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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
Exactement, c'est révoltant de voir à quel point ils ont été avares de questions ! Ce vétérinaire de l'Agence canadienne d'inspection des aliments devrait également être mis à la porte, à coups de pieds au c.. ! Personne n'a parlé non plus de l'insalubrité des lieux, des cages, etc.. ni de la façon sordide dont les employés gavaient ces pauvres animaux -
Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
Emmanuel Nassans soutient que c'est tolérance zéro concernant la cruauté envers les animaux dans son entreprise.En vidéo, regardez le point de presse du directeur général des Élevages Périgord. Voir le reportage http://lcn.canoe.com/ Mise à jour: 11/07/2007 18h14 Le d-g des Élevages Périgord, Emmanuel Nassans LCN Maltraitance aux Élevages Périgord Le d-g avoue que certaines images ont été tournées dans son entreprise Le directeur général d'Élevages Périgord, Emmanuel Nassans, a rencontré la presse, en début de soirée mercredi, afin de réagir aux accusations de cruauté animale portées par Réseau action globale, un groupe de défense des animaux. M. Nassans trouve inacceptables les images qu'il a vues sur la vidéo diffusée par Réseau action globale, où des canards sont malmenés, frappés à coups de pied et égorgés. D’une part, il ne nie pas que certaines images ont été tournées aux Élevages Périgord, mais d’autre part, il ne confirme pas que toutes les images ont été tournées dans son entreprise. Le directeur général a annoncé que l’employé d’Élevages Périgord identifié sur la vidéo avait déjà été suspendu, et qu'une enquête interne était menée. M. Nassans soutient que c'est tolérance zéro concernant la cruauté envers les animaux dans son entreprise, et il affirme prôner la santé et le bien-être de ses volailles. Élevages Périgord, situé à Saint-Louis-de-Gonzague près de Valleyfield, emploie une cinquantaine d'emplde personnes. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/07/20070711-181410.html -
Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
Le propriétaire d'Élevage Périgord, Emmanuel Nassans, n'a pas pu nier qu'il s'agisssait bien de son élevage. Il dit qu'il a congédié une personne. Il parlait comme s'il ne s'agissait que d'une seule personne qui aurait perpétré ces actes de cruauté, alors qu'on voyait en même temps qu'il faisait sa conférence, des images démontrant le contraire ! Les journalistes se sont faits plutôt avares de questions ! Bref, on peut affirmer maintenant qu'Élevage Périgord est effectivement dans l'embarras ! p.s.: Beaucoup de petits élevages travaillent pour Élevage Périgord et autres méga-élevages (les sous-traitants)... Ça ne doit pas être beau à voir ce qui se passe là-dedans ! -
Le mercredi 20 juin 2007 Allégations de violence dans des fermes du Québec Des travailleurs mexicains dans un champ. Photo André Pichette, La Presse André Noël La Presse Environ 4500 ouvriers mexicains et guatémaltèques travaillent dans des fermes du Québec cet été. Ils viennent ici en vertu d'un programme géré par Ressources humaines et Développement social Canada. Des cas de violence sont signalés. Fait étonnant : le gouvernement fédéral n'enquête pas. Il laisse des gouvernements étrangers agir à sa place contre des employeurs canadiens en sol canadien, en les maintenant dans le programme ou en les suspendant. Cette passivité a été dénoncée par une commission d'enquête. Des ouvriers agricoles mexicains et guatémaltèques affirment que des fermiers québécois se sont montrés violents l'été dernier, les abreuvant d'injures, frappant l'un avec un tuyau, menaçant un autre avec un couteau. Responsable du programme d'embauche, le gouvernement canadien a été mis au courant mais n'a fait aucune enquête indépendante. Les allégations de ces travailleurs sont démenties par leurs patrons et en partie mises en doute par les consulats du Mexique et du Guatemala à Montréal. Une lettre d'un fonctionnaire fédéral, des déclarations signées et des entrevues réalisées par La Presse au Québec et au Guatemala laissent cependant penser qu'elles ne sont pas dénuées de tout fondement. D'autres incidents sont survenus. La semaine dernière, une Canadienne d'origine mexicaine, Maria Guardado, a été bousculée et menacée par un producteur maraîcher, en Montérégie, parce qu'elle le prenait en photo en train de transporter des ouvriers agricoles de façon dangereuse, sur une plateforme sans garde-fou. Le mois dernier, deux fils de fermiers ont dû répondre à des accusations criminelles pour des voies de fait et de l'intimidation, alors qu'ils accompagnaient des ouvriers à l'aéroport de Montréal. Là encore, le gouvernement fédéral n'a pas cherché à savoir ce qui s'était passé. La première allégation de violence vise une ferme de Saint-Michel, un village situé à mi-chemin entre Montréal et l'État de New York. Elle n'est pas prouvée, mais une chose est sûre: le gouvernement canadien compte sur des gouvernements étrangers pour faire la lumière. Un coup de tuyau Un jour très chaud de juillet dernier, Jose Antonio Garcia Juarez, un Mexicain de 29 ans, installait des tuyaux d'irrigation dans le champ avec Cristobal Guanta Ajin, un Guatémaltèque de 41 ans. M. Juarez soutient qu'il a alors été agressé par son patron. «Moi, Juan Antonio Garcia Juarez, je veux raconter l'incident dont je fus l'objet à (cette) propriété en juillet, peut-on lire dans une déclaration écrite en espagnol et signée par le jeune Mexicain en septembre. Il y a eu une discussion, selon lequel nous n'étendions pas les tuyaux assez vite. Le patron m'a frappé intentionnellement au genou gauche et m'a causé un hématome. Tout de suite après, il m'a pris au corps pour me pousser, en essayant de me mettre à terre. J'ai répondu instinctivement en retirant son bras droit. Après, nous avons discuté, mais il criait en français, avec une attitude très menaçante. «À la fin de la journée, il m'a ordonné de rester seul avec lui dans le campement et m'a ordonné, sur un ton menaçant, de ne rien raconter car si quelqu'un hors de la ferme apprenait l'incident, j'aurais beaucoup de problèmes. (...) Je veux ajouter qu'au cours des cinq saisons où j'ai travaillé dans cette ferme, le patron avait l'habitude de nous insulter, de nous crier après et de nous humilier constamment. (...) En ce 24 septembre 2006, dans la ville de Saint-Rémi, Québec, je jure que ceci est vrai.» M. Juarez a réussi à revenir au Québec cette année, dans une autre ferme où il affirme être bien traité. Au cours d'un entretien au début de juin, en compagnie du père Clément Bolduc - un prêtre qui visite les travailleurs migrants depuis des années - il a répété ses allégations et donné d'autres détails. Il a affirmé que le patron l'a obligé à travailler 20 jours consécutifs, malgré un gros hématome au genou, de sorte qu'il ne pouvait pas sortir de la ferme. Il a dit qu'à son retour au Mexique, le patron lui a téléphoné, lui disant qu'il ne pourrait pas revenir au Canada s'il maintenait sa déclaration. Des mensonges, selon le patron Tout cela n'est que mensonges, a rétorqué le patron au cours d'une entrevue sur sa ferme la semaine dernière. «M. Juarez a trébuché et s'est cogné le genou dans le tuyau, a-t-il dit. Il s'est mis à crier après moi comme si j'étais responsable. Oui, bien sûr, j'ai élevé la voix et je l'ai convoqué en privé, le soir, mais c'est tout. C'est complètement ridicule de prétendre que je l'ai séquestré. Au contraire, je lui ai prêté une camionnette pour qu'il aille faire son épicerie.» Fernando Borja, agent de liaison pour le programme des travailleurs agricoles au consulat du Mexique, souligne que M. Juarez n'a écrit que de bonnes choses à propos de son employeur dans un rapport que tous les travailleurs mexicains doivent remplir à leur retour. C'est pourquoi, a-t-il dit, le consulat du Mexique a décidé d'envoyer d'autres travailleurs dans cette ferme cette année. Patricia Perez, du Centre d'appui aux travailleurs agricoles (CATA), affirme de son côté que les travailleurs hésitent à dénoncer leurs patrons à leur gouvernement, de crainte de ne plus pouvoir revenir travailler au Canada. Par ailleurs, six employés guatémaltèques de cette ferme ont contre-signé la déclaration de M. Juarez, prise par Mme Perez. Deux d'entre eux, joints au Guatemala par La Presse, ont confirmé en tous points la version des faits de leur collègue mexicain. «Oui, je me souviens quand Juan Antonio a été agressé, a dit Cristobal Ajin. Je travaillais avec lui. Le patron l'a frappé. Il m'a moi-même souvent insulté. Il me disait: tu n'es qu'une ordure.» Ricardo Bucaro, qui se trouvait à une quinzaine de mètres d'eux, a dit qu'il avait vu toute la scène. «Le Don (le patron) a frappé Juan Antonio et quand il a voulu recommencer, Cristobal s'est interposé. Un autre compagnon, Jose Sicajau, a crié: "Qu'est-ce qui se passe? Arrêtez!" Ce patron maltraitait les travailleurs. C'est pourquoi on n'a pas voulu retourner sur cette ferme.» Ils disent cependant qu'ils ont été punis pour cette dénonciation: ils n'ont pas pu revenir travailler au Canada cette année. «Je ne sais pas pourquoi ils ne sont pas de retour, a dit Emmanuel Herrera, consul du Guatemala à Montréal. Cette plainte ne nous a jamais été signalée. C'est une organisation non reliée à notre gouvernement qui s'occupe du recrutement au Guatemala.» Pas d'enquête au fédéral Mme Perez, du CATA, a écrit à Mario Lauzon, fonctionnaire de Ressources humaines et Développement social Canada et responsable du Programme des travailleurs agricoles saisonniers (PTAS) au Québec. Elle lui a demandé comment il se faisait que cette ferme n'était pas exclue du programme. Elle affirme que d'autres incidents violents y avaient déjà été signalés. Dans sa réponse, M. Lauzon donne seulement la version des employeurs - représentés par l'association FERME - et des consulats du Mexique et du Guatemala. «Selon des informations obtenues de Fernando Borja, du consulat du Mexique, il appert qu'un incident aurait fait déborder le vase au cours de la saison, et que tous les travailleurs auraient demandé à ne plus revenir sur cette ferme en raison principalement du comportement excessif de l'employeur. Le Consulat va poursuivre son enquête avec le ministère du Travail du Mexique.» «Il appartiendra aux consulats du Mexique et du Guatemala d'exclure cet employeur du recrutement de main-d'oeuvre étrangère, de concert avec Service Canada, ajoute M. Lauzon. Parfois, un exemple peut servir à d'autres employeurs qui auraient des agissements semblables et qui tarderaient à corriger de mauvais comportements... Une enquête plus approfondie est nécessaire.» Mais le gouvernement fédéral n'a jamais fait lui-même cette enquête. Cette ferme reçoit 29 travailleurs migrants cet été. Le gouvernement canadien a entièrement délégué ses responsabilités aux gouvernements étrangers, à l'organisation FERME et au gouvernement provincial, qui n'a pourtant pas son mot à dire dans le choix des fermes qui peuvent profiter du PTAS. La Commission des droits du Mexique en visiteEn compagnie de deux députés mexicains, Omeheira Lopez Reyna, présidente de la Commission des droits humains du Mexique, a visité des fermes au Québec la semaine dernière. Les travailleurs leur ont dit que leurs plaintes n'étaient pas prises au sérieux par le consulat du Mexique à Montréal. Mme Reyna leur a promis de créer une ligne téléphonique sans frais au Mexique, où ils pourraient présenter leurs doléances. Lors d'entretiens avec La Presse, des ouvriers migrants ont demandé pourquoi le gouvernement canadien, responsable du programme des travailleurs agricoles saisonniers, ne prenait pas lui-même cette initiative. Pas rare «Les travailleurs migrants étrangers risquent d'être intimidés, et ce, pour plusieurs raisons : ils sont isolés de l'ensemble de la collectivité, tant physiquement que sur le plan linguistique ; dans bien des cas, ils ne connaissent pas leurs droits ; ils seront sans doute en route vers leurs pays d'origine avant que les plaintes relativement aux normes du travail ne puissent être traitées ; et ils ont peur d'être qualifiés de fauteurs de troubles et d'être empêchés de participer au programme (sur les travailleurs agricoles saisonniers) à l'avenir. Des mémoires présentés à la Commission soutenaient que, en conséquence, le mauvais traitement des travailleurs étrangers n'est pas rare. » - Harry W. Arthurs, président de la Commission d'enquête sur les normes fédérales du travail, 2006. http://www.cyberpresse.ca/article/20070620/CPACTUALITES/706200601/6737/CPACTUALITES
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Le lundi 09 juillet 2007 Des pesticides interdits ailleurs mais permis ici André Noël La Presse De nombreux pesticides utilisés en agriculture au Canada sont bannis dans plusieurs autres pays. Ici même, la vente de certains produits dangereux est interdite pour l'usage domestique mais acceptée, et même encouragée, pour la culture des légumes. Des milliers d'ouvriers agricoles, en bonne partie des migrants, y sont régulièrement exposés. Dans un récent bulletin adressé aux producteurs maraîchers, le ministère de l'Agriculture du Québec fait ainsi la promotion du chlorpyrifos pour combattre les vers gris dans les concombres et du zinèbe pour contrer le mildiou dans les cucurbitacées, comme les courges et les melons. Ce sont deux exemples parmi d'autres. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070709/CPACTUALITES/707090398/5155/CPACTUALITES
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Trouvé aujourd'hui dans le forum du bulletin des agriculteurs. La preuve que les veaux sont bel et bien enchaînés dans leur «huche»<hutte» = niche ! http://www.lebulletin.com/forums/thread.cfm?TID=4239 ---------------------------------------------------------------------- Général: Braconage a la ferme 07/07/07 à 12:43 PM | Modifier | Braconage a la ferme Markus Schnegg St-Blaise Ce matin une bien mauvaise surprise nous attendait. Quand il est venu le temps de faire boire les veaux dans les huches, je me rend compt qu'il en manque un veau. Le veau, le colier, la chaine tout est parti. Je fait le tour de la ferme et de l' etable, pas de veau! Bon bien je me dit que je me suis fait voler un veau. Lorsque je vais amener mes vaches au parc je jette un autre coup d'oeil. Et ben voila la surprise. A coté de la fosse je retrouve la tete avec les tags ATQ de mon veau et les intesstins c'est tout. Ils sont parti avec le rest du veau. Une belle jenisse de BLIZ pret a etre sevrée. La prochaine fois ca va etre quoi!!!??? [Modifié par Markus Schnegg le 07/07/07 à 12:44 PM] -------------------------------------------------------------------------------- Markus 08/07/07 à 01:21 PM | Modifier | RE: Braconage a la ferme Sylvain Gascon Tabarouette ! les gens sont affamés dans ton coin !! Un de mes chums s'est déjà fait volé 6 veaux vivant........ ses huttes étaient installés le long de sa ferme en bordure d'une route provinciale !! C'était des animaux pur-sang dont deux étaient des mâles (holstein) déjà vendu a des centres d'inséminations a fort prix !!.... aussitôt il avait déménager ses huttes un peu plus loin.... et encore un vole quelques semaines plus tard !! Maintenant les veaux sont relocaliser et sur haute surveillance !! [/b] Affamés au point de voler une génisse dans une hutte pour la dépeçer un peu plus loin !!??.... On a déjà vu des voles de taures dans des paturages éloignés.... mais là tes braconneurs ont du front tout le tour de la tête !! -------------------------------------------------------------------------------- Sylvain Gascon
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Le mercredi 11 juillet 2007 Maladie de la vache folle : nouvelles normes coûteuses Annie Morin Le Soleil Québec Aux grands maux, les grands moyens. Dans le but d’éradiquer la maladie de la vache folle et de redorer son image internationale, le Canada expérimente, dès demain, une nouvelle réglementation qui interdit la récupération de tissus bovins potentiellement dangereux dans la nourriture animale et les engrais. Les producteurs bovins craignent une augmentation de leurs coûts de production et ils n’ont pas tort. L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a décidé ,l’an dernier, de retirer de la circulation les matières à risques spécifiées (MRS), potentiellement porteuses de prions, qui pouvaient encore se trouver dans des farines animales destinées aux porcs, aux poulets et aux animaux de compagnie ou encore dans des engrais. Ces MRS comprennent l’iléon distal (une partie des intestins) des bovins de tout âge ainsi que le crâne, le cerveau, les ganglions, les yeux, les amygdales et la moelle épinière des bovins de 30 mois et plus. Les producteurs agricoles, les abattoirs et les entreprises de récupération ont eu un an pour se conformer aux nouvelles restrictions. Hausse À la Fédération des producteurs de bovins du Québec, on craint maintenant que les coûts de ramassage des restes à l’abattoir et des carcasses d’animaux morts à la ferme n’augmentent dramatiquement. Les farines animales certifiées sans MRS pourraient également subir une hausse de prix. Sanimax, principal équarrisseur du Québec, autrefois connu sous le nom d’Alex Couture, augmentera effectivement ses tarifs dès la fin de la semaine. Mario Couture, vice-président aux approvisionnements et au transport, précise qu’il en coûtera désormais 115 $ au lieu de 65 $ pour la récupération d’un bovin mort à la ferme. Cela parce qu’il faut deux camions pour ramasser les restes, un pour les MRS et un pour les autres rebuts, et parce que l’usine de Charny a dû être modifiée pour éviter toute contamination croisée. L’investissement dépasse les 15 millions $. « Il faut imposer des frais additionnels parce qu’on subit une perte de valeur des produits récupérés », ajoute M. Couture, qui enverra maintenant l’équivalent de huit camions de MRS par semaine au site d’enfouissement. Les graisses animales continueront d’être extraites et revendues aux meuneries, aux savonneries et aux fabricants de cosmétiques. Auparavant, absolument tout était récupéré. Daniel Tremblay, directeur au Centre québécois d’inspection des aliments, estime que ces secousses financières ne devraient pas durer longtemps. Les fonctionnaires et les industriels cherchent de nouveaux moyens de valoriser les MRS afin de ramener les prix à la baisse. Ces dernières pourraient par exemple servir de carburant aux cimenteries. À ceux qui se plaignent que la réglementation canadienne est bien plus sévère que celle des États-Unis, Dr Christiane Allard, vétérinaire au programme de la santé des animaux de l’ACIA, réplique que « ce n’est qu’une question de temps » avant que nos voisins du Sud emboîtent le pas. Elle rapporte que des études ont été commandées pour examiner l’impact des nouvelles mesures sur l’économie et qu’à moyen terme, les producteurs canadiens seront gagnants, car les marchés accessibles au bœuf canadien seront plus nombreux. Selon les calculs des experts, la gestion serrée des MRS élimine 99 % des riques de propagation de la maladie de la vache folle. Elle devrait être éradiquée en d’ici 10 ans. http://www.cyberpresse.ca/article/20070711/CPSOLEIL/70710235/6585/CPSOLEIL
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Les vaches aussi veulent courir à Pampelune
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Le mercredi 11 juillet 2007 Les vaches aussi veulent courir à Pampelune La course devant les taureaux constitue le point d'orgue de la San Firmin, célébrée à Pampelune, en Espagne. Photo AP Associated Press Madrid Un groupe de femmes invoque l'équité entre les sexes pour justifier sa drôle de requête: pouvoir courir devant des vaches lors des célèbres fêtes de Pampelune, puisque les hommes affrontent des taureaux. «Si les garçons courent devant les taureaux, alors nous (les femmes) devons courir avec des vaches. C'est tout simplement logique», ont-elles expliqué dans une pétition publiée mardi sur un site Internet étudiant, www.estudiln.net. Le site Internet a annoncé avoir reçu des douzaines de messages de soutien au cours des derniers jours. Dans sa pétition, le groupe, qui n'a pas de nom, demande aux lecteurs de transmettre le message «les vaches veulent courir» à leurs amis par SMS sur leurs téléphones portables. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20070711/CPINSOLITE/70711128/5406/CPINSOLITE -
Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
Animal a répondu à un(e) sujet de animo-aequoanimo dans Archives
11 juillet 2007 Foie gras RDI en direct : entrevue avec le producteur artisanal Alain Dansereau Émission Foie gras Appel au boycottage En conférence de presse mercredi matin, un groupe de défense des animaux, Réseau action globale, a demandé à la population de cesser d'acheter du foie gras. Le groupe a présenté des images tournées clandestinement, durant 12 semaines, sur une ferme qui élève des canards pour la production de foie gras. Selon le groupe, les images ont été tournées à Élevages Périgord de Saint-Louis-de-Gonzague, près de Salaberry-de-Valleyfield, en Montérégie, mais il n'a pas pu le démontrer. La Sûreté du Québec a ouvert une enquête après avoir vu la vidéo. Bloc de foie gras Le groupe affirme avoir tourné, avec une caméra cachée, 100 heures d'images parfois « troublantes ». La vidéo montre des actes qui violent les lois fédérales en matière de bien-être animal. On peut voir la tête de canards vivants être arrachée, des canards vivants frappés contre des murs, des canetons étouffés dans des sacs de plastique puis abandonnés à moitié morts dans des poubelles, et gavage de canard. David Rufieux, porte-parole du Réseau d'action globale, a déclaré que plusieurs gestes des employés de la ferme étaient illégaux. Par exemple, dit-il, « il faut rendre inconscientes les bêtes avant de les égorger ». David Rufieux, porte-parole du Réseau d'action globale Plus tôt, en entrevue à RDI, il a déclaré qu'il fallait interdire le gavage même s'il est légal. « On dénonce le gavage consistant à gonfler le foie du canard de façon à entraver son bien-être. Le foie de canard va augmenter entre 10 et 12 fois par rapport à la taille d'un foie normal. Donc, c'est un foie pathologique, malade. » Andrew Plumbly, directeur du Réseau d'action global, est catégorique. « Notre vidéo prouve que l'industrie du foie gras est intrinsèquement cruelle. Cette industrie n'a pas de place dans une société civilisée et nous demandons aux gouvernements fédéral et provincial d'interdire immédiatement la production de foie gras », a-t-il fait valoir. « On veut interdire la production de foie gras comme ça se fait dans 14 pays dans le monde », ajoute David Rafieux. Plus tôt, Alain Dansereau, propriétaire de L'Oie Naudière, dans Lanaudière, réagissait vivement aux alléguations du groupe. Selon lui, « tout se fait dans les règles de l'art, [...] selon la réglementation, et c'est fait le plus humainement possible. [...] La campagne du RAG, dit-il, est celle d'intégristes agro-alimentaires, [...] de végétariens enragés. » Précisons que L'Oie Naudière fait abattre ses canards aux Élevages Périgord, une ferme qui produit plus de 3500 canards par semaine. Le gavage des oies et des canards pour produire du foie gras est dénoncé depuis de nombreuses années par des groupes de protection des animaux. Au Québec, c'est la première fois qu'un groupe de défense des droits des animaux s'attaque à un producteur de foie gras. Cette pratique est toutefois assez répandue en Europe et aux États-Unis. L'enquête de Réseau d'action globale a été réalisée en collaboration avec l'organisme Farm Sanctuary, établi aux États-Unis. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2007/07/11/003-SQFoiegras.shtml -
Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
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RAPPEL: ÉDITORIAL La guerre du foie gras Le dimanche 07 janvier 2007 Ariane Krol La Presse Il y a deux moments où il convient de parler du foie gras. Avant les Fêtes, lorsqu'on planifie les festins à venir. Et juste après, quand l'abus de bonnes choses nous incite à comparer notre foie à celui d'un palmipède gavé. Mais ce n'est pas fini, car les défenseurs des animaux préparent une campagne choc sur le sujet. Espérons que le Québec ne réagisse pas de façon aussi émotive que la Ville de Chicago et l'État de la Californie, qui ont tous deux mis cet abat à l'index. L'organisme montréalais Réseau Action Global (RAG) tentera évidemment d'en dégoûter les consommateurs. Mais il ne faut pas s'y tromper. Leur vraie cible, ce sont les producteurs québécois, dont ils aimeraient faire cesser les activités. Comparativement à d'autres secteurs agricoles, comme le porc ou la volaille, c'est une industrie minuscule. Mais à l'échelle continentale, elle n'est pas négligeable. Le Québec, la seule province productrice, est un fournisseur important en Amérique du Nord. Ses trois principaux élevages exportent aux États-Unis, où la demande, paradoxalement, est en pleine croissance. Le foie gras québécois risque donc d'être attaqué sur ce terrain-là aussi. Pourquoi le RAG défend-il en priorité les canards gavés plutôt que les poules pondeuses en cage ou les vaches enchaînées à leur stalle? Parce qu'il juge cet élevage plus «cruel», mais aussi pour des considérations stratégiques. Les groupes américains comme Farm Sanctuary l'ont bien compris : il est plus facile de remporter une victoire contre un secteur marginal comme les palmipèdes que contre les poids lourds du boeuf ou du poulet. La production du foie gras se fait-elle dans des conditions acceptables? Pour un défenseur des animaux, la réponse est facile. Les organismes comme le RAG ne militent pas seulement contre les canards à foie gras, ni même contre l'élevage industriel en général, mais contre toute forme d'exploitation animale, incluant la chasse au phoque et l'élevage de vison à fourrure. Pour le consommateur moyen, c'est autrement plus compliqué. Considéré d'un point de vue anthropomorphique, le gavage est un cauchemar auquel personne ne voudrait être soumis. Mais si l'on voit les choses ainsi, il faut être cohérent et renoncer à tous les produits de l'élevage. Seule la chasse est acceptable, et encore : si ce caribou était votre grand-père, vous préféreriez qu'il meure de sa belle mort. Ceux qui n'ont pas envie de devenir végétariens doivent se faire leur propre opinion. Malheureusement, il n'existe pratiquement pas d'informations indépendantes sur le sujet. Des militants ont produit des documentaires saisissants où l'on voit plusieurs canards éclopés, mais rien ne permet de conclure que ces images captées à l'étranger soient représentatives des élevages québécois, ni même de l'élevages à foie gras en général. Par ailleurs, des études indiquent que les canards gavés ne montrent pas de signes de stress et pratiquement jamais de symptômes de douleur mais une partie d'entre elles ont été financées par l'industrie française du foie gras. Souhaitons que les épiceries qui offrent le produit ne cèdent pas aux pressions d'une minorité et continuent de laisser leur clientèle faire ses propres choix. http://www.cyberpresse.ca/article/20070107/CPOPINIONS/701070520/5034/CPOPINIONS -
Réseau action globale Industrie : Services professionnels - Sans but lucratif Sujet : Lois/juridique Réseau action globale a découvert des activités illégales à la ferme Foie Gras et réclame des poursuites judiciaires LE 9 JUILLET 2007 - 03:13:07 PM MONTREAL, QUEBEC--(CCNMatthews - 9 juillet 2007) - Lors d'une conférence de presse qui se tiendra le 11 juillet 2007, le Réseau Action Globale, organisme établi au Québec, publiera des séquences vidéo et des photographies scandaleuses d'agissements illégaux et cruels qui ont été obtenues grâce à une opération d'infiltration réalisée aux installations du plus grand producteur de foie gras du Québec, Elevages Périgord. L'enquête prolongée a été réalisée en partenariat avec l'organisme Farm Sanctuary, établi aux Etats-Unis. Les séquences, filmées à plusieurs installations dont Elevages Périgord est propriétaire, montrent des actes répétés d'extrême cruauté commis envers des canards et dont un grand nombre violent les lois fédérales en matière de bien-être animal, notamment : - Arracher la tête de canards vivants - Donner des coups de pied aux canards, les jeter par terre ou leur donner des coups de poing - Abandonner des canetons dans des poubelles pour y mourir d'hypothermie et d'asphyxie - Frapper des canards vivants contre les murs et le plancher - Faire suffoquer et écraser des canetons vivants - Gaver des canards - Abattre des canards pleinement conscients Des représentants du Réseau Action Globale projetteront les séquences vidéo clandestines, présenteront les détails de l'enquête ainsi que des témoignages de vétérinaires, et demanderont aux consommateurs et aux détaillants de cesser d'acheter tous les produits de foie gras. Date : Le mercredi 11 juillet 2007 Heure : 10 h Place : Centre Saint-Pierre, 1212, rue Panet, bureau 204 Andrew Plumbly, directeur du Réseau Action Globale, a déclaré : "Notre vidéo prouve que l'industrie du foie gras est intrinsèquement cruelle. Cette industrie n'a pas de place dans une société civilisée et nous demandons aux gouvernements provincial et fédéral d'interdire immédiatement la production de foie gras. Nous exhortons également tous les consommateurs et les distributeurs d'aliments de prendre une décision empreinte de compassion et de cesser immédiatement d'acheter du foie gras". POUR PLUS D'INFORMATIONS, COMMUNIQUEZ AVEC: Réseau action globale Andrew Plumbly 514-939-5525 Téléphone : andrew@gan.ca Communiqué provenant de CCN http://biz.branchez-vous.com/communiques/detail/communiques_75505.html
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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
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C'est à se demander si les journalistes qui ont questionné Andrew Plumby et David Ruffieux n'ont pas un intérêt quelconque dans l'industrie du gavage au Québec ! Suite au visionnement de cette vidéo, le directeur d'Élevage Périgord doit à son tour faire une conférence de presse dans les heures qui viennent....
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Allo les filles, Je suis retournée hier prendre d'autres photos de ces canards morts, en tentant une seconde fois de trouver le nom de cette ferme. Mais il n'y a absolument aucun nom. J'ai cependant photographié une affiche qui se trouve à quelques pieds de cette ferme située dans le 11ième rang et je comprends aujourd'hui, après avoir relu l'article qui figure dans le forum général (Élevage Périgord) que s'il n'y a rien d'indiqué sur cette ferme, c'est parce qu'il s'agit d'un sous-traitant. Je n'étais pas certaine non plus s'il s'agissait d'oies ou bien de canards retrouvés dans ce container et cette brouette, mais j'ai aujourd'hui la certitude qu'il s'agit bien de canards «mulards» (ils ont une petite tache noire sur le dessus de la tête), ceux-là même qui sont utilisés pour le gavage. Voici la pancarte qui se trouve tout près de cette ferme. Photo prise le premier jour de notre visite, soit 8 juillet Ils sont en train d'agrandir cette ferme- Voici la nouvelle partie en construction Cette photo confirme qu'il s'agit bien de canards mulards Sous le containeur rempli au ras bord, d'autres canards morts, dont ce canard de couleur noire.... Sous la brouette, remplie elle aussi au ras bord, d'autres canards morts, incluant des canards de couleur noire... Comme je n'ai vu personne hier (lors de notre première visite, un jeune garçon de 5 ou6 ans jouait tout près du containeur), j'ai pris ces photos directement sur place: C'était irrespirable !
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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
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http://lcn.canoe.com/ CLIQUEZ SUR CETTE ADRESSE, PUIS À GAUCHE SUR LES ENTREVUES LCN VOUS POURREZ VOIR ET ÉCOUTER DAVID RUFFIEUX INTERVIEWÉ PAR UNE JOURNALISTE David Ruffieux Le porte-parole du Réseau action globale discute des images d’oies maltraitées qui auraient été tournées aux Élevages Périgord. -
Mise à jour: 10/07/2007 22h08 La bête blessée a dû être euthanasiée. LCN Estrie Un chevreuil entre par la fenêtre d'une maison Un chevreuil s’est introduit à l'intérieur d’une résidence de l’Estrie par une petite fenêtre du sous-sol. Son entrée fracassante a fait bondir de sa chaise l'occupante des lieux qui se trouvait à l’étage. La dame a appelé le 9-1-1 afin de rapporter l'événement. La bête, une femelle adulte d'environ 150 livres, a été confinée dans une pièce du sous-sol pour ensuite être neutralisée par les agents de la faune. Ils auraient souhaité reconduire le chevreuil dans son habitat naturel, mais l'animal a dû être euthanasié en raison de blessures graves. En vidéo, écoutez le reportage de Jean-François Desbiens. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/07/20070710-220800.html
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Foie Gras : Cas de cruautés au Québec
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Mise à jour: 11/07/2007 07h43 LCN Canards maltraités La SQ ouvre une enquête La Sûreté du Québec enquêtera sur les cas présumés de mauvais traitements réservés aux animaux dans les locaux d'abattages de l'entreprise Élevages Périgord. Un groupe de défense des droits des animaux, le Réseau d'action global, a infiltré l'entreprise de Saint-Louis-de-Gonzague et a tourné des images troublantes chez le producteur. On y voit des canards malades auxquels on arrache la tête ou qu'on frappe sur des colonnes de béton alors qu'ils sont encore bien vivants. C'est la première fois qu'un groupe de défense des droits des animaux s'attaque à un producteur de foie gras québécois. L'Agence canadienne d'inspection des aliments avait envoyé sur place un inspecteur et un vétérinaire à temps plein afin de s'assurer que les normes soient respectées. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/regional/archives/2007/07/20070711-074300.html -