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Les Madelinots prennent la mer! Julie Mercier, La Terre de chez nous 10 mai 2007 jumercier@laterre.ca Depuis le lundi 7 mai, les pêcheurs de homards des îles de la Madeleine s’activent en mer pour la saison de pêche qui prendra fin en juillet. Depuis quelques semaines, radoub (réparation du bateau) et trempage des casiers occupaient les pêcheurs. Le samedi 5 mai, c’était l’apothéose avec la mise à l’eau des cages, la 132e dans l’histoire de l’archipel madelinien. La Terre de chez nous était sur place pour vivre cette expérience inoubliable. Dès quatre heures du matin, le quai de Grande-Entrée fourmille d’activités. Les capitaines et leurs aides-pêcheurs se préparent à prendre le large sous le regard de la famille et des amis. Tout le monde est fébrile. « Ce n’est pas du stress. C’est de l’adrénaline », sourit Jérémie Cyr, un vieux loup de mer. À l’approche de cinq heures, les bateaux défilent à la queue leu leu vers la sortie du port, petits points lumineux à l’horizon. Puis c’est le signal. Les capitaines des quelque 120 bateaux mettent les gaz. Toute la journée, ils arpenteront la mer à la recherche de l’endroit idéal pour y délester leurs cages. Les capitaines arrêteront leurs navires au-dessus de la « chaîne à Allan », du « fond à Arthur», du « bouscueil » ou du « fond cassé », des fonds de pêche baptisés par les vieux pêcheurs madelinots. C’est sur ces zones pierreuses que le homard se terre. Fouetté par le vent et les vagues, chaque équipage s’affairera pendant des heures à jeter par-dessus bord ses 294 cages à coup de « trawl », un lot de sept et quinze casiers reliés entre eux par du cordage. À la surface, des bouées identifiées aux couleurs de chaque pêcheur permettront de les localiser. Les homardiers termineront la mise à l’eau en toute fin d’après-midi, impatients de reprendre le large lundi matin pour la levée des cages. Ce n’est qu’un début Pour les pêcheurs de homards des îles, le travail ne fait que commencer. Chaque matin, à cinq heures, ils prendront la mer pour ramener à la surface chacune de leurs 294 cages. Ils devront ensuite retirer les homards, apposer des élastiques sur leurs pinces et changer l’appât. Communément appelé boëtte, l’appât se compose de harengs, de maquereaux, de plies ou de sébastes. Lundi soir, après une première journée de pêche, Jérémie Cyr était satisfait. «C’est bon. J’ai pris 1100 livres par rapport à 1200 livres l’année passée». Pour l’ensemble des 325 homardiers de l’archipel, le représentant de l’Association des pêcheurs propriétaires des îles de la Madeleine (APPIM) parle d’un début de saison lent. «L’eau est encore froide, mais le homard est là», indique le pêcheur de Grande-Entrée. «On voit que son métabolisme est au ralenti», confirme le directeur général de l’APPIM, Léonard Poirier. Quant au prix, il ne sera connu qu’au début de la semaine prochaine. En 2006, le début de la saison avait été catastrophique avec un prix de 4,97 $/livre. « On ne l’a pas encore digéré », rappelle Jérémie Cyr. Avec des retombées de plus de 30 M$, la pêche aux homards revêt une importance capitale pour l’économie des îles. Avec le déclin des stocks de poissons de fond, il s’agit d’une des dernières pêches qui permet de faire vivre toute une communauté. Reprendre le cap après la tempête Pour les Madelinots, la mise à l’eau des cages de homards est tout un événement. «La vie recommence. On sort de l’hibernation» (Ils reviennent pourtant tout juste de chasser les phoques), explique Jonathan Lapierre, conseiller municipal de Grande-Entrée. La mise à l’eau est aussi l’occasion de souligner le travail des pêcheurs. « Ce n’est pas un métier banal. Ils vont sur l’eau et ils risquent leur vie », insiste le porte-parole de la 132e mise à l’eau. En effet, la profession de pêcheur n’est pasde tout repos. « Quand il fait beau, c’est le plus beau métier du monde. Sinon, c’est l’enfer », poursuit M. Lapierre.
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Paul Martin veut un golf sur sa terre laterre.ca 15 mai 2007 redaction@laterre.ca L’ex-premier ministre canadien Paul Martin veut aménager un terrain de golf sur sa ferme de 43 hectares du Lac-Brome dans les Cantons-de-l’Est. L’ancien premier ministre du Canada et producteur agricole en a fait la demande à sa municipalité. Producteur de vache-veau, Paul Martin a acquis sa ferme du Chemin Chapman en 1976. Il a récemment demandé à la municipalité l’autorisation d’y construire un golf de six trous, ce qui lui permettrait de se soustraire aux exigences du ministère de l’Environnement envers les golfs réguliers de neuf trous. Il y a cependant encore loin de la coupe aux lèvres. Même si le Comité consultatif de la municipalité ne peut s’opposer, plusieurs embûches pourraient contrecarrer les plans de M. Martin. Les écologistes pourraient notamment mener la vie dure au projet en raison de la crise des cyanobactéries (algues bleues) qui affecte le lac Brome. La terre de Paul Martin est baignée par trois ruisseaux qui se déversent dans le lac Brome. Rappelons que les engrais, fortement utilisés pour verdir les terrains de golf, sont l’une des principales causes de l’apparition des algues bleues. Le Comité consultatif a donc demandé la réalisation d’une étude supplémentaire afin de déterminer les impacts environnementaux du projet couvrant huit hectares. La Fédération de l’Union des producteurs agricoles de Saint-Hyacinthe n’a pas encore été saisie du projet. Elle devra se prononcer si le projet se rend jusqu’à l’étape de l’examen par la Commission de protection du territoire agricole. Règle générale, les producteurs agricoles désapprouvent la présence d’installations de type « récréatif extensif » en milieu agricole. « Nous essayons toujours de voir l’impact d’un projet sur les activités agricoles à long terme », a déclaré un porte-parole de la Fédération, précisant que « le gentleman farming » était craint.
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Comme on peut voir sur la photo, le piège est prêt !!!!!!!!!!! ---------------------------------------------------------------------------- Le mardi 15 mai 2007 Le Quotidien, Jeannot Lévesque CLUB DE GOLF CHICOUTIMI Un rôdeur attire l'attention Serge Émond Le Quotidien CHICOUTIMI Depuis samedi, un visiteur inhabituel s'amuse à arpenter une portion du Club de golf Chicoutimi sans payer son droit d'entrée. La présence d'un ours a incité le surintendant du terrain, Richard Wauthier, à aviser les représentants du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, hier matin. Dans les minutes qui ont suivi, des employés du ministère ont installé une cage à proximité du vert du cinquième trou, dans l'espoir de capturer l'intrus. «Tôt samedi matin, un employé a aperçu un ours sur le tertre de départ du sixième trou, raconte Richard Wauthier. Il s'est sauvé quand il a vu l'employé. J'ai appelé au ministère de la Faune et on m'a demandé s'il y avait des petits avec l'ours. Ce n'était pas le cas et l'ours ne devrait pas représenter un danger. La personne m'a quand même demandé de rappeler si l'animal revenait. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070515/CPSPORTS05/705151009/5228/CPSPORTS
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Le mardi 15 mai 2007 Photo AFP Greenpeace demande «l'arrêt immédiat» de la pêche au thon rouge Agence France-Presse La Valette L'organisation internationale écologiste Greenpeace a demandé mardi à La Valette «l'arrêt immédiat» de la pêche au thon rouge, accusant les gouvernements des pays pêcheurs d'«inaptitude totale à garantir une exploitation durable» de cette espèce. «La pêche au thon rouge a échappé à tout contrôle. Les gouvernements ont démontré leur inaptitude totale à garantir une exploitation durable de cette espèce. Toutes les flottes devraient être rappelées dans leurs ports, sinon on risque d'assister à la dernière année de pêche au thon rouge en Méditerranée», a dénoncé Sebastian Losada, un responsable de Greenpeace, dans un communiqué. Le navire «Rainbow Warrior» de l'organisation écologiste partira cette semaine de La Valette «pour témoigner et illustrer le pillage par l'industrie de la pêche du thon rouge dans la Méditerranée du sud», selon le communiqué. «Il faut changer de manière urgente et radicale le mode de gestion des océans. La création de réserves maritimes représente le seul moyen pour protéger et reconstituer l'environnement maritime et permettre aux stocks de poissons surexploités de se reconstituer», estime François Provost, un responsable de Greenpeace France, dans le même communiqué. suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070515/CPENVIRONNEMENT/70515040/6108/CPENVIRONNEMENT
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Le commerce d'ivoire en expansion sur eBay
Animal a posté un sujet dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Le commerce d'ivoire en expansion sur eBay AFP 15 mai 2007 - 12h31 Le commerce de l'ivoire sur le site internet de ventes aux enchères eBay est en pleine expansion, ce qui montre que le braconnage des éléphants se poursuit, selon une étude publiée mardi en Allemagne par une ONG de défense des animaux. Le Fonds International pour la protection des animaux (IFAW) a examiné pendant une semaine l'offre d'articles en ivoire proposé par eBay en Allemagne, en Grande-Bretagne, en Australie, en Chine, en France, au Canada, aux Pays-Bas et aux États-Unis. Il a découvert plus de 2200 objets en ivoire provenant de défense d'éléphants vendus illégalement. Plus de 90% ont été mis en vente en violation des propres réglementations du site sur le commerce des animaux sauvages. L'IFAW a immédiatement appelé la direction d'eBay à décider une interdiction générale du commerce d'ivoire sur son site. «Internet offre aux criminels la possibilité d'écouler anonymement leurs produits de contrebande», explique Peter Pueschel, chargé de la lutte contre le commerce d'animaux sauvages à l'IFAW. «Le commerce de l'ivoire est en plein boom, car il assure des profits énormes sans le moindre risque. eBay devrait utiliser sa position de plus grand site de ventes aux enchères en ligne et, par une interdiction internationale d'enchères, assécher le terrain de ce commerce illégal», ajoute M. Pueschel. Le commerce de l'ivoire est en règle générale interdit, à quelques exceptions, par exemple pour les objets d'antiquité qui sont accompagnés de certificats. Mais dans de nombreux pays, il est possible sur eBay de proposer des articles en ivoire sans devoir présenter les papiers nécessaires, et les réglementations ne sont pas appliquées, eBay ne retirant que rarement de son offre des objets dénoncés par l'IFAW. En Allemagne cependant, relève l'ONG, seuls les objets d'ivoire avec des documents en règle sont mis en vente sur le site d'eBay, grâce à une étroite coopération avec l'IFAW. Le 24 avril dernier, près d'une vingtaine d'Etats africains avaient réclamé une interdiction totale du commerce de l'ivoire pendant vingt ans afin de préserver leurs éléphants victimes du braconnage. http://technaute.lapresseaffaires.com/nouvelles/texte_complet.php?id=81,12399,0,052007,1353401.html&ref=cyberpresse -
De Shangaï aux USA, 35 jours dans un conteneur
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Conseils printemps-été pour les animaux 'sauvages'
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans "L'ÉTHIQUETTE"
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toujours, et de plus en plus d'actualité
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement
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les abeilles du Québec ne sont pas non plus épargnées 04/05/2007 Québec Plus de 40% des abeilles décimées (D'après PC) - Les apiculteurs québécois ont perdu plus de 40% de leurs abeilles cette année, un recul presque aussi élevé qu'en 2003 quand 50% des colonies avait été perdues. La Montérégie et le sud de la province sont les régions les plus touchées. http://lcn.canoe.com/lcn/infos/national/archives/2007/05/20070504-102754.html
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J'ai justement lu un petit article sur ce sujet la semaine dernière: 07-05-2007 Avoir une famille nombreuse serait un délit environnemental ... Selon Optimum Population Trust (OPT), une association qui travaille à l’impact de la croissance démographique sur l’environnement, au niveau individuel l’action la plus efficace pour lutter contre le réchauffement climatique est de se limiter à un seul enfant par individu. Pour Valerie Stevens, co-directrice de l’OPT, les couples qui ont 3 enfants, au lieu de 2, augmentent leurs émissions de dioxyde de carbone (CO2) d'une quantité équivalente à celle émise par 620 vols aller-retour entre l’Europe et l’Amérique... Si l’association se veut un brin provocatrice en comparant le coût d’un préservatif au coût social des émissions de CO2 d'un anglais lambda (environ 44 000 euros, durant sa vie), la surpopulation est assurément un problème, le généticien Albert Jacquard n’hésitant pas à déclarer que la Terre peut supporter les 9 milliards d’hommes que nous pourrions être en 2050 '… à condition que ce soit des paysans qui ne demandent à la Terre que leur nourriture. On ne peut offrir à 9 milliards d’hommes les possibilités de pouvoir prendre l’avion, de consommer du pétrole… et par conséquent il faut bien se rendre compte qu’il y a actuellement des hommes de trop sur la Terre, ces hommes de trop ne sont pas ceux qui sont exigeants, autrement dit ce sont des gens de l’Occident' (1). D'autre part, l'association estime qu'une stratégie de lutte contre le réchauffement climatique basée sur le 'contrôle' de la population, impliquerait moins d'impôts, de lois et autres contraintes qui pèsent sur chacun d'entre nous. En conclusion, l'OPT considère qu'une telle politique serait non-seulement plus facile à mettre en œuvre mais aussi plus rapide, moins coûteuse et moins liberticide. En outre, Valerie Stevens note que 'si la démographie est largement reconnue comme une des principales causes du changement climatique, les politiciens et les écologistes ne l'abordent que rarement par crainte de froisser (leurs électeurs et adhérents, NDLR).' Alex Belvoit 1- Extrait de l’édito du magazine Echo Nature, de février-mars 2007, intitulé 'Pour une décroissance démographique'.
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Pour voir la photo de ces pauvres pigeons, cliquez ici: http://www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPACTUALITES/705100349/5174/CPDROIT Le jeudi 10 mai 2007 Le Droit Chez Henri, un hôtel à pigeons Le Droit Les pigeons ont élu domicile dans l'ancien hôtel Chez Henri et ils semblent incapables d'en sortir depuis que la plupart des fenêtres ont été placardées. Plusieurs employés du gouvernement fédéral travaillant au centre-Ville de Gatineau (secteur Hull) observent avec inquiétude des pigeons qui se heurtent aux fenêtres de l'hôtel désaffecté et qui semblent coincés à l'intérieur. Lors du passage du journaliste et du photographe du Droit, hier après-midi, plusieurs oiseaux se frappaient aux fenêtres. L'une de ces fenêtres est brisée et les oiseaux peuvent y passer, mais il semble plus facile d'entrer que de sortir de l'endroit. "Depuis que les fenêtres ont été placardées, au cours des derniers jours, les pigeons sont coincés. On a peur qu'ils meurent sur place. Ce n'est pas une façon de traiter les animaux. Qu'on trouve une façon de les faire sortir", a déclaré une fonctionnaire qui a préféré conserver l'anonymat. L'employé de la Ville de Gatineau qui a reçu la plainte, Gilles Huot, a indiqué que le propriétaire du bâtiment a été avisé et qu'il s'est engagé à laisser certaines fenêtres ouvertes pour que les oiseaux s'échappent. La Ville peut agir contre un propriétaire qui fait preuve de négligence mettant en danger la vie des animaux, a-t-il précisé. Le propriétaire, Nader Dormani, a répliqué qu'il a placardé son édifice parce que des voleurs et des sans-abri s'y étaient introduits. "Lorsqu'on m'a parlé des oiseaux, j'ai fait ouvrir des fenêtres au troisième étage mais je ne peux pas aller en-dedans pour les chasser de là. Moi, j'ai hâte de rénover le bâtiment et de le convertir en édifice à bureaux, mais la ville tarde à me donner les autorisations nécessaires. Ça fait deux mois que j'attends une réponse. ... suite: http://www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPACTUALITES/705100349/5174/CPDROIT
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Des singes gênants, capturés et relâchés dans 1 réserve
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Montérégie Découverte d'un autre charnier de porcs Mise à jour le jeudi 10 mai 2007, 15 h 54 . L'industrie porcine est en difficultés. (archives) La Coalition québécoise pour une gestion responsable de l'eau, Eau Secours!, accuse le ministère de l'Environnement d'inaction contre des éleveurs de porcs sans scrupules qui menacent la nappe phréatique. Les autorités ont découvert un deuxième charnier de porcs en Montérégie, à Saint-Césaire cette fois au sud-est de Montréal. Le producteur porcin Réjean Benoît a entassé des dizaines de cadavres de porcs sur sa terre et les a recouverts de fumier. Il dit que d'autres producteurs, aux prises avec des difficultés financières, utilisent aussi cette méthode que le ministère de l'Agriculture qualifie d'inadéquate. Des maladies qui affectent les bêtes et la chute du prix du porc sur le marché ont entraîné des difficultés financières pour les éleveurs. Ces derniers économisent sur le transport des bêtes mortes, une dépense qui peut atteindre 3500 $ par année, en en disposant par eux-mêmes. Le président de l'organisme Eau Secours!, André Bouthilier, qualifie la situation d'inacceptable en raison des risques pour les sources d'approvisionnement en eau. Le Journal de Chambly révélait, le mois dernier, la découverte d'un premier charnier de porcs en putréfaction à Sainte-Angèle-de-Monnoir. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/05/10/008-Charnier-porc.shtml
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Des carcasses d'animaux dérangeantes Mise à jour le jeudi 10 mai 2007, 12 h 59 . Carcasses d'animaux jetées dans un champ Les producteurs agricoles souhaitent obtenir l'aide financière de Québec afin de réduire les coûts de récupération de leurs animaux morts. Plusieurs ne font plus appel aux services de récupération, qu'ils jugent trop chers. Ils préfèrent enfouir les animaux derrière leur ferme, une pratique autorisée par le ministère de l'Agriculture. Cette pratique cause toutefois de plus en plus de plaintes, puisque les producteurs ne peuvent enterrer leurs bêtes lorsque le sol est gelé. Ils amoncellent donc leurs bêtes mortes dans les champs. « Les coûts [de récupération] sont assez élevés. Ça peut varier de 75 $ à 100 $ [par carcasse]. On a plusieurs bêtes, donc c'est dispendieux », affirme le président du Syndicat des producteurs de bovins, Robert Collard. Selon M. Collard, le fait qu'il n'existe qu'une seule entreprise de récupération d'animaux morts au Québec, Sanimax, explique la hausse continuelle des coûts. En attendant l'aide du gouvernement, la Fédération des producteurs de bovins envisage de construire une usine qui produira du carburant grâce à la récupération des graisses animales. L'usine devrait être en opération dans trois ans. Les producteurs agricoles subissent de 3 % à 10 % de pertes par année, autant chez les bovins que chez les porcs ou la volaille. Un reportage de Daniel Boivin http://www.radio-canada.ca/regions/saguenay-lac/2007/05/10/004-animaux-morts.shtml
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Le jeudi 10 mai 2007 Le Quotidien, Louis Potvin Des bêtes pourrissent au grand air Louis Potvin Le Quotidien ROBERVAL Le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec (MAPAQ) a obligé un producteur de bovins de Roberval à enterrer une quinzaine de carcasses de boeufs et de veaux qui pourrissaient à ciel ouvert. C'est un citoyen de Roberval qui a fait la sordide découverte dans un boisé du secteur de l'Anse situé au bout d'une terre agricole. Il a dénoncé la situation au Quotidien après quoi il a porté plainte au MAPAQ. ... Ce ne serait pas la première fois que des bêtes seraient déposées dans ce fossé derrière la forêt. Effectivement, des ossements de boeufs jonchaient le trou d'une circonférence de 50 mètres. C'est lors d'une balade en VTT que l'homme est tombé sur cet amoncellement de boeufs morts. "Je ne m'attendais pas à ça. J'ai fait un maudit saut", témoigne-t-il. Cette scène désolante le choque. "On n'a pas le droit de faire ça! Quel genre de pollution cela fait à l'environnement? De plus, ça va attirer des ours", se plaint, consterné, le citoyen de Roberval. Situation réglée Le lendemain de la visite du journaliste du Quotidien, un agent du MAPAQ est intervenu auprès du producteur fautif. Johanne Martel, directrice du bureau régional, confirme qu'une plainte a été déposée. "Nous avons constaté l'infraction, confie-t-elle. Le producteur a enterré ses bêtes, selon les normes du ministère". Le dossier est maintenant réglé. Il a été impossible de connaître le nom du producteur fautif, car le ministère assure la confidentialité des personnes concernées par la plainte. Dépendant de la situation, le MAPAQ aurait pu obliger le propriétaire à faire ramasser les carcasses par un récupérateur de viande non comestible. http://www.cyberpresse.ca/article/20070510/CPACTUALITES/705100551/5056/CPQUOTIDIEN
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On cherche sûrement une utilisation à la graisse de phoque ! ---------------------------------------------------------------------- Le vendredi 11 mai 2007 Les oméga-3 marins auraient un effet positif sur la masse musculaire Presse Canadienne Québec Une étude démontre que la consommation d'oméga-3 marins a un effet positif sur la masse musculaire. Cette étude a été menée par une équipe de chercheurs dirigée par Carole Thivierge, de l'Institut des nutraceutiques et des aliments fonctionnels (INAF) de l'Université Laval. Cette découverte, publiée dans un récent numéro du Journal of Physiology, pourrait avoir d'importantes répercussions dans le domaine de l'élevage animal de même qu'en santé humaine. Chez les mammifères, la capacité d'utiliser les nutriments provenant de l'alimentation pour les convertir en protéines musculaires diminue avec l'âge. Carole Thivierge, également professeure au Département des sciences animales de l'Université Laval, explique que les oméga-3 marins pourraient être une alternative à la stimulation hormonale de la croissance chez le bétail. La restauration de la sensibilité à l'insuline par les oméga-3 marins pourrait par ailleurs prévenir la perte de masse musculaire chez les personnes âgées et, du même coup, les problèmes de santé qui accompagnent ce phénomène, croit Carole Thivierge. Il est à noter cependant que les recherches chez les humains ne sont pas toutes complétées. http://www.cyberpresse.ca/article/20070511/CPACTUEL/70511021/1015/CPACTUEL
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Le vendredi 11 mai 2007 Regain de poids après un régime: l'environnement en cause? Laura-Julie Perreault La Presse Trois-Rivières Un régime alimentaire et de l'exercice vous ont fait perdre cinq kilos, mais vous les avez repris en quelques semaines sans comprendre pourquoi? Des chercheurs de l'Université Laval viennent tout juste de trouver une explication surprenante, liée à la qualité de l'environnement. En suivant de près la perte de poids d'une quinzaine de personnes, Angelo Tremblay et son équipe de chercheurs de la faculté de médecine de l'Université Laval ont découvert chez leurs sujets une baisse de métabolisme anormale, une diminution des enzymes qui permettent de transformer les graisses en énergie ainsi qu'une chute des hormones thyroïdiennes. « Ce sont des changements qui ne facilitent pas le maintien du poids et même qui favorisent le regain du poids », a exposé le chercheur en kinésiologie, hier, lors du congrès de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS), qui se tient à Trois-Rivières depuis lundi. « C'est le message d'un organisme qui ne veut pas tolérer cette perte de poids. Qui dit : tu as beau te priver, je ne dépense plus rien », vulgarise le chercheur en entrevue avec La Presse. Mais comment expliquer cet entêtement du corps? Angelo Tremblay croit que 50 % de la réponse se cache derrière les contaminants que nos corps ingurgitent quotidiennement. L'expert montre du doigt les organochlorés que l'on retrouve dans certains pesticides. La grande majorité de ces insecticides de la première génération, utilisés abondamment entre les années 40 et 70, est aujourd'hui proscrite, mais leur présence dans notre environnement se fait toujours sentir. Des études ont déjà lié leur présence dans l'organisme humain aux maladies de Parkinson et d'Alzheimer. Résultat : nous sommes tous pollués, dit le Dr Tremblay. Les contaminants sont solubles dans les graisses du corps et leur présence augmente avec l'âge. Dans le cas d'une perte de poids, les contaminants, répartis dans les graisses, deviennent tout à coup plus concentrés. Et c'est ce changement, explique le chercheur, qui freine en partie la perte de poids. Un problème sans solution L'équipe de chercheurs a tenté de trouver une solution à la contamination. À ce jour, une seule avenue est concluante : l'allaitement maternel permet d'évacuer des toxines mais les refile au poupon. L'alimentation et la pratique d'activités physiques, elles, n'y peuvent rien. Les tests de l'Université Laval ont démontré que les végétaliens, qui ne consomment ni viande, ni produits laitiers, ni oeufs, sont tout aussi contaminés que les amateurs de rôti de boeuf. Les athlètes, tout comme les sédentaires, sont affectés. « Notre style de vie n'a aucun impact là-dessus », ajoute le Dr Tremblay en affichant une mine déconfite. « Je n'aime pas trop être porteur d'une mauvaise nouvelle sans solution », conclut le chercheur, qui a pourtant le sourire facile, avant de retourner échanger avec ses collègues. 75 ans de savoir francophoneQuelque 4000 chercheurs, scientifiques et experts originaires de plus de 30 pays ont pris d'assaut le campus de l'Université du Québec à Trois-Rivières cette semaine pour le 75e congrès annuel de l'Association francophone pour le savoir (ACFAS). De lundi à aujourd'hui, des centaines de participants ont pu présenter à leurs collègues les résultats de leur travail de recherche. Les sujets abordés dans les colloques et les présentations libres touchent tantôt les sciences sociales, tantôt l'éducation, la médecine ou les sciences pures. http://www.cyberpresse.ca/article/20070511/CPENVIRONNEMENT/705110655/6108/CPENVIRONNEMENT
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Sommet international anticorrida à Lisbonne
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents