Animal

Dimanche, le 10 juin 2007 Ouverture au public ce lundi Le Zoo reçoit 16 macaques japonais Par Denis Hudon Le Zoo de Saint-Félicien vient de s’enrichir d’une nouvelle espèce animale en accueillant depuis peu un groupe de seize singes macaques japonais qui sont arrivés du Zoo de Toronto. Les médias ont eu droit à une visite privée mercredi alors que dès lundi, le public pourra voir cette nouvelle attraction qui risque d’être très populaire. Les macaques ont intégré leur nouvel enclos. Photo : Denis Hudon Le Zoo de Saint-Félicien a dû investir 1 million de dollars pour aménager un vaste enclos de 4 000 pieds carrés, incluant une passerelle en boucle de 2 000 pieds pour les visiteurs qui veulent bien voir ces macaques évoluer dans un environnement naturel. Dany Gagnon, directeur des opérations et développement au Zoo sauvage, précise que l’habitat a été construit en tenant compte de tous les aspects de la vie et de l’environnement naturel du macaque japonais. Le nouvel habitat est à la fois représentatif de ce milieu naturel, sécuritaire et exceptionnel. suite.... http://www.hebdosquebecor.com/pod/06092007/pod_06092007_A1.shtml

Dimanche, le 10 juin 2007 Circuit Mont-Tremblant: des chevreuils qui font jaser Par Émilie Godin Citoyens et organisateurs s'inquiètent de la présence de chevreuils sur le terrain du Circuit Mont-Tremblant. Des inquiétudes de nature bien différente. Les chevreuils sont au centre de l'actualité. Le 1er juin à 6h, Jim Iredale est réveillé par ce qu'il lui semble être des coups de fusil. Le Tremblantois demeurant à proximité du Circuit Mont-Tremblant communique directement avec le Service de police de Mont-Tremblant afin de les aviser de ces bruits suspects. 20 minutes plus tard, toujours sans nouvelles, M. Iredale recontacte la police pour savoir ce qu'il en est. La répartitrice lui aurait alors répondu: «tout est beau, ils tirent sur les chevreuils». Suite à cette réponse, Jim Iredale s'inquiète pour sa sécurité et celle de ses voisins. http://www.hebdosquebecor.com/ifj/06092007/ifj_06092007_a11.shtml

J'ai beaucoup d'admiration pour cet homme

Le dimanche 10 juin 2007 Le bruit, souce d'inconfort Le bruit vient de multiples sources : des motos, des autos, des climatiseurs et... des tondeuses à gazon. Photo Robert Skinner, La Presse Cécile Gladel La Presse Collaboration spéciale Le vrombissement du moteur d'une moto vous réveille en sursaut la nuit. L'alarme d'une voiture met fin à une conversation. Le système de ventilation de l'entreprise voisine ronronne continuellement. Le voisin passe sa tondeuse au moment où vous dînez entre amis dans le jardin... Devant la hausse des sources de bruit et en l'absence d'une réglementation québécoise, l'Ordre des orthophonistes et des audiologistes du Québec (OOAQ) lance son deuxième concours Villes et villages paisibles. Dans la lignée des Villes et villages fleuris. Ce concours récompensera les municipalités québécoises qui ont fait un effort pour réduire le bruit sur leur territoire. L'objectif ? Sensibiliser la population et les gouvernements en attendant que le ministère de la Santé et des Services sociaux émette un avis public promis pour l'automne. L'OOAQ veut inciter les municipalités à adopter des mesures pour diminuer le bruit. «Il y a toutes sortes d'actions que peuvent prendre les villes : campagne d'information, respect des règlements, politique d'achat de matériel non bruyant, etc. On souhaite, grâce à ce concours, publiciser toutes les idées novatrices. Cela pourrait faire boule de neige dans d'autres villes du Québec», explique Louis Beaulieu, président-directeur général de l'OOAQ. «La pollution sonore affecte tout le monde dans toutes les sphères de la vie. Ce n'est pas très éloigné de la pollution atmosphérique. Le bruit pénètre le corps et l'âme», dit le président fondateur du Regroupement québécois contre le bruit, Patrick Leclerc. Au Québec, chaque municipalité et arrondissement adopte ses propres règlements. Dans le Plateau-Mont-Royal, par exemple, trois règlements ont été institués depuis la création des arrondissements en 2001, s'ajoutant ainsi au règlement de la Ville de Montréal en vigueur depuis 1976, mais jamais révisé. Le dernier en date stipule que les machineries sur les toits (climatiseur, thermopompe) doivent respecter certaines exigences en matière de bruit. «Ces règlements ont été adoptés parce que des citoyens se sont battus bec et ongles durant de nombreuses années», insiste Huguette Loubert, membre de l'Association des résidants du Plateau qui a rédigé le Code du bon voisinage. Sauf que les règlements ne servent à rien si personne ne les fait respecter. Seulement deux inspecteurs du bruit sont assignés aux neufs arrondissements. «Cela prend plus de six mois pour avoir une évaluation d'un bruit qui nous dérange», se désole Mme Loubert. Richard Larocque, de l'Institut national de la santé publique, considère en effet que les outils sont sur la table, mais inutilisés. «Si l'ensemble des règlements existants était appliqué, ce serait plus paisible», explique-t-il. Il donne l'exemple des motos et automobiles équipées de silencieux modifiés. «C'est interdit par le Code de la route.» L'OOAQ espère que le concours leur donnera un petit coup de pouce comme l'an dernier. La municipalité de Val-Joli, dans les Cantons-de-l'Est, a remporté le prix d'excellence pour les mesures de réduction du bruit causé par les nombreux camions traversant la municipalité. Un exemple suivi par Tadoussac et La Tuque. Il s'agissait simplement d'installer des sonomètres en bordure de la route indiquant le nombre de décibels produits par les camions. Une action qui devrait être suivie par de nombreuses autres, selon Gilles Perron, maire de Val-Joli. «Actuellement, tout le monde se renvoie la balle au gouvernement et personne ne fait rien. Les municipalités ont besoin d'aide pour agir», dit-il. Par ailleurs, l'audiologiste et professeure de l'Université d'Ottawa, Chantal Laroche, estime que le meilleur règlement municipal serait celui de Repentigny, qui utilise la notion d'émergence comme en France. «Cette notion établit qu'un bruit ne doit pas dépasser d'un certain nombre de décibels le bruit de fond normal. En France, le bruit émergent ne doit pas dépasser 5 dB le jour et 3 dB la nuit», explique-t-elle. Des solutions ? «La clé sera toujours de contrôler le bruit à sa source», souligne Louis Beaulieu, ajoutant qu'il y a aussi une question de civisme. Par ailleurs, la réglementation déficiente au Canada ainsi que le manque d'implication des manufacturiers sont montrés du doigt. «Il faut que nos gouvernements adoptent des règlements qui préviennent au lieu de guérir sans succomber au lobbying des manufacturiers qui clament que rendre leurs appareils plus silencieux leur coûtera trop cher. Pourtant, ils sont obligés de le faire pour la France, pourquoi ne le feraient-ils pas en Amérique du Nord ?» dit Chantal Laroche. Cette dernière déplore aussi que les plans d'urbanisme des villes permettent la construction résidentielle aux abords des autoroutes, des quartiers industriels, des voies ferrées, etc. «On ne fait pas de prévention, on développe. Je conseille toujours aux gens qui achètent une maison d'ouvrir les yeux, mais aussi les oreilles. Allez vous asseoir proche de la maison convoitée et écoutez.» Chantal Laroche espère qu'une politique nationale sur le bruit pourra un jour faire le grand ménage dans ce tintamarre. http://www.cyberpresse.ca/article/20070610/CPACTUEL/706100589/6685/CPACTUEL -------------------------------------------------------- Le dimanche 10 juin 2007 Ces bruits qu'on passe sous silence Ça peut commencer de bonne heure, l'usage des écouteurs! Malheureusement, un nombre croissant de jeunes souffrent d'une perte auditive comparable à celle que l'on voit généralement chez les adultes. Photo AP Charles Meunier La Presse Collaboration spéciale La pollution par le bruit, en dépit de louables efforts de sensibilisation, est laissée pour compte. Pourtant, ce ne sont pas les raisons qui manquent de s'en préoccuper. De la grossesse à l'âge adulte, le bruit cause des dommages à la santé des êtres humains et vraisemblablement des animaux. Certains sont connus alors que d'autres, tout aussi pernicieux, sans jeu de mots, sont passés sous silence. Il ne faut pas oublier non plus les conséquences du bruit que l'on soupçonne et qui font actuellement l'objet de travaux de recherche destinés à les évaluer avec précision. Le bruit est dangereux sur le plan physiologique et psychologique et ses manifestations nous rejoignent dans la quasi-totalité de nos activités. Comme le précise Chantal Laroche, audiologiste et professeure titulaire à l'Université d'Ottawa, c'est là le danger: «On finit par croire que le bruit que l'on supporte est normal. À telle enseigne que même les constructeurs ne voient aucun problème à justifier le vacarme que font leurs machines. Ils affirment que ce sont leurs clients qui veulent du bruit. Un peu comme si la performance d'un engin était directement proportionnelle au bruit qu'il produit. Derrière tout cela, il y a une question d'insouciance chez ceux qui font du bruit et ceux qui le subissent, quoique ces derniers commencent à élever la voix et à marquer des points, notamment sur le plan juridique.» Fait à noter, Chantal Laroche sait fort bien de quoi elle parle. Elle fut témoin experte dans la cause qui a opposé un groupe de citoyens membres de la Coalition pour la protection de l'environnement du parc linéaire Le P'tit Train du Nord aux motoneigistes et aux municipalités concernées. L'oreille cassée Sans entrer dans le détail de l'anatomie et du fonctionnement de l'oreille, il convient d'insister sur le fait que c'est un organe fragile qui s'use avec le temps et le bruit. Une oreille compte environ 15 000 cellules recouvertes de cils microscopiques qui transforment la pression sonore en influx électriques qui sont acheminés au cerveau. La perte de ces cellules sensorielles est irréversible. Quand la pression sonore est trop grande, les cellules auditives sont surchargées. Elles peuvent endurer un certain stress, mais elles seront gravement atteintes si le bruit est fort, l'exposition longue et fréquente. Nous sommes ici en présence de deux considérations fondamentales: la force du bruit et sa durée. Un exemple: le iPod. Comme le fait remarquer Tony Leroux, audiologiste et professeur à l'École d'orthophonie et d'audiologie de l'Université de Montréal: «Ce n'est pas le fait d'avoir la source sonore à proximité du tympan qui pose problème. Un concert rock produira des sons encore plus puissants. C'est le temps d'utilisation. Une étude menée dans les années 90 sur les baladeurs a révélé qu'ils étaient utilisés jusqu'à 38 heures par semaine. Rien n'indique que les iPod le soient moins, d'autant plus que l'autonomie de leurs piles est beaucoup plus longue que celle des baladeurs de la précédente génération. Et comme les iPod sont souvent utilisés dans des lieux publics, bruyants par définition, on augmente le volume.» Or, selon les experts de l'oreille, écouter de la musique à plus de 95 décibels, c'est-à-dire au-delà de la norme fixée à 75 décibels durant huit heures par l'Organisation mondiale de la santé, augmente de beaucoup les risques. C'est comme avoir une tronçonneuse en marche dans les mains. «À cette intensité, rappelle Tony Leroux, on ne devrait pas dépasser 15 minutes d'exposition par jour.» Voilà qui donne la mesure du danger auquel s'exposent les amateurs de iPod qui sont accrochés à leur appareil plusieurs heures durant. À ce chapitre, on constate que de plus en plus de jeunes souffrent d'une perte auditive comparable à celle que l'on associe généralement aux adultes qui ont travaillé durant de nombreuses années dans des milieux bruyants. Cette donnée vaut tout autant pour le Québec que pour le reste du Canada. Principales causes et méfaits Les sources de pollution par le bruit, à vrai dire, ne se comptent plus tellement elles sont nombreuses. Chantal Laroche énumère les principales: «Les moyens de transport, y compris les véhicules récréatifs, l'industrie et même le milieu scolaire, que l'on oublie parfois, où élèves et enseignants sont touchés. Diverses études européennes et américaines ont d'ailleurs démontré que les enfants qui fréquentent les écoles fortement exposées au bruit accusent des déficits d'attention, de concentration et, par conséquent, de performance.» Les effets sur la santé de l'oreille sont pour la plupart connus. Même en sachant que nous devenons de plus en plus sourds en vieillissant et que c'est là un processus normal, on constate que, de plus en plus, la perte d'audition survient bien avant la soixantaine. Nous savons également que la pollution par le bruit nuit au cœur. Sous l'effet d'une agression sonore, le cœur bat plus vite et la tension artérielle augmente subitement. Les perturbations du sommeil font également partie des effets néfastes du bruit sur la santé. À cela, il faut ajouter une variété de conséquences psychologiques qui vont de l'agressivité subite et inexplicable à l'épuisement professionnel. Comme le fait remarquer Martine Gendron, coordonnatrice du Laboratoire d'études sur l'audition de l'Université de Montréal: «Lorsque le bruit ambiant devient trop fort et qu'il perdure, notre corps se met en mode vigilance, comme si un danger était imminent et que nous allions devoir nous défendre contre une agression. Le rythme cardiaque augmente, la respiration se fait plus rapide. Le corps ne peut pas résister indéfiniment et impunément à cette tension, il s'épuise et divers problèmes de santé peuvent apparaître.» Il ne faudrait pas non plus oublier que le bruit tue. «Il est faux de prétendre que le bruit ne tue pas, affirme Tony Leroux. Dans la dernière décennie, on a répertorié entre 20 et 30 accidents mortels attribuables à un bruit ambiant élevé qui avait empêché les victimes d'entendre les véhicules s'approcher.» Le remède pour contrer les effets du bruit sur la santé est fort simple: il consiste à réduire le volume du son dans toutes nos activités, à diminuer le temps d'exposition aux bruits polluants et à renouer avec la tranquillité et le silence. http://www.cyberpresse.ca/article/20070610/CPACTUEL/706100583/6685/CPACTUEL

Exactement hop ! Et il me semble qu'ils en ont tués beaucoup l'an dernier aussi, histoire de les analyser ...

Fête de la pêche Du 8 au 10 juin, les citoyens sont invités à pêcher sans permis. C'est sous le thème « Repêchez une nouvelle recrue » que les Québécois soulignent cette fête. Plusieurs activités ont lieu dans la région, notamment à La Sarre et Rouyn-Noranda.

Le mercredi 06 juin 2007 CHANGEMENTS CLIMATIQUES Le côté obscur du réchauffement Photothèque Le Soleil Jean-François Cliche Le Soleil Québec Ils sont peu nombreux, mais on les devine têtus. Contre l’avis de la majorité de leurs collègues, une poignée de scientifiques persistent à croire que l’espèce humaine n’a rien à voir, ou si peu, avec le réchauffement de la planète. Leurs arguments se frayent rarement un chemin jusque dans les médias — à part pour y être démolis. Mais il vaut tout de même la peine de s’y attarder, pour deux raisons. D’abord, pour comprendre l’actuel débat entourant le Protocole de Kyoto, qui occupera une place centrale dans la réunion du G8 qui s’ouvre aujourd’hui. C’est en effet sur les travaux de cette minorité que les États-Unis se sont longtemps appuyés pour affirmer qu’aucune preuve scientifique réelle ne permettait de lier le réchauffement aux émissions de gaz à effet de serre d’origine humaine — principalement du gaz carbonique (CO2). Cela a été l’un des prétextes qu’ils avaient invoqué pour rejeter le Protocole de Kyoto. Bien que le président George Bush semble avoir changé d’avis sur ce point, jeudi dernier, cette école de pensée conserve une certaine influence sur l’administration américaine : la journée même de l’annonce présidentielle, le grand patron de la NASA, Michael Griffin, a déclaré à la National Public Radio que le fameux lien homme-réchauffement n’avait pas été démontré et qu’il n’était pas sûr que les changements climatiques soient une mauvaise chose. Ensuite, même si leur point de vue demeure nettement minoritaire, il n’en reste pas moins que de grosses pointures se rangent parmi les « négationnistes » — encore que, notons-le, le camp adverse n’en manque certainement pas lui non plus —, ce qui donne aussi un certain intérêt à leur point de vue. L’Américain Reid Bryson, considéré comme l’un des pères de la météorologie aux États-Unis, en est un exemple. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070606/CPSOLEIL/70605210/5221/CPSOLEIL

Le vendredi 08 juin 2007 Nouveau cas de rage du raton laveur Comme l'an dernier, des équipes coordonnées par le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRFN) procéderont à une opération de contrôle de la rage du raton laveur. photo Archives La Voix de l'Est Maxime Deland La Voix de l'Est Saint-Armand Les étés se suivent et se ressemblent dans la région. Quelques jours après le retour des cyanobactéries dans nos cours d'eau, voilà que la rage du raton laveur frappe à nouveau à nos portes. Presque un an jour pour jour après la découverte du cadavre d'un raton laveur atteint de la rage à Dunham, une situation identique s'est produite, cette fois dans le coin de Saint-Armand. C'est un citoyen du secteur qui en a informé les autorités vers la mi-mai, a indiqué hier en entrevue la directrice de la Direction de la santé publique de la Montérégie, Jocelyne Sauvé. Les analyses effectuées par les vétérinaires de l'Agence canadienne d'inspection des aliments sont venues confirmer qu'il s'agissait bel et bien d'un cas de rage du raton laveur. Afin d'éviter toute propagation, des équipes coordonnées par le ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF) procéderont à une opération de contrôle de la rage du raton laveur, du 10 au 24 juin. La phase 1 de l'opération se déroulera sur le territoire de 11 municipalités de la Montérégie avoisinantes à celle de Saint-Armand (Bedford, Frelighsburg, Notre-Dame-de-Stanbridge, Sainte-Sabine, Saint-Ignace-de-Stanbridge, Saint-Pierre-de-Véronne-à-Pike-River, Saint-Sébastien, Stanbridge East, Stanbridge Station, Venise-en-Québec et Saint-Armand). Plus de 2500 cages seront installées dans le but de capturer les ratons laveurs et les mouffettes, les vacciner contre la rage et les relâcher par la suite. «L'objectif ultime est d'éviter que la maladie se propage et d'éviter que les gens soient en contact avec un animal enragé. Un certain pourcentage des animaux capturés seront envoyés à l'Agence canadienne d'inspection des aliments pour qu'ils soient analysés», affirme Dre Sauvé. Tous les détails dans La Voix de l'Est de vendredi. http://www.cyberpresse.ca/article/20070608/CPVOIXEST/706080835/5054/CPVOIXEST

Suisse: les animaux d'un zoo "libérés" 8 juin 2007 MAGLIASO, Suisse (AP) - Un ou des inconnus ont ouvert les cages des animaux d'un petit zoo durant la nuit de mercredi à jeudi à Magliaso, dans le canton suisse du Tessin. Deux lynx, quatre ratons laveurs, deux vautours et un hiboux royal ont pris la clé des champs ou, suivant les cas, la voie des airs. Tous les animaux ont disparu, sauf un lynx qui a pu être repris et deux vautours qui survolent la région, a précisé jeudi Edith Fehr, responsable de l'information du zoo, qui a lancé une mise en garde: la femelle lynx libérée, même si elle est craintive, peut se montrer agressive si elle cherche de la nourriture. Les vautours n'ont pas quitté la région: des témoins les ont vu décrire des cercles dans le ciel, mais ils n'ont pas pu être repris. Edith Fehr espère que les rapaces reviendront d'eux-mêmes au zoo. Quant au hibou, il n'y a aucun espoir qu'il rentre dans sa cage car il a certainement trouvé un habitat accueillant dans la région boisée du Malcantone. Le ou les auteurs de ces actes ont endommagé une partie des cages et brisé des cadenas. Ils n'ont laissé aucune revendication ou explication quant à leurs motivations, a constaté Edith Fehr. C'est la première fois depuis son ouverture en 1973 que le zoo est la cible de vandales ou de présumés défenseurs des animaux. Au début de l'année, trois véhicules de livraison de boucheries ont été victimes d'incendies criminels au Tessin. Ils ont été revendiqués par le "Front de libération des animaux. La Presse Canadienne, 2007

http://www.fiable.ca/index.htm à Mirabelle pour chats et chiens

On aurait besoin d'un maire comme lui dans toutes les villes du Québec !

http://pitous.ca/francais/accueil.htm - Services disponibles pour indicatifs régionaux 514 et 438 (Montréal) Le Manoir Kanisha est localisé sur les terrains de l'Aéroport international de Montréal à Dorval. Notre entreprise prend soin des animaux domestiques (chiens, chats, oiseaux, cochons d'Inde, lapins, furets, hamsters, etc.) de nos clients qui ont besoin d'un endroit confortable et sécuritaire lorsqu'ils sont incapables de leur prodiguer des soins quotidiens. Notre entreprise est recommandée par les vétérinaires, les agences de voyages, les hotels n’acceptant pas les animaux, les déménageurs, etc. Nous somme membres de l’IPATA, AATA et de l’ABKA. En plus d'offrir des services d'hébergement, le Manoir Kanisha offre également des services de toilettage, garderie de jour, période de jeux, entraînement à l'obéissance, cueillette et livraison, photographie animale et relocalisation internationale pour les clients qui ont besoin d'importer un animal ou l'exporter dans un autre pays. http://www.manoir-kanisha.com/index.html (Dorval)

Parmi ces 4 pays, 2 pratiquent la chasse au phoque... Voir l'accord que le Canada a signé avec la Norvège (chasse au phoque) http://www.treaty-accord.gc.ca/ViewTreaty.asp?Language=1&Treaty_ID=103265 http://www.treaty-accord.gc.ca/TreatyList.asp?Type=Tous&Page=TL Voir aussi: L'Accord de libre échange entre le Canada et l'AELE http://www.dfait-maeci.gc.ca/tna-nac/back-fr.asp?format=print et Protocoles d'entente et de reconnaissance réciproque - Islande http://www.inspection.gc.ca/francais/anima/fispoi/export/mupd/iceislf.shtml ------------------------------------------------------------------ Le Canada échangera librement avec quatre pays d'Europe 7 juin 2007 - 12h18 Presse Canadienne Le Canada a conclu avec quatre petits pays d'Europe sa première entente de libre-échange depuis six ans. Cette entente conclue avec l'Association européenne de libre-échange a été annoncée jeudi par le ministre du Commerce international David Emerson. Cette association regroupe l'Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse. Le commerce entre ces pays et le Canada est estimé à environ 11 G$. L'entente devrait permettre d'augmenter les occasions d'affaires dans les secteurs des matériaux de construction, de produits forestiers, de pièces d'automobiles et dans le domaine de l'agriculture. La dernière entente de ce genre a été signée entre le Canada et le Costa Rica en 2001. http://www.lapresseaffaires.com/article/20070607/LAINFORMER/70607085/5891/LAINFORMER01

Il a reçu ses vaccins hier ! Le doc l'a trouvé en bonne forme. Depuis sa dernière visite, il a repris 0.7 livre de plus, ce qui n'est pas beaucoup considérant tout ce qu'il mange, mais sa petite prise de poids est quand même une bonne nouvelle ! p.s.: Il lui manque quelques poils sous le cou: c'est là où il a été rasé avant qu'on lui fasse sa prise de sang...

June 2, 2007 Ban on sale of dog meat now a law By Joyce Pangco Pañares CONGRESS has passed a law banning the trading in dog meat and promoting the elimination of rabies through mandatory dog immunization. President Gloria Macapagal Arroyo signed the law, the “Anti-Rabies Act of 2007,” and allocated P100 million to implement it. “We have become more animal-conscious now,” Executive Secretary Eduardo Ermita said. “Dogs are friends. They guard our homes, and we in return take care of them. Some of us even sleep beside our pets,” he said. Republic Act 8845, passed in 1998, bans the trading in dog meat, but its implementation has been selective as most provinces in the north of the country hide behind “tradition” to justify eating dogs. In Baguio alone, residents consume about 200 dogs a day, according to animal rights advocate Network for Animals. Network representative Melchor Alipio said the P5,000 fine imposed in RA 8845 was too small compared with the P55 million that dog traders earned annually. Section 11 of the new law imposes a P5,000 fine for every dog killed or traded for its meat and a jail term of one year to four years. “If the violation is committed by an alien, he or she shall be immediately deported after service of sentence without any further proceedings,” the law says. The law also requires dog owners to have their pets vaccinated regularly against rabies or face a fine of P2,000. Dog owners who let their dogs stray will be fined P500 for each stray. The law tasks the agriculture department to give free anti-rabies shots in depressed areas, and the health department to stock cheap anti-rabies vaccines for humans. Stray dogs will be impounded at government dog pounds. “Impounded dogs not claimed after three days from the dog pound shall be placed for adoption to qualified persons with the assistance of an animal welfare non-government organization,” the law says. http://www.manilastandardtoday.com/?page=news5_june1_2007 (Le Congrès Philippin vient de voter une loi interdisant le commerce de viandes de chien et prévenant les épidémies de rage par des vaccins préventifs. La loi 8845 votée en 1998 interdisant ce commerce ne ciblait que certaines provinces -pays, car les autres régions dans le Nord, prétextaient les "traditions" pour manger de la viande de chiens. Dans la seule ville de Bargio, les gens consomment jusqu'à 200 chiens PAR JOUR, selon la défense des Droits des Animaux aux Philippines. La Présidente Gloria Macapagal Arroyo a signé la "Loi anti-rabique 2007", allouant P100millions pour la mettre en application cette loi. Le Secrétaire d'Etat a déclaré : "nous avons fait plus de prise de conscience envers les animaux".. La Loi sanctionnera quiconque participera à ce commerce (vente et consommation) à P5,000 d'amande et à 1 à 4 ans de prison ferme. La Loi stipule que les propriétaires de chiens qui laisseront leurs animaux à l'abandon seront pénalisé. Les chiens abandonnés errant seront placés dans des chenils de l'état, et s'ils ne sont pas récupérés, ils seront donnés à l'adoption sous le controle des associations de défense animale. ) Traduction partielle trouvée dans le forum protectiondesanimaux

Voici un article intéressant et récent, concernant les pesticides: 30 mai 2007 Radio-Canada Les dangers des pesticides confirmés Le lien entre le contact aux pesticides et la maladie de Parkinson semble de plus en plus clair. Selon une équipe écossaise de l'Université d'Aberdeen, l'exposition à ces produits chimiques est un facteur qui augmente le risque de souffrir de cette maladie neurologique qui affecte le système nerveux central. En fait, un fort niveau d'exposition aux pesticides augmente le risque de 39 % et un faible niveau l'augmente de 9 %, montre cette étude qui a porté sur 959 patients atteints de la maladie. Ces résultats appuient ceux d'une équipe américaine de l'École de santé publique de l'Université Harvard. Ces chercheurs démontraient l'an dernier que l'exposition à long terme aux pesticides, même à petite dose, augmentait de 70 % les risques de contracter cette maladie. Cela ne prouve pas que les pesticides causent la maladie de Parkinson mais cela ajoute du poids aux signes d'un lien. — Dr Finlay Dick Le Parkinson affecte le système nerveux. Il se caractérise par la disparition d'un petit nombre de cellules nerveuses qui sécrètent un neurotransmetteur appelé dopamine. Cette dernière intervient dans le bon fonctionnement de nombreuses régions du cerveau et est indispensable à la survie des cellules. La cause du Parkinson n'est toujours pas connue. Aucun médicament n'a montré d'efficacité sur la progression de la maladie et il n'existe pas de traitement curatif. L'âge habituel de début de la maladie est autour de 60 ans. Les hommes sont un peu plus souvent touchés que les femmes (55 hommes pour 45 femmes). Trois signes principaux caractérisent le syndrome parkinsonien: * Des tremblements qui se manifestent chez deux tiers des personnes atteintes * Une raideur des muscles (ou rigidité, ou hypertonie), * une lenteur des mouvements (akinésie). L'étude conclut que si le risque majeur tenait à la présence dans sa famille de personnes atteintes de la maladie, l'exposition à des pesticides était un facteur nettement aggravant. La conclusion importante de cette recherche est la confirmation que la maladie de Parkinson n'est pas causée par un facteur unique, mais plutôt par une combinaison entre la prédisposition génétique et les facteurs liés au milieu. — Société de la maladie du Parkinson Environ 100 000 personnes au Canada sont atteintes de la maladie de Parkinson, dont 25 000 au Québec.

je ne suis pas certaine que les hirondelles nichent dans les bois animo: il me semble qu'elles nichent plutôt sous les toîts des granges, des étables, dans les quartiers résidentiels où des nichoirs sont aménagés pour elles, sous les toîts de balcons, etc. Pendant plus de 10 ans, tous les ans, il y avait des hirondelles bicolores qui venaient nicher dans un petit nichoir suspendu au cabanon, mais depuis 3 ans, je ne vois plus aucune hirondelle à l'horizon ! Les insecticides de toutes sortes (utilisés à outrance par des voisins qui ne supportent pas de voir un moustique ou une araignée chez-eux) ont eu raison d'elles

Pauvre chevaux ! Voila comment on les remercie de leur labeur !

ENVIRONNMENT: 01 juin 2007 Dans un souci de protection de l’environnement, le gouvernement de Dubaï a commencé à transformer les véhicules qui composent sa flotte de taxis en véhicules hybrides. Cela permet à Dubaï d’intégrer le petit groupe de pays développés ayant développé un système de transport publique durable et promouvant le développement durable et le respect de l’environnement.

Mais si on se débarrasse des moustiques, de quoi se nourriront les hirondelles, les chauve-souris, ????? ------------------------- Le mercredi 06 juin 2007 Êtes-vous prêts à payer 20 $ pour vous débarrasser des moustiques ? Le Droit Dès l'été 2008, les moustiques pourraient être moins nuisibles dans les zones urbaines des quartiers Orléans et Blackburn Hamlet, dans l'est d'Ottawa. Les élus des quartiers électoraux Innes, Orléans et Cumberland lancent cette semaine un vaste exercice de consultation publique afin de connaître l'intérêt des contribuables sur la mise en place d'un programme d'élimination des moustiques en vue de l'été 2008. Les élus Rainer Bloess, Bob Monette et Rob Jellett avancent que le programme sera en mesure d'éliminer 80 % des moustiques dès l'été prochain, et 90 % si l'initiative demeure en place pour les années subséquentes. ... suite http://www.cyberpresse.ca/article/20070606/CPACTUALITES/706060802/5173/CPDROIT

Du cheval au menu laterre.ca 5 juin 2007 redaction@laterre.ca Des défenseurs américains des droits des animaux veulent interdire l’abattage de chevaux aux fins de consommation. Un sous-comité de la chambre des représentants du comité sur l’agriculture du Congrès américain s’est récemment penché sur le bien-être des animaux de ferme. Hormis les conditions d’élevage des poules, des bovins et des porcs, un groupe d’activistes s’est notamment questionné sur la pertinence de l’industrie de la viande chevaline. Un projet de loi de l’État de l’Illinois prohibant l’envoi, la possession, l’achat, la vente ou les dons de chevaux destinés à être abattus à des fins de consommation a même été déposé, nous apprend la National Meat Association. Il serait même interdit d’exporter les chevaux au Canada ou au Mexique pour les y faire abattre. L’industrie chevaline américaine estime que l’exportation de viande chevaline injecte 30 M$ dans l’économie du pays. Pour l’Association américaine du Quarter Horse (AAQH), la récupération des bêtes est un aspect «nécessaire» de l’industrie équine. D’autres s’inquiètent des effets que pourrait avoir l’interdiction d’abattre les chevaux sur… le bien-être des animaux. «Les éleveurs qui n’ont plus les moyens de s’occuper de leurs vieux chevaux pourraient être forcés de les abandonner ou de les laisser mourir de faim…», relève la représentante de l’AAQH.

Je te comprends hop !!!!!!!!!!!! Les guêpes sont vraiment des insectes bizarres ! Elles sont attirées par à peu près n'importe quelles odeurs... J'en ai déjà vues boire de la vinaigrette et du vin ! Il y en a aussi qui sont attirées par les excréments de chats ou de chiens