin, Cecilia Smith did what any 87-year-old woman would do: the Hawke's Bay, N.L., hunter set a trap that snared the 200-kilogram animal. Smith then shot the beast, climbed a tree and rigged a pulley system to load it onto a pickup. "When I saw him (Tuesday) I said: 'My God, is that a bear?' ... I thought he was dead first so I went to take the snare off him. Then he moved, so I shot him in the head," Smith said. "You can't play with a bear." That was the easy part. The trouble came when she and her husband, Roland, 81, tried to load the huge animal onto their pickup truck. She joked that the two of them took the bear by the paws and swung it onto the truck, but in reality, it was far too heavy to lift. She said they put a rope on the animal, then she climbed three or four metres up a spruce tree and rigged a hoist. "I went up in the tree and hooked the rope around some limbs, and then hauled the bear up about three or four feet. Then (Roland) backed the truck under it and I lowered it down into the truck," she said. It was not immediately clear if the kill broke any wildlife regulations. The Newfoundland Department of Natural Resources was looking into the matter. But Smith stressed the animal was a threat to anyone who might have run across it in the isolated cabin area 20 kilometres back in the woods near Hawke's Bay on Newfoundland's Northern Peninsula. "I had a licence to catch a bear, a licence to trap a bear, or shoot a bear. Whatever I wanted to do," she said. "So I set a snare for him. And when I went back, he was in the snare. So I shot him." After that, she and her husband took the animal to Hawke's Bay and showed it off. "They couldn't believe I shot him," she said. "I suppose if I just said I shot him, no one would believe me." The bear was disposed of in the town dump. Smith said it was an old animal. Its teeth were worn down and the fur was patchy. She said she wouldn't eat it. "Why would I do that in the spring when he's got no meat on him? You'd do that in the fall." Smith, who's been hunting all her life, said she first went into the woods with her father. "You had to hunt in them days, or there was nothing to eat. Now I trap foxes, coyotes, beavers, whatever there is. I get a moose licence, too, and caribou," she said. "What else am I going to do? Not sit down and watch TV all day," she said. "Hard work don't kill you. I worked hard all my life. I worked hard in sawmills, lumber yards. I was a carpenter for 36 years." It's not her first bear - she shot that one as a teenager - and it might not be her last, either. Her husband says there's another bear hanging around the cabin. "We want to get him, too. He's a torment," Roland said. Deux vieux fous !!!!!!!!!!! The Gazette (Montreal) 2007
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Tuesday » July 3 » 2007 Halal Sizzles A booming market for food that meets Muslim dietary requirements has more and more meat processors converting to halal ALLISON LAMPERT The Gazette Saturday, June 30, 2007 CREDIT: MARIE-FRANCE COALLIER, THE GAZETTE Badran Mohamad, sharpening his knife before cutting beef at Viandes en Gros Metropolitain, a joint venture company that slaughters, processes and wholesales halal meat. In 2001, Ecolait Ltd. converted a small part of its veal production to halal, after hearing about a booming demand for meat in the Middle East. At the time, the St. Hyacinthe veal company saw potential in several Arab countries, which were refusing to import European meats because of incidents of mad cow disease. "In North America, consumption of veal was somewhat limited," recalled Arthur Batista, Ecolait's director of sales and marketing. "Our strategy was to go into the international market." So Ecolait - North America's largest veal company with annual revenues of $200 million - began slaughtering 300 head a week according to Muslim religious standards, or halal. In less than two years, Ecolait was selling 80 per cent of the veal consumed in Saudi Arabia. While in Quebec, Muslims' dietary requirements have triggered headlines this year in the reasonable accommodation debate, booming demand for halal food is sparking global interest among wholesalers and retailers alike. According to a 2006 report by Agriculture and Agri-food Canada, the Canadian halal food market is estimated at $214 million a year and growing - the country's Muslim population is expected to surpass one million by the end of the decade, up from 579,000 in the 2001 census. And Canada has a small fraction of the global market for halal products, which was estimated at $560 billion U.S., according to research presented at the 2007 World Halal Forum, an industry conference. For a food to be halal, which means lawful, or permitted, in Arabic, it cannot come into contact with swine or alcohol, among other rules. These requirements make halal foods - especially meats and poultry - slightly more expensive to produce, but customers are willing to pay the added cost, Batista said. As a result, Ecolait has converted nearly its entire 100,000-head-a-year production to halal, with the exception of a small line of kosher veal. Like halal, kosher food - which complies with the more complex Jewish religious requirements - is in high demand. But while kosher has long been in the mainstream, halal products - which include everything from yogurt to bottled water to beef - are just now shifting from the specialty shops to supermarkets and even Wal-Mart stores en masse. Canadian companies are taking advantage of the trend; for example, Ontario-based Maple Lodge Farms - the nation's largest poultry producer - has a line of halal products. But this rapid shift from the butcher shop to the local Wal-Mart is raising tough questions over the norms used in large-scale halal meat and poultry plants: with no uniform standards, slaughtering guidelines can vary from factory to factory, depending on the religious certifying body. Halal meat is being hailed as a way to open new markets to an industry still reeling from the mad cow scare. According to Statistics Canada, the industry has lost $9 billion in cash receipts since Canadian beef exports were banned in 2003 after the discovery of an Alberta cow with bovine spongiform encephalopathy. With 90 per cent of Canadian beef exports destined for the U.S. market, the cattle industry had no real alternatives during the crisis. "We saw the result of mad cow. Our goal is to have these companies diversify their exports," said Nawal Ben-Zaid, an analyst with Agriculture and Agri-Food Canada's Quebec division. "Halal certification is a way to help send our products to other countries." To inform companies about demand for halal, the agency is planning a one-day conference on the products in Quebec this fall, following a similar event held in Toronto last month. "It's important that the food-producing community realizes that the opportunity is there," said Richard Seguin, deputy director of Agriculture and Agri-Food Canada's regional office in Ontario. "Halal is still a niche market, but it's an important niche. It's one we can access, and it's growing." It's working for Ecolait. Today, Ecolait sells about 40 per cent of its products in Canada and another 45 per cent to U.S. customers. The remaining 15 per cent of its veal is destined for markets abroad, and sales director Batista wants to increase that proportion. The goal is to decrease his company's dependency on exports to the U.S. Relying on the u.s. market was what decimated Ecolait's sales during the mad cow crisis. "I think the whole meat industry relied on the States," Batista said. "The BSE scare is not something we want to go through ever again. But it was a good learning experience. "It gave us a good kick in the rear." Currently, about 15 per cent of cows and 32 per cent of calves slaughtered in Canada's federally inspected abattoirs are slain according to Islamic rules. About 12 of the 36 abattoirs licensed by the Canadian Food Inspection Agency for halal slaughter are in Quebec. That's up from eight licensed facilities last summer. Quebec's halal market has grown considerably from when Hussein Hoballah began selling halal cold cuts in the early 1990s. At the time, Hoballah recalls, Muslim customers were so unaccustomed to seeing halal cold cuts that they doubted the meats were really halal. Now Hoballah and partners jointly own Viandes en gros Metropolitain, a halal meat and chicken processing company that does about $5 million annually in gross sales. They supply packaged food to Montreal restaurants and specialty stores like Marche Adonis. Despite receiving requests from potential clients abroad, Hoballah and his partners say they don't have the facilities to handle any additional demand. Similarly, David Muller, CEO of Cambridge, Ont.'s Al-Safa Halal, said he's too busy trying to find more Muslim slaughterhouse workers just to meet demand for the company's poultry, meat and vegetarian products in North America. About 80 per cent of Al-Safa's food is exported to the United States. "There are 8 million Muslims in North America and they're clamouring for food," he said. "We have a long, long way to go here - long before we would consider going overseas." The Gazette (Montreal) 2007 Copyright 2007 CanWest Interactive, a division of CanWest MediaWorks Publications, Inc.. All rights reserved.
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In dogged pursuit of relief for tied-up canines Woman chains herself to pole for 13 hours to protest treatment of dogs Gerry Bellett, Vancouver Sun Published: Saturday, June 30, 2007 It's been a busy week in the zany world of doggy politics. It opened with news of vigilante dog snatchers targeting allegedly irresponsible dog owners across the Lower Mainland and ended with Marion Hewko standing with a chain around her neck at a busy Chilliwack intersection. Hewko described her Friday vigil -- chained for 13 hours to a post at the intersection of Lickman Road and Luckakuck Way under the Maple Leaf and the banner Dogs Deserve Better -- as an act of solidarity with abused and chained dogs everywhere. It bemused many passing motorists, as the intersection is a busy local route and lies close to a turnoff from Highway 1. "Some people give me the thumbs-up. Some others looked disgusted, but they're probably the guilty ones who keep their dogs tied up. I just hope they go away and think about it," Hewko said seven hours into her protest, which began at 5 a.m. and was planned to last until 6 p.m. "If just one dog is untied and treated properly because of this, it's worth it," she said. B.C. is chock-a-block with advocacy groups, societies and organizations concerned with the welfare of dogs. Now there's apparently a direct action gang whose members brazenly pose as animal welfare officials as they steal supposedly abused animals. On Monday, a man and a woman drove up to a Burnaby home and presented phony papers to the owners of Tommy, an American Labrador puppy, before snatching the dog. While guerrilla tactics appeal to some in the dog welfare movement, Hewko has no time for them. "I really want to stress that we don't believe in stealing dogs. Hell, no, that's wrong," she said at the end of a 30-foot tether. Hewko organized the B.C. and national branches of Dogs Deserve Better in January, after searching for a way to better the lot of man's oldest companion. The organization was founded in the U.S. to end the suffering endured by dogs kept on chains or penned for life. This weekend marks the beginning of the society's annual "chain-off" week, when members will chain themselves to doghouses across the U.S. to make their point. "I just love dogs, but it used to irk me seeing people with dogs loose in the back of pickup trucks in real danger of getting hurt and seeing dogs tied up," said Hewko, who works for the Chilliwack Society for Community Living. By noon Friday, she was hungry and cold -- and bored. "Now I know just how a dog feels being tied up like this. They get bored and they will get angry. I got myself tangled up with the post just moving around but I could undo it. A dog who gets caught around a tree can't. "Dogs are social animals who want to belong to a pack. "Keeping them alone, ostracizing them from family and friends, that's just cruel," she said. Most municipalities have bylaws forbidding the chaining of dogs, but Hewko says many people living in the rural areas of the Fraser Valley don't care. "You can drive by farms and see dogs chained up all the time or kept in pens. You'll find German shepherds kept chained in the yard outside and a little Chihuahua kept inside as a pet. Why is that? I just hope people will think about what they are doing and stop abusing their animals." The group raises money -- not huge amounts, she admits, but enough to help with rescue work. A donations jar by her side only had $5 in it by noon. "That was from a co-worker," Hewko admitted. "But I did take pledges and so far I've raised $140." While Hewko tried to stay comfortable for 13 hours with a chain round her neck, her own pet, Maggie, a two-year-old golden Labrador, was at home in comfort. "She's probably asleep on my bed," she said. gbellett@... C The Vancouver Sun 2007
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Des bateaux de croisière souillent les eaux du St-Laurent
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Environnement
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Des bateaux de croisière souillent les eaux du St-Laurent
Animal a posté un sujet dans Environnement
Le jeudi 05 juillet 2007 Des bateaux de croisière souillent les eaux du fleuve Le tout se retrouve dans les eaux du fleuve lorsqu'on tire la chaîne des toilettes sur les bateaux de croisière. Photothèque La Presse Presse canadienne Montréal Les rejets humains de centaines de milliers de passagers qui montent à bord de bateaux de croisière du Vieux-Port de Montréal se retrouvent dans le fleuve Saint-Laurent. C'est ce que révèle une enquête du Journal de Montréal, avec photo à l'appui. Il n'aura suffi que de quelques capsules de rodomine, un colorant végétal rouge, déposé dans les toilettes du Bateau-Mouche pour apercevoir que le tout se retrouve dans les eaux du fleuve lorsqu'on tire la chaîne. Mais cette pratique n'est pas unique au Bateau-Mouche. La situation est la même pour ceux qui utilisent les toilettes chez Croisière Évasion, qui gère le bateau de la famille Dufour, et chez Croisières AML. Leurs propriétaires reconnaissent les faits, mais se défendent en soulignant que cette pratique est légale, du moins pour l'instant. Transport Canada vient d'adopter un règlement qui obligera les bâtiments marins à se doter d'un réservoir de retenue ou d'un appareil d'épuration pour le traitement des eaux usées. Toutefois, les croisiéristes ont cinq ans, en date du 16 mai 2007, pour s'y conformer. Le Bateau-Mouche et ceux de Croisière AML embarquent entre 120 000 et 140 000 passagers par saison dans le Vieux-Port. http://www.cyberpresse.ca/article/20070705/CPSOLEIL/70705041/6584/CPSOLEIL -
Le jeudi 05 juillet 2007 La rage du raton laveur prend de l'ampleur Vingt-sept cas d'animaux atteints de la rage ont été détectés en Montérégie pour le seul mois de juin 2007, comparativement à quatre pour toute l'année 2006. «On veut stopper la progression de la rage vers les grands centres urbains», dit Pierre Canac-Marquis , du ministère des Ressources naturelles et de la Faune. photo Alain Dion Claudia Timmons La Voix de l'Est Frelighsburg La rage du raton laveur est bel et bien installée dans le sud de la Montérégie. Quelque 27 nouveaux cas de rage ont été identifiés pour le seul mois de juin, comparativement à quatre pour toute l'année 2006. Une situation jugée inquiétante par les spécialistes. C'est ce que révèlent les conclusions, dévoilées hier, de la première phase de l'Opération raton menée du 10 au 24 juin dans les régions de Saint-Armand et de Saint-Ignace-de-Stanbridge, dans la MRC de Brome-Missisquoi. Le déploiement d'une quarantaine d'équipes du ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) a permis la capture d'environ 7000 ratons laveurs, moufettes et renards. De ce nombre, près de 4500 animaux ont été vaccinés puis relâchés. Le ton monte Après la découverte du premier cas québécois de rage, l'année dernière, le MRNF et l'Agence de santé et des services sociaux de la Montérégie avaient mené une campagne de sensibilisation auprès de la population. Le ton a maintenant changé. Les spécialistes parlent maintenant d'épizootie, un synonyme d'épidémie mais appliqué aux animaux. «On ne veut pas être alarmistes, mais la rage circule en Montérégie. C'est une maladie grave qui, si elle n'est pas prévenue, entraîne la mort. Près de 600 000 personnes en meurent à travers le monde à chaque année. La population doit être très vigilante», a indiqué la Dre Jocelyne Sauvé, directrice de la santé publique de la Montérégie. La suite dans La Voix de l'Est de jeudi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070705/CPVOIXEST/707050671/-1/CPVOIXEST
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Le vendredi 06 juillet 2007 L'Opération Raton lancée dans le Val-St-François Partout à l'ouest d'une ligne tracée entre Valcourt à Stanstead, incluant la ville de Magog, les résidants sont invités à rapporter à Services Québec tout raton laveur, moufette ou renard mort. Archives La Tribune, Claude Poulin Marianne Dandurand La Tribune VALCOURT Des municipalités situées à l'est de l'Estrie, dans les MRC de Memphrémagog et du Val-Saint-François, se trouvent pour la première fois dans la zone de surveillance rehaussée de la rage du raton laveur. Partout à l'ouest d'une ligne tracée entre Valcourt à Stanstead, incluant la ville de Magog, les résidants sont invités à rapporter à Services Québec tout raton laveur, moufette ou renard mort. Même chose si un de ces animaux, un chat ou encore un chien présente un comportement suspect. "C'est par une information d'un résidant qu'on a trouvé le premier cas à Saint-Armand cette année", indique la Dre Jocelyne Sauvé, de la direction de la santé publique de la Montérégie. La découverte a mené à la mise en branle de l'Opération Raton, qui a permis de découvrir jusqu'à maintenant une trentaine de cas en Montérégie, alors que quatre avaient été rapportés l'an dernier. "Nous euthanasions tous les animaux que nous trouvons dans un rayon de 5 km de l'endroit où un animal porteur de la rage a été découvert. Dans un autre 5 km, ils sont tous vaccinés", ajoute la Dre Sauvé, précisant que mieux vaut les euthanasier que de risquer que la maladie incurable et mortelle ne soit transmise à des animaux domestiques ou aux humains. Jusqu'à maintenant, plusieurs centaines d'animaux ont été euthanasiés. Au-delà de 7000 ont été attrapés. Il s'agit de la première année où des municipalités estriennes sont visées par la surveillance de la rage du raton-laveur. Jusqu'à maintenant, aucun cas n'a été rapporté dans la région, et il semble que le foyer d'infection se situe encore à une bonne distance de l'Estrie. Vers la mi-août, des vaccins sous forme de biscuits seront largués sur les régions visées par la zone de surveillance rehaussée de la rage du raton laveur. marianne.dandurand@latribune.qc.ca MUNICIPALITÉS VISÉES PAR L'OPÉRATION SURVEILLANCE RATON EN ESTRIE Services Québec : 1 877 644-4545 MRC du Val-Saint-François Bonsecours Lawrenceville Sainte-Anne-de-la-Rochelle Valcourt Eastman Magog Ogden Orford Potton Saint-Benoît-du-Lac MRC Memphrémagog Austin Bolton-Est Saint-Étienne-de-Bolton Stanstead Stukely Sud http://www.cyberpresse.ca/article/20070706/CPTRIBUNE/707060812/-1/CPTRIBUNE
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Le vendredi 06 juillet 2007 67 mètres de brochette pour les 67 ans du président kazakh Agence France-Presse Almaty Un cuisinier du Kazakhstan a décidé de battre vendredi le record du monde de la brochette de viande la plus longue, de 67 mètres, pour les 67 ans du président Noursoultan Nazarbaïev. «En l'honneur de votre anniversaire, je voudrais préparer une brochette de mouton de cent kilos. Je compte ainsi établir le record de la brochette la plus longue au monde», écrit Jiraïr Karapetian dans une lettre citée par l'agence Interfax-Kazakhstan. http://www.cyberpresse.ca/article/20070706/CPINSOLITE/70706034
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Manifestants à poil et à cornes contre la corrida
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Le vendredi 06 juillet 2007 Manifestants à poil et à cornes contre la corrida Manifestants anti-corrida à Pampelune en Espagne. Photo AFP Agence France-Presse Pampelune Plusieurs centaines de militants anti-corrida ont défilé, dévêtus et portant des cornes de plastique, jeudi à Pampelune (nord de l'Espagne) pour protester contre le sort des taureaux durant les célèbres fêtes de la San Fermin. Ces fêtes taurines, qui démarrent vendredi et durent un peu plus d'une semaine (jusqu'au 14 juillet), sont surtout célèbres pour les lâchers de taureaux matinaux («encierros») dans les vieilles rues de cette ville, capitale de la Navarre. «Des personnes en provenance de plus de 30 pays, seulement vêtues de cornes en plastique et de foulards rouges se sont réunies à Pampelune pour défendre les taureaux», a expliqué l'association de défense des animaux PETA, organisatrice de ce rendez-vous dans un communiqué. «La vérité toute nue: la corrida c'est cruel», pouvait-on lire sur une des banderoles déployées par des militants de PETA (People for the Ethical Treatment of Animals) qui ont défilé dans les rues de Pampelune en sous-vêtements. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070706/CPINSOLITE/70706018/-1/CPINSOLITE -
Allo les filles, Aujourd'hui j'ai fait un autre 40 kilomètres: cette fois de Farnham à Granby, sur une route de gravier où il n'y a que des porcheries et des fermes de vaches laitières ... Il y en a à perte de vue et ça sent fort le purin! PORCHERIE-REGARDEZ-MOI LA LONGUEUR DE CELLE-CI- IL DOIT Y AVOIR PLUSIEURS MILLIERS DE COCHONS À L'INTÉRIEUR PORCHERIE- En arrivant au bout d'un rang, derrière une ferme laitière + une porcherie, j'ai vu une pauvre vache par terre. Plusieurs heures plus tard, en revenant de mon parcours, la vache morte était toujours au même endroit et je voyais d'autres vaches à l'intérieur du bâtiment qui la regardaient. Comme nous avons été pris dans un gros orage et qu'il s'est mis à pleuvoir à verse, je n'ai malheureusement pas pu prendre d'autres photos, mais celle-là prouve bien que des vaches laitières meurent dans ces bâtiments et qu'elles sont «jetées» à l'arrière de la ferme comme des déchets ! Je n'ai pas vu une seule vache brouter l'herbe fraîche dans les champs. Elles sont toutes enfermées... comme ces milliers de cochons d'ailleurs, emprisonnés dans ces gigantesques porcheries ! En gros plan Derrière la petite barrière de métal, à l'intérieur, se trouvaient d'autres vaches (vous pouvez les voir). Elles regardaient la vache morte !
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Comme je me suis remise à faire du vélo (dans l'espoir de perdre quelques kilos (?) et pour me remettre un peu en forme), je passe moins de temps devant mon écran.... En 3 jours, j'ai parcouru un peu plus de 140 kilomètres. Il fait frais ces jours-ci et c'est plaisant de se promener dans les bois, loin du bruit et de la pollution. Seuls inconvénients pour le moment: J'ai mal aux genoux, aux épaules et aux fesses ! À la fin de mon parcours aujourd'hui, je suis arrivée vers un parc où se trouvaient dans un immense enclos, 2 adorables petites chevrettes à poils très longs et 5 brebis et un mouton. Ils avaient beaucoup d'espace, beaucoup de fleurs hautes et diverses à machouiller, de grands arbres feuillus et abris pour se cacher du soleil/pluie et de grands seaux remplis d'eau. Je présume qu'ils appartiennent à un éleveur du coin mais je n'ai vu aucune ferme à proximité. En tous les cas, ils ne semblaient heureusement pas maltraités ! J'espère que vous allez vous bien toutes les deux !