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Compagnons dans le malheur
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
Ces images sont tout simplement horribles ! Autant le loup que l'âne sont dans un état pitoyable dans cette minuscule cage et on voit bien qu'ils ont été maltraités et sous-alimentés ! Je présume que les proprios sont tout fiers de présenter ces photos dans les journaux ! Ils devraient avoir honte ! -
17 chiens brulés vifs dans 1 centre de stérilisation (Inde)
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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bronzez sans cruauté sa commence maintenant
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Événements
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Poulets - Un bon compromis selon l'Union Européenne
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Novillero espagnol gravement blessé à Aguascalientes
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3 journées pour s'émerveiller des porcheries d'aujourd'hui
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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La chasse aux petits gibiers aux prises avec un déclin Louis-Gilles Francoeur (LE CHASSEUR SANS-COEUR) Édition du vendredi 27 avril 2007 Depuis deux semaines, Gaïa, ma belle épagneule française, explose de vitalité. Mais ce n'est pas à cause du retour du temps doux, car elle regrette déjà l'hiver, elle qui se délecte de la moindre plaque de neige, où elle saute, rebondit et se roule de plaisir dès qu'elle en voit une. Non, c'est le retour des oiseaux qui la stimule. Pour un chien de chasse, c'est le vrai début de la chasse! Un arrêt n'attend pas l'autre devant les étourneaux, pigeons, corneilles, goélands, écureuils, même les mouffettes (dans ce cas, c'est moins drôle à vivre!). Entraînement oblige, je joue le jeu du chasseur qui poursuit la logique de l'arrêt et passe devant le chien pour faire lever tous ces «gibiers» que ma chienne découvre dans les parterres ou au parc, un rituel qui intrigue et fait sourire beaucoup d'urbains... Le plaisir de chasser avec un chien (ou devrais-je dire le plaisir de voir chasser le chien puisque c'est lui qui, désormais, mène le bal) m'a forcé, il y a plusieurs années, à abandonner la chasse à l'orignal. Cette chasse, qui exige organisation et préparatifs méthodiques, rognait une trop grande partie de la saison de chasse aux petits gibiers pendant les périodes les plus productives. Même si je fais faux bond quelques jours à ma belle à quatre pattes pour débusquer un chevreuil à l'arc, la chasse aux petits gibiers demeure pour moi la plus fascinante de toutes parce qu'elle permet de visiter de nombreux et vastes territoires aux plus beaux moments de l'automne et parce que cet exercice constitue un entraînement physique et cynégétique à nul autre pareil. Contrairement aux chasses très «zen» et quelque peu paresseuses qu'on pratique aujourd'hui en méditant des jours entiers sur une plate-forme de guet en attendant un orignal ou un chevreuil souvent plus virtuel que réel, la petite chasse offre de multiples rencontres, des surprises à répétition, des montées d'adrénaline garanties et des mets de roi pour les soupers d'hiver avec les amis. La passion de la chasse débute la plupart du temps par une première «perdrix» ou un premier lièvre tiré dans le boisé de ferme d'un parent ou dans une forêt publique à proximité de la résidence familiale. C'est généralement pour sa pratique qu'on acquiert son premier fusil. Puis, après avoir été formé à la traque fine par ces gibiers modestes mais rusés, le chasseur tente le coup sur les grands cervidés ou l'ours. Naguère, la passion pour le petit gibier régnait en maîtresse incontestée. En 1982, on avait vendu 310 000 permis de chasse au petit gibier aux seuls résidents québécois. Mais voilà qu'en 2005, le nombre d'adeptes avait chuté à 150 000, une diminution de 50 %. Que s'est-il passé pour que la plus populaire des chasses au Québec -- et aussi la plus ancienne puisqu'elle a assuré une grande partie de la sécurité alimentaire des colons et des trappeurs pendant des siècles -- perde autant de popularité? C'est à cette question importante que tentent de répondre les biologistes Gilles Lamontagne, ancien responsable du secteur des grands gibiers -- eh oui! -- au ministère des Ressources naturelles et de la Faune (MRNF), et sa collègue Héloïse Bastien, de la région de la Capitale-Nationale, dans un projet intitulé Plan de gestion du petit gibier au Québec 2007-14, qu'ils ont déposé en septembre dernier au Groupe Faune national. Ce document étant en voie d'amélioration avant de devenir un projet de plan de gestion officiel, en théorie, il n'existe pas. Mais il est néanmoins fascinant, car les deux biologistes y dressent un bilan des problèmes susceptibles d'expliquer le déclin de la petite chasse et les moyens d'y remédier, que nous aborderons la semaine prochaine en attendant la version officielle de ce plan. Le déclin de l'intérêt pour la «petite chasse», comme on l'appelle souvent à tort, coïncide avec l'accroissement substantiel des cheptels d'orignaux et de cerfs, qui résulte à la fois de plans de gestion efficaces et, dans le cas du chevreuil, du réchauffement du climat ainsi que de cet «effet de cerf» qui repousse l'espèce vers l'aire limite de son expansion et accroît ses effectifs dans le sud du Québec. Le résultat est éloquent: durant la période de déclin de la petite chasse, les ventes de permis de chasse au chevreuil ont augmenté de 25 % et celles de permis de chasse de l'original de 33 %, soit des hausses respectives de 40 000 et 25 000 permis. Plusieurs facteurs jouent contre la petite chasse, notamment la modification des valeurs sociales qui en incite plusieurs à interdire l'accès à leurs propriétés aux chasseurs, les nouveaux modes de survie qui empiètent de plus en plus sur le temps de loisir, l'envahissement des zones de chasse périurbaines par la construction résidentielle et l'agriculture, les réglementations municipales de plus en plus tracassières sur l'usage des armes, même de courte portée, et les difficultés croissantes d'acquisition d'armes de chasse. Et les gouvernements n'ont pas réagi malgré l'impact économique de ce déclin. Cette chasse aux gibiers plus modestes se situait encore en 2002 à égalité avec la chasse aux cerfs avec des retombées annuelles de 78 millions de dollars, derrière l'orignal, qui garde le haut du pavé avec des retombées de 121 millions. Par ailleurs, la chasse au petit gibier n'a plus le créneau exclusif qu'elle détenait autrefois au début de la saison pendant quelques semaines, avant l'ouverture de la chasse au gros gibier. Progressivement, les saisons de chasse aux gros gibier se sont déplacées vers le début de la saison dans les pourvoiries et les réserves gouvernementales. Dans le cas du cerf de Virginie, dont l'abondance attire de plus en plus de monde, la chasse à l'arc débute dans plusieurs territoires une semaine après le début de la saison au petit gibier. C'est probablement d'ailleurs ce qui a le plus détourné les chasseurs de petit gibier vers la grande chasse. Et, comme la cohérence et la vision ne sont pas les qualités premières de tous les gestionnaires et représentants des chasseurs, le projet d'autoriser la chasse à l'arbalète pendant la saison de chasse va accentuer le déclin de la petite chasse en doublant presque en quelques années le nombre de chasseurs dans ce créneau saisonnier, ce qui va accélérer à la fois le déclin de la chasse à l'arc et celle du petit gibier. En somme, à Québec, on va en venir à se tirer non pas dans le pied mais dans les deux pieds! À cette mégestion de la chasse s'ajoute un problème encore plus grave: l'accès de plus en plus difficile à la fois aux terres publiques et aux terres privées pour la petite chasse. Les amateurs de chasse au cerf louent de plus en plus de terres privées et ne veulent y voir personne déranger leur gibier même quand ils ne chassent pas en début de saison. Plusieurs n'osent même pas chasser le petit gibier sur les terres qu'ils louent alors que cette chasse, d'après mon expérience, non seulement ne dérange pas les cerfs mais peut même favoriser les chasseurs en stimulant les déplacements des chevreuils. Il m'est arrivé à plusieurs reprises de chasser le petit gibier avec mon chien pendant que mes amis chassaient le chevreuil dans le même territoire sans que cela nuise aux chasseurs à l'affût, ni même aux chevreuils, que j'ai souvent vus en train de nous observer, mon chien et moi, sans le moindre signe de panique. Mais il y a pire: de plus en plus, on voit des chasseurs de gros gibiers interdire l'accès aux zones de chasse là où ils se sont installés sur les terres publiques, une attitude totalement illégale. On voit désormais des pancartes affirmant que tel groupe chasse ici depuis dix ans. Et on les orne parfois de têtes de mort quand on n'obstrue pas des sentiers et des chemins publics avec des barrières, et ce, en toute impunité. Plusieurs zecs et réserves gouvernementales ont d'ailleurs institutionnalisé le monopole des chasseurs de gros gibiers sur le territoire public, notent les deux biologistes, précisant que le phénomène appréhendé du dérangement n'a jamais été prouvé. «Poliment exclue, la clientèle [pour le petit gibier] se tourne vers d'autres activités plus facilement accessibles», concluent-ils. On y revient la semaine prochaine. - Lecture: Une histoire de l'écologie au Québec - Les regards sur la nature des origines à nos jours, par Yves Hébert, Éditions GID, 477 pages. Depuis Histoire de la chasse de Paul-Louis Martin, voilà certes un des livres les plus fascinants qu'il m'ait été donné de lire sur l'évolution de nos visions sur la nature d'ici. Certes, la vision plus écologique d'Yves Hébert, qui dépasse la récolte des gibiers pour s'intéresser aussi aux homards, aux pêcheries maritimes et à l'évolution de nos politiques de protection, constitue une exploration inégalée de notre passé et de nos valeurs, qui éclaire froidement le présent. Ce premier regard global, qui touche autant le déboisement que l'évolution des cheptels et les politiques jusqu'à la naissance du mouvement environnementaliste, fait de ce livre un incontournable pour quiconque veut avoir une vue d'ensemble de ce que notre culture fait de la nature. Vos réactions Coûts prohibitifs - par Royal Dupuis (dupuy@bellnet.ca) Le samedi 28 avril 2007 08:00 Dix ans d'avance ! - par Jean Laporte (jeanlaporte@videotron.ca) Le vendredi 27 avril 2007 18:00 Je ne suis pas surpris - par Fernand Trudel Le vendredi 27 avril 2007 11:00 Les rois de la forêt publique... - par Gabriel Montreuil Le vendredi 27 avril 2007 07:00 Réagissez à ce texte http://www.ledevoir.com/2007/04/27/141068.html
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Le mardi 08 mai 2007 Le règlement s’appliquera à tous les navires, dans tous les milieux marins au Canada et contribuera à éliminer les rejets délibérés, négligents ou accidentels de polluants par les bateaux. Photothèque La Presse Tolérance zéro à l'endroit de la pollution marine Presse canadienne Ottawa Le Canada dispose maintenant d’un règlement consolidé sur la prévention de la pollution par les navires et sur les produits chimiques dangereux. Ce règlement, à tolérance zéro, s’appliquera à tous les navires, dans tous les milieux marins au Canada et contribuera à éliminer les rejets délibérés, négligents ou accidentels de polluants par les bateaux. http://www.cyberpresse.ca/article/20070508/CPSOLEIL/70508139/6584/CPSOLEIL
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... ... Le citoyen de Saint-Narcisse mentionne qu’en 2000, une maladie fut détectée chez les cervidés. Puis en 2002, ce fut la maladie de la vache folle. «Les deux premières années, il y avait des États américains qui étaient encore ouverts à l’importation, mais en 2002, toutes les frontières furent fermées. Comme j’y envoyais 90% de mes bêtes, ce fut un peu un clou dans le cercueil. Une chance que nous avions lancé Vie de Velours car on aurait trouvé le temps pas mal long. Mon choix fut alors de baisser mon troupeau à 275 bêtes et à partir de 2005, j’ai monté un marché pour la chasse, ici au Québec, en Beauce plus particulièrement. Ces deux dernières années, on a réussi à joindre les deux bouts. J’élève les mâles jusqu’à 10-11 ans. Les panaches sont envoyés à Vie de Velours et les bêtes pour la chasse», a raconté M. Hébert. M. Hébert est le président de l’Association des éleveurs de wapitis du Québec, un regroupement dont il avait été un des fondateurs, il y a 8 ans. «Notre association regroupe 20 membres, soit les éleveurs sérieux du Québec. Une des conditions pour être membre est qu’on doit élever des wapitis de race pure. Le principal débouché pour nos membres demeure les panaches. Toutefois, nous travaillons très fort pour développer des marchés pour la viande de wapiti. Cette viande présente une douce saveur mais distincte, qui plaît aux palais les plus fins. C’est un aliment sain pour le cœur, car c’est une viande maigre. La viande de wapiti est vendue en coupes connues comme steaks, carrés, longe, médaillons, burgers, saucisses et viande à ragoût», a fait ressortir le président. L'article: http://www.cyberpresse.ca/article/20070507/CPNOUVELLISTE/70504059/5318/CPNOUVELLISTE
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Cherche famille d'accueil pour s'occuper pendant 6 mois maximum, d'une gentille chatte âgée de 6 ans. Je débourserais tous les frais associés à ses soins. faure_elisabeth@hotmail.com I am hoping that someone in this group might be of some help to me - I am currently seeking a foster home for a beautiful six-year old female cat, for a period of no more than six months, and would naturally pay all costs associated with her care. I am getting increasingly desperate, if you or anyone you know could be of help, please email me at faure_elisabeth@hotmail.com
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Bonjour, Moi je suis le très charmant Charlie ! Je suis un très bon chien plein de vie ! J’aime beaucoup jouer et je m’entends bien avec tout le monde. Le croisement du Lévrier avec le berger Australien fait de moi un chien exceptionnel ; Ces deux races sont généralement des chiens très doux, intelligent et sociable… c’est qualités me décrivent très bien, issus de deux races agile et rapide, c’est moi meilleur sprinter ! En plus de mes magnifiques yeux de couleur différente, j’ai l’air très gracieux, n’est-ce pas ? Je me cherche une famille bien spéciale ! Je veux vivre avec des gens actifs et attentionnés, Je veux rencontrer des vrais amoureux des animaux ! Lorsque je suis arrivé au refuge, tous mes amis était si impressionné par ma rapidité qu’ils m’ont tous fait prendre une marche ! C’était moi le favori de tous les marcheurs ! La personne qui m’a adopté m’a amené faire une visite chez le vétérinaire. Celle-ci a remarqué un inconfort aux nivaux des hanches. Elle soupçonne une dysplasie. Il faudrait une radiographie pour confirmer cela. Il s’agit peut-être d’un inconfort ou d’une blessure suite à mes nombreuses promenades. S’il s’agit de la dysplasie, plusieurs méthodes existent pour me permettre de vivre avec mon handicap. Je me cherche donc une famille permanente qui pourra prendre soins de moi et qui pourra assumer les frais vétérinaires pour ma radiographie et mes possibles traitements. J’espère trouver mon ange-gardien ! Charlie XOXINFOS : 450-663-3266 poste 224 (Julie)
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Interview F. Burgat - Elevage industriel, usine à souffrance
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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En effet Saturne ! Ils ont eu de la chance ces 2 faisans ! Celui que l'éleveur tient fièrement dans ses mains a l'air pas mal déplumé le pauvre ! Il a la même allure que les poules pondeuses d'élevages intensifs L'année dernière une de mes soeurs me disait qu'il y avait eu un lâcher de faisans pour messieurs les chasseurs. Elle revenait du travail quand elle a failli en frapper une bonne dizaine qui sortaient du bois affolés !! Elle dit que le lendemain matin, sur sa rue, il y avait plein de faisans qui avaient été percutés par des autos... Ils ont ben du fun nos gestionnaires de la faune !
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Rhinocéros noirs ; braconnage en augmentation
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Arrest in China Linked to 4,000 US Pet Deaths 2007-05-03 The International Herald Tribune reports Chinese authorities have arrested Mao Lijun, the general manager of the company thought responible for exporting contaminated wheat gluten that lead to the deaths of as many 4,000 cats and dogs in the US. This story is unremarkable because it is typical. Yes, China's economy is booming, but the push to get rich quick is leading many to flout basic health safety, labor and environmental regulations. China today often reminds me of the US in the late 1800s, when robber barons were bending all the rules to build their castles in the sky. Of course what differs is that at least in late 19th century America, there were muckrackers to write books like The Jungle, a public that could be outraged, and a government that would act. In China, although there are peasants or workers who organize isolated protests with some frequency, for example to demand back wages or fair compensation for their land, there is no free media to focus the public's attention on the greater issues, issues that cut across the specific concerns of geography or class. Every once in awhile there will be an internet firestorm over some scandal (the internet being more free than the state-owned media), but more often than not, it's over some symbolic, probably nationalist, and mostly unthreatening issue, like the Starbucks in the Forbidden City. Hot air, in other words. - By Jennifer Brea, World News Guide http://chineseculture.about.com/b/a/257379.htm ( J'ai lu plus tôt, qu'au moins 20 millions de poulets auraient également été contaminés par ce même produit, de même que des cochons, dont au moins 300 se sont retrouvés sur les tablettes de supermarchés ... )
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Study Indicates A Link Between Cured Meat Consumption And Lung Disease April 18, 2007 1:29 p.m. EST Patricia Shehan - All Headline News Staff Writer New York, NY (AHN) - Recent study results indicate a link between eating cured meat and incidence of lung disease. The human study conducted by an associate research scientist, Dr. Rui Jiang from Columbia University in New York, found a statistical link between eating a diet rich in cured meats (hot dogs, deli meats and bacon) and chronic obstructive pulmonary disease (COPD). Chronic lung disease, or COPD, may involve chronic emphysema, chronic bronchitis or asthma. Jiang's study researched the diet and lung function of more than 7,000 participants. The average age of the study participants was 64.5 years. People who ate more than 14 servings per month of cured meats had higher incidences of developing COPD. Even higher cured meat intakes were linked to even higher incidences of lung disease. "People who eat 14 or more servings of cured meat per month have about an 80 percent increased odds of COPD versus people who don't eat cured meat at all," according to Jiang. The news is not actually new. Previous animal studies have provided the same type of results. Cured meats have high nitrates, which have been previously linked to lung disease. Although this latest human trial study does not conclusively prove the link, it seems to confirm the prior animal study results and beliefs. In fact, according to the author of the study, Dr. Jiang, this research did not look at long-term follow-up, but only looked at a single point in time. Therefore, Jiang stated "we cannot say cured meat is associated with an increased risk of developing COPD, only that people who ate cured meat were more likely to have it." The study was part of the Third National Health and Nutrition Examination as published in April's issue of the "American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine." Copyright AHN Media Corp - All rights reserved. Redistribution, republication. syndication, rewriting or broadcast is expressly prohibited without the prior written consent of AHN. http://www.allheadlinenews.com/articles/7007083194
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La plupart des Canadiens ignorent les bienfaits du soya Toronto (Ontario), 1er mai 2007 - Les experts parlent abondamment des superaliments et de leurs multiples bienfaits, mais les consommateurs sont-ils à l'écoute? Un sondage récent commandé par Tetra Pak et mené par Léger Marketing révèle que 62 pour cent des Canadiens n'ont jamais goûté à une boisson de soya. Parmi eux, plus de la moitié (57 pour cent) ignorent les bienfaits et les avantages nutritionnels du soya - un des superaliments les plus reconnus. De plus, 16 pour cent des répondants ont affirmé qu'ils croyaient que le soya avait mauvais goût. Pourtant, du tiers des ménages canadiens qui ont goûté aux boissons de soya et des 15 pour cent qui en boivent régulièrement, 27 pour cent en consomment par goût, alors que plus de la moitié (52 pour cent) le font en raison des bienfaits pour la santé. « La dernière version du Guide alimentaire canadien recommande de consommer des boissons de soya dans le cadre d'un régime alimentaire équilibré. Non seulement le soya contribue-t-il à réduire le taux de cholestérol, il peut aussi prévenir les maladies du coeur, l'ostéoporose et certains cancers », affirme Isabelle Huot, docteure en nutrition et diététicienne qui recommande les boissons de soya comme étant un choix sain et nutritif. « Ce sondage montre clairement que de nombreux Canadiens ne savent pas exactement ce qui fait que le soya est si bon pour la santé ni pourquoi il figure sur la liste des superaliments. » Alors que les experts vantent les bienfaits et les avantages nutritionnels du soya, des mythes sur celui-ci circulent, lesquels créent de la confusion chez les consommateurs. « Une fois que les Canadiens seront bien informés sur le sujet, par un diététicien professionnel par exemple, et que les mythes tomberont, la population sera en mesure de prendre des décisions éclairées sur les boissons de soya. », ajoute Mme Huot. Les mythes 1. Le soya ne prévient pas le cancer. En fait, plusieurs études scientifiques récentes ont montré qu'une consommation régulière de boissons ou d'autres aliments contenant du soya pouvait prévenir les cancers du sein, de la prostate et du côlon(1). L'effet protecteur du soya contre le cancer provient des isoflavones, éléments qu'il contient naturellement. 2. Le soya n'est pas une bonne source de protéines. Seulement un pour cent des personnes qui ne boivent pas de boisson de soya savent que le soya est une bonne source de protéines. En fait, ce dernier offre la meilleure qualité de protéines parmi les légumineuses. Les protéines de soya contiennent une quantité suffisante de tous les acides aminés essentiels, tels que la méthionine, pour répondre aux besoins nutritionnels d'une personne consommant les portions recommandées. 3. Le soya n'a aucun effet sur la santé du coeur. La protéine de soya fait partie intégrante d'un bon régime alimentaire aidant à la prévention des maladies cardiovasculaires. Riches en gras polyinsaturés et faibles en graisses saturées, certaines boissons de soya contiennent également des fibres alimentaires, des vitamines, des minéraux (comme le calcium, dans les boissons enrichies) et du potassium. Une consommation de 25 grammes de protéines de soya, dans le cadre d'un régime alimentaire sain, abaisse le taux de cholestérol sanguin, ce qui a pour effet de réduire le risque de maladies cardiovasculaires(2). 4. Le soya contient un haut taux d'oestrogène et peut réduire la fertilité chez les hommes. Certaines personnes ont supposé que les phytoestrogènes, présents naturellement dans les aliments au soya, peuvent réduire la fertilité chez les hommes. Il n'y a cependant aucune preuve que la fertilité chez les hommes diminue lorsqu'ils incluent le soya dans leur régime alimentaire. 5. Les boissons de soya conservées dans les contenants aseptiques de longue conservation de Tetra Pak ne sont pas aussi bonnes que celles qui sont réfrigérées. Qu'elles soient conservées à la température ambiante ou réfrigérées, les boissons de soya sont saines et nutritives. Celles offertes dans les contenants aseptiques de longue conservation de Tetra Pak se conservent à température ambiante pendant 12 mois; les consommateurs peuvent donc en faire facilement provision. Elles ne contiennent aucun agent de conservation et ont aussi bon goût que les boissons de soya réfrigérées. Par ailleurs, elles doivent être conservées au réfrigérateur une fois le contenant ouvert. Bien agiter le contenant avant de l'ouvrir assure le mélange uniforme des ingrédients, ce qui favorise l'absorption du calcium. Boisson de soya - description Les boissons de soya, aussi appelées laits de soya, sont fabriquées à partir de haricots de soya entiers. Ceux-ci sont trempés, cuits, puis broyés. Le résultat a l'apparence du lait et lui est similaire sur le plan nutritif. Saines et nutritives, ces boissons blanchâtres au léger goût de noix peuvent être consommées comme un substitut du lait. Les boissons au soya ont un goût particulier. Cela dit, l'intensité de cette saveur est directement influencée par la méthode de préparation. Le broyage des haricots avec de l'eau bouillante donne un goût plus léger. Les boissons de soya sont offertes sur les tablettes et dans les réfrigérateurs des commerces. Elles sont souvent vendues dans des contenants Tetra Pak recyclables qui sont aseptisés afin d'en conserver la fraîcheur. Elles sont aromatisées à différentes saveurs, telles que la vanille, la fraise et le chocolat. Elles sont habituellement offertes en trois versions : ordinaire, faible en gras et sans gras. Les boissons de soya enrichies constituent une bonne source de calcium, de protéines et de vitamines A, D et B12. Le Guide alimentaire canadien recommande aux gens qui n'aiment pas boire du lait de consommer deux tasses (500 ml) de boisson de soya enrichie par jour. Ainsi, ils obtiennent les nutriments nécessaires, y compris la vitamine D, pour avoir des os sains et une excellente santé. Cette recommandation peut facilement être suivie en ajoutant une portion individuelle au lunch pour l'école ou le travail ou encore en remplaçant le lait ou la crème par une boisson de soya dans un café, un thé ou une recette. Méthodologie du sondage Commandé par Tetra Pak, le sondage a été mené par Léger Marketing du 9 au 16 février 2007 auprès d'un échantillon représentatif de 1 500 femmes et hommes âgés de 18 ans ou plus partout au Canada. Le degré d'exactitude du sondage est de plus ou moins 2,5 pour cent ou de 19 fois sur 20. (1) Soy Info Online. www.soyinfo.com/studies/cancer.shtml. Page consultée le 20 mars 2007. (2) Ontario Soybean Growers. www.soybean.on.ca/faq_view.php?id=62. Page consultée le 20 mars 2007. ba
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Une idée qui fait des petits... œufs. par Benoit Trépanier Intrigué par quelques faisans élevés derrière chez-lui qui pondaient, Alain Boulet, de St-Edgar, s'est dit «s'ils pondent pour moi, ils pondront pour d'autres». Aujourd'hui, son entreprise fondée en 2006, « La Ferme des petits œufs », vend 250 douzaines par semaine. Le promoteur a été récompensé cette semaine dans le cadre du Concours québécois en entrepreneuriat de la MRC de Bonaventure. «Je suis le seul producteur d'œufs de faisans au Québec», a fièrement lancé M. Boulet. L'éleveur a d'abord tenté l'expérience avec quelques bêtes capturées lors de la chasse. Aujourd'hui, son cheptel compte 800 oiseaux femelles spécialement nourris et éclairés pour la ponte d'œufs de la taille d'une balle de golf. «Ils sont plus fermes, plus sucrés, contiennent davantage de jaune, des omégas 3 et 6, et le blanc fait d'extraordinaires meringues», a-t-il ajouté. L'entrepreneur désire agrandir son marché régional qui compte quelques marchands locaux. Pour l'instant, la majeure partie des stocks est envoyée à Québec. suite: http://www.hebdosquebecor.com/eba/05062007/eba_05062007_A1.shtml
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Pêche aux homards Début de la saison Mise à jour le dimanche 6 mai 2007, 15 h 27 . Les premiers débarquements de homards madelinots sont attendus lundi. Les 325 homardiers des Îles-de-la-Madeleine ont pris la mer samedi avant l'aube. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2007/05/06/003-homards_debut_saison.asp
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4 mai 2007 REGARDEZ LA VIDÉO: http://www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2007/05/04/002-reprise_exportations_vaches.shtml Quatre ans après avoir été secoué par la crise de la vache folle, le Canada reprend les exportations de bovins. Près de 2000 vaches de reproduction provenant de partout au pays ont embarqué sur un bateau au port de Bécancour (Québec) vendredi. Elles partiront pour la Russie samedi. Le Canada a réussi récemment à convaincre les Russes d'accepter les bêtes canadiennes en raison notamment de nouvelles mesures imposées dans les abattoirs. Il s'agit de la première exportation canadienne d'importance depuis la découverte d'un cas d'encéphalite spongiforme bovine (ESB) chez une vache albertaine en 2003. Sophie Bernier s'est rendu au port de Bécancour. http://www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2007/05/04/002-reprise_exportations_vaches.shtml
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NEWS EN BREF BULLETIN PRINTEMPS 2007 (AMÉRIQUE DU NORD)
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Forum Administratif
S'il n'est pas trop tard, je rajoute cette nouvelle: 4 mai 2007- St-Lazarre (Québec). Des animaux laissés à eux-mêmes depuis plusieurs mois ont été retrouvés dans une ferme. Plusieurs plaintes avaient été acheminées à la municipalité de St-Lazarre, mais pour des raisons que l’on ignore, celle-ci n’a pas pu intervenir avant aujourd’hui. Arrivés sur les lieux, la SPCA a découvert une scène d’horreur : des animaux d’une maigreur effroyable se trouvaient à l’intérieur de la ferme de même qu’à l’extérieur. À l’extérieur, sur un grand terrain vague, des vaches n’ayant que la peau sur les os étaient attachées à de très courtes cordes où elles étaient dans l’impossibilité de brouter ou même de bouger, des poneys attachés eux aussi avaient des sabots qui n’avaient jamais été taillés et étaient tellement maigres qu’ils peinaient à se tenir debout, des volailles éventrées étaient accrochées à des arbres et d’innombrables carcasses et d’ossements d’animaux se trouvaient sur les lieux. Une tente faisait également partie du décor. La propriétaire, une ancienne vétérinaire, n’a pu être localisée. La peine qu’elle encourt sera minimale puisqu’on invoquera sûrement un problème de santé mentale. -
respirez, respirez .... ne respirez plus
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans Environnement